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    Le scaphandre et le papillon
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    428 critiques spectateurs

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    Christian B.
    Christian B.

    13 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Surement j'aurai du mettre une étoile en plus , mais le film est dur , est c'est pas le genre de film qui permet de se détendre , mais le film est trés réaliste et permet de se dire que tant que l'on a la santé on ne connait pas son trésor que l'on posséde
    cineccita
    cineccita

    41 abonnés 1 472 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2015
    Un film dur, poignant, une leçon de courage, attention on en ressort pas indemme.
    Lucille T.
    Lucille T.

    34 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2010
    Scaphandre, n. m. : équipement de plongée individuel à casque étanche, à air comprimé.

    En cas de lock-in-syndrom, merci de ne pas me débrancher mais de me faire la lecture.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    36 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2013
    Bon film, mais parfois un peu lent, je n'ai pas vraiment été ému malgré que c'est une histoire très touchante.
    Mais il y avait un quelque chose que je n'aimais pas chez Jean-Do ...
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    11 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2009
    Le Scaphandre et le papillon, 2007, de Julian Schnabel, avec Mathieu Almaric, Emmanuelle Seigner, Niels Arelstp et une foule de comédiens célèbres et épatants. Histoire de la fin de vie de Jean-Dominique Bauby (mort en 1997), rédacteur en chef du magazine Elle, atteint du Locked-in syndrome, adapté de l’ouvrage éponyme qu’il a dicté à l’aide du seul battement de sa paupière, unique élément mobile de son corps, suite à un AVC. Le film est très réussi, non seulement parce qu’il est fidèle au témoignage laissé par le journaliste, mais aussi parce qu’il réussit, au prix de quelques tortures visuelles, à enfermer le spectateur dans le scaphandre, tout en lui permettant de saisir les papillonnements profondément humains de l’esprit vif de Jean-Dominique Bauby, son humour, son cynisme, son réalisme dans l’attente d’une mort inévitablement souhaitée, qui intervient dans la semaine suivant la parution de l’ouvrage. On entend longtemps après avoir vu le film, le rythme angoissant de cet alphabet récité entre les murs de l’hôpital de Berck, ponctué du clignement de l’œil qui accepte ou refuse la lettre. Les mots prennent forme, les idées se révèlent, les douleurs jaillissent.
    Mulder13
    Mulder13

    21 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2009
    Bouleversant, émouvant mais sans être si déprimant que ce que l'on pourrait penser au premier abord. Une plongée intéressante dans le monde de l’handicape qui fait réfléchir les spectateurs sur leur vie et leur rapport aux autres.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    907 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2019
    Adaptation très légèrement romancée du livre éponyme, Le Scaphandre et le Papillon narre les deux dernières années du journaliste Jean-Dominique Bauby, paralysé de la tête aux pieds suite à un AVC et qui va peu à peu apprendre à communiquer avec le battement de sa paupière, unique membre actif de son corps désormais comme décédé. Une histoire vraie qui a bouleversée le monde entier et a permis à Bauby de créer une association pour le syndrome d'enfermement. Une histoire ici mise en scène par l'Américain Julian Schnabel, déjà auteur des biopics Basquiat et Avant la nuit qui nous livre un film touchant mais inégal... Brillamment interprété par un Mathieu Almaric habité, le personnage de Jean-Do est en premier lieu présenté à travers une vue subjective du plus bel effet, nous immergeant totalement dans le regard flou et effrayé de notre héros. Un parti-pris audacieux et réussi où la voix-off d'Almaric nous fait côtoyer ses angoisses et ses fantasmes avec parfois une touche d'humour bienvenue. On voit ce que Jean-Dominique voit et c'est parfois étouffant. Hélas, Schnabel ajoute de temps à autre d'autres séquences filmées sans panache aucun, dévoilant parfois un cadre différent que la vue subjective, enlevant toute l'efficacité de l'idée au profit de plans sobres voire ratés. On est d'ailleurs surpris de voir le réalisateur américain, amateur d'art et lui-même peintre, filmer platement certains plans qui auraient gagné en dramaturgie, en expressionnisme (on pense à celui de Bauby seul au milieu d'un ponton entouré par une mer tumultueuse). Au final, Le Scaphandre et le Papillon est une très belle histoire, qui plus est vraie, alliant larmes et rires sans sourciller mais dont il manque une réelle audace visuelle, pourtant bien amorcée, qui aurait donné au film une identité remarquable.
    cinéman
    cinéman

    23 abonnés 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    La noirceur du sujet, avec la vue subjective d'un tétraplégique atteint du locked in syndrome, est traité avec plus de légèreté et d'humour qu'il ne le faudrait sans doute. D'où l'opposition d'ailleurs entre la lourdeur d'un corps inerte (le scaphandre) et la légèreté du papillon, symbole de liberté. Ainsi cet ancien rédacteur en chef du magazine Elle parvient à s'échapper de sa condition mortifère par l'imagination et une certaine auto-dérision, ce qui allège le sujet et rend ce film moins déprimant pour le spectateur. Il n'empêche qu'en-dehors d'une inévitable émotion vu le thème, et l'aspect didactique que soulève un tel handicap, on a rien d'extraordinaire. Le réalisateur exploite un filon plutôt facile et déjà voué au succès sans prendre de grands risques ni y apporter une réflexion plus poussée que l'opposition entre le corps et l'esprit.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 177 abonnés 12 166 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2009
    Le diagnostic est sans appel : c’est un locked-in syndrom..."Le Scaphandre et le papillon" rend un magnifique hommage à ce grand monsieur qu'ètait Jean-Dominique Bauby, l'homme qui a ècrit un livre d'un clignement d'oeil! il y a savoir adapter un livre, savoir se l'approprier, savoir le mettre en image, et il y a la façon dont le rèalisateur Julian Schnabel, (Prix de la mise en scène au Festival de Cannes 2007) a retranscrit remarquablement cette histoire! L'èvolution du personnage, sa renaissance, sont très bien rendues où le cinèaste va montrer ce point de vue du scaphandrier enfermè dans la solitude, en dialogue sincère avec lui-même! Tous les interprètes maintiennent cette histoire forte, avec en tête un Mathieu Amalric habitè par son personnage, qui recevra un Cèsar pour sa très belle prestation! Les seconds rôles ne sont pas en reste avec une mention toute particulière à Anne Consigny et Marie-josée Croze qui incarnent des infirmières patientes et courageuses! L'essentiel du tournage s'est dèroulè dans les superbes paysages de Berck-sur-Mer avec son hôpital, sa plage, son phare! Portès par des acteurs inspirès, Schnabel signe un rècit bouleversant de courage qui ramène à l'essentiel et qui nous donne envie de profiter de la vie! A noter que le film est ègalement dèdiè à Jean-Pierre Cassel et Ferdinand Chesnais...
    artaud
    artaud

    23 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2007
    Je garderai trace de ce film au fond de moi car il me rappelle à mon vécu mais ce n'est pas tout, on apprend beaucoup. On apprend que les dépendances font des moitiés d'homme. L'intérieur, ici, de l'homme, est reluqué et léché, profondément subjectif, il reste qu'il y a une beauté loin du courage, loin de l'humour, loin de la perfection. Les glaciers qui se détachent pour atterir dans l'océan destitue un homme de ses moyens mais il se les restitue par la volonté d'être. Je regretterai qu'il n'y ait pas eu plus de sourire car il est insoutenable ce scaphandre dans sa première demi-heure, et lorsque tout le monde pleure, le papillon se compose des battements que nul ne saurait trouver ailleurs que dans ses ailes qui se meuvent, que dans soi-même.

    A ma grand-mère, décédée dans l'indécelable maladie, orpheline sinon parente de l'océan, élevé par la fonte des glaciers, sans restitution.

    La bioéthique du corps médical doit être irréprochable, la réaction de la famille peut bien s'emporter, il est à chacun de faire en sorte que rien n'ait changé.

    Merci.

    A noter la prouesse de Max Von Sydow, de Niels Arestrup. Emmanuel Seigner fait tâche dans le décor. Quant à la caméra, elle est sublime bien que trop stylisée.
    caro18
    caro18

    143 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2011
    Difficile de ne pas faire un film ennuyeux lorsque l'on se met dans la peau d'un locked-in syndrome.
    Tedy
    Tedy

    219 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 septembre 2009
    Une réalisation et une photographie exécrables gâchent malheureusement un sujet grave et intéressant. Avec un meilleur traitement, "Le Scaphandre et le papillon" aurait pu être un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 décembre 2008
    Un film magnifique.Mathieu Amalric est fabuleux, une histoire actrices touchantes. Magnifique
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    941 abonnés 4 863 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mars 2024
    La sophistication vire rapidement à l’affèterie et à la prétention. Les effets de camera saoulent très très vite et l’alphabet devient une torture. Le sujet du film n’excuse pas le style pompeux lassant.
    Vinnie
    Vinnie

    64 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2019
    Le Scaphandre et le papillon, film de Julian Schnabel sorti en 2007 est une œuvre bouleversante et une ode sublime à la création artistique, Prix de la mise en scène au festival de Cannes. L'histoire de Jean-Dominique Bauby, poignante, est ici adaptée de son livre écrit avec des battements de paupière.

    Jean-Dominique Bauby, dit « Jean-Do » est un homme comblé. Rédacteur en chef du très populaire magazine féminin Elle, marié et père de famille, il est un exemple de réussite. Ironie tragique de la vie oblige, Jean-Do se retrouve plongé dans le coma après un accident vasculaire-cérébral. Bauby va se réveiller 3 semaines plus tard, victime du « locked-in syndrome », entièrement paralysé sauf de son œil gauche avec lequel il va apprendre à communiquer grâce à l'aide précieuse d'une orthophoniste.

    Julian Schnabel est à la base un peintre, et ça se voit dans ce film. Après s'être intéressé à la vie de l'artiste américain Jean-Michel Basquiat dans Basquiat en 1996 et à l'écrivain Cubain, Reinaldo Arenas dans Avant la nuit en 2000, le cinéaste se lance en 2006 dans l'adaptation du livre de Jean-Dominique Bauby, Le Scaphandre et le papillon. Ce cheminement est très cohérent ; figure importante du néo-expressionnisme, Schnabel est sans cesse dans l'expérimentation et les nouvelles façons de créer le fascinent ainsi que les processus artistiques. C'est pour cela qu'il s'est penché sur l'émouvante histoire de cet homme qui a réussi à écrire un livre en clignant de l'œil. Enfermé dans son corps, dans son « scaphandre », Jean-Do va réussir, à force de courage et d'imagination, à créer une œuvre littéraire. Schnabel pousse l'expérimentation assez loin, décadrages, flous, montage nerveux, le cinéaste choisit de nous raconter l'histoire à travers l'œil unique de Bauby. La première demi-heure, entièrement en vue subjective nous plonge littéralement dans l'enfermement que peut ressentir une personne qui se réveille totalement inerte, sans pouvoir bouger ni parler. Puis petit à petit, au fur et à mesure que Jean-Do apprend à communiquer puis commence à écrire son livre, il se libère. A partir du moment où celui-ci accède à la création, que son esprit s'évade enfin de son scaphandre, il devient ce papillon dont parle le titre. La caméra se désolidarise également de ce carcan et de l'œil figé de Bauby et se déplace enfin, nous montre des images mentales, utilise l'espace et change de point de vue. Schnabel passe de cadrages fixes en envolées lyriques grâce à des travellings poétiques et une caméra portée virtuose. En ce sens, le réalisateur américain livre un film visuellement prodigieux à travers l'introspection d'un homme qui, ne pouvant communiquer qu'avec un œil valide, va transcender son handicap pour exprimer toute sa bouillonnante intériorité. Empreint d'un lyrisme exacerbé, le scénario basé sur l'œuvre de Bauby ne sombre pourtant jamais dans le pathos et le larmoyant ; on se laisse facilement bercer par l'imagination de Jean-Do, qui réussit à s'affranchir totalement de son immobilité pour accomplir un tour de force artistique. Tout comme Schnabel, nous sommes émerveillés par le personnage de Jean-Dominique sans avoir l'indécence de le prendre en pitié.

    L'omniprésence de la voix-off pouvait vite se révéler redondante mais c'était sans compter sur la prestation envoutante de Mathieu Amalric. L'acteur incarne Bauby de manière à la fois sobre et puissante avec une présence et un charisme impressionnants ; aussi bien le Jean-Do cloué dans son lit que celui d'avant, espiègle et enjoué, Amalric restitue de façon remarquable toutes les nuances du personnage. Couronné du prix d'interprétation à Cannes, le comédien réussit là un tour de force colossal. Marie-Josée Croze, qui campe l'orthophoniste qui va accompagner Jean-Do dans le processus de création de son livre, est sensuellement épatante. L'actrice, d'une douceur et d'une délicatesse passionnées est admirable. Son jeu, tout en retenue, exprime bien le courage et l'abnégation de cette femme, Henriette Durand, qui a accompagné Bauby dans son cheminement artistique et lui a permis d'écrire son livre. A signaler également la présence de Max Von Sydow dans le rôle du père de Jean-Dominique Bauby. L'ancien acteur fétiche d'Ingmar Begman est comme toujours, stupéfiant. Un monstre sacré du 7ème art. Viennent s'ajouter comme seconds rôles l'immense Niels Arestrup, la poignante Emmanuelle Seigner, Patrick Chesnais en docteur pompeux ou Jean-Pierre Cassel en homme d'Eglise embarrassé. Un casting redoutable pour une œuvre qui ne laissera personne indifférent.

    Le Scaphandre et le papillon, en plus d'être un vibrant hommage au courage et à la détermination face au handicap, est également une somptueuse ode à l'art, à l'inventivité et à l'imagination...car nous avons tous besoin d'évasion.
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