Derniers Avis : 28 semaines plus tard - Page 5

Enorme. Je suis fan. Une ambiance lourde du début à la fin, désespérée. Un futur sinistre, où la survie de la race humaine paraît bien difficile... Prophétique? A force de jouer avec le feu, l'homme finit par se brûler... Ce film renouvelle le genre. Un petit côté zombie, mais différent, un petit côté apocalypse, mais différent aussi... Je l'ai revu avec tellement de plaisir! Je recommande à tous les amateurs du cinéma de genre. Musique somptueuse en parfait accord avec les scènes de fuite, mise en scène simple mais soignée. Les acteurs, surtout les jeunes, et Robert Carlyle, sont bien dans leur rôle.

Le début déchire, même ambiance que dans "28 jours plus tard". Mais spoiler: dès que l'on arrive dans la cité,
tout devient étrange. Les gamins sont à tarter, toujours là où on leur dit de ne pas aller, c'est frustrant. Je mets 3.5 en tant que fan de zombies, mais il mériterait moins. Dommage.

Cinq ans auront été nécessaire pour voir arrivé une suite à 28 Jours Plus Tard avec ce 28 Semaines Plus Tard qui pour l'occasion change de réalisateur. Malheureusement toutes ces années entre les deux n'auront servi à rien car cette suite possède les mêmes qualités et les mêmes défauts que le premier ce qui est vraiment dommage. L'histoire est peut-être plus intéressante ici car c'est plus développés avec des personnages qui sont unis dans leurs relations. C'est toujours aussi oppressant et angoissant par moments avec une b.o. très bien utilisé et beaucoup plus présente que dans l'original. Malgré ça même si le thème principal est très jolie c'est un peu répétitif. Les infectés son toujours de la partie et font toujours aussi flippé. D'ailleurs ils sont un peu plus nombreux ce qui fait que l'on perd en impression de solitude et de vide des villes mais on gagne en sang et autres liquides qui giclent. Les acteurs, eux ne sont pas toujours convaincants même si dans l'ensemble ça va et que j'ai particulièrement apprécié Rose Byrne. Mais le plus gros problème pour moi vient encore de la réalisation qui a changer de main mais qui est toujours aussi inégal. C'est très souvent trop rapide et du coup on capte rien et j'ai horreur de ça. C'est dommage car la photographie de Londres est belle. J'ai quand même adoré la scène spoiler: ou Don embrasse sa femme puis se transforme
. C'est une belle scène et un moment prenant. Malheureusement il y a seulement deux ou trois fulgurance du genre dans le film. A noter aussi des effets spéciaux inégaux ou l'on se demande parfois si le film est sorti en 2007. Par contre sur la longueur j'ai eu du mal et j'ai un peu décroché dans les 30 dernières minutes à cause de cette réalisation fatigante mais les cinq dernières minutes m'ont redonner de l’intérêt avec ce superbe plan sur spoiler: le stade de Wembley et ce plan final sur la place du Trocadéro ou l'on voit la tour Eiffel
. C'est une fin qui donne envie d'en voir plus et donc une bonne fin. Au final 28 Semaines Plus Tard n'est n'y meilleur n'y moins bon que son prédécesseur et apporte quand même quelque chose qui fait que si vous avez apprécié le premier, vous aimerez surement celui la.

Assez décu, j'avais beaucoup aimé plus jeune, mais la je l'ai regarder peu de temps après "28 jours" et franchement il y a une baisse de niveau considerable dans le scénario, la qualité d'image et le genre. "28 semaines" est bien plus gore bien plus saignant quand son predecesseur lui été bien plus psychologique et traitais plutot de la sauvagerie de l'homme plus que celle des zombies. Ce n'est pas un reproche ils ont bien fait de ne pas faire comme le 1er film mais sa m'a bien moin plus, c'est juste un film de zombie quoi...

rose byrne tient le film a elle seule dommage c'est une tres bon'e actrice mais il autait fallu un casting meilleur a cote(les deux enfants sont tres mauvais!!) jeremy renner pas tres convainquant non plus mais on etait a ses debut heureusement qu'il a pris du grade depuis ces dernieres annees.
comme pour 28 jours plus tard le scenario s'epuise sur la 3 eme partie et enleve de la credibilité au film.
l'idee de base est pourtant tres realiste. on aurait pu faire un final bcp mieux . il y avait vraiment matiere a faire un truk top

En 2002, Danny Boyle s'est essayé avec réussite au genre horrifique avec « 28 jours plus tard ». Écrit par son ami et collaborateur régulier Alex Garland, ce petit film (seulement 8 millions de dollars de budget) rencontra un vif succès. 5 ans plus tard, une suite vit le jour sous le titre « 28 semaines plus tard ». Boyle et Garland ne sont pas très impliqués dans ce projet, occupant simplement le poste de producteur exécutif. Les doutes quant à la qualité de ce deuxième film étaient légitimes. Cependant, ces doutes sont très vite dissipés dès le début du film où on a notamment le droit à une intense scène de course-poursuite. Cette scène, dans laquelle le thème principal du précédent film est réutilisé et sublimé, pose directement les bases de ce que sera le long-métrage. Il n'y a pas que cette musique qui est de retour car John Murphy, son créateur, est également de la partie et compose une très bonne bande originale. « 28 jours plus tard » pouvait clairement se diviser en deux parties, l'une avec les infestés, l'autre plus psychologique. Cette suite ne fait pas dans la psychologie mais son côté horrifique est bien plus présent. Son scénario, très bien écrit par Juan Carlos Fresnadillo (le réalisateur) et quelques associés, ne fait pas les choses à moitié. En fait, le récit pourrait s'apparenter à celui d'un film catastrophe où tout devient véritablement incontrôlable. Cette fatalité des événements amplifie le côté sombre et pessimiste de l'histoire. La violence non censurée participe elle aussi à la noirceur du film. De plus, « 28 semaines plus tard » n'a aucune pitié avec ses personnages. Ces derniers souffrent, certains se font tuer (parfois très violemment), même ceux auxquels le public pourrait potentiellement s'attacher. Les personnages principaux ne sont pas épargnés, les sentiments d'insécurité et de peur n'en sont que grandement améliorés. Tout cela réunit donne l'impression d'assister à un "vrai" film d'horreur où l'espoir n'est qu'une illusion, dans un monde post-apocalyptique violent où personne n'est à l'abri et où tout part en sucette. Juan Carlos Fresnadillo, le successeur de Danny Boyle donc, adopte ici une mise en scène très mouvementée, dans laquelle quasiment tout est tourné caméra à l'épaule. Ça en devient parfois dérangeant tant c'est utilisée, mais cette technique porte ses fruits à certains moments. La direction des acteurs n'est pas mauvaise ceci dit, même les plus jeunes s'en sortent bien. « 28 semaines plus tard » est par conséquent assez différent de son prédécesseur mais constituerait presque un meilleur film d'horreur.

"28 Jours Plus Tard" fut pour moi un vrai coup de foudre. Le digne héritier du film de zombies "à la Romero" qui se servait des zombies et surtout des survivants pour dresser une critique acerbe de l'homme, sans oublier d'assurer le frisson et le divertissement. Quel dommage que cette suite, comme 99% des films de zombies tentant de surfer sur la vague, n'ait justement retenu que l'aspect divertissement. Pourtant dire que cette séquelle démarrait sur des chapeaux de roues serait un euphémisme, sérieux quelle entrée en matière de dingue ! spoiler: S'il y a quelque chose à retenir du film c'est bien cette scène ou le personnage de survivant joué par Robert Carlyle abandonne sa femme en pâture aux monstres pour avoir une chance de prendre ses jambes à son coup. Il y a des codes dans ce genre de films, l'un d'eux étant que pour le héros la vie de ceux qui lui sont chers passe avant la sienne, et mine de rien cette scène seule envoie bouler ce vieux code (parce qu'on croit encore que le personnage sera le héros du film) et nous plonge la tête la première dans l'univers désespéré du film.
Même par la suite c’est pas mal du tout, l’ambiance est travaillée et l’intrigue semble maîtrisée et pleine de promesses, on devine bien que spoiler: la situation à l’intérieur de ce bastion idyllique va finir par dégénérer
, la seule question qu’on se pose c’est comment. Et à partir de là le manque d’inspiration se fait cruellement sentir sur l’intrigue. spoiler: La situation ne dérape que parce que les militaires, en plus de sortir des blagues bien potaches entre eux parce que militaires oblige, sont des cons assoiffés de sang et dénués de neurones (et allez pas me sortir que ça sert comme dans le premier à dresser un parallèle intéressant, là ils sont juste cons)
, et le film retombe dans des poncifs assez éculés en nous collant à un Jeremy Renner aussi lisse que d’habitude qui –même si au fond je l’aime bien- n’arrive pas à la cheville de Cillian Murphy. Les scènes d’action font la part belle à la shaky cam imbuvable et le film se paie vers la fin un délire à la limite du grindhouse incluant des tas de zombies et les pales d’un hélico. Je ne sais pas si ça a été pensé comme un genre d’hommage mais ça fait tâche. Une scène d’intro qui décape et une scène de tension dans u métro très efficace dans la dernière ligne droite sont les choses que je retiendrai de cette suite qui reste malheureusement un divertissement assez bas du front, qui ne sert aucun propos sinon un parallèle assez balourd avec l’interventionnisme militaire Américain, et dont la plus grave erreur est finalement de faire suite au meilleur film de zombies de ces dernières années.

Un peu mieux que le précédent film 28 jours plus tard avec un vrai contexte de l'invasion de zombies. Un scénario pas très recherché mais simple à comprendre. Un casting d'acteurs assez moyen dans l'ensemble mais passable. Les zombies sont bis mis en évidence et le film montre à quel point comment une invasion de zombies peut se jouer très vite et rendre une complication très compliqué. C'est ce qu'il est fait que le film soit bien vivant avec de l'action régulier. Du sentiment et de l'amour bien appliqué dans l'histoire. Une jolie fuite pour s'échapper des zombies. La même bande de son du précédent film qui nous fait bien rentrer dans l'atmosphère. Londres et l'extérieur nous offre quelques jolies images. Malgré quelques petits défauts, le film est tout à fait regardables et ne se montre pas ennuyeux.

Le film réussit à déranger à ne jamais laisser le spectateur se reposer, toujours en mouvement, le fond du film perd donc en profondeur et tout est attendu, jamais surpris. dommage il suffirait de travailler un peu plus sur les personnages, leur psychologie, pour pouvoir davantage s'y projeter et être encore plus à fond....

« 28 semaines plus tard » est un très bon film de zombies. L’action est bien orchestrée, l’intrigue est correcte. Le rythme est bon. Les acteurs offrent des prestations à la hauteur de leur réputation. Les fusillades sont bien réalisées et les effets spéciaux sont corrects. Cette suite est d’un niveau nettement supérieur au premier film paru en 2002. À voir sans hésiter !

Une suite pourtant prometteuse en raison de sa scène d'introduction époustouflante. Malheureusement, elle reste très inférieure au premier film. 28 semaines plus tard n'arrive pas à réitérer l'ambiance du premier opus. Fini le côté survie et sombre qui faisaient la force de son aîné, le film n'est qu'une succession de scènes où des militaires bourrins tirent dans le tas face à des hordes de zombies. Trop d'action qui rend ce film décevant, même si certains décors post-apocalyptiques de la ville restent magnifiques et l'ajout scénaristique spoiler: de la possibilité qu'a le jeune garçon de résister au virus - et dont le sang peut servir à un éventuel vaccin -
est intéressant pour une éventuelle suite.

Un cas de suite plus réussi que l original. 28 semaines plus tard est plus efficace, plus prenant que le premier opus traitant d une épidémie terrible en Grande Bretagne. A l image d une scène d ouverture extraordinaire, vraiment une des meilleures que j ai pu voir dans un film de zombies/infectés. Cette suite est encore plus brutale et désespérée que le premier épisode dressant un miroir peu reluisant sur la nature humaine: lâche, égocentrique, pensant pouvoir tout maîtriser tout dominer. Car 28 semaines ne se contente pas d accumuler des scènes gores (d excellentes qualités) mais cherche à dénoncer les travers de la société d une manière que n aurait sûrement pas renié George Romero, du très très bon cinéma de genre !

Suite différente de 28 jours plus tard, mais qui est pas mal malgré des illogiques.. Dès le départ, je trouvais ça chelou certaines choses comme le fait spoiler: qu'ils ont pas l'air si sûre qu'il n'y a aucun danger, ils ont pas vérifié toutes les maisons ou encore des enfants qui reviennent alors que c'est la catastrophe est trop récente ou encore le père qui a réussi à entrer trop facilement dans des lieux ultra top secret
Sinon j'aime bien comment sont les infectés, très flippant de part de leur vitesse, énergie et ils donnent même des coups ! C'est un film qui se regarde, ça vaut le coup de le voir si vous avez rien de mieux !

Une suite assez commerciale où l'appât provoquant "l'horreur" du spectateur est toujours fait de grosse corde. Son scénario s'inscrit assez bien dans celui du premier film même si l'analogie sur le nombre 28 est assez risible. La réponse scénaristique à la re-propagation attendue de la maladie est assez ratée, ou tout du moins sujette à une interprétation qui ne sert pas son intérêt. La suite de l'histoire est en revanche assez digne d'intérêt devant la perte de contrôle des rassurantes installations militaires devant une force bien supérieure à l'homme. Cet intérêt est assez vite tué par le fait que c'est un film d'horreur et qu'il est donc nécessaire de montrer des troupeaux de zombies pour que le film se justifie. Et tout défaut aurait pu être effacé s'il n'y avait pas eu un projet de suite : dans l'autre cas, la fin n'aurait pas été un appel du pied à cette suite et aurait au contraire témoigné d'une réalité terrifiante...sans effet gore non nécessaire.

Une belle déception au regard de son grand frère. Deux gamins qui reforme le club des 5 (à 2…) pour partir à l’aventure dans une zone ou même l’armée n’ose y poser un tank…Ca dénature d’office le réalisme.
Une scène bien affreuse et immoral tente de ramener l’attention du spectateur, mais pour tout simplement lui offrir par la suite un immense bordel de gens qui courent et qui tirent à tout va.
Bref, c’est le renard dans le poulailler…on sait qu’il est passé par la et qu’il a fait un carnage, mais on a pas vu grand-chose…
A la suite de cet épisode, on comprend mieux pourquoi "28 mois plus tard" n’a jamais vu le jour…Une suite beaucoup trop précipitée ce qui donne un scénario bâclée. Dommage 2/5.