Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Laurent F
1 abonné
5 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 17 février 2020
Ce film est prequel de la série des années 70 l'île fantastique. On y retrouve monsieur Roarque et tatoo. Sauf que dans ce film tout ne se passe pas aussi bien que la série. Atmosphère angoissante et rebondissements garantis tout le film.
J'ai regardé ce filme un peu au hasard...j'en suis pas du tout déçu. Ce n'est pas l'extase non plus , on est d'accord. Mais franchement, il se laisse vraiment regarder sans trop de difficulté.
Au vu des critiques et de la bande d'annonce, je m'attendais à un grand n'importe quoi, mais finalement le film m'a plu et j'ai passé un moment plutôt agréable. Nightmare Island est un long métrage traitant de l'île fantastique, une île mystérieuse gardée par monsieur Roarke, qui peut apparemment exaucer un vœux par visiteurs. Les vœux des 5 protagonistes n'ont en apparence rien à voir, mais rapidement les événements s'enchaînent et ceux virent tous 1 par 1 au cauchemar. La trame principale est bonne, même si en avançant dans l'histoire, les éléments se complexifient et il faut attendre les 10 dernières minutes pour comprendre tout le film. Chaque personnage est un minimum intéressant a sa façon, puisqu'on a toujours un moment (que ce soit pour raconter son voeux, pendant que son voeux est exaucé...) où chaque protagoniste est détaillé. La réalisation est sympa, quelques FX plutôt corrects (juste correct), le cadre est assez cool et plutôt bien choisi, et les scènes au début du film pout constituer chaque environnement propice au vœu sont très bien foutues. Le film n'est pas réellement un film d'horreur. Il est classifié thriller mais je n'aime pas appeler ce genre de film de la sorte également. On passe un assez bon moment, je recommande le film puisque le cinéma d'horreur de 2020 n'était pour l'instant pat excellent... veillez a bien choisir votre séance pour ne pas vous retrouver a côté de la fameuse catégorie de public "jeune" des films d'horreur.
Si la série d'origine proposait en effet un aspect fantastique, et parfois plus sombre, elle est ici adapté ans une oeuvre clairement horrifique, mais orienté vers un public assez large au vu de la violence retenue et du gore quasi absent (le réalisateur affirme que la version vidéo sera non censuré). Mais en l'état, cette version est tout à fait sympathique. Car si on peut lui reprocher sa longueur, et le traitement pas bien inspiré d'un ou deux personnages, le film reprend le concept d'origine. Soit plusieurs histoires, développées en paralléle. Toutes se retrouveront liées au fur et à mesure de l'avancée du film. La solution scénaristique pour arriver à ce résultat est assez prévisible en fait, mais globalement, ça fonctionne assez bien. En fait, alors que je m'attendais à détester le film, je suis resté intéressé jusqu'au bout, malgré quelques longueurs. Le casting reste aléatoire mais on tient là une bonne petit surprise si, comme moi, on s'attendait à un truc raté. ça ne l'est pas !
Cette histoire avait un certain potentiel, à condition de savoir jouer sur le mystère : quand les personnages sont-ils dans le monde réel et quand sont-ils dans celui des fantasmes créés par l'île ? Hélas, tout est gaspillé par un scénario incohérent et une multitude de scènes insipides. Ratage complet.
Nightmare Island de Jeff Wadlow est certainement l'une des plus grandes déceptions de ce début d'année. Malgré un casting prometteur (Lucy Hale, Maggie Q, Michael Peña, Portia Doubleday, Michael Rooker, Austin Stowell et Parisa Fitz-Henley), le scénario s'enfonce dans un marasme délétère et incohérent. On notera seulement la prestation hilarante du duo Jimmy O.Yang et Ryan Hansen, ainsi que de la sublime Charlotte McKinney.
Moi aussi avais peur d'une série z. Finalement, c'est plutôt pas mal. Le scénario tient me coup malgré quelques moments (surtout sur la fin) qui peuvent faire rire mais globalement je retiens un film agréable à regarder. J'avoue espérer un numéro 2 dont la porte est ouverte à la fin
Jeff Wadlow est certainement le plus mauvais des réalisateurs américains sévissant dans le cinéma grand public, puisqu’il est le responsable des désastreux Action ou Vérité et Kick-Ass 2. Nightmare Island ne déroge pas à la règle et offre à l’année 2020 son pire film ou fantastique ou d’épouvante (au choix, on ne sait pas trop bien). Comme à son habitude, le scénario n’a aucun sens et entasse les retournements de situation invraisemblables : on ne comprend jamais comment fonctionne la prétendue réalité virtuelle, sinon par une explication abracadabrante qui porte le coup de grâce à un ensemble déjà minable. Il ne suffisait pas au film d’investir un genre précis – l’île comme parc d’attractions qui donne vie aux fantasmes des touristes –, non, mieux vaut compiler du torture porn, une expédition militaire, une soirée dans une villa type teen movie, un drame familial ridicule, tout cela au service d’une intrigue fantastique qui ne tient jamais debout. Plus c’est gros, plus ça passe, n’est-ce pas ?! Michael Peña en grand méchant et époux tourmenté n’est guère crédible, de même que la réunion des différents arcs narratifs déjà inintéressants pris séparément. Et quand on apprend que le long métrage constitue en réalité l’adaptation d’une série télévisée… Quand on se souvient de ce que proposait la série… Quand on la compare avec ce qu’on a sous les yeux… Il serait d’utilité publique que Jeff Wadlow cesse son activité, qu’il se reconvertisse de la même façon que Brax, rebaptisé Tattoo à cause de son tatouage raté, fait le choix de rester travailler sur l’île. Le titre français rend justice à la valeur intrinsèque du film : cauchemar.
le film est vraiment bien en majorité .les acteurs sont trés bon . les décors et fx pareille . spoiler: le problème c'est la fin spoiler: ya trop de rebondissement ... en fait c'est lui qui veut notre mort , mais non c'est elle et en faite ya le mec son assistante c'est sa femme et en faite sa femme va le convaincre et l'autre il est pas mort .... sinon le film reste bien en majorité . a voir
Nul je sais pas comment il on pu faire un film aussi pourri ni queu ni tête c est débile sa part dans tout les sens on comprend rien si vous aller voir au ciné vous serez déçu d avoir payer pour sa
La maison de production Blumhouse, c'est un peu tout ou rien. D'un côté, nous avons l'usine aux impostures horrifiques, produites pour quelques kopecks et pas l'ombre d'une idée novatrice (coucou la saga Paranormal Activity). De l'autre, le bastion vénéré d'auteurs sur le retour (M. Night Shyamalan) ou en devenir (Jordan Peele). Bref, on ne peut jamais être sûr de ce qu'on va voir. Une chance, quelque part. Avec Nightmare Island, je pensais que Blumhouse allait pencher du côté de la première catégorie. Grosse erreur puisque le film est en fait un héritier des productions Asylum (vous savez, ce studio qui enchaîne les navets à base de requins, d'aliens et de nazis). Je n'étais pas prêt, comprenez-moi. On me vend une histoire impliquant de jeunes chanceux réunis sur une île pour participer à un jeu (réaliser leurs fantasmes) qui tourne mal. En toute logique, on s'attend à un plaisir coupable qui aime jouer au yo-yo avec notre tension et faire gicler l'hémoglobine. Pas à un défilé presque ininterrompu de poncifs éculés et d'idées scénaristiques déviantes. Pour la faire courte, imaginez l'hybridation entre la série Lost et Red is dead (le faux-film d'horreur de La Cité de la peur) et vous aurez une petite idée du spectacle. Nightmare Island, c'est surtout le monde à l'envers. Quand le film tente de faire peur il fait rire, et quand il veut faire rire il fait peur. Et ça, ce n'est que la partie immergée de l'iceberg. Les scénaristes (il y en trois !) ont mis le paquet : l'intrigue déborde d'incohérences et les personnages sont au régime zéro neurone. Très vite, le jeu consiste à compter le nombre d'aberrations à l'écran. J'ai fini à une bonne cinquantaine mais ne vous en faîtes pas j'ai dû en oublier pas mal en chemin. Entre les comportements stupides, les transitions sans queue ni tête, les personnages qu'on-sait-pas-d'où-ils-sortent-ni-à-quoi-ils-servent ou les rebondissements insolites, on est cerné de toute part. Ça ne s'arrête jamais. C'est à se demander si on ne tient pas un nouveau volume du grand nanar illustré. Mais l'effet bénéfique, c'est que le film devient subitement jubilatoire. Que faire d'autre face à tant de ratés, de comédiens démotivés (Michael Peña, Michael Rooker passent prendre leurs chèques) ou simplement mauvais (désolé Lucy Hale) ? Je me console en me disant qu'ils pourront chacun se vanter d'avoir un film aussi singulier à leur C.V, et permettre à Blumhouse de concourir au palmarès des pires films de l'année alors qu'elle vient à peine de débuter.
Un film d'horreur qui n'en est pas un, qui est une sorte d'aventure sans vouloir l'être. Ce film perd plus le spectateur qu'autre chose et nous plonge dans un univers rempli d'incompréhension et de déception. Les scènes restent divertissantes.
Alors là, je reste comme deux ronds de flanc. Les grands cinéphiles Allocinéens ont descendu un film très divertissant et qui n'avait pas d'autre prétention? Moi, ce film, je l'ai trouvé très amusant, dans le sens où l'on ne s'ennuie pas un instant. Et puis je trouve que faire une sorte de remake de l'île fantastique, avec Ricardo Montalban, était une bonne idée, surtout pour en faire une sorte de slasher. Alors, oui, moi aussi, j'ai remarqué qu'ils empruntaient à Lost, mais qui fait un film original de nos jours, sans emprunter à personne? J'ai surnoté, certes, mais c'est pour remonter la note, et puis les grands cinéphiles m'ennuient profondément. Ils savent tout sur tout, la technique cinématographique n'a pas de secret pour eux, j'attends avec impatience le film créé par un de ces internautes. Parce qu'enfin la critique est plus aisée que la création. Je les attends au tournant.
Nightmare island commence comme beaucoup de film "horreur" en proposant un groupe de jeunes dont on peut se douter qu'il vont se retrouver dans des situations ou chacuns vont être confrontés à la mort. C'est ce qui se passe pour la plupart à part que la ont se retrouve avec des mini histoires qui est inspirés de fantasmes que chacuns à. Ce qui nous amène à des histoires plus ou moins interessantes. Le dénouement est pas mal car il est pas prévisible.