Derniers Avis : Le Cas 39 - Page 2

Le cas 39 est un film d’horreur sorti en 2009. Si le début ressemble plus à un film d’horreur psychologique et thriller, la suite sera du surnaturel.

C’est un film de 2009 avec une photographie datant de 90-95 afin d’obtenir une esthétique typique et rétro.

L’actrice joue assez bien et le film est vraiment troublant.

Malheureusement il n’atteint jamais le chef d'œuvre Esther en partie à cause de ce côté surnaturel.

Dans le registre des histoires d’enfants maléfiques, "Le cas 39" est plutôt réussi, notamment grâce au visage d’ange de Jodelle Ferland capable de très vite devenir menaçant. Les quelques séquences exploitant les phobies des personnages parviennent elles aussi à créer l’angoisse.

Après un début plutôt étonnant on découvre de quoi il est question et d un seul coup on perd un peu d intérêt. Il n empêche qu il y a tout de même de belles séquences notamment celle des frelons dans la salle de bains . Un film un peu convenu mais qui tient ses promesses.

Pour un film d'épouvante, j'ai trouvé l'histoire plutôt pas mal et assez original, j'ai bien apprécié le jeu d'acteur notamment de l'enfant.

Ce film fantastique est destiné aux néophytes d'histoires de possession et autres diableries.
L'histoire est cousue de fil blanc et les scènes "d'horreur" sont distillées avec parcimonie. spoiler: Le seul moment de bravoure notable au niveau des effets étant la mort du pauvre Bradley Cooper tué par sa phobie des frelons.

L'interprétation de la falote Renée Zellweger est compensée par celle appliquée de la jeune Jodelle Ferland et des guests masculins intéressants.
La fin de l'histoire par contre est complétement ridicule.

A défaut de renouveler le vieux thème de l'enfant maléfique, ce petit thriller lui apporte une contribution habile et audacieuse. La séquence des frelons aurait tout à fait sa place dans une anthologie des scènes d'horreur soft.

Un film sur un enfant diabolique avec un début qui ressemble à un drame social raté avant de virer au film de genre mal fait. Il semble essayer de surfer sur la vague crée par Esther à l'époque avec une inspiration à la Damien (version sous Prozac). Il faut cinq minutes pour comprendre l'intrigue et le dénouement. Il n'y a aucune tension et on s'ennuie très vite sans avoir jamais peur. La réalisation est sans intérêt et les rares effets spéciaux sont ratés. Il faut ajouter à cela une fin médiocre. Le jeu d'acteur est quant à lui sans relief, mais pas mauvais. Pas assez nul pour en rire, mais pas assez bon pour passer un moment sympathique.

La critique américaine a massacré le film pour de mauvaises raisons. Le film sentirait le "déjà vu" ont-ils dit oubliant que le cinéma n'est toujours que variation et qu'ils ont parfois louangés des remakes inutiles ! Evidemment il faut que la "variation" fonctionne, or ici le film réussit à nous scotcher pendant la quasi-totalité du film . Le scénario est fertile en rebondissements, en scènes choc (la scènes des spoiler: frelons
est démente, même si elle est un peu faible techniquement) et surtout porté par des acteurs en pleine forme, à ce titre la prestation de Renée Zellweger est stupéfiante ! Quant à la môme j'ai rarement vue une jeune actrice (Jodelle Ferland, 13 ans au moment du tournage) jouer aussi bien !.Le point négatif ce sont l spoiler: es dernières minutes du film qui semble expédiés et qui ne sont pas en concordance avec le reste du récit (pourquoi Lilly ne sert-elle pas de ses pouvoirs ?)
Mais bon, sur 1 h 50, on a 1 h 40 de bon cinéma, on ne va pas faire le difficile.

Curieusement sortie directement en DVD , il ne s'agit pourtant pas d'un petit film d'horreur.
Même si quelques maladresses scenaristiques apparaissent petit à petit jusqu'à un dénouement final un peu trop classique, l'ensemble est très prenant, fascinant même parfois...
Bien mené, le rythme du film suscite rapidement l'effroi pour laisser la place à la terreur pure.
Quant au jeu des acteurs, il est très convaincant et évite l'écueil du surjoué.
La réalisation est impeccable.

On encre l'histoire dans un réel conventionnel, avec une assistante sociale qui vient en aide aux enfants maltraités. Le quotidien sert à nous donner confiance, à nous raccrocher à la réalité puisque ce que l'on va nous montrer par la suite basculera dans le surnaturel. Alors, pour nous faire croire à cette histoire, il fait des personnages forts, et à travers eux des acteurs crédibles, là, il n'y a rien à redire, que du beau monde, même la petite fille, fragile au teint blafard nous offre une belle prestation assez glaçante.
Point d'exorcisme, mais juste le tourment avec quelques scènes percutantes.
Que dire de la fin, si ce n'est que c'est difficile de ce débarrasser d'un démon que l'on a montré tout au long du film assez inattaquable et très puissant; mon bon, parfois les choses les plus simples sont les meilleurs.
Certains pourraient comparer avec Esher, sauf que ce n'est pas la même approche, ce qu'il y a de glaçant dans l'un n'est pas ce qui rend glaçant le second, alors, il faut se laisser porter par cette histoire et s'immerger dans son univers pour ressentir et apprécier ce film.

L’échec relatif de Case 39 ne tient pas à son scénario ou à sa mise en scène, tous les deux convaincants ; de même, les acteurs s’avèrent plutôt investis. Non, il se trouve tout entier dans la lisibilité et l’explicitation de chaque situation, dans l’absence de caractérisation profonde et d’ambiance qui résulte d’une approche algorithmique de l’épouvante, soit le fait de cocher des cases, de suivre des recettes qui ont déjà fonctionné auparavant pour concurrencer l’excellent Orphan (Jaume Collet-Serra, 2009) sorti la même année et qui, lui, offre à son monstre tapi dans l’ombre une ampleur démoniaque et jubilatoire.

Ici l’image comme les personnages sont gris, les scènes se succèdent sans nécessité et semblent s’annuler les unes les autres : la séquence d’attaque dans la salle de bain, fort réussie au demeurant, est balayée une fois Doug sous terre ; celle de traque par un zombie, idem. De plus, le retournement de situation, qui se saisit d’une pauvre petite fille victime de ses parents pour la changer en bourrelle, ne se conçoit pas par paliers successifs : on le devine depuis le début. C’est dire que la mise en scène ne manifeste aucune intelligence, ne prend pas de hauteur vis-à-vis d’un spectateur avec lequel elle refuse le jeu ; elle illustre platement un récit terne qu’essaient de dynamiser des effets horrifiques déjà vus.

Case 39 vaut moins comme production que comme produit fabriqué pour s’écouler sur le marché du dvd et sur les plateformes peu scrupuleuses quant à la qualité du contenu qu’elles diffusent.

Ce film aurait pu être sympas, le thème fait facilement peur mais voilà !!! trop long, l'action démarre trop tardivement du coup plus de place pour une fin digne de ce nom, sans parler des incohérences surtout dans les décisions des protagonistes adulte et sois disant sains d'esprit. Dommage le début était prometteur

si ce film date de 2010, la jeune Lilith qui a 10 ans dans l'histoire est jouée par une actrice de 16 ans apparemment, en effet ça rappelle l'excellent Esther et mention spéciale aux maquilleuses !
C'est avec plaisir que je revois ce film sur Netflix (tant qu'à faire !) mais cessons les comparaisons avec Esther . différent au niveau des situations et de l'intrigue. Cette gamine diabolique est brillament interprétée par Jodelle Ferland , dans un rôle inquiétant et froid comme la mort.. Renée loin des "carnets intimes" s'en sort très bien dans son rôle d'assistante sociale-mère de remplacement- et le duo remonte le niveau effectivement pas au top du scénario.
Ce film reste bien et mérite d'être vu au moins une fois !

Vous me direz que pour foirer un film avec Renée Zelleweger et Bradley Cooper faut des prédispositions, prendre son élan, avoir une caméra en carton et recopier son script sur un proverbe de Confucius trouvé dans un biscuit chinois. Ce n'est absolument pas le cas du "cas 39", je rassure tout de suite les foules. Dans la série "enfants maudits", le film de l'allemand Christian Allevard se classe dans mon top. Il faut dire que la recette visage angélique / très mauvais fond fonctionne toujours à merveille et que l'interprétation de la petite Jodelle Ferland est glacante. Si vous n'avez jamais vu "le cas 39", arrêtez ce que vous êtes entrain de faire, sortez un fauteuil club, un pouf, un canapé, une planche à clou ou ce qui vous sert d'habitude à vous caler le popotin et mettez vous devant, vous me remercierez plus tard. 4.5 / 5

Je peux dire que j'ai été surprise, ce film est à la fois, surnaturel et un thriller qui tient en haleine pendant 1h52 minutes. Du début à la fin il n'y a rien à jeter, superbe film avec peu d'effets spéciaux ce qui le rend unique et qui nous fait bien stresser. Le monde des démons et fantômes est passionnant.