Derniers Avis : 28 semaines plus tard - Page 8

Très bon film d'anticipation (et non S.F), aussi bon que le 1er, ce qui est rare pour une suite

Suite souvent huée mais finalement supérieur à son ainé 28 Semaines Plus Tard est une excellente surprise. Une suite qui envoie un tout autre message et qui se passe dans un contexte radicalement différent mais se hisse au niveau d'un grand film. Sa force émotionnelle, sa puissance font une oeuvre quasi magnifique. Un script parfait chargé en évènement et révélation fait le reste avec la réalisation exceptionnelle. Un chef d'oeuvre !

Oui, des zombies. Oui du sang. Oui des morts... mais au-delà de ces clichés, le réalisateur sait jouer habilement avec les images. Ce n'est pas un film pour les amateurs de zombies à la pelle, puisqu'ils sont présents, mais pas trop. On est davantage confronté aux personnages, et surtout à Carlyle, qui veut jouer son rôle de père du mieux qu'il peut, et à une mère aux prises de scientifiques avec des symptômes étranges. Un conte pour adultes qui baigne dans le sang...

Le travail de Danny Boyle sur "28 days after" était déjà assez édifiant sur pas mal d'aspects, renouvelant le genre avec une ingéniosité certaine.Puis arrive sa suite "28 weeks after" du réalisateur JC Fresnadillo qui s'est notamment fait connaître avecson premier film "Intacto" Un nouvel épisode qui honore le précédent, utilisant (sans analyser) de nouvelles facettes psychologiques et sociales sans jamais tomber dans le ridicule.Le scénario est assez bien écrit malgré quelques petites incohérences.Les acteurs sont bons (Robert Carlyle en tête). Une bonne mise en scène également, très semblable à celle du film de Boyle évidemment.On remarquera le petit plus de Fresnadillo : sa manière de filmer certaines séquences qui pour le coup renforce l'aspect incroyablement féroce des infectés.Une suite que l'on pourra donc qualifier de réussie.

Danny Boyle nous prodiguait en 2003 son surprenant 28 Jours plus tard, film d’épouvante-horreur atypique m’ayant globalement convaincu ; je me suis donc tourné sans rechigner vers sa suite directe, au titre savamment simpliste de 28 Semaines plus tard, et portée cette fois-ci par le méconnu Juan Carlos Fresnadillo, qui composait l’une des parts d’inconnue liées à une œuvre au demeurant pas indispensable, mais intéressante. Finalement, le relatif succès de cette suite s’avère mérité, tant elle constitue un film véritablement solide dans le genre, et bien plus consistant que la moyenne ; toutefois, elle ne surpasse pas son ainé, notamment en terme de mise en scène... Mais pour débuter, il convient de souligner l’ambiance prenante de 28 Semaines, qui au contraires d’un 28 Jours pas vraiment effrayant, le surpasse aisément sur le plan pur de l’épouvante-horreur, genre dont il se rapproche bien plus alors. Un bon point donc, d’autant que le long-métrage ne se départage pas totalement des codes instaurés par le volet précédent, assurant une certaine originalité ; sur ce plan l’effet est néanmoins moindre ici, le film s’abandonnant notamment à une intrigue plus classique que celle de 28 Jours (caractérisé par une présence accrue de l’armée). Pas une tare en soit heureusement, et l’on est conquis par son introduction, d’abord hésitante puis clairement prometteuse : on s’accomode de son mieux à la mise en scène dynamique et la caméra à l’épaule gesticulante, au service d’une mise en bouche soudainement sans concession, alors que l’on découvre des personnages dramatiquement dépourvus devant la violence du virus, et que s’ensuit une fuite aussi honteuse que désespérée parachevée par la BO du géniallisme John Murphy. A noter en outre que si le scénario se veut en soit plus conventionnel, il est intrigant de suivre de nouveaux protagonistes, dans la lignée de l’anti-héros Jim ; il subsiste tout de même quelques figures trop caricaturales, heureusement rattrapées par un casting aussi sympathique que compétent. Dommage à présent que le film se saborde en grande partie du fait de la bêtise de ces même personnages, ceux-ci enchainant incohérences sur incohérences. Dès lors cette tension si palpable et terriblement captivante perd quelque peu de son effet, et les nombreuses scènes placées sous le signe de l’horreur, de la panique et de la mort lui faisant écho trouvent souvent leur origine dans ces fameux agissements stupides, aussi bien individuels qu’à plus grande échelle (la mesure de confinement des rescapés par l’armée entre autre, dans un sous-sol non gardé…). Une ombre au tableau vraiment regrettable, tant 28 Semaines plus tard fourmillait de très bonnes idées, tout en débouchant sur une fin ouverte très efficace. Un ensemble imparfait donc, mais l’on peut dire que ce long-métrage de Juan Carlos Fresnadillo est un divertissement d’épouvante-horreur réussis dans le genre, au ton pesant et au gore sans retenue, en bref une suite aussi différente que convaincante.

Un chef d'oeuvre ... Ce film est wahou il tient la route jusqu’à la fin

"28 semaines plus tard" est une excellente suite du premier volet "28 jours plus tard" . Le film est beaucoup plus centré sur les zombies cette fois-ci, ce qui en fait un film plus basé sur l'action.

Une agréable surprise ! "28 semaines plus tard" s'avère être un bon film de zombies, j'ai été très agréablement surpris. Pour faire simple il y a une épidémie inconnue auquel aucun vaccin à été trouvé et les survivants sont recueillis dans un secteur dit "sécurisé" et puis arrive la panique... Le film est bon, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde le rythme est très bien soutenu, la tension monte crescendo, nous sommes vraiment sous tension durant cérémonies séquences extrêmement bien réalisée avec une caméra épaule sur tout les plans ce qui rend le film assez réaliste et nous plonge dans l'horreur. Le petit défaut au niveau du cadrage, ce sont les mouvements de caméras qui sont, à mon goût beaucoup trop dynamiques, on a souvent du mal à visualiser certaines scènes et le montage durant les scènes "intenses" est trop rapide ce qui, malheureusement nous fait un peu tourner la tête. Quand au scénario, il est assez malin, simple mais pas mauvais, la grande majorité des scènes sont assez réalistes, il n'y a pas vraiment d'actes héroïques, les rôles sont bien interprétés notamment Jérémy Renner et nous nous attachons a ces personnages. Le petit bémol étant que le film manque légèrement d'intensité dramatique, certaines morts peuvent s'avérer "triste" mais c'est trop rapide alors l'émotion n'est pas au rendez-vous même si, elles restent bien foutues. De plus les effets visuels sont corrects mais loin d'être exceptionnels, on peut apercevoir que certaines séquences font très truquées mais bon n'allons pas chercher la petite bête. Quand aux zombies, ils sont très bien faits, le maquillage est saisissant ils sont tout simplement effrayant. Autre gros point fort du film, c'est bien évidemment sa bande originale qui est très réussie, les musiques sont géniales avec des sonorités en grande partie "électriques". Le final est intéressant, on ne sait pas quoi penser la fin est assez ouverte mais une suite est en projet avec Danny Boyle, le créateur du premier opus du la (future ?) série. En conclusion ce "28 semaines plus tard" est un bon divertissement que je recommande pour tout amateur de zombies, de tension... Bref une assez belle réussite !

Sérieusement ????
2 gamins qui arrivent à s'échapper d'un camp de survivant censé être super surveillé et pour aller faire quoi ? S'amuser dans Londres alors qu'ils savent pertinemment qu'il reste des zombies.
On ne parlera même pas du reste du film
Un des pires scénarios jamais vu
Nul nul et nul

Bien meilleur que le premier, et toujours rythmé par la parfaite bande son de John Murphy, ce film au récit terrifiant ne laissera personne indemne. On joue ici la carte nihiliste jusqu'à la dernière séquence, alors accrochez-vous dans ce long-métrage qui réinvente l'invasion zombie !

Dans la lignée du précédent film. Dans cette suite on débute six mois après le terrible virus qui a décimé l'Angleterre, les forces américaines d'occupation déclare que l'infection est vaincue et que la reconstruction du pays peut commencer. Mais tout n'est pas terminé. L'histoire est plus sombre, gore, violente, avec un bon rythme et des scènes efficaces comme spoiler: la scène d'ouverture, la scène dans le laboratoire avec le retour du virus et la fin du film
. Le casting est excellent : Robert Carlyle, Rose Byrne, Jeremy Renner, Harold Perrineau, Catherine McCormack, Idris Elba, Imogen Poots et Mackintosh Muggleton.

Une Véritable Claque. Aprés un Premier Volet incontournable,le réalisateur Juan Carlos Fresnadillo succède brillamment au cinéaste Danny Boyle qui parvient a réussir le pari audacieux de livrer une Suite plus Angoissante et Spectaculaire mais qui parvient avant tout a surpasser son aînée avec brio. Pour commencer la Mise en Scène est plus Troublante et Nerveuse tout en étant diriger d'une main de maître en nous emmenant cette fois ci au Royaume Uni qui est plus que jamais atteinte d'une épidémie alarmante qui regorge de zombies plus voraces et monstrueux que dans le précédant volet et qui est accompagné d'une BO puissante de John Murphy qui livrent des thèmes musicales d'une grande intensité qui contribue énormément au long métrage. Ensuite le Scénario est quand a lui Captivant du début a la dernière minute qui regorge au passage d'audacieux idées scénaristiques au film dont le Rythme trépidant ne s'affaiblit jamais pendant 1h30 de film,Ajouter a cela une multitude de Séquences d'Anthologies dont la fameuse séquence D'Ouverture qui fait partie comme l'une des plus marquantes dans l'histoire du cinéma en passant par une Tension qui s'accentue sans interruption avec son lot d’hémoglobine et de moments de Frayeurs qui réussit brillamment a nous faire procurer d'incroyables sensations fortes tout en n'oubliant pas de nous en mettre plein la vue avec quelques beaux morceaux de bravoure spectaculaires ainsi qu'une Note Dramatique assez présente qui vient apporter quelques moments intimistes particulièrement touchants. Enfin les nouveaux protagonistes se révèlent assez Attachants et exploiter grâce notamment a l'interprétation de son Casting au diapason composer entres autres de Robert Carlyle,Rose Byrne,Jeremie Renner,Harrold Perrineau,Idris Elba,Catherine McCormack,Imogen Poots et Mackintosh Muggleton qui livrent une performance infaillible a ces protagonistes en voie d'extinction face a une cohorte de zombies plus menaçant et terrifiant. En Conclusion,28 Semaines Plus Tard est une remarquable suite a 28 Jours Plus Tard qui parvient a lui faire honneur tout en modernisant quelque peu le film de Zombies avec panache et qui confirme le savoir faire incontesté de Juan Carlos Fresnadillo qui parvient ici a livrer un Second Episode a la fois plus Effrayant,Angoissant,Haletant,Spectaculaire,Émouvant et Viscérale qui rentre comme son illustre prédécesseur comme l'un des meilleurs films de Zombies du Septième Art ainsi que l'un des films emblématiques des années 2000 qui ravira a n'en pas douter les amateurs de grand huit sensationnelles et laisse espérer que si il y a un Troisième Volet de prévue il sera a la hauteur des ces deux perles cinématographiques a découvrir absolument.

Après avoir vu 28 jours plus tard, je me suis dit que je devais me faire la série ... donc 28 semaines plus tard. J'y suis allé à reculons car souvent les films de zombie sont moyens. Et la surprise, ce film est d'une très bonne qualité. Passons sur quelques incohérences scénaristiques, le suspense est présent et les zombies dégoutants. Et en plus on a au générique l'excellent Jérémie Renner (le futur JAson Bourne).

Danny Boyle garde le contrôle de la suite de son film viral (en tant que producteur exécutif et chef de seconde équipe) mais laisse la main à un jeune réalisateur espagnol inconnu jusqu'alors : Juan Carlos Fresnadillo.

Avec un budget nettement plus élevé, le metteur en scène offre un long-métrage supérieur en tous points. Dans un style plus nerveux et sans temps mort, la rage va à nouveau se transmettre à vitesse grand V, cette fois sans fausse note scénaristique majeure mais faisant preuve de plus de linéarité. Le suspense est omniprésent (notamment dans la superbe scène de "transformation"), bien aidé par une musique réussie (le super thème de la course-poursuite du premier est repris). La hausse du budget se ressent également dans les effets spéciaux et les scènes d'action assez inventives, ainsi que dans un casting prestigieux à l'image de Rose Byrne, Idris Elba ou Jérémy Renner (certes moins connus à l'époque). Le sang est heureusement toujours là, les producteurs n'ont pas rendu le film tous public. Le divertissement respecte donc les fans du genre et il est regrettable que le troisième opus soit annulé.

Bien que l'équipe du 1er opus assure une certaine continuité, le changement de réalisateur se fait légèrement ressentir, surtout par le parti pris ainsi que la tournure que prend l'intrigue au fil du film! On est beaucoup moins dans la perspective de la critique sociale et humaine et un peu plus dans le spectaculaire, bien que les êtres humains sont toujours dépeints comme pire que les infectés. Certes cela est rendu moins subtilement et de façon beaucoup plus scénarisé, avec un final pourtant bien sympathique, peu orignal mais bien amené quand on connait la saga! L'utilisation d'enfants permet sans trop se fouler de donner un ambiance de danger permanent dût à leur naïveté. Puis la transition entre les 2 films est plaisante, on apprécie les différents rebondissements de l'ensemble du scénario, mais par contre certains éléments de l'intrigue sont assez banaux sans offrir de grands moments de surprise. Pour ce qui est du côté de l'atmosphère, cela reste correct et en ce qui concerne l'horreur, on a pas tellement à se plaindre puisque les effets visuels valent largement ceux du 1er mais dans cette volonté épuré qui rendait ce genre de film différent. Légèrement en dessous de l'original et plus dans une perspective commerciale, on est tout de même plutôt distrait la plupart du film.