Avis : Duplicity - Page 5

Quel plaisir de retrouver Julia Roberts sur grand écran, elle n'a rien perdu de son jeu et est toujours aussi sublime ! Clive Owen n'est pas en reste, il a un charme fou et à eux deux, ils forment un bon duo d'espions.
Le scénario n'a rien d'original mais je ne m'attendais pas à un tel épilogue, donc bonne surprise ;-).
Les seconds rôles sont bien interprétés surtout Paul Giamatti, donc film à voir, ne serait-ce que pour le plaisir de revoir Miss Roberts...

Un film avec des dialogues sans fin et un scénarios trés embrouiller

je met une étoile, pour le jeu des acteurs parce que j'avoue que j'ai pas compris grand chose à l'histoire de ce film...

Comédie d’espionnage, MR & MRS SMITH a comblé les attentes avec son esprit affuté et son casting qui a fait couler beaucoup d’encre… DUPLICITY ressemble un peu au film de Doug Liman, actions en moins, mais zygomatiques au garde à vous ! Deux espions veulent gruger leurs agences respectives et empocher un joli pactole. Scénario malin, flashbacks incessants dévoilant les tournures, les mensonges orchestrés, le film est une véritable partie d’échec où on s’attend à tout moment à une nouvelle donnée capable de nous en mettre plein la vue. Et nos attentes sont entendues, on est servi comme des rois. Casting cinq étoiles, rebondissements à la chaîne, DUPLICITY est une comédie pù l’on ne rit pas à gorge déployée, mais où les dialogues sont écrits avec soin et permettent de passer un très bon moment en compagnie d’une Julia Roberts qui signe là un très bon retour. En prime un final extra totalement inattendu.

Clive Owen et Julia Roberts , c'est un couple hyper glamour pour cette comédie mettant en scène deux anciens agents de la CIA et du MI6 qui s'associent pour s'enrichir sur le dos de deux multinationales de cosmétiques.
Dans Duplicity, on est dans un jeu d'espionnage, de manipulation rondement mené avec une dose de glamour et de coolitude et une multitude de flashback qui font qu'à l'image des ocean 11, 12 et 13 le scénario a toujours une longueur d'avance sur le spectateur.
Le film est une sucrerie ou la complicité du couple séduit autant le spectateur que les tres nombreux rebondissements le mène en bateau..
On retiendra l'exellente composition de Paul Giammatti en CEO de multinationale, égocentrique , nerveux et pret à tout ainsi que le générique ou deux grands patrons se castagnenet allègrement sur le tarmac d'un aéroport.
Si l'on passe un moment agréable, on est ,à l'image des ocean 12 et 13 un peu saoulé par les méandres narratifs croquignolesques de cette arnaque.
La fin est cependant assez surprenante mais n'arrive pas à tirer le film au delà de la simple distraction.

Malgré deux PDG bien joués, l'utilisation des flash-back est nulle et on s'ennuie quand même, en attendant la fin.

J’ai été extrêmement prétentieux d’avoir voulu regarder ce film en VO(ST) car pour tout comprendre... mieux vaut rester concentré. Du coup, je ne suis pas certain d’avoir vraiment tout capté dans ce jeu de dupes habilement construit qui, entre flash-back répétés, trahisons, et suspicions, nous mène volontairement en bateau du début à la fin. Conclusion : bonne surprise et un final inattendu qui vous rendrait presque parano !

Après un premier essai derrière la caméra plutôt convaincant, Tony Gilroy revient avec cette fois-ci avec un film beaucoup plus léger, ce qui ne semble en définitive pas lui convenir totalement. Il faut dire qu'il y a tout de même de quoi être dubitatif dôté de qualités certaines mais peinant toujours à nous passionner le scénario ne nous simplifiant il est vrai pas la tache. Car si Gilroy semble prendre un malin plaisir à nous mener en bâteau, ce n'est pas forcément notre cas tant la forme de l'oeuvre peut paraître régulièrement discutable. On oscille ainsi entre flash-backs, intrigue amoureuse, suspence, comédie... le mélange des ingrédients ne prenant au final que moyennement, et on ne sait à vrai dire jamais trop sur quel pied danser. Pourtant, sans être fascinant donc, Gilroy réussit néanmoins à donner un charme rétro à son film, le couple Roberts-Owen fonctionnant quant à lui fort bien. De plus, le final saura se faire assez savoureux, permettant tout de même au film de rester tout à fait regardable jusqu'au bout. Pourtant, malgré ces quelques bons points donc, on est tout de même en droit d'être quelque peu déçu devant un spectacle certes plutôt honnête, mais manquant tout de même au final de piquant et de charme. Dommage.

Dans un soir de grande clémence,je mets 2 étoiles pour "Duplicity".Le duo Clive Owen/Julia Roberts promettait beaucoup sur le papier.S'ils sont effectivement charmants,leurs joutes verbales sentent le macramé,et n'apportent rien au genre de l'espionnage sexy et badin.Tony Gilroy,brillant scénariste de la saga Jason Bourne et réalisateur du remarqué "Michael Clayton",s'emmêle ici les pinceaux dans un scénario à tiroirs,inutilement compliqué et superficiellement luxueux.A nous les flash-backs en pagaille,les chausses-trappes et les jeux de dupes.Un remue-ménage qui amuse dans un premier temps,avant que le procédé n'agaçe pour de bon."Duplicity" sauve la face grâce à ses interprètes de haut vol.Clive Owen(tout en séduction)et Julia Roberts(tout en malice),on l'a déja dit.Mais également Paul Giamatti et Tom Wilkinson,excellents.Leur bagarre de PDG filmée au ralenti sur une piste d'atterrissage est délirante! Le film aurait cependant gagné à être épuré et solidifié .Résultat des courses:aussitôt vu,aussitôt oublié.

Une catastrophe, c'est le qualificatif le plus juste concernant mon avis sur ce film. "Duplicity" avait largement de quoi séduire mais c'était sans compter des défaillances à tout les niveaux. Tout d'abord côté réalisation, je me demande comme Tony Gilroy peut tellement compliquer ses films au point d'en dégouter les spectateurs. Les dialogues lourds et mal calibrés ne viennent qu'empirer les choses. Et pour finir un final tout simplement stérile qui nous fait prendre conscience qu'on a perdu plus de 2h pour rien. En comparaison à d'autres le duo de "Duplicity" composé de Clive Owen et de Julia Roberts fonctionne bien mais n'a jamais eu l'éteincelle d'un "Mr. and Mrs. Smith" et le "casse" est tout simplement minable par rapport à un "Ocean". En bref "Duplicity" déçoit à tout les niveaux, passez votre chemin.

Vraiment très déçue ...la bande-annonce laisser présager un film d'action avec suspens,humour et amour ..avec en prime la ravissante Julia Roberts ...
A l'arrivée c'est un film confus , sans dynamisme , sans vraiment d'humour ...
Je mets une étoile pour le denouement auquel on ne s'attend pas ....seul moment captivant du film ...

Julia Roberts et Clive Owen réunis à l'écran pour ce film d'espionnage. Les 2 amants montent un plan pour voler un secret industriel, synonyme de pactole.. Histoire à priori banale, mais un retournement de situation rend le final plus agréable qu'un classique happy-end. Beaucoup mieux que les décevants "Mr & Mrs Smith" (B.Pitt & A.Jolie) ou "Agents Screts" (V.Cassel & M.Belluci) en tout cas.

Idée assez bonnes et originale un couple assez bons qui s'accorde bien de bons acteurs mais le problèmes le film est beaucoup trop compliqué pour le public et parfois on s'ennuie le film est beaucoup trop long

J'ai retiré quasiment aucun plaisir à regarder ce film d'espionnage manquant de saveur qui est assez raté dans l'ensemble.
Pas de romantisme,aucun esthétisme remarquable(mis à part celui de Julia Roberts mais bon), les dialogues sont plats, peu d'humour, c'est assez ennuyant,peu de suspense, la chronologie perturbée rend confus la compréhension de l'histoire peu intéressante qui est à dormir debout et la mise en scène n'est pas bien inspirée avec notamment des scènes souvent répétitives qui lassent à force.
Bref, ce n'est même pas divertissant et c'est à oublier.

Après un excellent thriller judiciaire (Michael Clayton), Tony Gilroy s’essaye à la comédie policière à l’ancienne façon Charade de Stanley Donen dont il retrouve les intrigues à tiroirs, le charme et la désinvolture.
Il est aidé dans cet exercice difficile par des dialogues brillants et savoureux portés par deux comédiens doués : Julia Roberts et Clive Owen. Les seconds rôles ne sont pas oubliés pour autant et apportent un crédit supplémentaire au film. Tom Wilkinson et surtout Paul Giamatti livrent des compositions de patrons retors plus vraies que nature.
Toutefois, depuis les années 60 et les aventures d’Audrey Hepburn et Cary Grant, le monde a changé ainsi que notre façon de l’appréhender. L’insouciance et l’optimisme d’alors ont fait place à une certaine désillusion. Pas dupe, Tony Gilroy en tient compte et nous offre un final culotté qui risque d’en surprendre plus d’un.