Derniers Avis : Le Grand embouteillage - Page 2

Le Grand embouteillage : Une comédie dramatique des plus habile et bien pensé. Car, c’est une intelligeant critique de la société. Puisque le scénario, c’est que on va suive les réactions de personnes coincés dans un monstrueux embouteillage. Et donc, on va regarder avec intrigue les différents réactions et classe social que on peut trouver. Et c’est sympa de voir que chaque personne a pas la même façon de voir les choses, on pas les mêmes problèmes… Car, il y a un riche qui va pouvoir tout ce payé avec son argent, après on suit les disputes de plusieurs couples/famille… Enfin, l’idée de départ est très bonne, bon vers la fin, elle commence a tournée en rond mais franchement, c’est bien ficelé car suive autant de personne en même temps, ça aurait pu être galère mais non. Donc voila, une premier partie plutôt amusante et une deuxième un peu plus dramatique car il y a du vole, du viole… Et pour finir, le casting est consistant, pas mal d’acteur connu. Car, ce film touche pas mal de sujet. Donc voila, un film original et bien tourné.

Une très bonne surprise que cette comédie noire italienne. Toute l'Italie des 70's réunie dans un seul et même embouteillage pendant un jour et une nuit, il fallait y penser. Surtout qu'on a ici droit à une ribambelle de personnages pas toujours très sympathiques, voire même carrément horribles, dans un scénario qui ne fera pas de concessions. Et si la première partie du film de Comencini est placée sous le signe de la comédie, la seconde est bien plus noire, proposant une vision cruelle et désespérée de la société. Techniquement, le film a plutôt bien vieilli, même si certains dialogues font un peu dépassés... Mastroiani est excellent, Depardieu surprenant en mari trompé, Dewaere un peu décevant (enfin c'est son rôle qu'il n'a pas réussi à rendre moins irritant) et Angelina Molina, à tomber. D'ailleurs certaines scènes sont vraiment terribles, spoiler: notamment celle du viol collectif, difficile à supporter
. Un film puissant donc, qui pourra en choquer certains, mais c'est aussi ça le cinéma. Déroutant.

Le Grand embouteillage est un sympathique film, j'adorais l'idée d'un huis clos dans un embouteillage, c'est vraiment une bonne idée, j'aurais cependant voulu un truc beaucoup plus comique mais bon, pas mal de sujet fort ressortent de ce film comme le viol, l'adultère, la célébrité, les riches qui se croit au dessus de tout le monde et bien d'autres, l'embouteillage n'est qu'un gros prétexte pour balancer pleins de sujets sérieux et encore d'actualités dans la tronche du spectateur.
Le casting est très efficace et quelques personnages sont bien barrés, notamment celui de Patrick Dewaere, la mise en scène est réussie et également efficace, on prend plaisir à suivre tout ces gens durant un jour et une nuit, même si le début, c'est à dire la première heure est plus réussie et prenante que la suite, le tout reste appréciable et très sympa.

Une critique sociale acerbe de notre société de consommation qui n'a hélas pas vieillie .

Un embouteillage immobilise sur une route d’Italie toute les classes sociales. Dans chaque voiture se reflète un peu du visage Italien. Comme tout ce genre de film se déroulant entièrement dans une voiture(sur un arbre perché) il est difficile de ne pas tourner en rond. Et le film de Comencini n’échappe pas à la règle,au bout de cinq minutes il a deja fait le tour de la question. Il fait un film à l'image laide et ultra datée,de cet embouteillage il ne ressort que quelques petites scénettes,les passages d'Alberto Sordi et la scène du viol sinon il ne se passe pas grand chose. On s’ennuie aussi fermement que bloqué dans sa voiture sur une autoroute d'été.

Chauffeurs-livreurs en région parisienne, ne passez pas à coté de ce film. Des phrases cultes; Ils ont pris leur voiture et ils ne savent même pas pourquoi!, Ils ont pris leur voiture aujourd'hui rien que pour m'ennuyer (pour rester courtois)... Un petit chef d'oeuvre d'une autre époque. -------Août 2014-2020----

Luigi Comencini réussit là où tant d'autres ont échoué et écoueront encore en créant une unité à cette multitude de "tranches de vie" qui défilent à l'écran. En deux heures de temps, le réalisateur italien parvient à captiver ses spectateurs, grâce à un sens aigu du dialogue et à la bonne volonté d'un casting hors du commun. Un film à voir.

"L'Ingorgo - Una storia impossibile" part d'un effet divers banal de notre sociètè de consommation pour montrer une situation sociale complètement bloquèe où Luigi Comencini immobilise tout le gratin du cinèma europèen (Alberto Sordi, Ugo Tognazzi, Marcello Mastroianni, Annie Girardot, Miou-Miou, Gèrard Depardieu, Patrick Dewaere...) dans un embouteillage monstre! Rèsultat, une douzaine d'histoires qui brossent un tableau apocalyptique du capitalisme! On peut remarquer en effet que "L'Ingorgo - Una storia impossibile" est construit comme une oeuvre à sketches, par vignettes successives drôles et mèchantes, croquèes d'un trait acerbe! Le genre de film à mèditer quand vous vous trouvez dans les bouchons un vendredi soir aux alentours de 17h30...

Comencini signe un brûlot virulent contre la société de l'époque (qui n'a pas beaucoup évoluée depuis), tableau apocalyptique d'une nation littéralement paralysée, véritable condensé de connerie humaine. On regrettera juste le doublage foireux du casting français.

La bande son du début est difficile à supporter ( coups de klaxon ).
Quant à l'histoire, il n'y en a pas vraiment : plein de petits bouts qui partent un peu dans tous les sens.
Bons jeux d'acteurs, ce qui les rends malgré tout attachants.

Une oeuvre sociologique, une fresque sans état d'âme de la société moderne. Luigi Comencini brosse un portrait acerbe et éclairé de notre monde actuel et de son évolution. Il se dégage un menaçant effet de groupe, de masse ; dans son son instinct le plus grégaire et bestial.
Une grande claque !

Quelle déception, ennuyeux et sans style.

1h53 d'ennui, passe ta route l'ami.
Apparition tres furtive de depardieu, dewaere et miou miou; même si les quelques secondes depardieu assurent, ce film n'est pas à la hauteur de ses ambitions.

Tant de choses dans un simple embouteillage.Un film brillant.

Toutes les passions humaines, souvent les plus abjectes, sont réunies dans "Le grand embouteillage" (1978) qu'on croirait de Germi ou de Ferreri, mais qui est de Comencini. La satyre à l'italienne roule à merveille (mieux que les protagonistes) mais le film souffre légèrement du syndrome des films à sketches.