Mon compte
    Invisible Man
    Note moyenne
    3,6
    10992 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Invisible Man ?

    631 critiques spectateurs

    5
    56 critiques
    4
    239 critiques
    3
    183 critiques
    2
    83 critiques
    1
    44 critiques
    0
    26 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    philoumalo
    philoumalo

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Super engouant , suspense et intéressante passe un bon moment en espérant qu il y a une suite ..........
    Morgane L
    Morgane L

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2020
    super film
    on est tenu à bout de souffle pendant toute la séance.
    mais il fait peur!
    l'histoire pourrait être réelle. on se prend au jeu
    Vassil C
    Vassil C

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mars 2020
    Je rejoins les avis positifs pour ce film, il est d’une justesse incroyable! J’avais peur qu’avec toutes ces bonnes critiques je sois finalement déçu.. mais non bien au contraire! J’ai sursauté plusieurs fois, je n’ai pas mis 5/5 puisque j’ai trouvé qu’il s’étirait parfois trop sur 2/3 scènes en ce qui concernait la tension (ce qui apportait des longueurs au film), mais surtout, parce que la scène de la douche qui a été reprise sur l’affiche même a été supprimée (j’espère la voir dans une version longue).. enfin c’est tout, le reste est vraiment bien rythmé, j’ai adoré !!
    Astr0 13
    Astr0 13

    7 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2020
    Un bon thriller réussi,sans excès d'effets spéciaux (c'est suffisamment important pour le souligner pour un film de ce type en 2020)
    Le réalisateur réussi a innover avec son"homme invisible" ,alors qu'on pensait que tout avait été fait,avec Carpenter et verhoeven entre autre
    Elisabeth Moss est au sommet de son art.
    KMA
    KMA

    28 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mars 2020
    C'est un bon thriller mais certainement pas un film d'horreur ! Le début est assez lent pour faire monter l'angoisse de la situation. Cela reste prévisible. On n'est jamais vraiment surpris. Côté positif l'actrice joue très bien son rôle et sa descente aux enfers !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Super film à la hauteur de mais attente il y a juste quelques scènes qu’il y a dans les bande annonce mais pas dans le film ou alors les scènes sont légèrement modifiées mais elle seront sûrement en bonus avec le DVD super film je vous le recommande
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 047 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Leigh Whannel oscille dans sa carrière entre le bon et le médiocre, en gardant toujours une constance de réalisation empruntée à son compère, James Wan, ainsi qu'une passion dans l'écriture de ses scénarios contagieuse et réjouissante. Là où son précédent Upgrade se construisait comme un hommage décomplexé et ultraviolent aux univers dystopiques créés par Philip K. Dick ainsi qu'aux délires mécaniques et novateurs de Robocop et Terminator, Invisible Man répète plus l'essai tonitruant de Verhoeven, L'Homme sans ombre, que ce qu'il aurait pu porter comme regard aimant sur les adaptations de la Universal ou de la Hammer.

    Il n'y porte pas d'hommage particulier, donnant tout ce qu'il a comme ressources pour associer la figure du mythique homme invisible au sous-genre populaire du film d'esprit : quelle différence pourrait-on se dire, en allant voir sa nouvelle réalisation, entre un sociopathe qu'on ne voit pas et un fantôme malfaisant avec une force surhumaine, qui se manifestera crescendo jusqu'au dernier quart-d'heure où l'on pourra apercevoir les traits physiques du fameux démon, à la Conjuring ?

    Whannel aura évité le piège de la simple transposition en réinventant sa mise en scène basée sur le film d'épouvante à esprits démoniaques : là où il laisse croire, dans Insidious, à la présence de l'esprit parce qu'il joue sur des espaces intérieurs vides et de lents plans tout en appréhension, il place Elisabeth Moss de sorte à ce qu'elle n'occupe que la moitié du cadre, laissant le reste de l'écran d'une largeur équivalente à celle d'un corps d'homme (possiblement invisible, donc).

    Est-il là ou sommes-nous trop craintifs? Les questionnements presque paranoïaques sur la présence d'Adrian dans la pièce redynamisent des codes qu'il était jusqu'ici difficile de considérer sans l'apparition prévisible (et souvent risible) de jumpscares avec plus ou moins de budget, artifice parfait pour donner l'impression au spectateur qu'il a peur sans avoir à se casser la tête pour lui façonner une oeuvre avec une véritable atmosphère.

    Des jumpscares, on ne retiendra que cette introduction posant admirablement l'ambiance lente, oppressante et glauque de cette révision du personnage, avec un screamer réussit dans le sens où il amène à l'écran un détail important de l'intrigue et de la vie de couple de l'héroïne. Il n'y en aura pas d'autres, du moins pas aussi frontaux : très discrets, ils s'effacent derrière un travail sur le son saisissant, qu'il concerne sa bande-originale ou ses bruitages dérangeants (celui de l'homme invisible est un bon élément de caractérisation).

    Ce son écrasant complète parfaitement sa mise en scène moderne mais bourrée de codes de films d'épouvante d'une vingtaine d'années, construite comme une sorte de révision de ce que fait James Wan en terme de suspens. Sans pour autant copier son compère, Whannel s'en inspire avec pertinence et nous livre un cadrage fascinant qui joue les huis-clos avec une maîtrise insoupçonnée : le réalisateur nous prouvant qu'Upgrade n'était pas un coup de chance de débutant, il se fait un malin plaisir à traduire tout le malsain de son intrigue et de ses personnages, que le maquillage aliénant de Moss rend encore plus crédible.

    C'est cependant dans son écriture que le film déçoit le plus, Leigh Whannel ne brillant plus depuis longtemps pour sa rédaction (au point qu'une part de sa carrière soit considérée comme médiocre). Invisible Man nous fait ainsi sortir de maintes fois de son histoire par l'idiotie affligeante du comportement de ses personnages : récupérer un portable pour attester ce qu'on dit, raconter autre chose que 10% de ce qui vient de se passer pour convaincre son auditoire et passer autrement que pour une folle furieuse.

    C'est dans les non-dits qu'il se vautre le plus, jouant la carte énervante du personnage renfermé sur lui-même parlant peu avec les autres (ou n'ayant pas les bons réflexes et les bons mots au bon moment, ce qui peut se comprendre jusqu'à un certain point) pour que perdure son intrigue et que le monde extérieur comprenne trop rapidement que cette victime de l'emprise d'un homme vil ne dit pas que des choses improbables.

    Le choix d'Elizabeth Moss, grimée dès le départ en faciès atteint de pathologie psychiatrique latente et jouant dans le sens d'une venue crescendo de la folie, allait au départ dans un sens intéressant, qu'une partie de l'oeuvre perpétuait de façon intelligente : et si cette femme manipulée, bafouée, torturée psychologiquement cachait elle-même des troubles psychiatriques excusant son propre comportement auto-destructeur et hétéro-agressif?

    Rapidement abandonnée, cette alternative à l'habituel film à méchant aurait plus convenu à une production indépendante à plus petit public, Invisible Man se forçant presque à choisir la voie de l'action, de la violence et du spectaculaire dans une dernière partie incohérente à l'asile (les répercussions sont jetées à la marre sans aucun respect pour les capacités de logique et de réflexion du spectateur) avant de se calmer et de conclure son arc au travers d'un ultime combat plus intimiste, presque proche de la tension d'un face à face Hopkins/Foster, habile et psychologique.

    Si cette fin à échelle humaine rassure sur le déroulé global de l'oeuvre, il n'empêche qu'elle jure cruellement avec les minutes précédentes, tournées du côté du jouissif, du super-vilain intouchable agissant ainsi pour que l'héroïne épouse enfin son rôle de super-héroïne de cinéma d'action à suspens (genre auquel il n'appartenait jusqu'ici absolument pas), et que Whannel cite quelques divertissements régressifs d'antan dont il est amateur (ce qu'il faisait aussi avec Upgrade).

    Tout autant passionné qu'il est incapable de pondre un scénario vraiment cohérent, à échelle humaine et sortant des sentiers battus, Leigh Whannel marque autant dans ses réalisations/scenarii que dans ses productions parce qu'il est tout aussi passionné et sincère que son compère James Wan, artistes habitués à reprendre dans leurs oeuvres les caractéristiques des films qui auront battit leur enfance, leur cinéphilie et leur auront permis de réinventer des codes qui traceront, n'en doutons pas, la direction à suivre pour les futures générations de cinéastes d'épouvante/horreur à suspens.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mars 2020
    j'ai pris beaucoup de plaisir à regarder ce film. les 2h sont passées sans m'en rendre compte. Tout abord j'ai apprécié l'originalité du script, l'intrigue est bien menée, le scénariste nous tient en haleine et nous mène de temps en temps en bateau jusqu'au dénouement. Très bon thriller fantastique. Sinon je me suis posé la question tout au long du film quelle était la relation entre le black et la soeur de la "veuve" (mal)heureuse pour que cette dernière habite chez le black !!!
    JL D
    JL D

    4 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2020
    très bon film, on ne s'ennuie pas une Minute !
    l'actrice E.Moss est convainquante et les effets spéciaux bien fait.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mars 2020
    J'ai adoré le film super thriller captivant jusqu'à la dernière seconde je recommande vivement a voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 mars 2020
    L'homme invisible débarque dans l’ère #MeToo avec le nec plus ultra de la perversion narcissique : devenir invisible pour persécuter sa proie ! Hitchcock fait toujours des émules, car rien n'est jamais plus terrifiant que la suggestion :
    La caméra subjective nous prend en otage et nous oblige à prendre le point de vue de la victime ; elle est là la grande force de "Invisible Man".
    Un bon film de genre sur lequel il faudra fermer les yeux sur quelques facilités de scénario, et qui tient surtout la route grâce à la remarquable Elisabeth Moss (notre Handmaid’s Tale préférée).
    Rve74
    Rve74

    2 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Beaucoup trop long au début et on s'ennuie un peu. Quelques scènes inattendues mais pas de quoi frissonner.
    Dommage, j'aurai aimé avoir plus de suspense. La fin du film est inattendue.
    S-Kayp
    S-Kayp

    132 abonnés 1 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Ce film est génial, c'est un excellent thriller / épouvante ! Le scénario est top et plein de rebondissements jusqu'à la fin. Et puis il y a une tension tout au long du film qui est bien gérée, tension qui démarre dès les premières secondes du film ! Il y a juste une incohérence dans l'histoire : spoiler: Quand Cecilia trouve le costume qui permet d'être invisible (du moins l'un des costumes car il y a en 2), pourquoi elle n'est pas repartie avec pour s'en servir par la suite ? Elle l'a juste planqué dans la maison avant de s’enfuir de cette maison. Alors certes, au final, elle s'en ait quand même servi... mais la logique aurait plutôt été qu'elle se dise "j'ai moi aussi un moyen d'être invisible maintenant, je vais m'en servir pour affronter l'homme invisible...". Evidemment, cela n'aurait pas donné le même film et cela n'aurait pas donné la super fin qu'on a eu, mais ça reste une incohérence de choix de la part de Cecilia !
    Bryan V.
    Bryan V.

    66 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2020
    The Invisible Man est une adaptation du roman du même nom. (Vous connaissez sûrement déjà une version ou une autre ? C'est fort probable voire normal, je dirais, car cette adaptation est précisément la vingt-et-unième adaptation de ce roman. Certaines versions sont très méconnues contrairement à d'autres. Il y a par exemple Hollow Man des années 90 qui rejoint les plus connues pour n'en citer qu'un seul.). Le film est dirigé et écrit par Leigh Whannell, lui qui avait déjà travaillé auparavant sur des projets comme : Saw, Insidious ou encore Upgrade pour ne pas tous les citer. Du coup, de quoi accorder un minimum de confiance qui ne sera pas gâché à ce métrage.

    Le film, l'histoire démarre immédiatement. Dès la première seconde, le film s'emporte dans un certains rythme effréné au cœur de son contexte sans pour autant même prendre la peine de réellement développer l'histoire en question ou bien ses personnages. Cela donne l'occasion au casting, particulièrement à Elisabeth Moss de porter le métrage à elle seule sur ses épaules. Épaules bien large au passage, son jeu d'acteur est vraiment bon (depuis The Handmaid's Tale, cette actrice n'a plus rien à prouver !), j'ai comme la sensation qu'avec une autre actrice toutes ses scènes "solo" face à l'invisibilité n'auraient jamais été les mêmes. Actrice qui d'ailleurs à du talent et une beauté naturel, loin de toute la plastique que nous pouvons croiser aux quatre coins d'Hollywood. Yvonne Strahovski (elle a bien changé depuis Dexter !) est également plaisante dans son personnage, un petit rôle au destin plutôt surprenant dans sa manière de faire au passage.

    Le film fait une totalité de 2h05, tout en ayant conscience d'avoir vu un long film, aucunes réelles longueurs se ressentent. Le rythme enfreiné en début de film perdurera plus ou moins une bonne majeure partie du film, malgré quelques lacunes. Le métrage réserve tout de même un bon moment et malgré le sujet déjà vu mainte et mainte fois (l'homme invisible), en plus d'avoir adapté ce roman une vingtaine de fois celui-ci en ressort original. Non, pas surprenant en soi, mais plutôt tendu par son ambiance souvent oppressante et muette. De plus, le film n'a pas de nombreux gros défauts à l'exception de la scène avec les nombreux policiers qui elles ont failli tomber dans le grotesque (entre autres). Quant au final lui est juste parfait ! Ce fût même l'une des meilleures surprises du film, d'autant plus quand on connaît généralement les habitudes du studio Blumhouse.

    Enfin bref, The Invisible Man est à la fois à demi-huis clos et demi-ouvert, saupoudré de quelques jumps scares modérés par-ci, par-là pour une histoire qui dans un sens se bonifie parfaitement avec la durée de film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Excellent film, on pouvait s'attendre à un thriller fantastique surfait mais c'est finalement très réaliste. L'intrigue est bonne l'actrice principale joue parfaitement son rôle.
    Des scènes surprenantes limite gores mais très bien réalisées.
    Effectivement, enfin un super film en 2020 !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top