Avis : Le Bal des vampires - Page 3

Bon ça va aller vite car le film m'a plus ennuyé qu'autre chose. Parodie des films de la Hammer, ce film de R. Polanski est certes splendide visuellement avec des effets visuels bien foutus mais son rythme et la qualité de ses gags est vraiment un cran en-dessous de ce qu'il était possible de faire à l'époque. Ça doit tout simplement pas être mon style de comique car j'ai à peine sourit à quelques occasions et c'est assez longuet malgré sa durée. Je sais que ce film est culte mais il va néanmoins sombrer dans l'oubli de ma mémoire cinéphilique. D'autres critiques sur

Contrairement aux critiques du film, le film n'est pas drôle et ne fait jamais dans le second degré ni la série B.
Il s'agit plutôt d'une adaptation simpliste du mythe des vampires, qui saura mieux que quiconque schématiser ce qu'est un film de vampire et ce qui n'en est pas : ail, pieux en bois, crucifix, peur du jour, dormir dans une crypte dans un cercueil, la belle femme, etc.
Il n'y a ni horreur (pour ça, il fallait allez voir ceux avec Christopher Lee et Peter Cushing), pas d'humour, pas de romance, rien.
Un long vide de près de 2 heures, calvaire bien plus grand pour le cinéphile que pour ces deux aventuriers du dimanche que sont le professeur un peu excentrique et son jeune disciple.
Ce qui me fait beaucoup penser aux personnages d'Hergé, d'ailleurs. Le film en devient inoffensif et regardable par les mômes.
Disons que le film valait quelque chose à sa sortie, et pris dans son contexte, mais n'a plus d'intérêt 40 ans après.

Une satire du mythe du vampire assez naze. Les personnages sont grotesques et le scénario inconsistant au possible est mal écrit. On se demande si ce que nous voyons à l'écran est censé nous arracher des sourires car là c'est plus pathétique qu'autre chose. Les acteurs sont mauvais, particulièrement Roman Polanski (que j'adore en tant que real). Il n'y a jamais une petite ambiance particulière qui arrive à se maintenir sur la durée... Rien. Une grande déception.

Ce film est d'une naïveté consternante et d'un kitch déplaissant. Ni assez drôle pour être une parodie, ni assez horrifique pour être un hommage à la Hammer, ce bal ne mérite qu'on s'y rende que pour l’étourdissante beauté de Sharon Tate.

La dernière fois que j'avais vu ce film, j'avais 14 ans : j'avais pas vraiment aimé. Je me suis dit que maintenant, j'ai quand même meilleur goût que quand j'étais ado. Ouais, sauf qu'une fois encore, j'ai pas aimé. Je comprends pas, le film est encensé par la critique, le public trouve ça génial. Moi je trouve que ce film est très surestimé. On nous le vend comme un film qui va nous donner des frissons et des fous-rires : à aucun moment je n'ai eu peur, et je ne sais même pas si à un moment j'ai esquissé l'ébauche d'un sourire. Par contre, je me suis pas mal fait chier, ça on peut le dire. L'histoire en elle-même est pas mal, j'ai bien aimé le scénario, mais la manière dont c'est tourné... oh, mais que c'est chiant! Reste la présence de Sharon Tate, sublime. Mais bon, c'est un peu faible quand même...

Assurément le film de Polanski que je préfère, voir Le Bal des vampires est un grand plaisir car si Roman Polanski fait preuve d'ironie il respecte le genre en même temps. De plus la présence de la belle Sharon Tate nous ravit, ce film comporte un nombre incroyables de scènes fabuleuses dont une devenue culte lorsque nos chasseurs de vampires se retrouvent devant le miroir lors du bal. Par contre la fin m'a toujours agacé.

Peut-on rire avec les vampires ? Polanski l'a fait !
Ce film parodie avec merveille les filmographies vampiriques de son temps (ceux qui proposaient toujours comte Dracula, château gothique, demoiselle en détresse...). Encore aujourd'hui, on peut rire des farces et gags que propose cette oeuvre.
Le récit est très typique : un savant fou emmène son jeune apprenti (Polanski est phénoménale dans ce garçon naïf et curieux ) au fin fond de la Transylvanie. Ils logent dans une auberge et entendent les rumeurs entourant la région. L'apprenti tombe amoureux de la fille des aubergistes (aaaaaah Sharon Tate, sublime... paix à son âme). Mais dans la nuit, le comte Von Krolock (qui lui seul est une interprétation de nos vampires à cape) l’enlève. Nos deux héros devront braver les dangers du château et atterrir au milieu du... bal des vampires.
L'histoire contée, passons au génie du film ! Tous les clichés du film de ce genre sont mis en avant et de plus, il se permet de réinventer le mythe du vampire : si vous tombez sur un vampire d'origine juif, pas sur que le crucifix marchera...
Je vous parle de l'humour ! Quel humour ! C'est le genre d'humour ou vous riez toutes les cinq minutes ou alors, vous esquissez un léger sourire tant le comique est épatant. Ici, les vampires ne font plus peur mais nous font rire !
Le fameux bal du titre aussi est sympathique. Je vous en dit pas plus pour vous laisser savourer ce moment qui donne le titre.
De même que la fin complètement inattendue...
Riez devant ce film !

Avec le bal des vampires Polanski fait une parodie des films d’horreur de la Hammer très réussie. Je n’ai pas au sens propre du terme avec ce film mais je me suis bien amusé, le tout jouant constamment sur l’exagération. Ce m’a m’a le plus attiré dans ce film c’est son Background les décors et costumes sont remarquables et je me suis surpris à scruter les détails avec un grand plaisir. Le bal des vampires c’est un tour vraiment sympa dans une maison hantée suffisamment soignée pour ne pas être ringarde.

Polanski réalisateur et acteur nous prend par la main pour nous emmener dans cet univers fantastique. On est transporté,

Je ne vais pas le cacher : avant de voir ce film, j'avais un bon petit pesant d'appréhensions. Notamment celle de voir un film dépassé. Il m'est même venu à l'esprit que ce film était déjà dépassé en 1967. Toujours est-il que, pour moi, découvrir ce "Bal des vampires" (dont j'avais toujours repoussé le visionnage) n'a pas été une expérience inoubliable. Tout n'est pas à jeter non plus, faut pas être vache. On a quand même droit à de nombreux très beaux plans, tout un chacun sachant que Polanski est bien loin d'être un manche derrière une caméra. Quant à la reconstitution d'un univers gothique, il n'y a absolument rien à redire. On pourra aussi apprécier le fait que tous les codes "vampiresques" sont ici détournés. Après tout, n'oublions pas que le film met en scène un vampire homosexuel. Mais pour le reste, il n'y a pas (ou plus) grand chose à voir. Polanski, en plus d'un hommage à la Hammer, a pensé son film pour qu'il soit un mélange de comédie et d'épouvante. Le problème, c'est que ça ne fonctionne sur aucun des deux plans. Le tout étant desservi par des interprétations (y compris celle de Polanski) absolument risibles. Heureusement, sans être débridé, le rythme est suffisamment véloce pour faire de ce "Bal des vampires" un film un minimum divertissant malgré un intérêt plus que limité.

Un film qui comporte des moments de pure comédie et des scènes plus faibles. Dans l'ensemble, on a droit à un bon film, qui vaut le coup d'œil et ce malgré les effets manqués et la bande son qui n'est pas remarquable. Mais c'est assez bien imaginé, bien écrit, on s'amuse beaucoup et il y a quelques surprises intéressantes !!

Reprenant les points cruciaux, prenant le flambeau hérité du sens critique sur ce film seventies coloré, à ce qui parait fera rire et peur, y'a de la musique, des chants.
Y'a de la joie, ce n'est pas bien, y'a des grimaces devant la caméra pitrerie piteuse, une mauvaise impression interprétative, y'a de l'ennui.

C'est pas parce qu'il y a des RIP qu'on va s'émerveiller au bout du suspense dramatique enregistré fiché, ça ne change rien de cette mise en scène qui met les nerfs à vif, Cap Fear.
Ça parle de vampires, alors partons les chasser dans leur terre de Transylvanie, gousse d'ail bon pour l'haleine, la santé et une croix morale pour le moral, battre le fer tant que c'est encore chaud.

Rencontrant embûches sur route enneigée, un marché gauche pour la réalisation duo professeur premier assistant, y'a des suceurs assoiffés de vin rouge très gaie, la révolution sexy 1968 culturelle, amoureusement roman.
Au bal des vampires, l'aristocratie épouvantable horrifique dégoûtée à déguster savoureuse, relevée de pointe de sel dans cette note finale, et c'est parti pour contaminer le bohémien rhapsodie.

un chef-d'oeuvre !!!! le plus grand et beau film de polanski ! hors du temps et toujours autant de plaisir à revoir !

Il n'est pas simple à critiquer "ce bal des vampires" car en définitive c'est l'un des premiers ovnis cinématographiques. Complètement décalé, complètement loufoque, complètement barré ; le bal des vampires scotche du début à la fin et le métrocolor rajoute à l’ambiance... Pour finir, le plus troublant, c'est comment Roman Polanski réussit à faire tenir ce film debout. Le mariage hasardeux du vampire et du loufoque fonctionne comme une machine bien huilé. Très impressionnant.

"Le bal des vampires" ne sera finalement pas si emballant que ça !
Cet exercice mêlant approche comique et horrifique ne trouvera pas réellement de prouesse particulière si ce n'est la qualité de ses décors. Ici, le scénario reste très léger ; Polanski nous habituera à un style bien plus aiguisé dans la suite de sa carrière, aussi bien dans le fond que dans la forme. On pouvait espérer davantage de ce long-métrage précédant le chef d’œuvre et néanmoins mystérieux "Rosemary's baby", ou ce dernier sera pour le coup, lui, clairement angoissant.