Avis : Wilderness - Page 5

L'idée de base est vraiment très bonne et parfois très inquiétante, seulement le dénouement ne m'a pas séduit du tout car je ne m'attendais pas trop à ça, mais bon...Les acteurs sont convaincants malgré qu'ils soient méconnus. Il y a de bons moments, mais franchement dans le genre, je peux vous dire que j'ai vu bien mieux, m'enfin, entre amis dans le noir ça peut être pas mal. Le problême, c'est que le réalisateur nous dévoile trop vite les choses, alors que l'on aurait pu laisser courir le msytère en faisant plusieurs opus, cela aurait été bien plus intriguant, mais bon peut être que ce n'est pas le message qu'il veut faire passer. Je tiens à préciser, que les plus jeunes d'entre nous devrons s'en passer car pas mal de sang et quelques scènes diffiles, à part ça, rien à ajouter. Alors sur ce, je vous souhaite à toutes et à tous, un excellent film!

Entre Dog Soldiers et Severance, les britanniques se spécialisent dans un genre... J'adore ce survival movie. On peut jouer à qui meurt en premier, et qui va survivre en dernier (Bon léger pléonasme)... Et le pire dans ce film, c'est que ce sont des taulards donc on ne devrait pas avoir de compassion pour eux puisque ce sont des salauds... Etrange sentiment...

Pas trop mal fichu, ce film arrive à faire peur (c'est le but). Un bon moment de distraction.

grosse décéption...une sorte de "battle royal" mais en bien moins bien reussi... à voir uniquement si vous êtes amateur du genre...

Epineux problème que celui de la racaillisation de la société. Partout dans le monde, les hommes de bonne volonté y vont de leur petite solution : qui, un Karcher, qui, un vol charter… Michael Bassett, lui propose une option un peu plus fun : l'arbalète et les bergers allemands anthropophages. En pleine résurgence du cinéma de genre à la britannique, Wilderness se présente comme un survival insulaire fauché mais sympa, un petit film du samedi soir sans grande originalité (on pense à tout un tas d'autres oeuvres, de Sa Majesté des mouches à Battle royale) mais honnête. Suite au suicide de leur souffre-douleur, une bande de délinquants juvéniles est envoyée crapahuter sur un ilôt abandonné, histoire de leur apprendre la vie à grandes goulées d'air pur et de régime spartiate. Comme on est pas dans une chronique sociale déprimante mais dans un bon vieux slasher des familles, l'île déserte ne l'est pas du tout et un mystérieux individu va se charger de dézinguer tout ce beau monde. Le bon esprit permet de pallier le manque flagrant de moyens - assez peu de scènes graphiques, mais elles sont soignées - et le film remplit ses modestes objectifs. Seule - grosse - ombre au tableau, le choix très discutable du distributeur de nous imposer la VF...

un bon petit survival avec un casting convaincant. Dommage que la réalisation ne suive pas toujours dans les scènes d'actions

La scène d'exposition est plutôt alléchante, avec cette troupe de comédiens qui ont bien la gueule de l'emploi (surtout the bully immédiatement reconnaissable). Malheureusement, l'atmosphère mystérieuse mise en place sur l'île est de courte durée. Le film finit donc par s'essouffler très rapidement jusqu'à devenir un énième survival.

Un groupe de prisonniers composé de sadiques, assassins, violeurs, braqueurs, et autres gais-lurons se retrouve sur une ile, soi-disant pour apprendre la vie lors d’un stage de survie. Il se joint à un autre groupe, de filles cette fois, tout aussi engageant. Mais il s’avère qu’il s’agit du piège d’un mystérieux fou dangereux particulièrement violent et revanchard qui les a enfermés sur place pour mieux les éliminer un à un de manière pour le moins crue et noyée d’hémoglobine. Au-delà de leur propre bêtise et méchanceté qui les fait se tuer entre eux, la seule issue pour nos braves gentlemen est de devenir encore plus barbare que leur prédateur pour survivre.
Sauvage, sanglant et décérébré. Pour les amateurs, pourquoi pas ? Prévisibilité, incohérences à chaque minute, jeux d’amateurs, caricatures de chaque personnage, on finit par se marrer devant ce qui semble plutôt un film comique, lamentable jusqu’à une fin qui ose encore nous infliger le happy end du couple vainqueur qui s’éloigne au soleil couchant. Le seul plaisir de ce film se résume à se laisser engloutir par la sauvagerie d’une sorte de jeu vidéo en vase-clos totalement dépourvu d’intelligence, de structure stratégique et de charme.

Très bonne surprise, j'ai bien aimé, mouvementé, avec de multiples personnages...

Il faut très souvent se méfier des films à portée dramatique des anglais. Sur les films critiqués par ma bonne poire, on peut notamment penser à This is England, The Great Ecstasy of Robert Carmichael ou Bright Star, qui sont pour l'un un métrage bien médiocre et pour l'autre un désatre infâme. Assez chaotique dans ce registre sont nos amis britanniques ... Mais quand il s'agit de faire péter l'hémoglobine, on obtient de suite des choses plus convaincantes. Pensons à Creep ou 28 jours plus tard !
Ici, on se retrouve avec une bande de taulards envoyés sur une île par le grand manitou de leur prison, après que son fils se soit suicidé en cellule dans la nuit, car persécuté par ses camarades de zonzon. Les pensionnaires arrivent donc sur ce bout de terre censé être désert de toute vie humaine. Après avoir rencontré un groupe de nanas pas très catho', ils entendent un coup de sifflet, et des aboiements. Ca approche, encore et encore. Des flèches sont décochés par une arbalète, puis les clebs débarquent et s'acharnent sur le gardien de prison accompagnant les pénitenciers. Va y avoir intérêt à courir vite. Très vite.

Wilderness est un survival anglais, donc évidemment, comme par définition, il ne fait pas dans le raffiné. On connaissait Neil Marshall pour Dog Soldiers ou The Descent, et bien maintenant nous avons Michael J. Bassett venu prêter main forte au panel des réalisateurs britanniques férus de rouge brun qui tâche. Le film ne recrée en rien le genre qu'il exploite, mais au moins, il n'en transgresse pas les règles : Trash, fun, féroce, haletant. Très respectueux du style apporté par ses grands-frères dans les années 70-80, Wilderness convainc d'entrée grâce à des acteurs en forme, à son scénario certes simple mais efficace, ses répliques parfois bien tordantes, sa violence cracra (Jed's murder, ou la certaine inspiration de Severance avec le piège à ours ...), sa bande-son énergique et l'ambiance congrûment transcrite. Très bon ajout pour le cinoche de genre britannique. Le pitoyable The Breed devrait en prendre de la graine ...

spoiler: ......................................................................................................................................................

Du costaud rien a dire la dessus, bien seignant un film d'horreur comme on aimerait en voir plus souvent!!

Bon ben l'affiche elle est bien mais ça s'arrete là!!! mauvais acteurs, histoire pourrie, effets spéciaux heuuu comment dire ... même pas je peux le comparer a quelque chose d'existant... bref à ne surtout mas regarder sauf par curiosité...

L'idée est éculée mais c'est le principe du slasher : des individus se font trucider l'un après l'autre.... Peu importe comment on en est arrivé là.... Et comme toujours tant qu'on ne sait pas ce que c'est , ou ce que ça n'est pas ..... on est intrigué.... une fois révélé , c'est limite ridicule.. C'est un peu gore (fauché quand même) et sans grand suspense.... Un air de famille avec Eden Lake pour les skinheads belliqueux....

Vraiment pas mal, wilderness est un film qui a du mordan. Le scénario et original, mais pas fameux mais l'action et le gore et bien présent puis les acteurs offres une bonne prestation. Un film bien gore que je recommande pour tous les fans.