Avis : 28 semaines plus tard - Page 10

La 1ère scène est terrible et franchement je trouve l'ensemble du film très bien réalisé. Après le scénario a quelques innovations originales et intéressantes, mais bon avec sa sauce américaine de brave femme casse coup et du héros gros dur au grand cœur beaucoup de choses sont hélas prévisibles. Mais le pire c'est les 2 morveux qui m'ont mis les nerfs tant ils sont débiles et tant ils sèment l'hécatombe en s'en foutant cyniquement des autres, pas très crédibles ils cassent toute l'ambiance, il aurait mieux fallu les jeter en pâture du coté de white chapel

N'ayant pas vu le premier opus et boudant les films de zombies glauques, la sortie de 28 semaines plus tard me tenta finalement.
Aprés 1h30 de stresse et de "wahou", je dois dire que je suis littéralement emballé par le film. Par son atmosphère apocalyptique et par un Londres vide de présence humaine qui vous donne un sacré frisson, le film reussit à transcander le genre. Ce n'est pas que de la peur, non il vous procure plutôt un suspence monstre ponctué par des scènes qui nous laisse "gaga". En fait, rien que la scène d'ouverture du film vaut le détour. La caméra tremblante lors des phases avec nos chers zombies et l'atmosphère presque étouffante, le spectateur est happé par le suspence et la fuite des personnages à l'écran. De plus, la musique est tout simplement magistrale. Mais Films de zombies dit "glauque et sang", vous serez servi par des scènes d'une rare violence mais toujours capitale pour l'histoire. La force du film réside dans sa réalisation et sa mise en scène parfaite qui creer une ambiance si différente et particulière. Les acteurs sont au top et une critique subtile de l'amérique est même glisser dans ce massacre, si si ! La fin est tout simplement remarquable et la dernière image fait froid dans le dos. En résumé, 28 semaines plus tard est un film de zombies qui se distingue des autres par son ambiance et sa si bonne réalisation mais également par son dramatisme si bien joué par les acteurs. 1h30 de stresse et de scènes cultes pour nôtre plus grand plaisir.

Un très très bon film de science fiction/horreur. Ici ce ne sont pas zombies à proprement parlé mais des humains qui deviennent fous et se comportent par la suite comme des zombies (cannibalisme ...). Dans la lignée de 28 jours plus tard, cet opus est plus frappant, plus gore, plus de suspense et une mise en scène/image plus "belle". Cette fois-ci, Danny Boyle est producteur exécutif et laisse la place de réalisateur à un Juan Carlos Fresnadillo, un excellent choix, puisque celui-ci s'en tire très bien. Les acteurs sont tous bons même s'ils ne sont pas extrèmement connus. Le scénario est classique mais ça fait son effet et le fait que l'action se déroule en Angleterre et plus précisément à Londres est vraiment cool, ça change des zombies sur le sol américain ! ^^ Bref le genre de film (survival-horror) qui est vachement sympathique, à prendre au second degré bien sûr.

La campagne anglaise dans toute sa splendeur : ses forêts, ses maisons victoriennes, ses lacs... et ses zombies aux trousses d'un père de famille désormais seul contre tous : voici la mise en place de « 28 semaines plus tard », suite du tiède « 28 jours plus tard » de l'anglais Danny Boyle. Une suite quasiment impossible au vu de la fin du film. Pourtant, l'Espagnol Juan Carlos Fresnadillo, offre un film qui fait passer l'original pour une simple série Z de pacotille. Le metteur en scène allie habilement le drame familial, le gore obligé, l'épouvante lors d'une scène finale dans le métro londonien (on vous l'avoue cela faisait longtemps qu'on n'avait pas sursauter à ce point) et les scènes d'actions bourrines. Pour une fois, il réussit à créer des personnages clichés mais attachants (la scientifique qui répète depuis le début que tout va mal, le militaire qui refuse aux ordres, son pote black qui n'a pas vu sa famille depuis belle lurette...) dont le dénouement un peu inattendu est quelque peu regrettable. Quoi qu'il en soit, « 28 semaines plus tard » prouve que les Espagnols ont la côte en ce moment pour faire du cinéma de genre de qualité. Rien qu'à voir [Rec] dans le même genre...

Le défi était risqué, reprendre le flambeau après Danny Boyle (Petits meurtres entre amis - 1995) pour la suite de son incroyable 28 Jours plus tard (2003). Mais c’est avec beaucoup de surprises que Juan Carlos Fresnadillo (Intacto - 2003) nous épate, en réalisant ici son second film (et oui seulement !). Il nous renvoie à Londres, 28 Semaines plus tard, lorsque l’Otan a pris sous contrôle le terrible virus. Alors qu’ils pensaient la capitale hors de danger, un imprévu réactive le virus et c’est là qu’apparaissent les faiblesses au sein des troupes militaires présentes sur place. Ils se retrouvent vite submergés, dépassés par la situation qui s’envenime et trouve pour unique solution de « tirer dans le tas », tel un génocide ou une exécution grandeur nature !
Nous offrant bien plus qu’un scénario palpitant, Juan Carlos Fresnadillo réalise un thriller horrifique/gore très intelligent et vraiment impressionnant. Grâce à une mise en scène sidérante où les mouvements de caméras ont une place prépondérante, idem pour les vues aériennes dévastatrices (lors du largage du Napalm, sans oublier la scène de l’hélicoptère, une vraie boucherie à ciel ouvert !), niveau casting, rien à redire, l’impressionnant Robert Carlyle (Trainspotting - 1996) en impose violement face à Rose Byrne & Jeremy Renner. Ce second opus rivalise dorénavant avec les plus grands, que ce soit son prédécesseur, les films de George A. Romero ou encore, dans un autre registre, Les Fils de l'homme (2006), de Alfonso Cuaron, pour leurs mises en scènes ahurissantes. Une suite de qualité irréprochable, qui lui vaut tous les honneurs nécessaires tout en nous laissant entrevoir qu’un troisième opus est toujours possible (ouf !), nous on attend que cela ! ! !

La bande annonce pouvait faire craindre le nanar sans substance. Même si le début ne nous rassure pas immédiatement, force nous est de constater que par la suite on se laisse mener par une ambiance subtilement travaillée et une intrigue conduite avec maîtrise. A par quelques passages épileptiques, on évite tous les écueils du genre et on se laisse vraiment prendre par l’histoire. Cependant, rien de véritablement nouveau dans cette suite, qui sait jouer des cartes déjà posées par le premier épisode sans forcément y apporter la même substance. Bref, voila un film au fond plutôt agréable et qui ne semble pas éclabousser un premier opus mémorable. C’est déjà ça.

Légèrement moins bien que le premier, ce deuxième volet reste tout de même dans la lignée du précédent, tout aussi stressant, oppressant et malsain. Même une scène de tripailles peut être romantique comme en témoigne la scène des reptrouvailles des époux. et la fin fait froid dans le dos, ça arrive chez nous.

Une agréable surprise ! "28 semaines plus tard" s'avère être un bon film de zombies, j'ai été très agréablement surpris. Pour faire simple il y a une épidémie inconnue auquel aucun vaccin à été trouvé et les survivants sont recueillis dans un secteur dit "sécurisé" et puis arrive la panique... Le film est bon, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde le rythme est très bien soutenu, la tension monte crescendo, nous sommes vraiment sous tension durant cérémonies séquences extrêmement bien réalisée avec une caméra épaule sur tout les plans ce qui rend le film assez réaliste et nous plonge dans l'horreur. Le petit défaut au niveau du cadrage, ce sont les mouvements de caméras qui sont, à mon goût beaucoup trop dynamiques, on a souvent du mal à visualiser certaines scènes et le montage durant les scènes "intenses" est trop rapide ce qui, malheureusement nous fait un peu tourner la tête. Quand au scénario, il est assez malin, simple mais pas mauvais, la grande majorité des scènes sont assez réalistes, il n'y a pas vraiment d'actes héroïques, les rôles sont bien interprétés notamment Jérémy Renner et nous nous attachons a ces personnages. Le petit bémol étant que le film manque légèrement d'intensité dramatique, certaines morts peuvent s'avérer "triste" mais c'est trop rapide alors l'émotion n'est pas au rendez-vous même si, elles restent bien foutues. De plus les effets visuels sont corrects mais loin d'être exceptionnels, on peut apercevoir que certaines séquences font très truquées mais bon n'allons pas chercher la petite bête. Quand aux zombies, ils sont très bien faits, le maquillage est saisissant ils sont tout simplement effrayant. Autre gros point fort du film, c'est bien évidemment sa bande originale qui est très réussie, les musiques sont géniales avec des sonorités en grande partie "électriques". Le final est intéressant, on ne sait pas quoi penser la fin est assez ouverte mais une suite est en projet avec Danny Boyle, le créateur du premier opus du la (future ?) série. En conclusion ce "28 semaines plus tard" est un bon divertissement que je recommande pour tout amateur de zombies, de tension... Bref une assez belle réussite !

Film innovant sur beaucoups de point! Une film de contaminé (donc différent d'un zombie de base!) et qui nous montre donc ces meme contamnié courrir !! Une première pour un film d'horreur avec des sortes de zombies! Ce qui le rend limite réaliste! Pourquoi un contaminé ou zombie ne pourrais t-il pas courrir !! Et comment ces andouilles de héros arrivent ils a se faire chopper avec que les monstres sont lent comme un escargot!! Voila les questions qu'on ne se posent pas une seule fois dans ce film! Ensuite le film a un trés bon scénario et les acteurs sont bon!! Bre fun trés bon film.

Violent, stressant. Une histoire classique, mais mené tambour battant. Distrayant.

Le film se divise clairement en deux parties contrastant de manière assez évidentes au niveau de la qualité: la première est magistrale là où la seconde est assez faible. Le film se montre d'abord d'une grande intelligence: la réalisation est absolument magistrale et le scénario dose parfaitement le suspens et la noirceur de l'oeuvre ... on est face à une oeuvre saisissante, terrifiante, tant elle est pessimiste. Le deuxième partie est tout aussi sombre, maisn assez brouillonne; on sent le manque d'inspiration des scénaristes, en particulier en ce qui concerne les rebondissements de l'intrigue ... le film parvient certes à garder une certaine force, en particulier grâce à une mise en scène toujours aussi efficace ... mais on perd finalement grandement en intensité. Cependant, on peut noter un final très réussi. Cette suite du "28 jours plus tard" de Danny Boyle s'avère être du même niveau: parfois magistrale, souvent saisissante, empreinte d'un certain lyrisme, et un peu inégale.

Réalisateur different, acteur different, on reste dans le doute avant le début du film.
Et puis là, tout à coup on rentre dans une histoire qui se retrouve dans la bonne lignée du 1er volet. Une suite très cohérente, un film plus noir, plus sanglant, plus gore, plus flippant, plus dérangeant. Les acteurs, peu connus, y sont excellents.
Un sujet en béton, des dénonciations assez bien exploitées comme les interventions (efficaces ?) des USA.
Bref ce film est un vrai petit coup de maitre, un des meilleurs films de zombies jamais vus avec le 1er volet.
Par contre s'il vous plait, une petite faveur: ne gachez pas tout, restez-en là. On en sera que tout heureux.

28 jours cherchait le répit, 28 semaines cède au nihilisme. Dans sa noirceur, le film emporte tout.

Préférant s'ériger autour d'une ligne claire, il s'y tient : pas de baisse de régime, pas d'égarements, 28 semaines diffuse une vision claire, presque naive mais sans concession, de l'idée du chaos et d'une humanité terminale. Il zoome sur la lâcheté d'un homme, le défouloir des passions de cas individuels planqués derrière la consigne générale : l'inavouable est son sel, la bestialité régénérée son grand sujet.

Il n'y a pas de portée politique au sens strict, puisque la démonstration est trop générale, mais une défiance envers les institutions, les encadrements ''humanitaires'', les autorités protectrices. (...)
C'est aussi un grand film d'action, une sorte d'adaptation méchante, crade et intense de ''Resident evil'' qui réussit ce que les traductions officielles ont (totalement) ignoré et ce que tant d'autres coup-d'essai conceptuels ont raté : constituer la fresque animée d'hommes face à leurs derniers recours.

Une demi-étoile pour la première scène, virtuose. Le reste du film n'a aucun intérêt.

Très différent du précédent dans le ton, dans l'action et dans la violence. Sa saigne plus mais sa reste supportable dans l'ensemble. La réalisation plus nerveuse permet de capter notre attention tout du long. Le scénario est rythmé nous offrant les phases de déroulement classique de ce genre de film de façon efficace et bien orchestrer. Le casting est étoffé et pour une fois je trouve cette suite meilleur que le premier.