Avis : Dredd - Page 4

Un sacrée petite bombe dynamique! Une série B excellente, qui utilise une action ultra violente, un dosage qui évite l'overdose et du slow Motion toujours aussi beau! Une belle réussite, une très bonne série B, un film d'action des plus réussit et des plus entraînant qui reprend un scénario façon "The raid"!

Franchement autant que le 1er avec Sylvester Stalone était génial mais celui-ci ressemble à un vieux plagiat d'amateur !
Soit autant que le fait de changer d'acteur ou de look au personnage ne me dérange pas, mais par rapport au 1 où je ressentait une véritable admiration pour ce qui était à l'époque de mon enfance ce "héro de la justice" (car il avait de la classe) en plus que le film était drôle mais avec celui-là j'ai été vraiment accablé !

A mon avis le film doit beaucoup respecter la bande déssiné (je n'ai pas non plus hésiter a remarquer que l'acteur faisant sans cesse la "tronche" pour imiter le personnage de dredd si sérieux) comme spawn et son adaptation filmique.

Mais ce que je reproche vraiment c'est l'ambiance de ce film ! autant que le déroulement de l'histoire est intéressant avec la situation d'être survivant dans un bâtiment blindé et grouillé de tueurs sans l'aide des innocent qui les considèrent aussi comme des ennemis. Ainsi qu'avec les scènes d'actions qui agrémante un peu mon avis ,sauf que mon reproche se basera précisément sur l'apparition d'une incroyable violence ! sérieusement,on est pas obligé d'avoir ce type d'élément pour faire un bon film ! on se passera de voir des cranes écraser contre le sol à plusieurs reprises ainsi que les scènes pornographiques vue dans l'imagination d'un des bandits !!

Une véritable erreur de nous pondre un truc pareil, ici les nouveautés sont l'apparition de "mutant" qui est la jeune juge télépathe avec qui il fera équipe et les juges corrompus (chose qui se rapproche asser bien de la réalité). Chose à part, les musiques sont bien, l'idée concernant la drogue a effet "slowmotion" enjolivait le film dans toute cette boucherie mais l'un comme l'autre n'était pas nécessaire.

Et même sa fameuse phrase "la loi c'est moi et l'ordre" s'est transformer en "je suis la loi".

Franchement on a toucher à une icone pour transformer une serviette de soi en papier toilette ! c'est très regrettable.

Les Etats-Unis ne sont plus qu'un vaste désert toxique. Dans ce désert, trois mégapoles sont concentrée. Méga-Bitumes. Méga-Autoroutes. Méga-Cité. L'Histoire de Dredd se déroule à MégaCityOne, une cité rongée par le vice le plus total et le plus désolant qu'il soit. Dès les premier instants, on sait tous de suite que l'on va assister à un remake dès plus efficace, loin de l'objet culte et fendard qu'est "Judge Dredd", avec Sylvester Stallone. Cette fois-ci, c'est Karl Urban (Star Trek, RED, Les Chroniques de Ridick), qui à la lourde tâche, de désorganisé un groupe de trafiquants de drogue, installé à Peach Trees, ou elle vend du Slo-Mo, une drogue qui permet aux consommateurs, de voir la vie au ralenti. Mais, Ma-Ma -la chef de la bande-, à décider de remuer le couteau dans la plaie. C'est alors qu'interviennent Dredd, et la nouvelle recrue de l'Ordre des Juges, Anderson. Ensemble, ils vont devoir affronter deux cents étages remplis de malfrats et de dealers, pour atteindre le sommet. Derrière un spitch comme celui-ci, il est clair que cela n'a pas l'air hyper délicieux. Mais pourtant, la magie prends effet de suite. Il suffit que Dredd se mette à parler, pour que le film commence. La mise en scène, est hyper efficace, les acteurs sont tous bons (mention spéciale à Karl Urban et à Lena Headey) et l'action est très bien maîtrisée ! Il nous reste plus qu'à attendre la suite avec impatience, en vous disant juste une dernière chose : regardez-le.

Mouai, réalisation pas trop mal foutu mais scénario assez bidon, bien moins intéressant que celui de 1995

Je n'avais pas d'attente particulière sur ce film, si ce n'est que les acteurs justifient au minimum le visionnage. Même pas.
L'excellente Lena Heady de Game of Thrones fait ici pâle figure, avec un rôle creux de chef de gang faussement retors. c'est "l'erreur de casting".
Karl Urban fait ici figure de héros stéréotypé de film d'action, incapable de donner quoique se soit puisqu'il ne retire jamais son casque. C'est "le mec viril et badass".
Et la fausse blonde, "rookie", jolie jeune femme qui va "perdre son innocence et sa naïveté" au contact du "vrai" monde, sombre, violent et aux choix moraux discutables. c'est "Princesse Bambi".
Et rien qu'avec les 3 protagonistes du film, on a atteint les limites du film.
Si les personnages ne sont pas réussit, bon c'est pas grave, après tout, on est venu pour les scènes d'action!
Et là aussi, le bât blesse. Entre des ralentis absolument inutiles et qui cassent la continuité du film, et des scènes d'actions pauvres, jamais prenantes et sans enjeux, c'est l'échec total...
Comme pour les films d'études de cinéma, certains éléments prouvent l'absence de talent dans la mise en scène et feront tiquer tout cinéphile.
L'introduction est ratée : faire lire un monologue à Karl Urban sur un plan unique en images de synthèses ne suffit pas. Le film n'explique jamais les problèmes de ce monde post-apocalyptique, et ses causes, qui permettrait au spectateur de prendre part à l'histoire.
Et le décalage est d'autant plus fort que sans explications sur les tenants et aboutissants de ce monde, la violence subie ou délivrée par tous les personnages apparaît inutile, forcée, disproportionnée.
Ce remake est raté à tous les niveaux. Et choses formidable, il arrive à dénaturer l'œuvre qu'il adapte, là où l'original avec Stallone, malgré ses nombreux défauts, était à peu près fidèle à l'univers du comics, tout en étant un divertissement assumé.

DREDD !!!

viens de prendre une grosse claque , je m'attendais pas à aussi bien , le film est sec , efficace , brutal , jouissif , et en + jamais gratuit .

Karl Urban à la grosse classe en Juge , la gueule parfaite sous le masque et l'uniforme , je le kiffais déjà dans DOOM .

mais la révélation du film c'est Olivia Thirlby , la Recrue ! elle est belle , attachante et fait jeux égale avec DREDD , elle lui vole presque la vedette .

Lena Headey en Mama la chef de gang est juste ce qu'il faut , cruelle et violente .

je ne compare pas avec la version de Stallone que j'adore aussi , c'est 2 films différent . j’espère juste revoir Karl Urban dans le rôle pour un second opus et surtout avec Olivia Thirlby qui n'est plus du tout une Recrue mais une vrai Juge !!!

sentence 10/10

Dredd 2012 est tout simplement savoureux, on le pense bancal au début mais il s'avère d'une grande efficacité que ce soit pour les personnages, son univers, ses thèmes et sa violence. Le film prend beaucoup de the raid dans certaines situations ce qui peut en décevoir certains mais voilà enfin LE Dredd réssucité! et ça fait du bien comme surprise Laissez vous tenter!

Ah Judge Dredd... Je me rappel encore avec émotion ce film tout en testostérone avec l'ami Sly qui dézinguait du consanguin joyeusement affublé d'un compagnon de voyage irritant au plus au point et, tel une vieille perdant son dentier, déformait sa lèvre au maximum pour hurler un bon vieux "RICO" (nom complétement stupide pour un super vilain) des familles.
Mais ça c'était le bon temps...Alors quand j'ai vu poindre ce nouveau Dredd, je me suis d'abord demandé pourquoi? Oui pourquoi ne pas avoir laissé ce brave héros de comics tranquille, lui qui avait déja été humilié sur grand écran. Et bien car les véritables héros ne meurent surement jamais l'ami.
Bref, passé le choc visuel d'une image avec des couleurs baveuse et déguelasse d'un steven de dimanche midi, on s'attarde sur l'histoire... Non j'déconne il n'y en a pas. Dredd rentre avec son coéquipier dans une tour et péte tout.... Une justice expéditive comme on les aimes. Bref les acteurs ont surement été engagé dans un peep show en Slovaquie, le réalisateur doit être sous prozac (car le rythme est finalement très long je trouve pour un film de ce genre) et les dialogues sont affligeants...
Bref, courageux cinéfile, fuit cette horreur avant d'être happé par sa médiocrité.

Début prenant pour Dredd après une version peu aimée avec Stallone (que perso j'avais trouvé de la sympathique série B) voici un nouveau film sur l'inflexible Judge Dredd un film précédé d'une réputation assez flatteuse et si Pete Travis ne réalise pas un film dont il doit avoir honte je dois avouer qu'au vu de ses critiques plutôt positives je m'attendais à un bien meilleur métrage. Malheureusement rapidement on sent le budget limité de Dredd, les scènes de fusillades ne sont pas percutantes et l'utilisation d'un ralenti vilain visuellement n'arrange pas les choses de plus l'histoire rappelle avec ses personnage coincés dans un immeuble The Raid (comme d'ailleurs l'a signalé d'autres critiques) en fait le meilleur du film est dans la dernière-heure car Dredd semble mieux maîtrisé. Au moins on ne s'ennuie jamais et cette version respecte la violence et la noirceur du comics, Karl Urban très marmoréen compose un juge Dredd convaincant. De quoi passer un bon mais dommage que Dredd ne possède par de moments véritablement marquant et ne soit pas un film plus mémorable que cela. On est loin par exemple de la claque que fut un Robocop.

Le personnage de Dredd m'a parut antipathique et sans intérêt. La mise en scène tape à l’œil et le script faiblard n'arrangent rien à l'affaire.

Une bonne série B . Franchement, il y a un univers, une cohérence, un côté bad-ass et violent assumé jusqu'au bout. C'est modeste mais très efficace et c'est tout ce que je demandais.

Dix-sept ans après la première adaptation du comics de Wagner et Ezquerra avec Sylvester Stallone, revoici le juge-bourreau-exécuteur masqué le moins souriant du monde, Dredd, qui revient avec un nouveau film plus fidèle, plus violent mais surtout plus simpliste. En effet, le long-métrage possède une trame pour le moins très sobre où nous voyons notre grand gaillard, accompagné de ce qui deviendra sa fidèle sidekick Anderson, pris au piège dans un building rempli de malfrats armés jusqu'aux dents, obligés de se serrer les coudes pour en sortir vivants et éliminer Ma-Ma, l'horrible maîtresse de maison psychotique... Si le pitch ressemble énormément à celui de The Raid, ce dernier arrivait à nous époustoufler grâce à un parti-pris détonant pour l'action et une certaine maestria visuelle qui nous en mettait plein la vue. Ici, c'est un peu le contraire. Confiée au peu impliqué Pete Travis (Angles d'attaque), la mise en scène s'avère contre toute attente très pauvre, au rythme particulièrement inégal et à l'univers futuriste peu visible car pas vraiment avantagé. Quelques flingues high-tech et basta, le réalisateur préférant faire mariner son film dans un côté réaliste certes bienvenu mais hélas assez cheap. Nous livrant quelques plans léchés en slow-motion et une poignée de séquences explosives assez sympathiques (notamment le dézingage d'un étage entier à la Gatling), Travis n'arrive cependant pas à nous émoustiller suffisamment pour faire de Dredd une adaptation vraiment mémorable. Le gaillard avait pourtant toutes les cartes en main : un univers sale et désespéré teinté d'une violence nihiliste à la Verhoeven qu'il tente d'instaurer en vain, des acteurs pour le moins charismatiques et un budget conséquent. Hélas, hormis deux/trois plans vraiment dégueulasses et vraiment impitoyables, le film reste dans la case produit DTV sans panache, le réalisateur venant essentiellement du petit écran, le résultat se voit clairement à l'écran. On ne blâmera donc pas le casting, très attrayant, allant du monolithique Karl Urban, parfait pour le rôle-titre, à la très sous-exploité Lena Headey en méchante dingo en passant par la jolie Olivia Thirlby, bien plus convaincante en sidekick médium que l'horripilant Roy Schneider dans le film de Danny Cannon. Ainsi, malgré une certaine satisfaction discrète et quelques bonnes idées, ce reboot sonne comme handicapé par une mise en scène n'allant pas plus loin que le bout de son nez, les longs silences et autres marches inutiles et rébarbatives dans l'immeuble ne boostant pas assez cette nouvelle adaptation qui s'annonçait comme résolument épique. Regardable mais très facilement oubliable.

Le début est vraiment sympa et laisse présager d'une adaptation bien meilleure que la première. Mais rapidement le film se transforme en hui-clos et le rythme retombe sérieusement. Dommage.

Un film qui n'a pas eu de date de sortie au ciné déjà je m'en méfie mais quand j'ai vu la note moyenne sur le site je me suis laissé tenter.
Et là grosse déception, un remake de judge dreed à faible budget dont les effets spéciaux sont fait par ordi et sur certaines scènes ont à l'impression ,être dans un jeu vidéo.
Un remake ok mais avec les moyens qu'ils faut !!!!!!!!!!!

La réalisation de remakes en tout genre est bien généralement un total échec sur le plan artistique et c'est avec tristesse que l'on constate que "Dredd" ne déroge pas à cette règle quasi universelle.
Reprenant le flambeau laissé par Sylvester Stallone, Karl Urban revêt son uniforme de juge du futur pour un teenage action movie totalement raté qui détériore encore un peu plus notre relation avec le personnage de John Wagner et Carlos Ezquerra.
Bien que la déception vécue par cette vision d'horreur ne soit absolument pas une surprise, rares sont ceux qui auraient su prévoir une telle misère cinématographique tant le manque de réussite est grand. Le script en premier lieu tient sur un timbre poste et pourrait se comparer à celui de n'importe quel Beat them all à la noix qu'on trouve sur console. En clair trois mots suffisent à résumer l'histoire : DREDD TUER MECHANTS. C'est peu-être un peu exagéré mais pas tant que ça lorsque l'on y regarde de plus près. Malheureusement la suite des ingrédients ne vole pas plus haut puisque la mise en scène s'avère horripilante tout comme les effets de ralenti qui hormis nous prouver l'utilisation d'une caméra HD ne servent à rien. Les acteurs de leur côté sont à la limite du supportable avec une transparente Olivia Thriby, une Lena Headey monoexpressive et un Karl Urban qui ne cesse d'imiter Stallone dans un surjeu dans lequel il ne brille guère.
La direction artistique semblait avoir fait du bon boulot avec les décors extérieurs mais c'était sans compter sur l'esthétique des combats où l'hémoglobine s'avèrera être un fer de lance plutôt minable. Effectivement, l'effet escompté n'arrive jamais et peut même se comparer à l'impact d'une mouche sur le pare-brise d'une voiture. Ça peut surprendre la première fois voire même écœurer les âmes sensibles mais au final le constat est le même : Ça énerve plus qu'autre chose et notre seule envie est de passer un bon coup de Karcher la dessus.
En résumé, "Dredd" est un échec à chaque niveau que ce soit dans le fond ou dans la forme. Les personnages sont vides à souhait et la tension des affrontements aux abonnés absentes. Aucune consolation pour les courageux qui auront su tenir jusqu'à la fin car il n'existe aucune pépite à déguster dans cette blague hollywoodienne.