Derniers Avis : Blanc comme neige - Page 8

cluzet, odieux, mesquin, lâche, crétin, têtu, et ses frères... il faut accepter qu'un thriller français (belge), ça a sa lourdeur, son rythme, mais une fois qu'on joue le jeu, qu'on entre dedans, qu'on n'attend pas la mécanique hyper ficelée des thrillers américains, il y a une musique incomparable et unique. et cluzet en anti-héros est absolument et horriblement convaincant. je regrette juste la dernière image de la fin, trop souvent dans ces films français papa retrouve maman qui pardonne, c'est agaçant. mais c'est juste une seconde. film à voir

pas fan du tout, j'ai trouvé l'histoire bidon, du rechauffé, qqs rebondissement mais rien d'extra à part la scène de nue de louise....

Le cinéma tricolore n’est pas un novice en terme de productions policières sombres. Si il y a bien un style de film, avec la comédie, qui ne nous a pas été inspiré à grandes pompes par Hollywood, c’est bien celui là. Citons simplement « Le cercle rouge » de Melville et « Série noire » de Corneau, ou encore plus récemment « 36 quai des Orfèvres » de Marchal et « Ne le dis à personne » de Canet, pour prouver que les français ont une longue histoires d’amour avec le genre. « Blanc comme neige » fait donc partie intégrante de ce cinéma obscur et stressant, froid et palpitant. Après une courte introduction et un générique à la Tarantino, qui donnent immédiatement le ton d’une œuvre ambitieuse, des acteurs en forme, et pas des moindres, se renvoient les répliques d’un scénario qui a tout pour plaire aux amateurs : un homme à la vie tranquille et tout à fait normale se retrouve malgré lui confronter à une situation inextricable, et embarque d’un coup, d’un seul, tout son petit monde avec lui. Loin d’être très novatrice, cette trame a au moins le mérite de pouvoir tenir en haleine une large partie du public. Un peu comme dans l’extraordinaire « 7h58 ce samedi-là » de Sidney Lumet, ou l'excellent "A history of violence" de Cronenberg, une famille banale se retrouve plongée dans une spirale violente et négative, suite au agissements d’un seul homme. Mais Christophe Blanc, le réalisateur et co-scénariste du film, se prend les pieds dans le tapis à quelques reprises tout au long de la projection. On aurait souhaité plus d’ampleur, de tension, autour de cette épreuve métaphysique. Si ses protagonistes sont interprétés justement et solidement, ils manquent en revanche de profondeur et sont mal cernés, trop banalisés. Quand aux "méchants", eux, manquent cruellement de charisme. Premier « dommage ». Son récit, comme dit précédemment, à beaucoup d’atouts et offre son lot de rebondissements pour se laisser facilement tenter par l’expérience, mais bien trop de charnières sont mal huilées, et certains passages sont évasifs. Deuxième « dommage ». Quand à la mise en scène, si elle joui de très bons moments, elle n’a pas le moteur d’un bolide haut de gamme comme ceux que vend le personnage de Cluzet, mais plutôt celui d’une bonne vieille bagnole. Ce qui fait qu’elle cale, et par conséquent, fausse souvent le rythme. Et le manque de subtilité flagrant du montage ne sauve rien. Troisième « dommage ». Et ça commence à faire beaucoup. Les puristes pourront aussi relever qu’aucun des acteurs n’a le moindre accent provençal, alors que l’intrigue se déroule dans la cité phocéenne. Reste à se consoler avec une photographie qui, notamment lors de la dernière partie, est vraiment superbe, quelques bons passages à suspense, des idées intéressantes par-ci par-là, et surtout avec ce que le film a à nous offrir de plus noir. La tentative de Christophe Blanc de faire un pur film de genre est plus que louable, mais son exercice de style est manqué.
Si la mayonnaise ne prend donc pas bien, « Blanc comme neige » reste un divertissement très honnête qui ne souffre en vérité d’aucune longueur, mais qui peine cruellement à décoller, et par conséquent, ne parvient pas à nous séduire totalement. Si le film s’embrouille un peu, il ne s’enlise néanmoins jamais. Il y avait vraiment matière à bien mieux faire, ça se sent et c’est vraiment frustrant !

Franchement pas terrible.. l'histoire est très moyenne et pas captivante.. On trouve le personnage de Cluzet plutôt énervant même... On ne s attache ni aux personnages ni à l'histoire... Un plutôt mauvais film...à zapper allègrement. La Bande Annonce vaut mieux que le film !

L'histoire n'est pas super, le film est assez ennuyeux, les acteurs ne sont pas mauvais mais le film n'est pas bon pour autant.

tres moyen , du à une mauvaise réalisation et un montage catastrophique

Je n'ai pas beaucoup aimé le film. Seul François Cluzet et Louise Bourgoin sauvent le film.

un polar académique, très mou du genoux, avec cette des décors superbe mais avec un sythme de vallium!cluzet et bourgoin peinent à nous transporter dans cette histoire aussi rocambolesque qu'ininteressante.très décévant de la part du metteur en scène d'"une femem d'exterieure".

Dommage, car la bande annonce était très prometteuse... Si le film est maitrisé dans sa réalisation, il souffre en revanche d'un problème au niveau du rythme de l'histoire. Beaucoup d'incohérences ou de choses laissées de côté en fond un film inégal. Dommage une fois encore car les acteurs sont très bons (à l'exception de Louise Bourgoin... désolé, mais elle est vraiment insupportable à l'écran...).

Pale histoire pour un film qui n'est pas à la mesure du talent de François Cluzet.Le charme de Louise Bourgoin ne sauve pas le film

"Blanc comme neige" est l'illustration parfaite des erreurs commises par un débutant. Une bonne première heure de film durant laquelle, malgré les invraisemblances du personnage incarné par François Cluzet qui ne réagit pas de manière très sensée, le film fonctionne bien et suscite même des moments d'angoisse en raison de cet étau qui se referme inexorablement. Et puis, soudain, tout dérape : l'interprétation devient hasardeuse, le scénario se délite voire vole en éclats en essayant d'aérer le film dans des contrées lointaines alors que la première partie utilisait, avec quelque talent, des espaces très codifiés et le final verse dans le ridicule le plus total par son emphase. Dommage que ce côté bancal de l'écriture fasse oublier les qualités inhérentes à tout bon film noir qui se respecte.

Film sans nouveauté, acteurs peu convainquants et une histoire qui traine en longueur.

Pas mauvais, mais malheureusement ce film ne provoque pas la même réaction qu'un "Ne le dit à personne". Louise Bourgoin, peu crédible ! Francois Cluzet passable.

Ce thriller est assez original grâce à son final sanglant dans la Finlande immaculée de neige, mais il est aussi très décevant sur certains points : le cruel manque de rythme et d’action, les méchants finnois très patauds, le scénario incohérent et les scènes ridicules. En bref, rien ne va plus pour François Cluzet car chaque décision prise par son personnage est totalement illogique et va à l’encontre du bon sens. Il s’enfonce logiquement dans un engrenage fatal. Etrange film donc...

Le meilleur film de la semaine, même si j'ai été un peu déçu par un certain vide qui survolait l'ensemble du film. Cluzet parfait. Louise Bourgoin en mère très bien mais je la préfère dans ses rôles habituels de lolita, tellement plus marrantes ... !