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    Minuit à Paris
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    Lil Sprite
    Lil Sprite

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2023
    Je n'ai pas été autant émerveillé par le film que ce qu'on m'avait vendu. C'est un bon Woody Allen qui vous fera passer un bon moment grâce notamment à son casting très sympathique et son scénario pour le moins surprenant !
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    144 abonnés 903 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2023
    Sur un scénario assez original, fleurant avec le film fantastique, Woody Allen dresse sa vision du Paris d'aujourd'hui et des nuits de la capitale dans les années 20, à travers le regard émerveillé de l'attachant, interprété par. La haute société monopolise toujours l'écran mais Allen la tourne en ridicule. Un film léger, assez comique qui ne nous procure pas les émotions les plus vives mais dont le message final, intemporel, est très pertinent.
    Damien S
    Damien S

    25 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2022
    Voilà un film qui fait du bien. On se plaît à suivre les personnages dans un Paris idyllique, pour le coup, exactement conforme à ce qu'il est convenu d'attendre pour un touriste étranger. Voir évoluer les personnages de la belle époque aux années folles est très plaisant, les voir côtoyer les grands hommes qui ont fait la culture du 20ème siècle ajoute au charme. Un bon Woody Allen
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    31 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2022
    “Minuit à Paris”, c’est le reflet d’une atmosphère, d’un caractère singulier qui se pose sur la ville de Paris, qui chaque minuit, amène une réflexion sur vivre avec le présent. Un ton léger s’empare du film et pose la question en toute originalité, par le biais d’un voyage dans lequel on se prend rapidement au jeu. Le “blablabla” continu typique des films de Woody Allen n'empêche pas quelques longueurs et maladresses, notamment avec les clichés sur la vie Parisienne, mais les plans montrent avec une certaine beauté la ville lumière qu’on ne peut qu’apprécier et contempler : une envie de flâner, d’apprécier, d’écouter, de s’inspirer de la ville remplis d’arts et de secrets, le tout dans un humour bien calibré. La vraie surprise du film reste cet étrange voyage qui va remettre en question la vie de notre écrivain en devenir (Owen Wilson) qui finira par retrouver de la magie, de la poésie et de l’inspiration dans la vie au cours de son périple et à l’aide de rencontres fortuites, avec une convaincante conclusion qui comble superbement le métrage et la portée sociale qu’il y a derrière : spoiler: Y-a t-il vraiment un âge d’or ?
    En somme, une réflexion qu’aucun film n’avait encore osé proposé, qui permet une première approche sociologique et philosophique.
    Pierre03
    Pierre03

    5 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2022
    J'aime assez Woody Allen. Mais là, non !
    Ceux qui vous diront de vous précipiter voir ce film sont des snobinards, c'est plein de poncifs, les dialogues sont lourdingues et le musée de cire des années 20 sonne faux et ampoulé. En revanche on peut se laisser porter par la fraîcheur de la bande musicale, la beauté de Carla Bruni et surtout la photo sublime. Le générique s'ouvre sur de magnifiques cartes postales de Paris dont le cinéaste est à l'évidence amoureux. Après ça se gâte!
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    39 abonnés 731 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Les Woody Allen se suivent et ne se ressemblent pas. L’amour du réalisateur pour Paris ne se contente pas d’une suite de cartes postales colorées et froides, il sublime ses sentiments au travers d’une romance homme/ville teintée d’émotion, de mélancolie et de fantastique qui fait fondre le spectateur dans un kaléidoscope capiteux et enivrant de couleurs. On sent même des odeurs prononcées de nostalgie.
    Y Leca
    Y Leca

    22 abonnés 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2022
    Ode au Paris des années folles et à ses artistes à travers des voyages dans le temps nocturnes. Verbeux et pas toujours bien joué par toutes les stars recrutées mais toujours bien photographié via les beaux filtres orange utilisés par Allen et charmant dans son ensemble. A défaut d'être génial...
    DE DIOS
    DE DIOS

    44 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2022
    J'ai adoré l'ambiance et le calme qui y régnait. Super simpa a regardé on ce prend au jeu et on rentre dedans a fond. Je recommande vivement.
    Francois D
    Francois D

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2022
    depuis le temps que je voulais voir un film de Woody Allen,je ne dirais pas mon âge... j'adore, beau, intelligent, de l'humour, franchement ! du cinéma, du vrai.
    AdriBrody
    AdriBrody

    7 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 janvier 2022
    Minuit à Paris, un film que je ne comprends pas. Pourtant, j'ai passé un moment plutôt agréable devant le film et j'ai été assez intrigué tout le long. Mais c'est un film tellement cliché que c'est stupide. Alors Woody Allen (ou M.Romantique) filme Paris, la nuit sous la pluie, et envoie Owen Wilson dans les années 20 tous les soirs. C'est sympa de voir Adrien Brody, Tom Hiddleston, Rachel McAdams, le casting est plutôt sympa. Mais pour le côté frenchie, on retrouve Carla Bruni, Gad Elmaleh, Léa Seydoux et Marion Cotillard. Autant Cotillard est envoutante, autant le reste... Ok, Gad a une scène drôle, mais à quoi bon ? Je ne comprendrai jamais pourquoi un réalisateur appelle un acteur star (Adrien Brody ici) pour le faire jouer 45 secondes.
    Le film idéalise bien trop Paris, oubliant tous les défauts et n'en faisant qu'un gros cliché. "J'aime Paris sous la pluie". Non, soyons honnête, hormis dans les comédies romantiques un peu niaises, personne n'aime ça. Et franchement, avec la matière que Allen avait sous la main, avec les acteurs qu'il dirigeait, c'est invraisemblable d'en avoir une comédie aussi triste.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    95 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juillet 2021
    Allen sort de New York, youhou ! Fidèle à lui-même, nous servant d'abord le même Paris mièvre qu'il dénonce et faisant la réplique parfaite de son personnage habituel en la personne d'Owen Wilson (prouesse de précision de la part des deux artistes), il a tôt fait de nous emmener dans ses fantasmes. Romantique dans tous les sens du terme, sa rêverie semble comme toujours enfoncer des portes ouvertes, mais d'une manière que je me sens pourtant incapable d'analyser au bout d'un seul visionnage. Il prend tout ce qu'on connaît très bien qui est « très français » et « très américain », le laisse comme c'est, et le résultat est… très bon.

    Sous ses airs de tout mettre sur le dos d'un personnage niais et constamment paumé, Allen explore les relations, le monde de l'art, une agréable surcouche surnaturelle et enfin le sophisme de l'âge d'or (ou « bon vieux temps »). En remontant littéralement le temps, le réalisateur donne une acception simple à cet âge d'or qui n'a de cesse de reculer derrière le mot « jadis », et l'on ne se sentira pas glisser dans sa conception conventionnelle mais charmante de la ville. Un agréable voyage dans un Paris rêvé par des générations d'artistes.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Enzo D.
    Enzo D.

    3 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2021
    Ce n'est pas mon Woody Allen favori honnêtement mais on passe un bon moment. Le casting est super, le film sublime réellement la ville de Paris, et le scénario est assez original ! Il y a un petit air de magie dans chaque scène et certains moments sont assez marrant. On ressent bien la pâte cinématographique du réalisateur.
    Nicolas Winding Refn
    Nicolas Winding Refn

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2021
    « Midnight in Paris » est un film au potentiel monumental totalement inexploité à cause de choix scénaristiques incompréhensibles que je tâcherai de développer par la suite. Suite à mon visionnage, je ne comprenais pas du tout l’engouement autour de ce film (4,2/5 par la presse !). Le problème étant selon moi que seul l’aspect « carte postale » apporté à la ville de Paris est pris en compte, servi par une photographie impeccable et une vision idyllique de Paris qui renforce l’immersion. Toutefois, contrairement à « Manhattan », on a l’impression ici que l’environnement du récit prend le dessus et justifie les imprécisions de l’écriture alors qu’il devrait servir le propos. La ville de Paris est perçue comme un lieu d’errance, de rencontres, d’inspirations… On se souviendra notamment de la scène d’introduction qui fait balader la caméra dans les rues de la ville par une succession de plans fixes sur une musique jazzy appropriée qui reviendra fréquemment par la suite. On est donc d’accord pour statuer que Woody Allen propose une vision très attirante de Paris, mais qu’en est-il du propos du film ? Le spectateur rencontre Gil et sa compagne Inez en voyage touristique, où il découvre une première possibilité pour retourner dans le passé, qui est l’évocation, c’est-à-dire qu’un retour dans cette époque révolue s’opère alors naturellement à l’esprit. Gil est présenté comme un personnage attachant, nostalgique et lucide bien qu’il ne soit pas respecté à sa juste valeur, contrairement à Paul, un ami de Inez qui apparait avec beaucoup de classe et de présence, mais surtout très pédant. Cette-dernière renforce d’ailleurs ces traits de caractère en négligeant Gil et ses besoins d’évasion, contrairement à Paul qui se voit d’autant plus valorisé. Au premier abord, ces interactions frustrent mais n’agacent pas, du moins jusqu’à ce que Gil, restant pourtant le même dans le passé, apparaisse intéressant, sympathique, attirant. De là, le spectateur comprend que c’est l’environnement qui forge la personne que l’on est ou que l’on souhaite devenir : Gil a l’impression de ne pas être né dans la bonne époque mais s’appuie sur le passé pour évoluer et adopter une vision nouvelle de son présent. Le film s’efforce de justifier au mieux son mal-être incompréhensible, pour sa compagne notamment : Comment faire transparaitre au mieux cette nostalgie qu’il ressent pour une époque qu’il n’a même pas vécu ? En fait, après avoir erré sans but dans la nuit parisienne, à minuit précisément, Gil est abordé par une voiture ancienne qui lui permet de découvrir en personne cette époque qu’il aime tant, et rencontrer ses modèles littéraires. A présent, LE soucis du film est ce concept : ce retour dans le passé devrait être amené, certainement pas par l’intermédiaire d’une sorte de machine à remonter le temps, mais par une mise en scène personnelle dans l’esprit de Gil qui se construit un monde passéiste, construit sur son admiration, ses attentes et ses regrets. Cette « illusion » ne doit en aucun cas être brisée, dévoilée, ni même être perçue comme telle, simplement comme une parenthèse méditative dans la vie de Gil. En poursuivant dans cette voie, de nombreuses incohérences émergent puisque le présent et le passé ne devraient pas communiquer directement : le carnet de Adriana qui est récupéré dans le présent présentant ses sentiments pour Gil ou encore le détective privé perdu dans l’Histoire de France n’auraient jamais dû exister. Le concept de montrer que chacun peut résider dans son monde passéiste idéalisé est extrêmement intéressant, mais le fait qu’il soit atteignable en traversant physiquement le temps ruine le principe. D’ailleurs, spoiler: faire revenir Adriana au XIXème siècle
    aurait pu être ingénieux, dans le sens où montrer qu’en restant dans « l’illusion », le personnage comprend que l’idéalisation est éphémère et qu’il faut s’efforcer d’essayer d’influencer le cours de son présent. En revanche, certaines idées sont particulièrement efficaces, comme le fait de justifier ces rencontres avec de potentiels problèmes neurologiques ou encore le fait que Inez ne voie jamais cette ville du passé car cela prouve qu’il y a un caractère personnel dans ce processus. Le film est intellectualisé avec de nombreuses références qui font toujours mouche sans paraitre forcées (comme Woody Allen a toujours su le faire), la photographie se veut extrêmement efficace. La comparaison entre Gil et Paul concernant la perception qu’ils ont du passé ressort naturellement : là où Gil se base sur le présent pour faire exister sa version idéalisée du passé, Paul s’appuie sur le passé pour se sentir exister dans le présent. « L’illusion » doit servir le présent, (donner un fil conducteur au récit, faire évoluer Gil dans sa conception de son époque ou de celle qu’il regrette) et non être un monde parallèle dans lequel il peut se rendre physiquement. Il aurait été intéressant que le détective engagé ne découvre rien puisqu’il ne trouverait qu’un Gil errant dans les rues de Paris, méditant, écrivant, pensant au monde dans lequel il se serait pleinement épanoui. Dans les portraits des personnages, des nuances auraient été préférables tant les traits sont grossis (notamment la scène au bord du fleuve avec Zelda, les parents d’Inez ou encore spoiler: le dénouement du couple de Gil qui s’est fait tromper
    ). D’ailleurs, le film prend soudainement l’allure d’un mauvais teen movie avec le retour de sa compagne et de ses parents, les boucles d’oreilles perdues… spoiler: Le rendez-vous à la fin avec le personnage de Léa Seydoux
    (ça fait d’ailleurs très plaisir de la revoir à l’écran) est encore une fois très agréable mais tombe un peu de nulle part, une scène de plus à deux n’aurait pas été de trop, d’autant plus que le tout fait un peu artificiel (« Moi aussi j’aime la pluie »). « Midnight in Paris » est par conséquent un film au potentiel énorme gâché, avec un casting de qualité comme Owen Wilson (qui est une bonne découverte), Marion Cotillard, Léa Seydoux, Adrian Brody ou encore Kathy Bates même si ces derniers ont des rôles minimes ; qui aurait pu être un chef-d’œuvre d’une beauté remarquable et d’une nostalgie incomparable mais qui se trouve être au final un échec.
    stans007
    stans007

    18 abonnés 1 245 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2021
    Que Paris et les femmes sont jolies dans ce film décalé qui porte nettement l’estampille Woody Allen. Avec Marion Cotillard.
    Nicolas V
    Nicolas V

    53 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2021
    Synopsis : il est écrivain et passe un séjour romantique à Paris avec sa fiancée. Un soir au détour d'une avenue (l'alcool l'ayant aidé), il se retrouve convié à minuit pile au Paris des années vingt, l'âge d'or. Une curieuse ambiguité qui fascine l'écrivain car il y retrouve ses racines littéraires.

    Critique : une histoire finalement désaxé de son personnage principal pour se focaliser sur le charme de Paris ; la même que tant d'artistes ont affectionné au fil des décennies. Une oeuvre électique qui offre une réflexion sur l'art en général et la nostalgie. Dans le fond comme dans la forme (on pense à la photographie très dorée par moment), Woody Allen renoue avec le Paris des années 20, l'âge d'or de toute une génération d'artistes européens.
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