Avis : Le Chaperon Rouge - Page 2

Dans le show business, le hasard n'existe pas et tout ce qui est montré a été soigneusement choisi.

ici nous avons, au moyen age dans les bois, des beaux gosses metrosexuels imberbes aux cheveux sculptés au gel, deux mamies tellement bien liftées et botoxées qu'on dirais qu'elles ont 45ans, des jeunes vierges qui ont l'air d'avoir 22ans, des coups de poignards dans le torse et le ventre qui font un peu mal 5 secondes, un hivers ou les gens n'ont pas froid et se baladent en tenu de mi-saison tranquillou, un loup-garou tellement bien photoshopé qu'on dirais un nounours, and the last but not least : un paganisme de supermarché et une propagande anti-religion.


niveau messages subliminaux de conditionnement evaluatif visuel hollywoodien, elle est balese la Catherine Hardwicke.


charles perrault et les freres grimm doivent peter un cable de là ou ils sont.

Ce film est un chef d'oeuvre! quel magnifique interpretation de notre conte d'enfant. Les acteurs sont splendide est remplie de talent, le suspense est entier jusqu'a la fin! On reconnait sans nul doute la patte de catherine hardwick qui revele une nouvelle fois tout sont talent certainement une de mes realisatrice preferé. Elle posséde un univers tout particulier est nous le fait une nouvelle fois decouvrir avec brio. L'atmosphére de twilight reigne dans ce film ce qui rendrons les fans de la saga en extase, et d'ailleur cette atmosphére de mystére de foret de brume....manque cruellement aux autres chapitres de twilight, quel dommage qu'elle ne les ait pas tous realiser!. Un film que je recommande absolument, personnelement il est rentreé dans ma categorie des films INCONTOURNABLES!!!!

Depuis quelques années, les studios hollywoodiens ne cessent de produire des versions modernisées des célèbres contes qu'on lit aux enfants avant de dormir. Blanche Neige, Maléfique, prochainement Cendrillon. Elles ont toutes eu droit à un remake inspiré des films de héroïc fantasy actuels. Même Le Petit Chaperon Rouge a eu droit à son film moderne, avec Catherine Hardwicke derrière la caméra. Oui, vous avez bien lu, c'est bien à la réalisatrice du premier Twilight qu'on a confié ce projet. Là, tout de suite, ça donne moins envie.
Et hélas, nos craintes s'avèrent exactes: ce film cible les jeunes filles en manque de Twilight. On y retrouve tous les ingrédients de ce type de film: un triangle amoureux, un scénario cliché, de la musique un peu rock dans un univers médiéval, et des scènes d'amourettes qui vont faire mouiller la culotte de certaines spectatrices.
C'est dommage, car le film en lui-même avait du potentiel. Elle s'inspire du conte de Perrault pour offrir quelque chose de neuf. Ici, Le Petit Chaperon Rouge ne rend pas visite à sa grand-mère dans les bois. Elle n'est pas la seule à être mise en danger par le loup, c'est tout un village qui se retrouve condamné non pas par un loup, mais par un loup-garou! Mélanger plusieurs histoires n'était pas une mauvaise idée, mais encore aurait-il fallu le faire de manière convaincante. On ne croit pas une seule fois à l'histoire. Le scénario essaie d'induire le spectateur en erreur, mais il ne le fait pas du tout subtilement, et au final, la fin réserve très peu de surprises.
Dommage aussi que les effets spéciaux soient si moches. En 2011, la technologie est assez avancée pour offrir des effets spéciaux réussis. La seule créature animée par images de synthèse se retrouve être totalement ratée. C'est assez risible, quand on sait que le loup-garou représente la grosse menace du film. La moindre des choses aurait été de l'animer correctement...
Là où le film se rattrape, c'est dans sa photographie. L'image de ce film est assez jolie, et aide le spectateur à plonger dans l'ambiance. Sans oublier Gary Oldman, toujours aussi excellent, même si son utilisation dans ce film semble être un gâchis.
Bref, c'est bien beau de vouloir offrir une nouvelle jeunesse aux contes cultes qu'on connait tous, mais encore faut-il offrir quelque chose de consistant. Ce n'est pas avec des films comme celui-ci qu'on va faire honneur à ces contes...

Pas mal comme adaptation. Dommage que le rôle de la grand mère n'est pas plus développer que ça.

C'ètait à craindre de voir la rèalisatrice de "Twilight" à la mise en scène de ce film niais et surfait! Une relecture romantiquement fade du conte du "Chaperon rouge", transformèe ici en un thriller alliant le fantastique et le sensuel! Le visage d'ange à la blondeur angèlique Amanda Seyfried porte le chaperon avec dèlectation mais n'est pas aidèe par l'histoire mielleuse ou se profile l'ombre de "Twilight". Alors oui Gary Oldman est parfait comme souvent et sauve ce qu'il peu, oui la beautè de quelques scènes est bien rendue, oui l'atmosphère l'emporte sur les apparitions des loups garous! Mais pourquoi diable est-ce si dècevant ? La faute à Catherine Hardwicke! Un metteur en scène comme Christophe Gans aurait pu donner à l'ensemble un style glacè, balayant au passage tous les tourments amoureux de l'adolescence! En revanche, on croquerait bien toute crue Amanda Seyfried...

Il était une fois, dans la forêt des Fonds Verts Affreux, un petit village où les habitants avaient conclu un pacte avec un grand méchant loup-garou. Celui-ci avait sans doute apposé son empreinte de la patte droite sur un contrat dans lequel il s'engageait à ne pas attaquer les villageois si du bétail lui était livré chaque soir de pleine lune.
Mais, un beau jour, arriva le cycle de la lune sanglante, seule période où le loup-garou peut mordre et transmettre sa malédiction, la bête consulta donc ses avocats et décida de rompre unilatéralement le contrat en allant croquer de la jeune fille au village.
Sur sa route affamée, elle allait croiser le Petit Chaperon Rouge aka Valerie (toujours une meilleure idée que de l'avoir appelé Brigitte), une jeune fille au physique d'Amanda Seyfried prise dans un triangle amoureux d'une intensité trépidante où ses grands yeux globuleux étaient convoités à la fois par un bûcheron (Shiloh Fernandez et sa tête parfaite de petit arrogant) et par un fils de bonne famille auquel la jeune est fille est destinée (Max Irons et sa tête parfaite de benêt ahuri).
Alors qu'une espèce de chasseur-prêtre fanatique (pauvre Gary Oldman, aussi gênant pour lui que pour nous de le voir là-dedans) arriva pour occire la bête, le loup-garou s'introduisit dans le village et, entre deux coups de griffes, se mit à converser tranquillement avec Valérie (oui, oui, il parle littéralement avec elle) en lui annonçant qu'il reviendrait la chercher pour l'emmener avec lui.

À partir de là, cette relecture du "Petit Chaperon Rouge" va se transformer en "whodunit" encore plus fainéant que le reste où il s'agira de découvrir l'identité de la fameuse grosse bébête poilue.
À la tête de cette funeste entreprise, on retrouve la Catherine Hardwicke de "Twilight" (non, pas celle de "Thirteen", hélas) qui nous balance n'importe comment les moments incontournables du conte de Perrault -la mère-grand, la cape rouge, le petit panier, le dialogue "Que vous avez de grands yeux...", le loup déguisé en humain, etc- dans une relecture gothique aussi hideuse visuellement que pauvre sur le fond (sérieux, personne n'a regardé ce machin avant de le présenter au public ?). En effet, elle passe totalement au travers de la cruauté et de la potentielle sexualisation du conte, les fioritures qu'elle rajoute pour tenter de péniblement gonfler le propos se résument à des intrigues amoureuses adolescentes (il y a même une scène d'amour dans le foin, punaise !), des rebondissements dignes d'un soap-opera et un suspense tellement superficiel qu'il en devient lourdingue autour de la révélation du loup-garou (ah, ces zooms hilarants sur les yeux des personnages pour reconnaître ceux du loup, bravo, quelle ânerie !).
Les rares éléments intéressants comme le fanatisme exacerbé du chasseur ou l'identité une fois connue de la bête auraient pu induire un sous-texte un tant soit peu subversif mais non, là encore, Hardwicke se contente du minimum avec, dans le premier cas, un prétexte sentimental (le personnage d'Oldman répète 150 fois qu'il a été obligé de tuer lui-même sa femme à cause d'une malédiction) et, dans l'autre, une tonne de flashbacks explicatifs pour justifier le comportement du loup-garou.
Malgré quelques éléments plus noirs pour inscrire le conte dans un contexte réaliste (le frère handicapé pris pour cible comme adepte du diable notamment), il n'y a qu'une scène (UNE seule scène à sauver) qui va véritablement lorgner du côté du cruel, c'est celle de la meilleure amie de l'héroïne lui révélant ses quatre vérités juste avant son possible sacrifice, un moment qui fait brillamment éclater tous les non-dits du pire de la pensée humaine.
Après, on se contentera de sourire avec l'apparition d'un "éléphant d'airain" (un instrument de torture qui se présente sous la forme d'un taureau d'habitude mais on n'est plus à ça près) ou devant les villageois s'amusant à rejouer "Les Trois Petits Cochons" pendant une fête (quid de cette mise en abîme ? On ne le saura jamais). Et c'est à peu près tout...

En pleine désintoxication post-"Twilight", Catherine Hardwicke s'est offert un livre des contes de Perrault et a décidé d'en faire un film. Elle n'aurait pas dû.

Tout le monde connait l’histoire du petit chaperon rouge, avec ce film vous ne là reconnaitrez plus.

Personnellement, j’avais trouvé le premier Twilight correct, je suis donc allé voir ce film sans préjugé. Malgré le fait que l’histoire du chaperon rouge n’a jamais été aussi mal traitée, je pense que certains y trouveront leur compte. Le film n’est pas aussi gnangnan que les Twilight. Néanmoins, le scénario reste très bateau et la romance mielleuse à la Twilight n’est pas très loin. Ici, l’histoire connue du chaperon rouge est remise en question et la réalisatrice nous donne une autre version. Le suspense et l’intrigue efficaces, réussissent à nous tenir en haleine tout le long. Malgré tout, j’avais deviné qui était le loup assez rapidement et pourquoi il voulait s’en prendre à Valérie. Je pense que le long-métrage aurait gagné à être un peu plus profond.
Du côté de la mise en scène, Catherine Hardwicke a fait du bon travail. Les costumes, décors et maquillages sont réussis et l’ambiance créée accroche. Elle rappelle fortement celle des univers médiévaux à la Burton. La BO s’accorde parfaitement au film et la photographie est agréable. Le rythme est également bien dosé. Personnellement, je n’ai pas vu le temps filer.
Pour le casting, mon avis est mitigé. Autant Gary Oldman (que j’ai vraiment adoré dans son rôle) et Billy Burke sont irréprochables dans leurs interprétations, autant le reste de la distribution peut laisser à désirer. Du moins dans les grandes lignes. Shiloh Fernandez n’est pas crédible, le jeu de Lukas Haas est fade et Amanda Seyfried se contente du minimum syndical.
A noter, si il y a bien une chose dont j’ai une sainte horreur, se sont les fils à papa. Hors Max Irons pourrait en être un exemple vivant. Heureusement pour lui, je suis certainement l’un des plus grands fans du PAPA (Jeremy Irons), j’ai donc voulu être le plus objectif possible par rapport à son interprétation. Je dois bien admettre que son jeu est loin d’être mauvais, bien au contraire. Il est juste tout le long du film et je n’ai pas pu m’empêcher de constater qu’il a hérité du grand charisme de son père. Un acteur à suivre donc…

Bref, je pense que certains y trouveront leur compte, mais pas moi.

N'est pas Tim Burton qui veut... Si les lieux de tournage sont tout simplement sublimes et que la photographie est élégante (ça me rappelle un petit film de vampires, ça...), l'histoire en elle même est d'une linéarité platonique (avec le troisième mort, on grille vite le secret et il reste encore 45 minutes de film). Les amourettes entre ados se succèdent alors que la bête rôde. Bête qui se révèle au final bien peu démonstrative, une petite griffure de ci de là tout au plus (sachant que c'est la morsure qui infecte). L'univers du conte est détourné pour un twist final assez éventé et relativement peu étonnant bien que tout à fait logique. Malgré la mignonne Amanda qu'on croquerait bien sur la neige, ce film manque cruellement d'ampleur et de profondeur, et tient plus de Alice in wonderland pour l'aspect détournement du mythe que d'un sympathoche Wolfman (qui laissait pisser le sang à 3 mètres).

On aurait pu s'attendre au pire de la part de la réalisatrice de Twilight - Chapitre 1 : Fascination (2009), nous laissant augurer une version mièvre et ciblée pour les adolescentes, comme ce fut le cas avec son précédent film. Heureusement pour nous, cette relecture du célèbre conte de Charles Perrault évite les poncifs du genre (pas tous les poncifs mais les plus emblématiques). Résultat, Catherine Hardwicke nous offre avec Le Chaperon Rouge (2011), une version édulcorée mais pas déplaisante pour autant, à travers des décors en carton-pâte ou reconstitués en numérique (d'une certaine laideur il faut bien l'avouer), ajoutez à cela, des jeux de lumières et de la fausse brume totalement indigestes car trop insistant. Malgré cela, on aura tout de même plaisir de retrouver Gary Oldman aux côtés de Amanda Seyfried & Julie Christie. Une relecture a réserver en priorité aux adolescents et aux midinettes fans de la première heure de Twilight. Pour la petite anecdote, le film a été produit par Leonardo DiCaprio !

Le chaperon rouge : Heureusement que plus on avance dans le film, mieux sait. Car au début, et c’est continu aussi après mais c’est moins présent car le film visé une tranche d’âge, les ados. Ce film est vraiment typé, filmé et pensé comme ça et cela ne m’étonne pas car on a la mise en scène le réalisateur de Twilight et sur le jacquet du film c’est marqué : un twilight très hot, c’est très vendeur, moi j’aurais mit : mais qui est le grand méchant loup ?... c’est plus vendeur et ça met en avant le point le plus important qui sauve le film, le suspense. Car malheureusement, ce film a des personnages très clichés, avec des tenus et des réactions très moderne donc il y a un décalage et niveau authenticité, ce n’est pas ça. En plus, il y a une histoire d’amour qui fait très jeune et l’intro quand ils sont enfant, ça passe à une telle vitesse que cela sert à pas grand-chose. Et au début, les prises de vue sont toute aussi clichées avec le beau gosse qui coupe du bois… enfin bon. Mais ce qui sauve le film, c’est l’intrigue et le suspense qui rend le film comme un véritable Cluedo, on se demande qui est le méchant loup et le film nous détourne de la vérité avec des fausses pistes, et le suspense est assuré jusqu'à la fin et c’est bien, ça nous fait réfléchir et on est dedans. Même si, les fausses pistes sont un peu grosse a cause de la mise en scène mais bon. Donc voila, le scénario est intéressant grâce a ça et il y a des personnages clichés et d’autre qui sort du lot comme le personnage interprété par Gary Oldman. Et pour finir, il y a aussi un vrai décalé avec les musiques qui ne colle pas à l’ambiance car elles sont trop modernes. Donc voila, un film qui aurait pu être encore mieux sans la coté jeune mais le mystère nous tiens a haleine.

Divertissant mais le coté "Twilight" très à la mode se fait beaucoup ressentir . Les acteurs excepté Amanda Seyfried ne sont pas extraordinaire (meme Gary Oldman) .

Autant j'ai pas trop aimé Twilight, autant j'ai adoré le Chaperon Rouge !! Déjà il faut dire que j'adore Amanda Sygfried qui est l'une de mes actrices favorites, j'adore les loups-garous, et j'aime bien les ambiances médiévales.

Et puis, les 2 prétendants de l'héroïne sont tellement sexy et craquants !!!!! Difficile de faire un choix lol J'ai beaucoup aimé l'histoire revisitée et modernisée, les décors sympathiques et le costume du Chaperon Rouge.

Après bien évidemment, il ne faut pas oublier que c'est la réalisatrice de Twilight : tout est donc plus au moins aseptisé et édulcoré au niveau de la violence, ne vous attendez pas à voir un bain de sang concernant les attaques du loup.

Enfin, gros point que j'ai adoré : la bande-son de Brian Retzel et les artistes qui viennent s'ajouter à la musique du film : Fever Ray, M83, Crystal Visions, bref que du bonheur

L'ambiance et les décors du film sont vraiment bien fait. L'histoire assez bien écrite et interprétés, mais le film a du mal à prendre; il se laisse regarder, on ne s'ennuie pas mais je trouve qu'il manque un peu de magie au film.

Une histoire et des acteurs assez biens. Mais la fin n'est pas réussie et l'univers est un peu miévreux, on ressent trop le côté "Twilight" dès le 1er plan...

Film moyen c'est regardable par contre grosse surprise concernant le loup je m'attendais pas à ça et les petites histoires annexes qui se passent autour par contre ne servent à rien...