Derniers Avis : Code Mercury - Page 3

Un film qui dégage 2 sentiments: celui du déjà-vu et celui de l'improbabilité du scénario. Au milieu de tout ça, Bruce Willis nous fait du Bruce Willis, en héros sorti de nulle part qui va aider la veuve et l'orphelin. Le rythme est là, mais peu de surprises au final. Par contre, de vrais moments de tendresses se dégagent avec l'enfant, dont il faut également souligner le talent.
Enfin, ce twist final... On est peut être trop exigeants avec certains films du passé, mais force est de déplorer sa piètre réalisation.

Code Mercury est un film qui partait d'une bonne idée ( un enfant autiste qui arrive à trouver un code et qui va être protégé par Bruce Willis contre le méchant) mais malheureusement, mal exploitée.
Je m'explique, le scénario est d'un vide incroyable, il se passe que dalle à part la relation entre l'enfant et Bruce qui est vraiment cool et ce qu'on retient le plus du film. Les incohérences, c'est pas trop grave, selon moi, il y en a dans tous les films, ça ne me pause pas de problème. Le méchant joué par Alec Balduin est pas top top et la VF pour ce personnage là est catastrophique. Le reste du casting assure avec Bruce, toujours parfait et l'enfant vraiment intéressant. Il y a aussi l'acteur noir qui joue Glover dans Hawaï 5—0. Sympa
La musique est discrète mais agréable. La dernière chose que je trouve dommage, c'est le final bâclé avec des effets spéciaux avant 2000 plus très beau à l'oeil.
Bah, finalement, on peut dire que c'est un film divertissant quand il n'y a rien à la télé.

Film d'action kitch avec Bruce Willis, pour le coup le film est sans surprise, distrayant mais sans plus.

Bruce Willis, faut déjà se le farcir, alors quand il se la joue méga-star à rouler des mécaniques dans ce prétendu "méga-techno-politico-secreto-thriller" à la godille, la tension nerveuse est à son comble : on balance la télécommande dans la télé en visant soigneusement Bruce Willis comme s'il venait de nous refiler la syphilis (les postillons de l'acteur traversent la télé et nous contaminent).

Le Bruce Sywillis doit s'occuper d'un petit Rain man qui a loupé l'avion et rétréci ses parents en résolvant un puzzle dans Télé7jours qui servait de modèle à la CIA et du coup l'habituel méchant Alec Baldwin (quand c'est pas lui, c'est Sean Bean, ils alternent) veut liquider l'autiste mais n'y arrive jamais parce que l'autiste est 1) trop intelligent 2) y a Bruce Willis.

Le plus dingue dans cette fantasmagorie de bas étage, c'est la musique de John Barry, timide réminiscence faiblarde de l'agent Jambon 007 ! du temps où Porco Bond nous faisait rire aux éclats, cela va sans dire. Mais que diable est-il venu faire dans cette galère de pauvres hères ? o tempora o mores !

Un petit thriller construit sur le thème déjà vu de l'agent du FBI qui doit protéger un enfant autiste mais surdoué, qui a décrypté des codes de défense secret. Une course poursuite s'engage et Bruce Wilis, toujours impeccable, doit faire jouer tous ses muscles pour défendre le jeune garçon. Le scénario est un peu poussif, mais on se laisse embarquer par le suspense.

Un film d'action qui m'a pas trop accroché du début jusqu'à la fin. Un scénario basique car il s'agit d'une protection d'un enfant surdoué. Sauf que ce dernier est autiste et donne bien des fils à retordre au personnage principal et donne un certain dynamise au film. Casting d'acteurs pas trop mal dans l'ensemble même si Bruce Willis a joué bien mieux. Le film joue sur quelques longueurs et sur quelques scènes assez mouvementés rien que par la présence de l'enfant. Cependant, cela m'a peu endormi et la fin se devinant presque avant. Des scènes d'actions assez moue dans l'ensemble. Décors et costumes à l'américain. Bref, du Bruce Willis, on a vu mieux.

Sur un canevas totalement irréaliste, Harold Becker tente de nous faire croire à cette simili affaire d'enfant autiste super intelligent qui a déchiffré un code secret mettant en danger la sécurité des Etats-Unis. Le script mélange plusieurs genres : thriller, policier, action et espionnage. Les seules consolations de cette pellicule sont la prestation du jeune garçon dans le rôle de l'autiste et les quelques scènes d'action et de poursuite. Tout le reste n'est qu'un tissu d'invraisemblance. Et ce n'est pas la présence de Bruce Willis et d'Alec Baldwin qui sauve cette histoire tirée par les cheveux. Le moment de distraction passé, ce film est à oublier, ce n'est pas un navet, mais une intrigue dont le seul intérêt est l'enfant autiste à voir jusqu'à la scène finale, seul véritable instant d'émotion.

Le film démarre bien , avec un scénario simpliste mais avec une petite touche d'originalité . Manque peut être un peu d'émotions au final . Le reste est pas trop mal . A conseillé au fan du genre et de Bruce Willis .

Oui, bon, certes Code Mercury est un film qui vient avec ses gros sabots doté d’une histoire peu vraisemblable, mais bon, si on n’est pas trop regardant on appréciera quand même l’aspect divertissant de l’objet, qui, sans faire d’étincelle, coule doucement pour une petite soirée sans prise de tête.
L’interprétation d’abord est de qualité. Bruce Willis trouve le genre de personnages qu’il aime bien, un peu bourru, mais bon cœur, et il a quand même un peu plus l’occasion de montrer ses talents d’acteur puisqu’il doit s’occuper ici d’un enfant, autiste qui plus est. Miko Hughes qui campe l’enfant livre d’ailleurs une prestation remarquable, qui mérite franchement d’être loué. On peut d’ailleurs s’étonner que sa carrière soit finalement bien timide. En méchant de service on trouve un Alec Baldwin un peu trop cabotin, heureusement les seconds rôles, notamment Kim Dickens, mais encore Chi McBride et même des rôles très secondaires comme celui de Carrie Preston font belle impression.
Le scénario en revanche il est vrai relève du n’importe quoi. Tant du point de départ de l’histoire que du déroulé, si l’on prend notamment en considération l’intervention du personnage de Kim Dickens. Après, si on passe sur l’intrigue en elle-même, le film reste tout de même rythmé, doté de bonnes répliques, et les personnages ont suffisamment de consistance pour introduire un peu d’émotion et de profondeur. Pour ma part j’ai quand même suivi le film sans déplaisir, en dépit de ses inconsistances regrettables malgré tout.
Sinon on sent le gros budget et le produit américain emballé solidement mais sans génie non plus. Code Mercury reste dans les clous, et ne se mouille pas tellement. Les décors sont corrects mais sans plus, la photographie est appréciable mais ne fait pas d’effort outre mesure, les scènes d’action sont propres mais dans les limites du raisonnables. Quant à Harold Becker, qui était alors dans sa grande période, il signe quand même une réalisation efficace, sobre, dans laquelle on ne décèle pas un génie, mais qui dans le choix de la simplicité dénote quand même un metteur en scène intelligent. La bande son enfin est à l’image de la qualité formelle du film : appréciable mais sans plus.
Clairement Code Mercury est taillé pour le divertissement, et ne cherche pas à être grand-chose d’autre. On peut le regretter, mais c’est ainsi, et pour ma part, si j’ai bien perçu les limites de l’ensemble, je ne l’ai pas trouvé si mal dans son rôle de produit de distraction. Cela m’amène donc à lui mettre 3.

Ce film qui n'a fait que des mauvaises critiques est pourtant mon préféré Bruce Willis. On le trouve banal et peu crédible. Alors je pose une question: trouvez-vous plus crédible un Bruce Willis en équilibre sur l'aile d'un avion de chasse, faisant exploser une comète se dirigeant vers la terre, en équilibre au dessus d'un geyser, régulièrement sauveur du monde (du monde américain en particulier)? Vous avez pourtant été bien moins sévères pour ces films totalement irréalistes dont le seul but est de faire passer un moment de détente auprès d'un héro qui nous ressemble si peu. Cette fois notre super flic est vraiment mal dans sa peau, il doit prendre des médocs pour faire face, et voilà qu'il se prend d'affection pour un enfant orphelin handicapé (le jeune acteur qui joue le rôle de l'autiste est juste époustouflant) et qu'il va tout faire pour le sauver. Cet amour pour cet enfant va le transfigurer, lui redonner une vrai raison de vivre et il entraine Spacey (Kim Dickens qui joue dans ce film un rôle également bien attachant) dans cet élan de générosité.

Mon dieu que c'est "bâclé" (pour rester poli) ! Cette écriture infecte ne propose rien de crédible. Ces enchaînements de scènes ridicules ne cherchent qu’à simplifier le déroulement de l’histoire par tous les moyens. Mais que fait notre bon vieux Bruce dans cette galère ? Il aura du mal à sauver le film de sa destinée, à savoir la poubelle. Grossier et sans intérêt, on n’y croira pas une seule seconde.

Dans les années 90, de nombreux acteurs (Nicolas Cage, Sylvester Stallone...) se sont perdus dans des films d'action banals écrits à la va-vite et filmés à la truelle. Ici, c'est Bruce Willis qui s'agite tant bien que mal pour nous réveiller. À ranger avec "Les ailes de l'enfer" ou "Air force one".

L'un des films le plus fade où Bruce Willis a jouer. Le gamin joue affreusement mal, n'est pas du tout attachant, et l'histoire est dénuée de force émotionnelle en plus d'être particulièrement surréaliste. Certes, le réalisateur a apparemment voulut éviter la surenchère de mélodrame et d'action mais sa mise en scène, son développement narratif et sa réalisation sont si académiques que l'ont ne parvient jamais à être bien intéressé par "Code Mercury". La bande-son est en revanche bonne je trouve. Une chasse à l'Homme (enfant) pas bien palpitante en somme.

L'histoire est plutôt banale, convenons-en. Mais ça se laisse suivre avec intérêt. Bruce Willis évite de se la jouer John McClane toutes les 5 minutes, le reste des acteurs s'en sort plutôt pas mal, et le rythme du film maintient le suspense. Certes, il n'y a rien de révolutionnaire là-dedans, mais ça passe.

Très efficace grâce à un scénario qui se tient, à un réalisateur appliqué (Harold Becker à qui on doit aussi le très bon « Malice ») et à un très bon casting avec, en premier lieu, Bruce Willis parfait dans son rôle.
Ce film est sorti un an avant « Ennemi d’Etat » (Enemy of the State, 1999) et ces deux films ont de nombreuses similitudes. Un film que l’on peut, comme moi, revoir avec plaisir tous les 16 ans ;-)