Très nul. Voila un film que je me souviens avoir vu chez un ami, fier d'en avoir acquis le DVD. Bref, heureusement que ça n'était pas mon argent. On s'ennuie pendant tout le film, et notre ami Wood, pourtant bon acteur joue très mal. La fin on la voit venir au bout de 20 minutes. C'est nul, on dirait un téléfilm.
Je regrette d'avoir été voir ce film qui m'a causé une de ces migraines!! Voilà une des raisons de ma note. Ensuite tout ce qui est math, philo.. hors de ma vue!! Quelques points du scénario ont été pour moi incompréhensibles! Bref un véritable ennui.
Crimes... est basé sur le jeu d'acteurs (assez convainquant) et sur le scénario, l'enquête. Pour cette dernière, on est très vite décroché dans cette recherche du vrai et du faux et le final est assez prévisible. Ensemble relativement moyen.
Enfant terrible de la nouvelle génération du cinéma espagnol, A. De La Iglesia s'est offert un petit plaisir avec ce thriller très hitchkockien, se déroulant dans un univers où les mathématiques et la philosophie se livre un combat passionnant. Le scénario est parsemé d'anecdotes et d'énigmes bien trouvées, amusantes et qui donnent à réfléchir (notamment la grande question qui ouvre le film, si quelqu'un a la réponse, j'attends ses mails). Aussi brillant soit le scénario, il ne peut toutefois s'empêcher de lancer de multiples pistes, multipliant les questions sans pour autant que ces dernières trouvent de réponse ou bien encore de justifications dans le récit, si n'est pour contribuer à l'ambiance assez étrange du film. La virtuosité de De La Iglesia est indéniable et il se sort très bien de cet exercice de style. La révélation pourra sembler convenue, c'était sans compter sur l'ultime scène, qui permet de remettre le film en perspective. Devant la caméra, E. Wood est à l'aise, surprenant parfois, J. Hurt est très bon et la découverte de la pulpeuse L. Witling est une bouffée de fraîcheur. Bon film du genre, inégal parfois certes mais très accrocheur et qui doit survivre à une seconde vision. D'autres critiques sur
Bien ficelé et bien amené, il y a très peu de scènes attendues. Il y a donc une bonne dose de suspens. Les acteurs sont superbes, ils ont tous un jeu performant. On se retrouve dans le même style de film que Da Vinci Code mais sans les incohérences et les longueurs de présentation des personnages. On retrouve tout de même une pointe de bâclage dans la finalisation du film que je trouve expéditive. Mais le film est tout de même intéressant et intriguant.
Ce n'est pas si mal, si on part du point de vue qu'on reste en suspension jusqu'à la fin pour savoir qui donc est le meurtrier, un peu comme dans les adaptations d'Agatha Christie. Mais cette fin, franchement, est vraiment ratée. Tout est trop simpliste, ça manque de révélations à même d'interpeller vraiment le spectateur, tout est trop codifié pour qu'on s'y plonge vraiment. Je mets deux étoiles pour l'effort de style dans le genre et aussi pour le fait qu'on ne s'ennuie pas.
Un petit bijou ce film. Des acteurs vraisemblables avec cette charmante touche de folie furieuse toute britannique, qui donnent au film une ambiance qui se passe allègrement de bande son. La seule véritable critique que l'on puisse faire au film est l'utilisation du patronyme d'Arthur Seldom, trop proche sonoriquement d'Hari Seldon, le personnage d'Asimov, mathématicien de renom inventeur de la psychohistoire. Mais trêve de digression : ce film est extrêmement réussi, parce que pour une fois, on ne nous sert pas la solution banale qu'un scénariste à moitié ivre a pondu sur un coin de nappe, mais une vraie solution, précise, cohérente, délectable.
J'ai été ravi de constater que le cerveau malade du scénariste a finalement validé la théorie que mon propre cerveau malade avait échafaudée (rasoir d’Ockham, quand tu nous tiens).
Un mélange de connaissances en philosophie, physique quantique, suites logiques, algorithmique, méthodes d'interpolation et "culture du polar" sont des plus si on veut goûter tout le piquant et toute la saveur de ce petit bijou, qui passe malheureusement trop vite.