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Philippe C
108 abonnés
281 critiques
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4,0
Publiée le 7 janvier 2015
Farci de clins d'œil et d'humour trash, le film est idéal pour passer un bon moment. On y regoute la joie de voir Mr Nespresso, Juliette levwis et Tarantino jeunes s'eclatant dans cette farce.
Non loin de la frontière Mexicaine deux gangsters sont en cavale. Les frères Geuko se rendent au "Titty Twister" un bar au Mexique, pour voir Carlos, leur contact. Seth est froid et calculateur, Richard est déjanté voire psychopathe; il a fait évader son frère Seth du tribunal. En chemin,spoiler: ils braquent un commerce, tuant un Rangers et le vendeur. Bilan: de l'hécatombe 16/0 (5 Rangers, 8 Officiers, 3 Civils), cela sans compter les otages. Le FBI, les rangers et la police entament une chasse à l'homme.
La BOF est très attrayante et les effets spéciaux fantastiques. Le scénario est bourré d'humour : les répliques font mouche, les dialogues sont percutants, efficaces et drôles... Les aventures des frères Geuko : une histoire de gangsters qui dérive dans le fantastique avec la scène mythique de la bagarre au Titty Twister. Le jeu des acteurs principaux est époustouflant : George Clooney dans le rôle de Seth, et Quentin Tarantino dans celui de son frère Richard. Même les seconds rôles sont excellents : Harvey Keitel dans le rôle de Jacob, le pasteur ; Danny Trejo le barman ; Tom Savini dit "Sex Machine", l'homme au fouet ; Michael Parks le Texas Ranger et Salma Hayek la danseuse au serpent...
Une excellente réalisation de Robert Rodriguez qui ressemble à un Tarantino avec Tarantino comme acteur et scénariste. Un film culte de 1996 qui n'a pas pris une ride tant il pourrait être produit de nos jours sans en changer une scène.
J’avais déjà entendu parler de ce film je ne sais combien de fois, mais je ne l’avais encore jamais vu. Il fallait bien qu’un jour j’arrive à me décider. Ecrite par Quentin Tarantino, cette « Nuit en enfer », dans mon imaginaire, constituait une sorte de mélange entre « Réservoir Dogs » et « Pulp Fiction », en gros un truc absolument dément alternant violence et humour bien noir. Même si j’avais pas spécialement aimé « Réservoir Dogs ». En fait non, il ne s’agit pas du tout de ça. Le film est clairement divisé en deux parties. Dans la première, on a droit à un road-movie se voulant enlevé et haletant mais qui en réalité est monotone et ennuyeux. La deuxième, ça part complètement en vrille et ça devient un film d’horreur bien gore un peu dans la même veine que « Braindead » avec des vampires à l’appui. J’avais pas aimé le film de Peter Jackson, alors imaginez ce que j’ai pu ressentir devant ça. Mais le pire de tout ça, c’est que ça aurait pu être bien. Encore aurait-il fallu confier le projet à un autre cinéaste que Rodriguez. Tarantino (que j’aime pas spécialement) par exemple aurait mieux fait l’affaire, j'en suis sûr. Lui aurait su ne pas se prendre au sérieux et donc injecter un second degré bien venu. Mais bon, entre potes, on se fait quelques cadeaux ! Logique ! A mon goût, il n’y a rien à sauver, si ce n’est deux ou trois petites trouvailles sympas et l’espèce de strip tease sensuel de Salma Hayek auquel aucun hétérosexuel digne de ce nom ne peut résister. Il y avait un trip en dessous de tout ça, mais je n’y ai pas adhéré. Ainsi va la vie.
Une nuit en enfer est un petit bijou dans son style, divertissant et comique, se film est bien choisi pour passer un bon moment. Attention ! Le genre n'est pas aux goûts de tout le monde. Le duo mythique et leurs films cultes, font de Robert Rodriguez et Quantin Tanrantino, des incontournables. Très bien mis en valeur par Georges Clooney, avec une belle prestation dans son rôle, se film es le régal de tous amateurs du genre. Enjoy, Bye.
c'est nul, c'est un mauvais nanar interminable sous fond de comédie gore. Mais c'est Rodriguez qui réalise, c'est Tarantino qui écrit le scénario et il y a une scène qui réunie Clooney, Keitel, Hayek, Tarantino à la même table; rien que ça. Donc je pardonne ce mauvais -même très mauvais film.
une bonne comédie horrifique portée par George Clooney et par Quentin Tarantino. J'ai aprecié dans touches d'humour noire, surtout dans la première moitié, ce qui fait de lui un demi "road movie".
Tueurs de vampires, les vampires nous appellent. Tels sont les mots prononcés par George Clooney lorsqu'il charge les suceurs de sang, vers la fin du film. Et oui, cette phrase en est l'exemple, Une nuit en enfer bénéficie de dialogues excellents devenues cultes. On y suivra la descente aux enfers de deux voleurs et de leurs trois otages qui, attaqués par des vampires, devront survivre coûte que coûte dans ce qui semblait être le paradis des motards. Le paradis, oui, mais le jour, pas la nuit. On passe le plus clair de son temps à sourire devant les dialogues Tarantiniesques et les situations made in Rodriguez , alors que le gore si cher à son réalisateur est omniprésent. Oui, c'est violent, même ultra-violent, mais le film est tellement barge et ne se prend tellement pas au sérieux que tout ces artifices ne sont pas gênants au bon déroulement, non, ils rentrent tout à fait dans l'ambiance générale et trouvent leur place parmi les vampires caricaturaux et les personnages très bien développés. Les deux compères utilisent les stéréotypes et autres lieux communs du genre fantastique et en particulier du vampirisme pour les modifier à leur sauce et ainsi donner leur propre version du mythe gothique. Pendant la première heure du métrage, on se dit de bout en bout que l'on va assister à une nouvelle course poursuite entre gangsters-policiers. Après la première heure, un twist inattendu et surprenant vient bouleverser nos attentes et autres pensées. Et oui, car ils aiment jouer avec nos sentiments et faire passer leur oeuvre pour ce qu'elle n'est pas, c'est à dire un banal film d'action. Derrière le résultat final se trouve bien plus qu'une simple série b. Derrière le résultat final se trouve un film de qualité, personnel et qui jouit d'une aura unique, de par son côté série b évidemment volontaire et son jeu d'acteurs tout à fait honorable.
Encore un sacré trip bien personnel de Robert Rodriguez,à la sauce vampires démoniaques,gore et autres boucheries au rendez-vous. Clooney et Tarantino forment un duo de choc,deux frangins complètement barrés. Et pour ce qui est de Tarantino,son rôle s'arrête beaucoup trop vite. Clooney en beau gosse alcoolique,est tout simplement bad ass et génial. Harvey Keitel est pas mal du tout dans son rôle. La BO est bien rock´n`roll. On se paye de bonnes barres à certains moments. L'ambiance trash ne manque pas à l'appel. Mais bon,après trop de n'importe quoi tue le n'importe quoi. À voir,et à prendre au millième degré,bien entendu.
Tueurs de vampires, les vampires nous appellent. Tels sont les mots prononcés par George Clooney lorsqu'il charge les suceurs de sang, vers la fin du film. Et oui, cette phrase en est l'exemple, Une nuit en enfer bénéficie de dialogues excellents et de punchlines devenues cultes. On y suivra la descente aux enfers de deux voleurs et de leurs trois otages qui, attaqués par des vampires, devront survivre coûte que coûte dans ce qui semblait être le paradis des motards. Le paradis, oui, mais le jour, pas la nuit. On passe le plus clair de son temps à sourire devant les dialogues Tarantiniesques et les situations made in Rodriguez , alors que le gore si cher à son réalisateur est omniprésent. Oui, c'est violent, même ultra-violent, mais le film est tellement barge et ne se prend tellement pas au sérieux que tout ces artifices ne sont pas gênants au bon déroulement, non, ils rentrent tout à fait dans l'ambiance générale et trouvent leur place parmi les vampires caricaturaux et les personnages très bien développés. Les deux compères utilisent les stéréotypes et autres lieux communs du genre fantastique et en particulier du vampirisme pour les modifier à leur sauce et ainsi donner leur propre version du mythe gothique. Pendant la première heure du métrage, on se dit de bout en bout que l'on va assister à une nouvelle course poursuite entre gangsters-policiers. Après la première heure, un twist inattendu et surprenant vient bouleverser nos attentes et autres pensées. Et oui, car ils aiment jouer avec nos sentiments et faire passer leur oeuvre pour ce qu'elle n'est pas, c'est à dire un banal film d'action. Derrière le résultat final se trouve bien plus qu'une simple série b. Derrière le résultat final se trouve un film de qualité, personnel d'une aura unique, de par son côté série b évidemment volontaire et son jeu d'acteurs tout à fait honorable.
Un film surprenant et plein d' humour orchestré de main de maitre par Robert Rodriguez . Harvey Keitel , George Clooney et Quentin Tarantino sont formidables ! Jubilatoire .
Quand j'ai regarder ce film je ne savais pas du tout l'histoire . J'ai vraiment apprécié le film jusqu'au moment ou les vampires ont débarqué. A partir de ce moment j'ai détester . Je me demande comment deux grands acteur et réalisateur on pu joue dans un film comme ça .
Voila un film inracontable et tellement caricatural à l'excès qu'il m'a tout de suite interpellé lorsque je l'ai vu lors de la Fête du cinéma 1996 ; j'étais tellement abasourdi que je suis retourné le voir le soir même, puis je l'ai revu sur Canal +, puis j'ai acheté le DVD, et depuis je me régale à chaque fois. C'est du total délire ! On a d'abord un road-movie en forme de thriller saignant, avec une scène d'ouverture délirante dans le drugstore de bouseux où l'on découvre le duo le plus incroyable de frangins : Clooney et Tarantino, un tordu de première qui a dû se régaler à écrire ce film. Puis la seconde partie bascule habilement dans le fantastique dès l'entrée au Titty Twister, avec un côté biker et viril très marqué. Les fx qui utilisent la technique du morphing sont très réussis pour l'époque. Rodriguez enchaîne alors des séquences complètement folles qui sont autant d'hommages aux films de zombies de Romero et de vampires, à grands coups de jets sanguinolents et de maquillages affreux. On y retrouve une pléiade d'acteurs excellents : ses potes Cheech Marin (qui tient 3 rôles dont celui de Chet Pussy le bonimenteur hilarant du Titty Twister qui "vend de la chatte") et bien-sur Danny Trejo en barman aux dents longues. Et puis on trouve aussi Fred Williamson, un acteur de la Blaxploitation des années 70, Michael Parks (en Texas Ranger du début, et qu'on retrouve souvent chez Rodriguez), Tom Savini, as du maquillage des années 80 sur les films de zombies, et puis la bombe Salma Hayek qui dégage un érotisme troublant avec son python blanc... sans oublier Harvey Keitel qui garde tout son sang-froid dans cette histoire qui sent bon la tequila, la musique rock au ton Mex et le sang frais. A savourer.
On avance comme qui dirait en terrain connu quand on a affaire à un film de Robert Rodriguez ou de Quentin Tarantino. Violence, humour glauque, évènements inattendus sont toujours au rendez-vous, nous sommes donc toujours à la recherche du petit truc en plus, parfois inexplicable, qui ferons qui nous apprécions le film. J'avais moyennement aimé Planète Terreur pour être honnête, j'ai en revanche beaucoup plus apprécié Une nuit en enfer. On a ici encore une fois un duo entre les deux hommes, Rodriguez réalisateur et Tarantino scénariste, avec le fidèle ami du second, Harvey Keitel en pasteur ayant perdu sa foi. S'il y'a une chose à laquelle on ne s'attend pas, c'est bien le spoiler: twist de milieu de film qui arrive comme un cheveu sur la soupe et qui fait totalement basculer le style du long-métrage, passant du policier limite mafioso un pe usanglant au film d'horreur trash de base avec déguelinguage de bestioles. J'avoue avoir été un peu plus embarqué par la première partie, bien mise en scène, avec quelques moments de tension, notamment lors du passage des douanes, et comiques. La seconde partie en revanche, bien que jouissive au début, devient assez vite lente et répétitive malgré le caractère innovant de certaines situations. En effet, on ne tombe pas dans le cliché standard du mec qui ne veut pas spoiler: tuer un zombie pour raisons personnelles , ou dans l'habituel "rentre-dedans sans réfléchir". Ici les choses sont posées, parfois un peu trop, les armes sont innovantes, donc tout n'est pas à jeter. Une nuit en enfer est donc un bon divertissement, certes pas au niveau d'un Shaun of the dead pour moi par exemple, mais tout de même un Rodriguez de niveau plus qu'acceptable.