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    Kaboom
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    3,0
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    635 critiques spectateurs

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    belo28
    belo28

    62 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2010
    digne de ses autres films araki signe ici un délire vivant collectif rapide! C'est beau, on comprend pas tout, mais c'est beau!!! RENVERSANT
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    897 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2013
    Pour son dixième film, Gregg Araki revient dans l'adolescence destructrice de ses débuts cinématographiques, avec ses personnages paumés, excentriques, désabusés, ses couleurs flashy et sa musique pop-rock. Le réalisateur retrouve donc ses thèmes fétiches : la jeunesse, l'homosexualité, la drogue, le sexe, un destin tragique et un évènement hautement surnaturel. Ici, pas d'aliens à l'horizon mais un scénario aussi bizarre que surprenant, filant dans une logique propre au réalisateur. Tout comme un certain Richard Kelly, le metteur en scène d'origine asiatique explore le fantastique avec complexité, entremêlant son récit de base – les déboires d'un jeune ado de 18 ans (Thomas Dekker, une révélation loin de ses débuts dans la série "Chérie j'ai rétréci les gosses" ou encore plus récemment dans "The Sarah Connor Chronicles") en pleine crise d'identité sexuelle – avec une histoire improbable de fin du monde. Ainsi, loin d'un énième film pour ados en manque de corps musclés ou de filles à poil, Kaboom se révèle être une surprise de taille pour le spectateur, se laissant immédiatement embrigadé dans une aventure humaine peuplée de jeunes collant au plus près de la réalité. Ils flirtent avec tout le monde, couchent pour un rien, se masturbent, fument des joints et vont en cours. Plus l'intrigue avance, plus on est absorbé par cette énigmatique enquête que poursuite notre héros, épaulé par des amis pour le plupart de fortune aussi extravagants les uns que les autres jusqu'à une révélation finale abasourdissante et purement Arakienne. Mêlant ainsi la noirceur de sa Trilogie de l'Adolescence Apocalyptique au burlesque de Smiley Face, Kaboom est une surprise de taille sublime et attractive, filmée et narrée d'une main de maitre par son créateur. Rires (les répliques cultes fusent à vitesse grand V), frissons et romantisme sont donc au rendez-vous pour l'un des longs-métrages les plus intéressants de Gregg Araki... à ne manquer sous aucun prétexte.
    pandani
    pandani

    29 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 octobre 2010
    Ai-je vu le même film que les critiques ? Ce que j'ai vu n'est pas vraiment sexy, pas vraiment jubilatoire, pas vraiment drôle, et trimbale finalement, sous un emballage "pop" acidulé, pas grand chose sinon une vision assez convenue. Et c'est surtout, et de loin, le scénario le plus crétin de l'année. Heureusement, le film dure moins d'1h30.
    jfharo
    jfharo

    48 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2010
    Sympathique et coloré , déjanté même , ce film sauve du marasme le cinéma gay friendly de ces dernières semaines .
    Shékiinä .
    Shékiinä .

    43 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Gregg Araki, surprenant réalisateur. C'est comme un colis surprise : je ne sais jamais sur quoi je vais tomber en sélectionnant un de ses films, et pour cause : il a développé un style très personnel qu'il modifie à chaque production (modifiable mais reconnaissable, et ces thèmes qui reviennent constamment...) et est aussi capable du pire comme du meilleur, mais quand il fait les choses bien, c'est bien fait. La preuve avec Kaboom, son film le plus réussi pour le moment avec Mysterious Skins. Un pur bad trip délirant sur une histoire spoiler: de secte mystérieuse voulant détruire le monde
    ... Le scénario est invraisemblable comme un foutoir de fadas ; ça part dans tous les sens mais j'ai tout de même bien ri devant ce divertissement débile. La photographie est belle, tape-à-l’œil, et la mise en scène est hallucinée et sous des nuances de bleus hallucinogènes et de scènes crues délibérées.
    so13
    so13

    33 abonnés 632 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mars 2011
    Dans la lignée des autres Araki, un film sans queue ni tête! Il n'y a pas de scénario et le peu qu'il y a c'est du n'importe quoi!
    LALALALALERE
    LALALALALERE

    13 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 août 2011
    Un navet planétaire: le scénario a été écrit un soir de bringue par un pédé illuminé. Un mec qui veut se faire mettre par son coloc est victime d'une secte conduite par ses amis qui mettent des masques d'animaux en plastique alors que sa meilleure copine recontre une possédée! Difficile de faire mieux! Même les critiques sont incapables d'y voir clair et de voir visiblement que c'est tellement ridicule et risible!
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    920 abonnés 4 839 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2017
    Un film de campus où les étudiants ne parlent que de sexe (ou le font) et d'où émerge un mystère vaudou qui tente de donner un tournant surnaturel au film avec le destin étrange de cette fille coupée en deux. Néanmoins le discours oscille entre humour, dialogues crus et fantastique très bizarre qui donne ce ton plutôt bigarré à l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 juillet 2014
    Surréalisme: automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale.
    Vous n'avez pas tout compris?Allez voir Kaboom...
    selenie
    selenie

    5 450 abonnés 6 017 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 octobre 2010
    Un mélange des genres cacophoniques, il est clair que Greg Araki a de l'idée mais au final son film est trop sucré et pas assez acerbe. De bons et beaux acteurs jeunes et sexy superbement filmé dans des tons pastels et psychédéliques font un film esthétiquement superbe. Le vrai problème reste le scénario qui ne crée jamais un réel intérêt pour l'intrigue de la secte apocalyptique ; comment cette secte a-t-elle pu avoir un tel pouvoir tout en restant si secrète ?! Mais le summum est le super-pouvoir qu'on certain, d'où vient-il ?! On est aussi déçu du personnage de Roxanne Mesquida trop peu important. La métaphore de la jouissance masturbatoire OK mais c'est un peu juste, encore aurait-il fallu rendre l'intrigue moins superficielle. Au premier coup d'oeil c'est magnifique mais on s'aperçoit vite que l'ensemble est vain. Le seul qui s'excite encore reste bien Greg Araki, cinquantenaire nostalgique d'une jeunesse qu'il pense toujours avoir.
    Redzing
    Redzing

    924 abonnés 4 297 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 novembre 2017
    "Kaboom" est typiquement le genre de film qui ne laisse pas indifférent son spectateur. Il démarre comme un détournement des teen movies américain, avec ses personnages d'étudiants lubriques jusqu'à l'absurde, pour muer à coup de rebondissements loufoques en un thriller teinté de surnaturel. Une intrigue donc qui à la fois, part dans tous les sens et enchaîne les péripéties imprévisibles... et finalement ne raconte pas grand chose, d'autant que le final (certes osé !) montre qu'elle n'a en fait que peu d'importance. Dommage car Gregg Araki a clairement pas mal d'idées délurées, et offre dans le premier acte une peinture amusante de l'émoi sexuel des jeunes adultes, à coup de scènes sensuelles, de couleurs criardes, et d'un montage abrupt assez drôle. Mais tout ceci a ses limites, outre le scénario. La réalisation est souvent très limite (voire proche de l'amateur par moment), la qualité de l'image façon téléfilm et les effets numériques très faiblards n'aidant pas. Il y a certes beaucoup d'auto-dérision là-dedans, mais à un moment, même la parodie est sensée être bien exécutée ! Côté acteurs, si les protagonistes sont amusants et séduisants (mention à Juno Temple), on restera beaucoup plus mitigés devant les rôles secondaires... Quoi qu'il en soit, chacun se forgera sa propre opinion sur "Kaboom", qui a le mérite de sortir des sentiers battus.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    362 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2014
    Je viens de finir le film à l'instant et je ne sais pas trop quoi dire ... Ça m'a rappelé l'état que m'avait mît Araki à la fin de "Nowhere" avec son cafard géant, sur le cul et sans réponse.

    L'univers est toujours aussi singulier, c'est à dire édulcoré et sombre à la fois, cette touche psychédélique reste une des marques de fabrique du réalisateur et il en joue habilement. Il garde ces thématiques de base, celles du jeune homme à la sexualité ambigüe, du rapport au paranormal, aux rêves et aux paradis artificiels, je dirais que ça tombe un peu dans la redondance après avoir vu maintenant quatre films de Araki, seul "Mysterious Skin" s'en détache grâce à une allégorie claire et identifiable, son "Kaboom" semble être le trip de trop ...
    Dans le sens où le dernier quart d'heure du long métrage part complètement en vrille totale après un peu plus d'une heure de comédie acidulée sous fond de mystère quasi occulte, on se laisse largement charmer par la qualité originale de cette réalisation, bien loin du conformisme ambiant, et ça c'est un bon point, mais tout comme Richard Kelly en son temps avec "Southland Tales" il veut trop en faire et jouir de sa propre élucubration, pour le coup Araki gâche surtout sa fin mais ça remet en question la globalité de l'œuvre et c'est bien dommage.
    J'étais réellement prêt à adorer ce film mais exactement comme pour "Nowhere" il laisse un arrière goût bizarre, et on sait que le sentiment final reste dominant, à la place du cafard géant on nous balance cette confrérie secrète, cet holocauste nucléaire, les liens de parenté improbables, l'élu du nouveau monde, etc, tout ça en un temps record, c'est beaucoup trop ...

    "Kaboom" reste un petit gâchis mais qui ne manque certainement pas de charme, de personnages attachants et de dialogues percutants pour un cocktail détonant, juste ce fou de Araki qui se moque un peu de son spectateur au fond de notre esprit ...
    ferdinand75
    ferdinand75

    453 abonnés 3 640 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2020
    Un film surprenant, très rock & roll, très coloré. Le côté « arty » de Gregg Araki transparait tout de suite. Mais on est dans une sorte de comédie loufoque, une sorte d’aventure de « Pieds Nickelés » avec des personnages fantasques, mais modernes et contemporains, comme un comics des années 50, qui aurait pris un acide et que l’on transposerait dans un monde psychédélique des années 70. Les trois personnages centraux sont très actuels, à la sexualité débridée, souvent tendance bisexuelle (l’héroïne cite la fameuse étude d’un médecin américain, avec la gradation de 1 à 6 sur le genre de la sexualité). Ce sont de jeunes étudiants, qui vivent sur un campus, Ils se retrouvent dans leur chambre d’étudiant et participent aux soirées. Puis le film bascule vers le fantastique, voir la magie noire. Pour devenir une sorte d’ovni ,épopée de science fiction, avec un ordre secret qui veut attaquer la civilisation, On est à nouveau proche de l’univers de la BD, et d’ailleurs la photographie est très graphique, très colorée, avec des effets spéciaux, proche de performance Video.. Le film doit beaucoup à ces jeunes acteurs principaux qui donnent une vraie dynamique au film, et qui feront tous une belle carrière : l’anglaise Juno Temple , impeccable en JF sexuellement libérée, qui donne des cours de cunnilingus à ses amants( on l’avait déjà repérée dans « Cracks », puis « Batman » ). Haley Bennett , très mignonne , charmeuse , vu dans « Come back » au côté d’ Huhg Grant ; et la française Roxane Mesquida, révélée par Breillat dans « Sex is comedy » , puis dans « Sheitan » . De belles actrices, que Araki sait bien filmer, toute en sensualité, car son cinéma est très orienté sur le sexe. Mais il n’y a pas la profondeur de personnage que l’on trouve chez Larry Clark ou dans le cinéma Indie US, style Gallo ou Peirce. Araki est plus léger, plus délire, plus fun, plus pictural , C’est agréable à voir, mais sans plus.
    Alasky
    Alasky

    286 abonnés 3 082 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 avril 2016
    Dommage pour les 20-25 dernières minutes du film, qui sont décousues, j'enlève une étoile pour la dernière partie. Sinon il faut dire que c'est divertissant et bien filmé. Casting hyper sexy, bande originale excellente et photographie impeccable, rien à redire sur ces trois éléments. Si vous voulez du bad trip délirant je peux vous conseiller The Voices (sorti en 2014).
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2010
    Kaboom est vraiment un film curieux, inclassable qui montre, malgré les apparences,non la liberté sexuelle de jeunes étudiants qui baisent ou semblent baiser comme ils le veulent mais la difficulté de vivre une sexualité en dehors de certaines normes hétérosexuelles. C'est pour cette raison que le film bascule à sa moitié vers un délire visuel fantasmagorique, le repli vers des illusions servant à palier des relations sexuelles mal assumées ou inassouvies de la première partie. Il faut un temps au spectateur pour "rentrer" dans le film, mais ensuite l'humour et la force des dialogues de Kaboom (voir la blonde avec l'étudiant qui lui fait mal l'amour) emballe le spectateur dont les habitudes sont parfois mises à mal. Araki, plus à l'aise dans le troublant Mysterious skin, s'inspire avec élégance de David Lynch (voir les tueurs avec les têtes d'animaux -Inland empire-) et de Larry Clark pour les ébats sexuels de jeunes gens filmés sans vulgarité ni vacuité. La fin du film vire au potache délirant et flirte avec le ridicule mais bien assumé. Un film amusant à voir.
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