Avis : Le Monde (presque) perdu - Page 4

Rien à sauver.

ce passe de comentaire

Ce n'est pas aussi bon que je croyais, néanmoins ça demeure bien sympathique, notamment grâce à l'interprète principal: l'énorme, que dis-je, le gargantuesque Will Ferrell. D'ailleurs, je l'ai bien apprécié dans ce rôle ambivalent du génie de la science, et du gros crétin de service.
Cependant, film à gros budget oblige, l'humour atypique de Will Ferrell fonctionne plus ou moins bien. J'ai eu la nette impression qu'il y a eu des concessions à faire, afin de plaire au grand public, ce qui expliquerai cette sensation que ça nage entre deux eaux.
Dans l'écriture ou alors dans l'improvisation ça parait bien trop modéré. Heureusement, il y a quelques séquences qui m'ont fait exploser de rire, deux me viennent en tête: le passage où Will Ferrell se déverse un bidon de pisse de dinosaure sur la tête histoire de ne pas attirer le T-Rex. Et il y a également, le moment où le duo (complété par Danny McBride bien sûr) se met à chanter une chanson de Cher avec une voix trafiquée par un cristal. Bien vu, c'est tellement ça en plus !
Sinon, à part ça, c'est pas très tordant dans l'ensemble et en dépit des gags pas très inspirés, ça se laisse suivre avec plaisir.
J'aime bien l'univers qu'ils ont instaurés, surtout les bestioles vertes qui ressemblent à des lézards, puis les FX sont plutôt bons.
C'est un peu un film d'aventure à l'ancienne, d'ailleurs j'ai appris après coup que c'était en fait l'adaptation d'une série kitch à souhait. Et sur le peu que j'en ai vu, ça semblait respecter la matériau d'origine, surtout dans les "design", peut être pas dans l'esprit.
En fin de compte, Land of the Lost est un Will Ferrell mineur, mais qui remplit le cahier des charges, sans trop se forcer.

Une comédie potache ringarde à l'humour pipi-caca aberrant mais 100% assumé !
A ne réserver qu'aux fans absolus de Will Ferrell.

Dans la catégorie pire film jamais réalisé, ben celui là et le meilleur. Des effets spéciaux horrible, acteurs pitoyable, en faite dans ce film tout est nul. GROS NANAR !

Le rire (presque) retrouvé ou Voyage au centre de l'atterré ?
Je sais être assez friand de ce bon vieux Will Ferrell, de ses mimiques et de ses pitreries. Danny McBride est lui tiennent une place assez particulière à la frontière peur/plaisir de mon coeur car même dans des productions moyennes, ils trouvent toujours le chemin de l'extrême absurdité qui marque mon esprit malléable au couteau à beurre et permet parfois à mon rire de s'emballer sans aucun égard pour les oreilles de mes voisins et mon amour propre.

Mais après avoir arpenté les paysages de ce monde (presque) perdu, espèce de lecture aléatoire de la faune et de la flore intersidérales de ces 300,2 derniers millions d'années, je ne sais pas sur quel niveau de tolérance j'étais ce soir ? Etait-ce la maladie ? La grippe en bout de course aurait-elle comme symptôme de laisser notre sens de l'humour s'adapter aux vents de la drôlerie comme une girouette ?

Car dans cet espèce de voyage au centre de la terre où la terre est remplacée par l'espace-temps, j'avoue avoir été un passager conquis. Au-delà des quelques gags qui ont pleinement fonctionnés, l'absurdité suinte par tous les pores de la pellicule de Brad Silberling. Elle se reflète dans les décors, les facilités du scénario, les personnages et les relations qu'ils entretiennent, dans la quête de reconnaissance initiale qui vire au sauvetage de la planète contre la créature d'un marais cosmique, dans les réactions d'une faune susceptible et imprévisible qui, entre dinosaures rancuniers et moustiques gourmands donnent au film une véritable touche de "n'importe quoi" assumé.

Après un démarrage qui ne laissait aucunement présager à quel point j'allais passer un bon moment loin de toute cohérence, j'avoue y avoir trouvé un certain charme et même un charme certain. Le monde (presque) perdu a un parfum d'aventures en roues-libres où Will fait du Ferrell, Danny fait du McBride et le monde dans lequel ils évoluent semble avoir été créé (presque) pour eux, c'est à dire quelque part autour de la ceinture.

Film ovni complètement lunaire, que tu ne sais pas d’où ça sort, sorte de film de science-fiction nostalgique des années 50 avec des effets un peu ringards, des gags poussifs que seul W.Ferrell peut assumer. Un peu paresseux, imaginatif mais trop lisse pour marquer, au pire un gentil divertissement au pire un vrai navet. Allez disons un peu des deux ?

Un gros délire où, certes, on ne rit pas à gorge déployée mais où on s'amuse gentillement. C'est une série Z moderne avec pas mal de clin d'oeil à ses aieux et dans cet aspect, c'est plutôt réussi. Les fans du genre peuvent se lancer mais les autres, passez votre chemin rapidement...

Et dire que ce film ne date que de 2009... Visuellement un peu catastrophique. LE scénario, ne vient pas aider la chose. On se dit, que cela va tourner les grosses prods de façon drôle. MAis les situations s'enchainent et le film ne décolle jamais vraiment. Un enchainement sans vrai lien, et des répliques ; d'un niveau plutot bas. On ne rit, même ; si on peut se surprendre à esquisser un sourire pour la stupidité de l'ensemble. C'est malheureusement pas pour la qualité graphique et scénaristique que cela se produit. PAs de vrai fil conducteur. LE jeu des acteurs, est du ; même ; niveau ; que certaines productions DTV sans succès et qui passe totalement inarperçu (d'ailleurs...^^). Bref, on s'ennuit complètement. On attend qu'il se passe quelques choses, mais cela n'arrive jamais. Il y avait pourtant matière à faire un petit truc sympa, mais rien n'y fait. Une perte de temps...

Que c'est nul, on ne rit presque pas même si les acteurs sont plutôt bons cela ne suffit pas a remonter le niveau de ce mélimélo d'idées plus farfelues les unes que les autres.

Un très mauvais film dont le début n'est pas trop mal mais qui s'empire au fure et a mesure. Cette comedie fantastique est completement absurde.Trop peu de comedie et le coté fantastique est totalement raté avec ces décors en "carton pate" qui font très decor de theatre.
Film a eviter.A ne pas voir.Je met quand meme 1 etoile pour le peu d'humour qu'il y a.

Un film (presque) perdu et (presque) inutile avec des gags (presque) balourds. A éviter.

Une comédie préhistorique mais qui n'est pas du tout du tout drôle à aucun moment on ne rigole ni sourit .
Le film est pathétique lourd, énervant par moment bizarre et des fois las cohérent . Heureusement il est pas trop long car même si il y a des dinosaure c'est n'importe quoi les dinosaure et autre créature sont mal utiliser et pas assez développer. La seule chose qui est à garder dans le film c'est le faite que un paléontologue est transporter dans une autre époque sa c'est à garder tous le reste poubelle. Le dinosaure ne servent à rien les créature extraterrestre non plus et on s'est pas ce qu'elle vienne faire ici , Et l'humour n'est pas drôle une seconde on ne sourit même pas enfin si quand le film est terminer et les acteur font une prestation plutôt médiocre on a l'impression que eux même ne croivent pas en ce film et des dialogue mais pénible. Comment les producteur on pu donner leur accord pour la production de ce film ?

Une petite comédie sympathique qui surfe sur la monde des mondes perdus et des dinosaures. Manque un peu de tonus et le scénario est faible. Will Ferrell qui est un bon acteur pas assez connu en France, joue bien et tient le film sur ses épaules . Un peu d'humour aussi qui permet de lire le film différement .

On a le sentiment qu'à chaque film, Will Ferrell tente d'atteindre un nouvel étalon référence de la connerie universelle. Jusqu'à maintenant, il y réussit assez bien. Sa production est inégale et il alterne les comédies bas-de-plafond hilarantes comme "Semi-Pro" et les purs nanars à la limite du regardable. Vague parodie de "Jurassic Park", "Le monde (presque) perdu" est malheureusement à ranger dans la deuxième catégorie. Truffé de gags déjà vus et pas très drôles, le film s'enlise inéluctablement dans un scénario sans le moindre intérêt. Reconnaissons juste que ce bon Will n'hésite pas à se donner le mauvais rôle et qu'au bout d'une heure d'humiliations en tous genres, il finit quand même par nous arracher un sourire indulgent.