Avis : À couteaux tirés - Page 2

Un film magnifique avec des paysages somptueux, des acteurs plus que talentueux, une intrigue captivante ... bref un film parfait!
Un chef-d'oeuvre!

Comme beaucoup de films du genre, c'est divertissant sans être très original. Mais j'ai trouvé Anthony Hopkins très bon.

J'adore ce film! Une vraie histoire d'aventure, de survie dans la nature.
L'interprêtation des acteurs est superbes, la musique aussi d'ailleurs! Et les décors d'Alaska, tellement beaux...
A voir!

Ce n'est pas un commentaire type "Ne vaut même pas la peine de le regarder, à part que quand vous n'avez pas le choix." qui va nous aider... Il y avait là un projet sans doute pas inintéressant, mais on sent que la production a joué des sales tours à l'équipe. Des traces d'un bon scénario ? Bien sûr qu'il y en a. Mais quand on supprime des scènes au dernier moment avant de tourner, il faut bien se démerder pour en trouver d'autres qui relient les événements... Alors la première idée venue à l'esprit est retenue, même si elle est pourrie, et on avance... on avance parce qu'il faut respecter le planning. Il faut respecter le planning parce que le film doit sortir à telle date... etc etc... Les financiers ont sans doute prouvé une nouvelle fois qu'ils n'ont rien à faire dans l'art du cinéma. Qu'ils restent à Wall Street, là ils ont du boulot ! et encore...

Un grand film d'aventure ! Hopkins impérial...

Du nèo-zèlandais Lee Tamahori, on retiendra surtout l'impressionnant "Once Were Warriors", son meilleur long-mètrage! Dans "The Edge", Anthony Hopkins incarne un milliardaire intelligent et introverti, aussi futè que MacGyver, et mariè à une belle femme plus jeune que lui, la top modèle Elle MacPherson! il soupçonne qu'elle le trompe avec le photographe, Alec Baldwin [...] Triangle amoureux archi classique mais film de survie efficace si on n'aime les rites d'initiation hollywoodiens avec ces deux hommes confrontès à la mort ! La faim, le froid, la peur...la mort partout car Hopkins & Baldwin sont perdus dans les montagnes hostiles de l'Alaska avec un ours qui a les crocs! Tout est invraisemblable mais Hopkins est tellement persuasif en homme qui a rèponse à tout que ce survival passe comme une lettre à la poste! Les paysages sont splendides et les attaques de l'ours, diablement spectaculaires! Un bon film du samedi soir dans lequel on apprend à survivre avec une montre, un couteau et quelques allumettes! Et tout ça sans quitter votre canapè...

Malgré un cadre très "Jim Harrison" prometteur, c'est un ratage, la faute à un réalisateur sans talent. L'épopée initiatique, qui aurait pu être une petite soeur de Délivrance, se transforme en téléfilm de M6. Abus de gros plan. Le passage avec combat de gladiateur contre un ours est comique, mais comique tendance nanar (on apprend dans le générique que le plantigrade glouton - fort sympathique - s'appelle Bart the Bear, enrichissons notre culture cinéphile). Aucune direction d'acteur : Baldwin joue les clowns de sitcom et Hopkins semble perfusé sous Pentobarbital. Pour une fois, on le voit pas faire le cabot grimaçant ("Clâaaariiiiiiissse"), mais il est passé d'un extrême à l'autre. Une cause perdue ?

Excellent film d'aventure, filmé dans des paysages somptueux. L'affrontement entre les 2 monstres du cinéma que sont Anthony Hopkins et Alec Baldwin ne pouvait rêver mieux comme cadre que le Grand Nord. Le rythme est soutenu et les péripéties s'accumulent au fil de l'histoire. On retiendra également un combat acharné avec un ours et une superbe fin. Mémorable.

une demi étoile pour le début qui fait illusion, un bon suspense, des grands espaces, un bon hopkins. Hélas, l'atterissage est brutal. Les tribulations forestière de notre trio, bien vite duo suite à un léger incident, tourne vite au calvaire (pour le spectateur) avec les petits détails qui tuent (de rire) lourdements soulignés par le réalisateur. En point d'orgue la confection de manteaux en peau d'ours fraiche ...et il reste encore une bonne demi heure de film après ça.

A couteaux tirés est en fait un survival plus qu’un thriller comme pourrait le laisser supposer le résumé de l’intrigue. Un film bien efficace, dont on peut regretter que tous les ressorts scénaristiques ne soient pas bien exploités.
En effet, finalement l’idée de départ, et qui est un peu artificiellement exposée d’ailleurs, n’est reprise que pour la dernière partie du film. Au milieu on oublie complètement cette variable, et l’on se retrouve donc dans un survival plaisant quoique ponctué d’invraisemblances. Mais enfin c’est cela le cinéma ! Reste qu’il y a quelques rebondissements pour faire avancer l’histoire un peu gros, quoique le hasard face parfois avancé le monde ! Néanmoins le film est alerte, on ne s’ennuie pas, et il y a quelques scènes spectaculaires comme on les aime. Le résultat est pour moi avant tout celui d’un film pop-corn luxueux, mais comme la plupart des films de Tamahori, c’est assez lisse en termes d’histoire.
Le casting est plaisant, avec ce face à face efficace entre Hopkins et Baldwin. Ce dernier n’est pas un modèle de charisme, mais il colle bien à son personnage, et parvient à lui donner du relief. Hopkins s’amuse visiblement comme un petit fou en aventurier débrouillard. Il joue juste, et même si on peut s’étonner de ses étonnantes capacités physiques à son âge, finalement on y croit ! A noter aussi un talentueux Harold Perrineau mais qui apparait pas énormément, tout comme Elle McPherson au demeurant.
Visuellement c’est là que A couteaux tirés est le moins critiquable. Superbes paysages, très belles photographie, il y a aussi de bonnes scènes d’action, notamment une attaque spectaculaire. Tamahori fait sobre, et c’est tant mieux, et contrairement à une tendance qu’il a trop souvent cultivée, il ne recourt pas à des effets visuels moisis, et là aussi, on ne peut que se réjouir ! La bande son est tout de même très classique pour ce genre de film, mais elle est signée Jerry Goldsmith, et ce dernier signe quand même une belle partition mais clairement neutre.
Au final A couteaux tirés est un bon film de résistance dans une nature hostile, même s’il est très hollywoodien dans son approche. Mais les moyens aidants, c’est un film très propre, avec une belle interprétation et un scénario suffisamment costaud pour tenir en haleine. 3.5

Film banal et beaucoup trop prévisible . Ou l'on retrouve Anthony Hopkins ( incarnant un riche homme d'affaire mélange de Largo Winch , de Mac Gyver et de Robinson Crusoe ) et Alec Baldwin , perduent tous les deux dans le fin fond de l'Alaska . Nos deux compéres vont réussir à se sortir de situations les plus incohérentes les unes que les autres , allant meme jusqu'a tuer un ours brun et se confectionner des manteaux en peau d'ours fraiche : du grand n'importe quoi . Cette farce vaut cependant un léger coup d'oeil pour la qualité visuel des paysages d'Alaska . Pour le reste passez votre chemin .

ouhaa , super film , trois étoiles . hopkings joue très bien les millionnaires blasés . La chasse à l'ours est nettement supérieure au film de JJ Anneaux . Une petite intrigue policière et cela fait une super série B que j'ai plaisir à revoir . les paysages , superbe , c'est en suplément . Aux début du film le livre que lit hopkings s'apelle
" lost in the wild " .

A voir le chef d'oeuvre " into the wild "

Depuis "Les Oiseaux "de tonton Alfred, le cinéma animalier est assoiffé de chair humaine…tout y est passé, les merles, les requins, les piranhas , les limaces géantes ( tremors ) , le sanglier géant ( Razorback ) , les loups, les araignées , les dinosaures, etc . Il ne manquait plus que la coccinelle et la mite alimentaire. A couteaux tirés pose la question épineuse de la survie dans le grand Nord en période hostile ( pléonasme ) avec comme prédateur lancé aux fesses des protagonistes : l'ours géant Kodiak (après ça, Winnie l'ourson , plus jamais ) . Les paysages sont superbes, les personnages assez classiques, un chouilla caricaturaux et prévisibles mais attachant au demeurant et les interprétations sont excellentes . Bref, une fois le film lancé ( l'intro est longue mais sert bien à planter le décors sur l'incapacité chronique de l'homme moderne à survivre loin de son frigo ), on suit avec une certaine dose d'angoisse le destin de ces hommes ordinaires (sur)vivant une situation extra ordinaire. Bien loin d'être des Bear Grylls ( le film se terminerait en 2 minutes avec un Kodiak en larmes ), les personnages sont placés dans des conditions assez réalistes au niveau ressources pour maintenir un bon suspens quant à leur survie ( non les héros ne sont pas des Stallone rompus à la survie, non ils n'ont pas tous des Gatling avec munition illimitée , non ils ne sont pas immunisés contre la peur ou le froid ou les mauvaises décisions ). L'ambiance est très réussie et l'animal fait incontestablement peur . tant est si bien qu'on arrive à se poser LA question : QUI survit à la fin du film ? Ce qui finalement est la plus grande réussite de ce film.Bien sur le rôle d'Elle Mc Pherson est un énorme cliché ( qui ne s'en douterait pas ? ), évidemment la sous intrigue amoureuse ne surprendrait pas une gamine de 8 ans, la musique est passe partout etc il n'est pas exempt de reproches mais il reste un film très réussi dans ce genre particulier ( le chef d'oeuvre restant Jaws ) et il est a regarder impérativement en hiver au chaud sous la couette. Ou avant de partir au Canada

A la suite d'un crash en pleine nature,un milliardaire, le photographe de sa femme et un figurant sont traqués par un ours. Une histoire intéressante, d'autant que l'on s'attache rapidement à Charles le milliardaire tout à appréciant assez justement Bob le photographe. Combat d'hommes civilisés de retour à la survie en milieu naturel et hostile. Malgré la note moyenne, j'ai bien aimé le tout avec quelque scènes croustillantes, surtout quand Charles vient taquiner Bob et sa jambe... Brillantes interprétations des acteurs Anthony Hopkins et Alec Baldwin

Un survival forestier aux superbes décors naturels qui portent en duel deux bons acteurs et embarquent le spectateur jusqu'au bout de son dénouement. 14/20