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    Crimes à Oxford
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    2,4
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    489 critiques spectateurs

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    lejojoducoin
    lejojoducoin

    20 abonnés 875 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 janvier 2013
    La mayonnaise ne prend clairement pas si je peux m'exprimer ainsi. C'est beaucoup trop brouillon, trop incompréhensible et surtout quelque peu prévisible. Et c'est bien cela que je reproche à ce film où le côté suspense de l'enquête n'est pas assez présent. En plus, pour couronner le tout, c'est très mal joué, Elijah Wood n'est pas vraiment Frodon dans ce film ! Le duo menant l'enquête ne prend vraiment pas, et je dois l'avouer, on s'ennuie un peu sur les bords.
    Bref, vraiment un film à passer, qui manque sérieusement de qualité, alors que pourtant il y avait certainement matière à faire bien, avec ce genre de film.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    592 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    A éviter absolument! Mais que c'est mauvais, cliché, poussif, abusé, agaçant, fatiguant, inutile, futile, tout pourri! Nan mais ça aurait pu être cool en vrai, parce que l'enquête est plutôt pas mal construite, un peu façon "Da Vinci code", avec des rapports historiques, des indices fugaces, et une recherche intéressante, mais comme pour le film de Ron Howard, ça ne prend pas et c'est terriblement mauvais! Et que dire de monsieur Frodon, qui lorsqu'il est mal dirigé, comprendre lorsqu'il n'est pas sous la houlette de Peter Jackson, est un piteux acteur...
    ferdinand75
    ferdinand75

    453 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 janvier 2013
    Un petit film bien compliqué. Le scénario se perd et se disperse de tous les côtés.Les personnages sont hystériques . Tout le blabla pseudo mathématique n'intérese pas et nous lasse. Idem pour la tentative de s'accoler à de la philosophie.Ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 décembre 2012
    ça se laisse regarder mais c'est loin du chef d'oeuvre. L'intrigue finit par user, à force de se prendre trop au sérieux, et de blablater autour des symboles et autres suites logiques. A un moment, on se croirait vraiment au milieu d'un grand sudoku sans issue ... Le dénouement est aussi plutôt douteux. Par contre, l'image et l'ambiance est belle, Elijah Wood pas si mauvais que ça.
    Cathedrale
    Cathedrale

    74 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2012
    Une musique feutrée s'immisce doucement au travers des vitraux de l’amphithéâtre, majestueux sanctuaire où les esprits cogitent et s'affrontent, puis, délicatement s'accroche entre les pages poussiéreuses de nombreux volumes complexes.. Plus tôt, le film s'ouvrait sur une séquence inouïe, victoire sans appel de la pensée mathématiques sur tout autre agissement typique des bêtes humaines. La logique des chiffres, implacable, fascinante, trouve ici un décors à sa mesure pour s'y étendre, l'axe des abscisses opère une translation osée afin de côtoyer parallèlement, au plus près, toutes les autres données, tous ces êtres qui s'agitent, avec leur pensée propre, et, tout comme les balles au squash, leurs trajectoires se révèlent imprévisibles. Oxford, légendaire lieu de savoir , ouvre grand la bouche et avale ces pions, qui surnagent à coup d'équations au plus profond de ses entrailles. de la Iglesia s'amuse, déplaçant la caméra à coup d'envie, alternant d'intenses gros plans sur les regards -géométriques, toujours, les angles des pupilles, vers une feuille, vers l'adversaire, voire même l'imaginaire- et d'habiles plongées au coeur de l'environnement en apparence chaleureux, et pourtant si hostile; peu importe ici le fin mot de l'histoire, aussi prévisible soit-il, le chemin qu'empruntent les personnages est bien plus divertissant que prévu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2012
    Habillement filmé , un thriller de qualité qui m'aura envouté jusque au bout.
    Les acteurs sont tous excellents, le scénario est passionnant et la mise en scène diablement immersive. C'est beau, c'est sombre, c'est du très beau travail !
    Jipis
    Jipis

    32 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2012
    « Ici se trouve la vérité absolue, tout est faux ».

    Ce qui est vrai est confus, désordonné, imprévisible. Une suite logique de nombres adopte la clef des champs en devenant soudainement déstructurée, déconnectée d'un propulseur d'origine.

    Les repères sécurisants sont défaits par les apparences d'un monde fragilisé, dépendant de désastres naturels qu'il ne peut que subir sans pouvoir les définir quand ils ne sont que néant.

    La régularité de Pi du nombre d'or, d'un flocon de neige et de la suite de Fibonacci s'effondrent dévorés par l'imprévisible.

    L'incompréhension est notre tasse de thé, nos cerveaux se détruisent en essayant de comprendre les motivations de métastases tueuses s'acharnant sur un corps humain sain. La beauté et l'harmonie sont traquées continuellement par la dérive spontanée et incompréhensible des éléments.

    Philosophie et mathématiques se disputent la résolution de l'équation suprême. Le vainqueur ne dispose que de quelques minutes de bonheur. Les nombres fous et imprévisibles reprennent rapidement leurs suprématies anarchiques en détruisant des visages de chercheurs convulsionnés, déroutés devant l'impossibilité de percer la seule nécessité dont l'univers a besoin.

    Le mathématicien isolé de la révélation n'est plus qu'un humain subordonné à son arrivisme.

    « Crimes à Oxford » soumis à la plume du roman de Guillermo Martinez s'écoute un peu plus qu'il ne se regarde. L'intrigue policière conventionnelle de départ sans fumet prend du volume grâce aux connections Pythagoriennes détentrices d'intérêts.

    L'oreille se grise de ces formules, la vue de ces symboles millénaires et mystérieux accompagnateurs de nos vies et de notre fringale de comprendre ce qui régit le monde.

    Sans être un chef d'œuvre cet opus est loin d'être insignifiant. Son contenu parfois somnolent se ragaillardie dans un cheminement persuasif devant nos équations terriennes éternellement remises en questions.

    L'épilogue ou bien des choses s'éclairent sur les divers conditionnements perceptibles ou non que nous subissons ou activons chez nos semblables sert de sauf conduit à nos errances.

    Rien que pour son discours susceptible de nous recadrer dans des recherches saines et instructives balayant les immondices de toutes sortes que nous ingurgitons chaque jour « Crimes à Oxford » mérite largement une heure et demie de compagnie.

    Ensuite il suffit de méditer sur les transpirations intellectuelles de nos ancêtres dont l'héritage n'est plus que jamais à l'ordre du jour.
    CRASH-ThePunisher-Bandicoot
    CRASH-ThePunisher-Bandicoot

    8 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2012
    Film basé sur un bon scénario et joué par des acteurs convaincants mais qui perd en crédibilité à cause d'un retournement final trop rocambolesque. Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 mai 2012
    Drôle de sensation que celle que l'on ressent après avoir regardé ce "Crimes à Oxford". Le scénario est intéressant, mais mal exploité, on s'ennuie ferme et pourtant on regarde jusqu'au bout. Je mets donc 1 étoile pour Leonor Watling dont la prestation restera à jamais gravée dans ma tête (miam) et 1 autre pour la fin du film dont la théorie façon "L'effet Papillon" m'a beaucoup plu. Mais je reste déçu.
    Seb_i1
    Seb_i1

    19 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 avril 2012
    Une vraie surprise...
    yoyo114
    yoyo114

    32 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2012
    Tout les ingrédients sont là pour faire un bon film. Les acteurs y croient (John Hurt et Elijah Wood sont excellents), la réalisation correcte, l’intrigue joliment trouvée. Alors pourquoi la sauce ne prend-t-elle jamais ? C’est ce qui fait la saveur du cinéma. La réussite d’un film dépend de l’interprétation et des qualités artistiques, mais il y a toujours une petite part de magie, qui fait qu’un film va plus ou moins captiver. Ici, on s’ennuie trop pour que ce soit juste une affaire de mauvais sort. Alors, listons ce qui nuit grandement au film. Premièrement, l’image est assez laide. On a du mal à sortir de l’esthétique des téléfilms de tf1. Deuxièmement, le scénario sombre rapidement dans la facilité, enchaînant les scènes d’amour inutiles entre le héros et sa copine du sport. Enfin, l’opposition des caractères entre l’élève et son professeur est mal exploitée. Du coup, le film se perd dans les scènes qui sont là juste pour remplir en attendant les multiples twists de fin, qui eux, ont un réel intérêt. Il est vrai qu’en sortant, on se demande comment une fin aussi réussie peut-être précédée d’un film aussi médiocre. Peut-être le réalisateur s’est-il trop concentré sur cette fin, justement.
    Jean-Marie S
    Jean-Marie S

    30 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2012
    Comment Alex De La Iglesia a pu se retrouver à la tête d'une telle entreprise ? Réalisateur surdoué spécialisé dans les études de moeurs plutôt grand guignolesques espagnoles, Iglesia nous livre là un film à la Hitchcock, qui malgré tout son talent de filmeur ne lui sied pas du tout au gré. Un casting à côté de la plaque, une intrigue inutilement parlante, une très belle photo plombée par un montage au hachoir. Reste une résolution d'énigme plutôt interessante, mais si vous avez décroché dès la première heure, c'est bien trop peu ...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 février 2012
    Grand admirateur d’Alfred Hitchcock, le cinéaste trash Alex de la Iglesia saisit ici l’opportunité de lui rendre un hommage appuyé en adaptant le roman de l’argentin Guillermo Martinez intitulé " Mathématique du crime ". Pour la première fois de sa carrière à la tête d’un casting international et d’un sujet très sérieux, le réalisateur s’éloigne clairement du style qui a assis sa notoriété. Autant le dire tout de suite, sans son nom au générique, il serait impossible de savoir qu’il est l’auteur de ce film policier mou du genou et sans grande envergure.
    Après un début très bavard qui simplifie de manière honteuse la si complexe philosophie de Wittgenstein, les crimes s’enchaînent sans jamais déclencher la moindre émotion chez le spectateur, tant ils sont amenés avec maladresse. Même les personnages paraissent particulièrement antipathiques dans leur quête absurde de la vérité, puisqu’ils se moquent éperdument des meurtres pour se concentrer sur leur compétition intellectuelle. Cette rivalité entre professeur et élève n’est d’ailleurs pas nouvelle, inspirée qu’elle est par " La corde " d’Hitchcock. D’autres références explicites au maître du suspense ponctuent d’ailleurs ce métrage, comme le crime lors du concert - " L’homme qui en savait trop " n’est pas loin. Malheureusement pour le cinéaste, la comparaison s’arrête ici. Rien dans " Crimes à Oxford " ne fonctionne vraiment. La faute à un style visuel peu inspiré - images ternes et faux plan-séquence truqué dont on aperçoit les raccords - et à un scénario qui tourne rapidement dans le vide. Ainsi, attendue depuis le début, la révélation finale ne fera que confirmer l’inutilité d’une oeuvre insipide. La provocation coutumière de la Iglesia se résume donc à une scène d’amour ridicule où des spaghettis jouent un rôle inattendu, ce qui est bien maigre. La direction d’acteurs, enfin, n’est pas irréprochable: Elijah Wood écarquille les yeux et n’est pas crédible une seule seconde en petit génie des maths, tandis que John Hurt cabotine en professeur sûr de lui. Hitchcock peut dormir sur ses deux oreilles, il n’est visiblement pas prêt d’être détrôné.
    Vanessa L
    Vanessa L

    257 abonnés 821 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2012
    Il est en droit de se poser des questions quand on va voir un film espagnol avec des acteurs anglais ? Qu’est ce que ça peut donner ? Une franche réussite pour un film au scénario passionnant et très bien monté ! On est tenu en haleine jusqu’à la fin du film. J’aime bien ce genre de film qui fait se creuser les méninges pour découvrir le coupable qui au final s’avère totalement surprenant ! John Hurt (Ollivander dans Harry Potter ou bien encore le dragon dans Merlin) est juste excellent dans ce film ainsi qu’Elijah Wood que l’on ne voit malheureusement pas assez dans des films je trouve surtout ces dernières années. En résumé, un fim à voir absolument pour moi vous ne le regretterez pas !
    stillpop
    stillpop

    74 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2012
    L'histoire d'un étudiant en mathématiques fondamentales qui va rencontrer son maître, dans plusieurs sens du terme.
    Ah que c'est agréable de voir un bon film. Qui sait parler au cœur, au cerveau et aussi à l'homme.
    Car l'actrice Leonor Watling, espagnole jusqu'au bout des ongles contrairement à ce que le nom pourrait laisser penser fait tout le sel de l'histoire. Elle apporte une sensualité, un épicurisme, une sexualité, n'ayons pas peur des mots qui retentit comme un coup de feu dans cette Angleterre froide et humide dans le mauvais sens du terme.
    C'est un plaisir de retrouver l'actrice si rare de « Parle avec elle », « Ma vie sans moi », et surtout « Ma mère préfère les femmes ». Elle a vieilli avec de sacrées poches sous les yeux, mais la femme est bien présente. D'autant que le réalisateur est manifestement sous le charme, pour notre plus grand plaisir.
    On ne peut écarter Hurt, qui fait le maximum, tandis que le maladif blanchâtre Elijah Wood n'a que ses yeux et sa conscience professionnelle pour faire bonne impresssion. Cela dit, mieux vaut qu'il semble dépassé par les évènements, ça sert aussi le script.
    Quel plaisir aussi de retrouver Iglesia après le déjanté « Crime Farpait ». Autant préciser que je ne savais pas du tout que c'était lui, j'allais voir le film en VF parce que je n'avais le temps que pour celui là, et j'espérais au moins faire passer la pilule d' « Angles d'attaque » avec un autre film hollywoodien. Et c'est vrai que ça commençait mal, le premier quart d'heure est plutôt lourdingue et empesé, la voix française de Hurt est particulièrement nulle, puis, avec l'arrivée des personnages secondaires et le découpage temporel particulièrement mouvementé, on commence à oublier qu'on est au cinéma. Enfin, le premier travelling original et long nous fait comprendre que le film sera différent d'un truc hollywoodien fait uniquement pour rapporter du fric à ses producteurs.
    Il y a aussi ce côté gore, ou plutôt malsain, propre aux cultures latines qui sont bien loin du spectaculaire à l'anglo-saxonne. La musique est assez bien foutue également.
    Ce film est très agréable, limite passionnant tant qu'on n'arrive pas au dernier quart d'heure, puis, avec les situations qui se calment, le suspense reste entier jusqu'au dénouement final, pas forcément innatendu, mais savoureux. Propre à remettre tous les adolescents boutonneux à leur place face à l'expérience de la vie. La vraie. Celle des hommes qui en ont vues d'autre et qui font parler leur intelligence plutôt que leur instinct.
    Entre le film plutôt sympa et la fin limite géniale, tout est fait pour le plaisir de l'esprit, et c'est suffisament rare pour être souligné.
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