Avis : War, Inc. - Page 2

Quand une situation devient très coton, les problèmes doivent être rèsolus rapidement par un homme solitaire! Et cet homme, c'est John Cusack qui dèbarque en plein Turaqistan libèrè! Omar Sharif joue dans ce "Lord of War" rècrèatif mais c'est pas celui que l'on croit! Face à un scènario plutôt risquè, Josh Seftel fait joujou avec les sociètès privèes dans les conflits et ça donne une satire mordante et dèroutante! De la sauce Tabasco en entrèe, des vomitoires en plat de rèsistance et une Lolita qui prend son pied avec un scorpion en guise de dessert! On peut dire que "War Inc." part dans tous les sens (cf. le mariage dans le final), du coup les rèalitès de la guerre dans un pays imaginaire du Moyen-Orient finissent par ruiner la plupart des scènes comiques! Essayons de les magnifier ou peut-être que nous ne sommes pas censès les magnifier! C'est vous qui voyez, en tout cas ce divertissement spectaculaire a des choses à dire même si tout n'est pas parfait scènaristiquement parlant! Banzai...

War,Inc est une critique acerbe de la société américaine et de l'Irak,l'humour burlesque est très efficace et John Cusack et Hilary Duff sont très convaincants.

En filagramme des intentions louables puisqu'il s'agit de dénoncer l'hégémonie des multinationales sur le tiers-monde, et le début du film se laisse regarder malgré les lourdeurs car on a envie de savoir où on veut nous emmener et puis il y a Hillary Duff. Le problème c'est qu'au bout de 45 minutes on a fait le tour de la question, après ça tourne en rond, les situations se voulant comiques tombent à plat, le film n'a plus rien à nous dire sauf ce qu'on pressentait déjà, et on a qu'une hâte que cette bouillie se termine.

War, Inc. (2008) se voulait être un brûlot qui dénonce les agissements des Etats-Unis à l’étranger (l’intrigue se situe dans un pays imaginaire, le Turaqistan), si l’idée de départ était intéressante, il aurait fallut pour cela éviter de tourner le film en dérision et en faire une comédie, car en moins d’un quart d’heure, on réalise à quel point le film est d’un ennui assommant. Pour son second long-métrage de cinéma, Josh Seftel déçoit énormément, d’autant plus que ce dernier avait réunit une distribution dès plus alléchante avec entre autre John Cusack & Ben Kingsley (ainsi que Marisa Tomei, Dan Aykroyd & Hilary Duff). Produit & scénarisé par John Cusack et budgété à 10 millions de $, le film a fait un bide retentissant, d’où sa sortie en DTV dans l’hexagone. Pas étonnant qu’il ait fait un piètre score, vu sa mauvaise exploitation sur le sol américain (vu les sujets traités dans le film, ce n’est pas si surprenant). Le film fut nominé lors de la 29ème édition des Razzie Awards dans la catégorie du "Pire acteur dans un second rôle" (pour Ben Kingsley), si le film mérite cette nomination, il aurait tout aussi bien pu être nominé dans la catégorie de la "Pire comédie" tant le film s’avère extrêmement mauvais.

« War, Inc. » est une critique à peine voilée de la guerre en Iraq menée par les USA ces dix dernières années. Elle empreinte pour cela le paradigme du film d’anticipation comique qui permet de distancier sa critique par rapport au sujet qui en est l’objet, tout en, comme c’est le cas dans ce film, travestissant de nombreux d’éléments sous un masque aisément identifiable pour le spectateur. Ici donc l’Iraq devient le Turaquistan et la guerre n’est pas menée par les USA mais par une multinationale pour favoriser ses intérêts économiques, reproche également fait dans la réalité à l’administration Bush. Brand Hauser tueur à gage cynique est chargé, sous couverture d’organiser le mariage d’une pop star locale (sorte de Britney Spears moyen-orientale), d’éliminer un homme d’affaire pour bloquer la construction d’un oléoduc traversant le pays et contraire aux intérêts de la multinationale. L’intention louable de marier critique politique et humour ne suffit malheureusement pas à faire un film de qualité et passé les sourires de début de film devant ses inventions scénaristiques : comme les chars sponsorisés ou le poste de contrôle bunkerisé caché dans une chaîne de fast-food, on s’agace rapidement devant la faiblesse de l’histoire, la pauvreté des dialogues et devant le grotesque de certaines situations. La présence de nombre de bons acteurs, outre la surprise de leur manque de jugement devant un si médiocre scénario, ne parvient pas sauver le film une fois dépassé la surprise de leur présence. Certains même comme Joan Cusack ou Ben Kingsley se laissent aller à un jeu qui tient plus de la bouffonnerie que du vrai jeu d’acteur. S’il faut chercher quelque part la faible distribution du film sur le territoire américain c’est à mon avis plus du côté de l’indigence du film plutôt que du côté d’une absence d’autocritique des Américains. À fuir.

un film ennuyeux , baclé et vraiment nullissime, rien d'interressant passez votre chemin

Quelques idées et répliques sympathique mais le film ne décolle pas. Dommage

Exception faite de la dernière demi-heure qui est un peu plus rythmée que le reste, War Inc est une œuvre maladroitement construite qui ne fait ni rire ni réfléchi et dans laquelle les acteurs sont simplement venus toucher leur cachet. Un Lord Of War du tiers monde.

Une bonne comédie sur fond de guerre, ou un film de guerre qui se veut drôle, sarcastique et dénonciateur au possible des Etats-Unis et de leur politique. Je ne sais pas trop dans quelle catégorie le ranger tant il est différent. Il ne plaira certainement pas à tout le monde, il faut avoir un deuxième degré et un humour assez bizarre pour pouvoir saisir la vraie valeur de ce film. Les autres ne verront qu'un film insipide si manichéen que ça fait vomir, mais apprenez à regarder entre les lignes, et ça vous plaira je vous l'assure. Le film mélange certes les genres mais reste tout de même assez basique dans le scénario, la plupart des évènements sont prévisibles. Un film qui ne sort donc pas du lot mais qui à le mérite de nous faire sourire et de nous faire voir quelques scènes d'action sympathiques. A recommander toutefois aux gens à l'esprit ouvert disposant d'un second degré.

En moins d'une minute, notre éminent tueur à gages arrive à tuer 3 hommes au comptoir d'un bar d'une balle dans la tête, sans que cela ne dérange les gens mangeant alentour, puis à prendre une photo avec son caméscope et à envoyer cette photo depuis sont téléphone portable juste après.
Cette série impressionnante aberrations me suffit à classer ce film : navet

La mission de l'assassin Hauser (John Cusak) est de tuer un ministre du pétrole du Moyen-Orient dans le pays du Turaquistan dirigé par des intérêts américains. Hauser se fait passer pour le producteur d'un salon professionnel pour lui permettre d'atteindre ca cible. Parfois une satire peut être tellement exagérée qu'elle en devient très ennuyeuse et dans ce film elle en fait trop. Le gouvernement, la politique, la musique, la guerre les gens qui ne sont pas généralement acceptés par la société n'en jeté plus la cour est pleine. Et c'est ce que nous avons ici un film très ennuyeux qui ressemble à un très mauvais cauchemar qui prend vie. Je me demande encore pourquoi j'ai continué à regarder le DVD. Il y a tellement de membres de la famille Cusak dans ce film que John Cusak semble gêné par la présence de sa famille. En voyant le personnage de Dan Aykroyd au début assis sur des toilettes j'ai su que le reste de l'histoire irait dans la même direction aussi et je n'avais pas tort. War, Inc. est un désordre car si une rose est toujours une rose sous un autre nom il en va de même pour le désordre...

Parti avec une idée intéressante, le film n'est qu'une succession de situations pseudo-burlesques qui tombent à plat. L'humour est très potache, et c'est sans plaisir qu'on subit les tribulations de ce tueur à gage censé défendre les intérêts d'une multinationale américaine. L'action se passe dans un pays du moyen orient, en pleine guerre civile, et devait dénoncer la manière dont les entreprises occidentales défendent leur intérêts commerciaux. Mais la mise en scène, entre carton pâte et feux d'artifices est bien pauvre. Et le scénario ne se consacre plus qu'à un trio qui s'essouffle à force de scènes miteuses. On aurait préféré un humour entre Sacha Baron Cohen et les Monty Python, mais ces gens là travaillent l'humour pour le rendre corrosif. Joshua Seftel, lui, a préféré engagé une pléïade de bons acteurs, pour nous faire un film de pré-pubères pour dénoncer la manipulation des World companies en temps de conflit. Affligeant.

Une drôle de bouillie cinématographique que ce "War Inc." qui ne sait pas choisir son genre (comédie ou ... autre chose ?), avec des acteurs qui font de leur mieux pour donner de la saveur à un scénario assez vague, qui n'avance pas beaucoup.

Une daube, un navet de 1ère catégorie, le réalisateur a voulu faire dans le comique mais c'est raté !

Asser ennuyant, j'ai pas réellement compris l'intéret du film. Décevant.