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    Trust
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    356 critiques spectateurs

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    Pierre C
    Pierre C

    36 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2012
    Un superbe film sur le "digital harassment" et les dangers d'internet. David Schwimmer m'a vraiment surpris avec ce film.Clive Owen est parfait dans le rôle du père acharné à vouloir retrouver l'agresseur. La mère n'est pas énormément présente et sera un peu le bémol de ce film: ses apparitions sont un peu inutiles et elle est très agaçante... Liana Liberato, jouant l'adolescente, est très bien dans son rôle. Elle est innocente et ne comprend pas. Elle joue parfaitement bien. Le scénario est lui tout aussi bien. spoiler: Pas de happy end comme on aurait pu le vouloir; et heureusement car cela nous montre que tout ne se résout pas obligatoirement.
    Grâce à ce film nous plongeons réellement dans le monde de l'harcèlement via internet, et nous permet de nous rendre compte des dangers. Une réussite selon moi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 janvier 2012
    Beau film sur l'amour d'un père pour sa fille . La fin est bien belle, mais m'a déçu par sa simplicité . A voir quand même .
    ml-menke
    ml-menke

    34 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2012
    Un sujet sur lequel on aimerait fermer les yeux mais qui se trouve être la troublante vérité. C'est une adolescente qui croit à un amour interdit mais se est abusé par son insouciance. C'est aussi et surtout l'histoire du père confronté à une situation qu'il n'avait pas imaginé. Et l'ensemble vous subjugue tout en vous dérangeant par sa véracité et son point de vue paternel extrémiste. Belle réalisation de Davis Schwimmer.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 23 janvier 2012
    Il fallait bien que quelqu'un le fasse un jour, ce film. Celui où l'on nous montrerait une adolescente naïve tomber dans le piège d'un pédophile cybernétique. Et s'il convient de saluer l'effort du réalisateur et ses intentions de sensibiliser un large public sur ce sujet, il convient aussi de remettre en cause de nombreux points qui dérangent.

    Le long-métrage est divisé en deux parties, dont la séquence du viol en marque la séparation. Oui : La jeune fille se fait violer. Ce n'est pas une surprise. Nous le savons tous avant d'aller voir le film, et c'est même pour ça que nous allons le voir. Pour savoir comment ça s'est passé, quelles en sont les conséquences sur les personnages, et le message qu'il y a à en tirer. Mais il est difficile de se sentir inclut dans l'histoire et concerné par les évènements quand on se rend compte de la pauvreté du casting. Je ne parle pas bien entendu de Liana Liberato, qui a réalisé un travail formidable ; mais de ceux qui interprètent ses parents : Clive Owen et Katherine Keener. Constater leurs réactions qui sont en décalage avec ce qu'elles devraient être et qui n'apparaissent presque jamais crédibles, ça nous pousse à nous pencher sur ces défauts et à nous faire oublier le reste. À partir du moment où un tel sujet perd en crédibilité, par la faiblesse de ses interprètes et le manque de profondeur du scénario, il n'y a plus grand chose à en tirer.

    Pourtant le film ne part pas sur de mauvaises bases, montrer l'insouciance collective face à un tel phénomène, montrer le vice qui ronge notre société et dont on semble s'accommoder (avec notamment le collègue du père), ce sont des points intéressants. Mais y puiser des visages clichés et des messages basiques n'est en rien utile. Car n'ayons pas peur de le dire, Trust remporte haut-la-main le titre du film le plus cliché du début d'année. Entre des hommes qui sont montrés comme des personnages sans coeur et inutiles et des femmes qui sont louées comme compréhensives et humaines, on se demande où se trouve le juste milieu et la recherche de réalisme, de profondeur. Chaque personnage reste à une place qui lui est bien déterminée dès son apparition, et qui représente tout ce que les clichés de la société peuvent laisser penser. Et ces portraits se poursuivent jusqu'aux dernières secondes du film et à cette pseudo-révélation. Qu'on montre des réalisateurs pédophiles, là ça aurait eu un impact, si l'on veut dire : Ce sont des gens "comme" nous. Mais non, on nous montre encore une fois le cliché de base.

    Manque d'inventivité à la réalisation, dans la mise en scène, dans le scénario (qui alterne quelques scènes réussies et d'autres d'une pauvreté affligeante) ; et complaisance dans un message lisse et moralisateur, qui ne dérange jamais.

    Comment peut-on remettre des piliers de notre société en cause, des fondements du système familial, institutionnels etc. sans choquer un minimum ? Sans laisser une boule dans le ventre à chaque spectateur ? Alors je comprends le désir de Shwimmer de rester pudique pour protéger son actrice, mais à quel prix ? Si le contexte qui réside autour serait puissant, réaliste et troublant, on pourrait comprendre le souhait de ne pas choquer par les images mais par le message. (cf Funny Games). Mais quand le contexte n'aurait peut-être pu gagner en ampleur qu'uniquement grâce aux images, on peut regretter le manque d'audace.

    Le film termine sur une bonne note, avec une scène qui parait enfin vraie et puissante, mais qui tombe à l'eau à cause du générique qui suit, et qui nous rappelle à quel point Trust patauge dans une marre de clichés à nous en refiler des nausées.

    Finalement, la seule chose qui marche à peu près, c'est le fait de nous montrer que les victimes se condamnent elles-mêmes en acceptant ce système d'échanges d'informations et ce manque d'intimité grandissant au sein de notre société. Il se repose aussi sur la justesse de son actrice principale (qu'importe ce qu'en dit l'affiche du film). Hormis cela, il n'apporte rien, tant cinématographiquement que moralement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 janvier 2012
    A voir mais pas au cinèma!! Film manquant d'originalitè!!Clive owen inexistant dans ce rôle. L'histoire fait tout de même reflechir sur le lien entre les resaux sociaux et les jeunes!!!
    ER.
    ER.

    142 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2012
    un film poignant , vraiment a voir , le sujet est plutot bien traité , c'est assez révoltant
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 novembre 2016
    Superbe film sur un sujet délicat, la pédophilie. Le réalisateur a su s’entourer de professionnels pour construire le scénario et élaborer les dialogues. On voit comment un pédophile « harponne » sa proie via internet, ment sur son âge, se fait pardonner lors de la rencontre (unique) et même regretter par sa victime après son forfait. spoiler: La dernière image, lors du défilé du générique, est sans appel : le pédophile (non encore retrouvé par la police) est un bon père de famille…
    Un film fort, quasi documentaire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 octobre 2011
    De manière générale, les acteurs de la série Friends ne se recyclent pas toujours de la meilleure des manières dans leurs carrières sur grand écran. Jennifer Aniston semble être celle qui s’en sort le mieux, étant devenue la Meg Ryan des années 2000, grâce (ou à cause) de ses rôles dans des comédies sentimentales inoffensives. Courteney Cox, qui outre la saga Scream n’a pas réussi grand-chose, en plus d’avoir partagé sa vie avec le totalement idiot David Arquette, reste rare au cinéma. Quant à Lisa Kudrow, Matt LeBlanc, et Matthew Perry, leurs filmographies parlent d’elles mêmes. Citons en vrac Mafia Blues, Perdus dans l’Espace, Mon Voisin le Tueur, Drôles de Dames et bien d’autres œuvres invendables, même chez Emmaüs.

    Reste David Schwimmer, qui, lui aussi, à eu son lot de bouses, 6 Jours 7 Nuits en tête. Sa présence en combattant dans le premier Karaté Kid n’excuse pas tout. C’est donc fort judicieusement qu’il s’oriente vers la réalisation, faisant ses armes sur quelques épisodes de Friends et de son spin-off Joey. Derrière la caméra, il réalisera également quelques pilotes infructueux de séries telles Americana ou Nevermind Nirvana (rien à voir avec le chef d’œuvre 90’s). Puis en 2008, il s’attaque au cinéma avec l’excellente comédie British Cours Toujours Dennis, dirigeant son pote Simon Pegg et Dylan Moran (Black Books) dans un long métrage très drôle et léger.

    Malgré tout, et contrairement à ses anciens « amis », il reste éloigné des paillettes et prépare son second long métrage, Trust, nommé au dernier festival de Deauville.

    Plus question de comédie cette fois ci, puisque le thème abordé ici est plus ou moins tabou, mais non moins grave, à savoir les agresseurs sexuels du net.

    Suite et article complet sur http://www.mauvais-genres.net/2011/09/14/trust/
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 janvier 2012
    Pas mal pas mal.... L'histoire est relativement bien menée et les plans sont agréables. Toutefois j'ai trouvé Owen un peu limite pour le coup. Quoiqu'il en soit, c'est un trés bon moyen de dénoncer, de montrer, ce qui peut se passer sur le net et tout les tordus qu'on peut y rencontrer... même si le sujet ne semble pas, et j'ai trouvé ça plutôt choquant, au sérieux par de jeunes filles dans la salle qui riaient toutes les deux minutes...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 juillet 2014
    La bande-annonce est absolument géniale, elle donne un avant-goût de ce qui nous attend et en la voyant la première fois, je n'avais qu'une hâte, c'était de regarder ce film au plus vite ! C'est maintenant chose faite ! Un très bon film, vraiment pas ennuyeux à regarder. Il m'a vaguement fait penser au film The Lovely Bones de par l'histoire. J'avoue avoir eu des moments d'incompréhension quant au comportement et aux réactions de la jeune fille. Je n'ai pas compris la chute du film, il s'est fini sans qu'on s'en rende franchement compte. Mais en conclusion, j'ai passé un bon moment devant ce film poignant et très réaliste.
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    16 abonnés 924 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2013
    Assez flippant et dérangeant ce film car tellement réaliste et possible de nos jours. Les performances de Clive Owen et surtout de la jeune Liana Liberato portent vraiment le film. spoiler: Assez plaisant aussi le fait qu'on ne termine pas sur un happy end ou sur du mielleux comme bien d'autres films de ce genre
    . Ce n'est pas mon type de film a priori mais il faut reconnaitre qu'il est assez réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 janvier 2012
    Comment traiter parfaitement du problème récurrent de la pédophilie et bien allez voir ce film.Prenant, dure, âpre et terriblement bien construit.Les limites sont repoussées pour montrer le désarroi de cette famille.Le jeu des acteurs impressionnent tellement il est juste, sans excès.Encore un film qui va malheureusement passer inaperçu au milieu des grosses sorties du moment.
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2013
    Nous sommes en 2012 et les nouvelles technologies évoluent, très vite. Les jeunes ont un portable ou un ordinateur de plus en plus tôt, et ces derniers sont capables de faire beaucoup de choses que les parents ne peuvent pas toujours contrôler. Annie vient de prendre 14 ans, et tchatte avec un jeune homme de 16 ans depuis quelques mois. Le jour où il se rencontrent, elle comprend que l'homme en question l'a menti sur son âge. Le troisième film de David Schwimmer n'est pas une grande oeuvre artistique et ne prétend pas l'être. La mise en scène est classique voire didactique, afin que n'importe quel spectateur puisse comprendre la thèse de Trust : bien choisir les personnes à qui nous pouvons faire confiance. Toutes les étapes sont donc suivies à la lettre, où le déni du viol, la prise de conscience et le pardon font partie des phases indispensables. De légers partis pris sont à prendre en considération, dans ce sens où le réalisateur préfère baigner son film de beaucoup de pudeur et non de scènes trop pathétiques. De plus, il choisit d'accorder davantage d'importance au père (interprété par un Clive Owen touchant à certains moments) qu'à la mère. En effet, ce dernier n'arrive pas à supporter de ne rien avoir vu et de ne pas avoir été présent pour sa fille. Nous sommes d'accord, certains clichés sont bien présents mais ne dérangent pas car ils sont peut-être nécessaires, afin que ce récit soit le plus universel possible. À l'époque actuelle, il est donc important de voir que ce genre de films existe afin de sensibiliser aussi bien les enfants que les parents. Comme le dit le proverbe : «Il vaut mieux prévenir que guérir ».
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 janvier 2012
    Il est délicat, je trouve de traiter un tel sujet au cinéma. Mais quand cela est bien fait, le résultat peut être vraiment convaincant. C'est le cas de ce film, qui n'est pas sans rappeler le téléfilm Speak, que j'ai vu il y a quelques semaines spoiler: et qui partage certains éléments (stupidité de la jeunesse par exemple, avec les épisodes du site internet et du rassemblement au moment où Annie part avec la police).
    Ce que le film s'attache à mettre en avant, c'est la réaction d'Annie (superbement interprétée par la jeune Liana Liberato). Celle-ci passe en effet par autant d'étapes que sont le déni, la colère et l'abattement. Elle a tellement subit la manipulation de son agresseur qu'elle ne cesse de le protéger et de dire que leur relation est le fruit d'un amour sincère, le fameux syndrome de Stockholm faisant son oeuvre. Voici la première bonne surprise de cette année 2012, Trust parvient en effet à séduire grâce à un scénario bien écrit et à une intelligence manifeste qui traverse le film.
    BATNICO76
    BATNICO76

    18 abonnés 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 septembre 2011
    Deauville 2011 : Pour terminer ce Festival (dramatique dans sa distribution) ce dernier visionnage était fortement attendu. Impatient de voir le résultat durant c'est 1h45, c'est surtout amertume et déception qui s'en ressorte...D’où ma note, "sévère". POURTANT quel sujet audacieux et contemporain que les violeurs cybernétiques. Mais dès les premières minutes la crainte est ressenti. Un faux air de série en ressort : -mise en scène simpliste, -musiques rébarbatifs et dialogues peu inventifs. L'histoire et l'intrigue se développe rapidement jusqu’à l’évènement prépondérant. Et là(!) le récit dérive sur des réalités inutiles, des réactions parfois incohérentes, fausses, nullement réalistes, et sans aucuns effets dramatiques. On se met a détester la jeune actrice (Liana Liberato) et malheureusement le rôle des parents est invisibles. (malgré le charisme de Clive Owen, qui ici est assez fade...) Perpléxité, étonnement, un sujet traitant d'une morale banale, celle que parmi nous, vivent des bêtes sexuels camouflés (...) Bouuuuuh
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