Derniers Avis sur Mumu

Il s'agit de l'histoire vraie de la jeune vie de Roger un garçon de 11 ans qui grandit dans l'immédiat après-guerre. L'histoire commence par son expulsion de l'école pour mauvais comportement et le suit pendant environ un an alors qu'il continue à lutter pour s'adapter aux limites du système. Envoyé en pension dans une autre école où le professeur est connu sous le nom de Mumu (le plus vache du comté) il commence à trouver ce dont il a besoin et il n'est jamais difficile de voir d'où viennent ses problèmes. La méchanceté et la violence sont toujours présentes dans cette histoire. Le père, la maîtresse d'école et même le vicaire battent à mort notre malheureux jeune héros et l'histoire se déroule en 1947. Le père ne s'est jamais remis de sa captivité en Allemagne d'ailleurs, il pense que son fils cadet n'est pas de lui. Ce film a tout pour plaire il y a un drame sincère, de l'humour et une touche d'espièglerie a la française...

Mumu, ressemble trait pour trait à la première partie du roman Sombres Fantômes, du même Joël Seria. A la différence que le roman est génial, et le film assez maladroit. Les intentions sont bonnes, mais tout est plus fade... Allez plutôt en librairie.

Mumu nous plonge au cœur d'une histoire dont le sujet fut déjà traité à toutes les sauces (l'enfance dans les pensionnats d’après guerre), un film moyen.

Enfin un nouveau film du trop rare Joël Seria ! Ce réalisateur nous avait enchanté avec quelques pépites dans les années 1970, et c'est donc avec impatience et curiosité que j'ai regardé Mumu. Même si cela change de l'univers habituel de Seria, l'histoire autobiographique de ce petit garçon contraint d'aller à l'internat est touchante, et le casting exceptionnel, même s'il manque Jean-Pierre Marielle ...

Bien que Mumu nous plonge au coeur d'une histoire dont le sujet fut déjà traité à toutes les sauces (l'enfance dans les pensionnats d'aprés guerre), le film nostalgique de Joël Seria peux toucher certains téléspectateurs de part l’impeccable prestation de Sylvie Testud.
En effet,ce personnage fort charismatique porte finalement le déroulement de ce récit à lui tout seul, au point où l'on en oublie presque le personnage central (Roger).Malheureusement, les clichés sur l'école de cette époque et le jeu moyen des jeunes acteurs viennent ternir ce film.A recommander aux nostalgiques de cette période.

On connait surtout Joël Seria comme un auteur qui ne reculait pas devant le mauvais goût et le plaisir de choquer! Avec "Mumu", il n'en est rien, le cinèaste signe un film simple qui respire l'authenticitè! Sylvie Testud est une attachante institutrice au grand coeur, capable du meilleur en rèconfortant certains èlèves, comme du pire avec des excès de violence! Autour d’elle s’anime un casting masculin inattendu tels que Jean-François Balmer en curè qui manque sèrieusement d'habiletè, "le dernier des mohicans" Michel Galabru en protecteur du thèâtre classique et surtout la "saucisse" Bruno Lochet en surveillant souffre-douleur! Un bon petit film à la fois drôle et èmouvant qui nous replonge dans notre enfance...

Pas mal du tout. Très humain. Avec des jeunes gens qui méritent finalement d'être aidés.

Le casting attirant réunissant quelques grands noms du cinéma Français et l'histoire sous une allure autobiographique laissait présager une oeuvre émouvante et réussie. Pourtant, c'est bien l'exact contraire : Très peu d'émotions (où est le sentiment de nostalgie ?) dans cet espèce de documentaire qui aurait pu être intitulé "l'école au XXe siècle" avec des jeunes acteurs au jeu pour le moins scolaire : on a retenu son texte, soit on le récite. Derrière tout ça, l'esthétique et la réalisation sont classiques au possible & certains clichés ne parviennent pas à être éviter. Rien de bien intéressant, il est donc préférable de passer son chemin.

Avec "Mumu", le réalisateur Joël Seria nous plonge dans le monde scolaire de l'immédiate après-guerre. A travers le portrait d'une institutrice revêche et autoritaire, Joël Seria construit une histoire simple au caractère légèrement désuet. Le récit alterne des moments de légèreté avec des moments plus graves, comme certaines scènes ou répliques où l'on sent que les blessures de la guerre sont toujours profondes. Sylvie Testud livre ici une interprétation nuancée, son personnage cachant une vraie sensibilité sous une carapace rude. Bien entourée par Jean-François Balmer et des enfants investis dans leurs rôles, elle permet de passer un agréable moment de cinéma teinté de nostalgie.

Une sorte de "guerre des boutons" en beaucoup moins bien, qui vaut le détour essentiellement pour Sylvie Testud toujours impeccable, ce qui n'est malheureusement pas le cas de tous les enfants !

un joli film dans la verve des choristes, émouvant.
Sylvie testud est magistrale ainsi que le gamin qui joue le personnage de roger
j'ai beaucoup aimé ce film

Film d'une douceur et d'une poésie incroyable. Le sort fait à ce film montre bien l'abîme commercial dans lequel croassent les critiques "dit professionnels" qui encensent Toy Story ou Transformers, mais restent secs face à ce récit inoubliable. Merci à Joel Seria pour ce film émouvant.

Oui Sylvie Testud est très bonne dans ce film ! Et heureusement parce que sinon c'est d'un long !!! Certaines scènes complétement inutiles durent plus de 10 mns pour ne rien apporter a l'histoire ... Bref , très déçu par ce film qui donne l'impression, d'ailleurs, d'être un téléfilm ...

Très bon film du réalisateur des "Galettes de Pont-Aven" (dans la lignée des meilleurs de Jean Becker) dont la sortie au cinéma fut hélas confidentielle. Sylvie Testud est extraordinaire. L'histoire est touchante et pleine d'humour.

Rien d'exceptionnel si ce n'est l'interprétation de Sylvie Testud. Le reste est une comédie classique sur les pensionnats qui se regarde agréablement en famille...