Avis : Survival Of the Dead - Page 7

C'est le pire film de zombie que j'ai eu le malheur de voir...
Romero nous offre un film sans scénario sans consistance sans aucun effets spéciaux digne de ce nom. A éviter de toute urgence

Décidément Romero n'y arrive plus,deja avec son Diary Of The Dead vraiment pas terrible,Survival est du même niveau.Bon cet épisode est sans doute le plus fun de la saga,enfin d'être le plus fun parce que j'ai pas souri une fois.
Pourtant le film débute pas trop mal;mais dès qu'ils arrivent sur l'île ça se gâte(une guerre de clans vraiment ininterressante),jusqu'à la fin qui,faut avouer,est vraiment pourrie,la pire de toutes les fins de sa saga,un final façon western,vraiment du gros n'importe quoi.Un peu de gore mais beaucoup moins que Land Of The Dead ou Le Jour Des Morts-Vivants.
Bon Romero essaye toujours d'apporter une petite innovation à ses zombies(là il est question de savoir s'ils peuvent manger autre chose que les humains),c'est toujours bien d'en apprendre un peu plus.
Malheureusement déçu par ce Survival,même si ça reste assez original dans l'ensemble

C'est le deuxième Romero que je découvre, là encore à Gérardmer avec Diary of the Dead.
Ne connaissant pas le glorieux passé du réalisateur, j'aime la façon qu'il a de tisser des histoires humaines autour du thème des zombies.
Le fait que toute l'intrigue se passe sur une île ici donne un petit côté autarcique à la chose qui n'est pas pour déplaire.
Sur fond de guerre des familles la question des zombies et ce qu'il faut en faire est bien traitée. Les personnages, haut en couleurs, s'intègrent bien dans le panorama.
On passe donc un bon moment sans prise de tête et c'est, je le suppose, le but visé ici.

Ce films est une pure daubeeee tout a deja etait dit film avec un scenario en mousse effet en mousse parole en mousse zombie en papier c affreux

Quand George A. Romero, le célèbre réalisateur de films exceptionnels tels que "Night of the Living Dead" ou "Zombie", s'attaque aux séries Z, ça fait mal ... Extrêmement mal. On a vraiment du mal à y croire, même Diary of the Dead est plus réussi. Même si j'apprécie de temps en temps un bon nanar, ce n'est pas ce à quoi je m'attends quand je visionne un film de Romero, le père du genre.

Bien meilleur que l'opus précédent de la saga de Romero, Survival of the dead est à voir !

Le film ne se prend vraiment pas au sérieux avec une bonne dose d'humour, de gore et d'action... ! Le scéna tient est est voué à la déconne et ça marche !
Je regrette juste l'idée foireuse de zombifier les morts naturelles (non mordus par des zombies).

Fan de Romero depuis toujours, je suis atterré de voir un tel navet de sa part ! Scénario incohérent et pas crédible, jeu lamentable des acteurs, réalisation soporifique, effets à la pif gadget... etc... Si encore c'était marrant, genre série Z au 15e degré, mais même pas. Grosse déception, fuyez ! L'histoire n'est qu'une suite incohérente d'inepties sans nom... Romero devrait malheureusement prendre sa retraite ou passer à autre chose.

Intéressant pour la jeune fille à cheval et le garçon , des zombies qui se remettent à leur tâche mais sinon pas grand chose. Dommage pour la fin qui n'a pas été assez exploitée.

Habituellement j'aime bien les films de George A. Romero mais sur ce coup là je trouve qu'il s'est complètement planté. Le film a duré 1h30 mais j'ai eu l'impression qu'il durai 2h. On s'ennuie tout le long, les acteurs sont pas convaincant et aucune émotions ne passe, que ce soit la tristesse, la peur ou le rire. Au final un mauvais film très loin des ses autres films du même genre.

Là c'est confirmé, le roi est mort. Le thème de la domestication avait été abordé dans Fido, sorti 2 ou 3 ans avant, donc il n'y a plus de doute sur qui a inspiré qui. Bon il est toujours possible qu'il règne une franche camaraderie entre les réalisateurs de films de Z, qu'ils s'envoient des clins d'oeil et que les petits jeunes se jettent la bave aux lèvres sur les idées lâchées par le maitre lors de soirées trop arrosées. Mais historiquement c'est plutôt l'inverse qui se produit. Bref je comprends ce qu'il a voulu faire dans ce film, se pencher sur les communautés très hermétiques et leurs liens très serrés avec leurs proches, dans la vie ou dans la mort, le genre de communautés qui mangeaient leurs morts pour les garder parmi eux. Le problème c'est que même sur le papier, l'intérêt est assez limité. En outre, les liens affectifs entre les vivants et les Z ont déjà été joliment exploitées, notamment dans la Nuit des MV. Psychologiquement, je ne vois pas pourquoi les membres d'une communauté fermée aimeraient plus leur famille que tout être humain, ni pourquoi le simple instinct de survie, à priori tuer ce qui essaie de vous bouffer, serait plus étouffé dans les communautés sus-citées. Niveau domptage des Z, les soi-disant fermiers de l'ile semblent également bien ignorants de la moindre technique de conditionnement, pourtant pour élever des animaux... bon bref je digresse trop. Le roi est mort, vivement un roi.

Remarque, en les voyant à l'envers, t'auras la nette impression que Romero s'améliore au fur et à mesure des opus, et non qu'il coule dans une lente déchéance...

Non, peut-être que j'exagère mais j'ai été choqué par cet opus. Autant j'avais vu Land of The Dead, qui avait déjà mauvaise presse... et pourtant je l'ai trouvé très bon! Moins novateur que les trois premiers, mais très bon quand on cherche simplement un bon film de zombie, dans l'univers accrocheur du réalisateur. J'ai sauté Diary of The Dead (il ne me disait vraiment pas), et j'en suis arrivé à celui-là. Et autant dire, que même un simple bon film de zombies, je ne l'ai pas trouvé!

Tout le film est un anachronisme énorme dans l'univers qu'il avait lui même tissé au fil de ses films. Je ne comprends pas ce qui lui a pris d'ouvrir une telle fissure béante ouverte au grand n'importe quoi dans son œuvre. Il aurait du continuer de faire des films chronologiquement logiques, et non pas revenir en arrière. Et quand je vois que son prochain projet s'appelle "The Origins", autant dire que j'ai peur.

Quant aux incohérences, elles sont légion. Depuis quand les hommes ont du mal à abattre les leurs qui ont été infectés et sont rongés de remords de le faire? Ca n'a jamais été le cas dans aucun des films précédents, et ça me semblait logique! Dans une telle situation, notre instinct animal de survie revient logiquement au galop, et passe avant tout. Les hommes passent leur temps à se massacrer sans aucune raison (les trois - quatre péquenots massacrés par les rangers au début: pourquoi?!).
Enfin, à quoi leur sert l'argent? Dès la seconde où les zombies ont pris le contrôle (plus ou moins) du pays, plus aucun système n'existe et l'argent n'a aucune valeur. Ils le disent eux-mêmes, alors pourquoi s'évertuer à se concentrer dessus?

De plus, on a vraiment des clichés dignes de grosses séries Z (les soeurs jumelles, manger du cheval...). Effectivement, heureusement qu'il y a ce plan final! Et encore, dans le même temps on échappe pas à la morale à deux balle genre "profonde réflexion sur l'être humain, qui est un loup pour l'homme".

Une grande déception en somme.

Un film totalement ridicule. Loin de ce que nous a offert Romero.

"La nuit des morts vivants" (1968) était splendide, "Zombies" également, même "le jour des morts" était plaisant, Diary of the Dead était excellent, mais cette suite ne vaut rien.

George A. Romero, le spécialiste des morts-vivants, ces sympathiques zombies toujours en quête de chair fraîche, revient à la charge en 2010 avec un nouveau long-métrage, Survival of the Dead. Autant le dire tout de suite, le Papy ferait mieux de ne plus jamais tenir de caméra et de partir à la retraite parce qu'il y a de quoi avoir peur (sans mauvais jeu de mots) en constatant le résultat. Mise en scène classique mais d'une platitude affligeante, protagonistes ultra-clichés à la psychologie inexistante, effets spéciaux d'une laideur sans nom, humour complètement à côté de la plaque (ça pourrait éventuellement être drôle au 36ème degré, et encore...), atmosphère et frissons brillant par leur absence. Le scénario recèle bien quelques idées (une satyre socio-politique sur fond de western) mais le déroulement de l'intrigue (si on peut parler d'intrigue vu les enjeux complètement dérisoires) est tellement inintéressant et les défauts, légion qu'on s'ennuie plus qu'autre chose. Il ne reste plus qu'à prier que Romero, cinéaste ne se bonifiant visiblement pas avec l'âge, ne nous inflige pas un septième film de zombies. [Extrait de Screamcity-Horror.skyrock.com blog de critiques ciné]

J'ai décidé d'aller vivre sur une île où il n'y aurait plus de films à 2 balles. Mais surtout pas l'Ile de Plum où se situe l'action de ce film. Fan de Romero depuis 68, j'avoue que depuis le début des années 2000, le genre s'est profondément affaibli. Dur de trouver de nouvelles idées, de faire son boulot sans penser à la rentabilité d'une simple sortie Direct2DVD. Mon petit cerveau tourne en rond devant autant de manque de créativité et de moyens. Le Territoire des Morts avait encore un peu de souffle. On était encore dans un genre qu'on peut appeler la série B. Mais une série B honnête, à peu près. Là, c'est à peine un téléfilm que j'ai vu. Un mélange de rien, avec une pincée d'humour texan, un zeste d'ennui, quelques grains de n'importe quoi et quelques graines de navet. Oops ! En résumé, je suis attéré par ce denrier volet en date. Je connais trop bien les codes de ce genre cinématographique pour accepter pareille désinvolture ou légèreté au genre. Je ne suis là pour dégoûter personne mais ceci n'est pas un film. Ou alors juste bon pour la télé pour le créneau 4h du mat. Aucune ficelle scénaristique, mise en scène fantôme, humour ras-les-pâquerettes et hors propos, acteurs zombie, plan M6... et j'en passe... Que dire ? Ce film n'est qu'une copie destinée aux étudiants de cinéma pour rire entre deux cours. Et encore... Enfin... No comment.

Un peu déçu par ce dernier Romero. Le scénario est pauvre, l'histoire peu intéressante. Le film est sauvé par le visuel mais ce n'est pas un chef d'oeuvre loin de là.