Mon compte
    Le Prodige
    Note moyenne
    3,7
    1897 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Prodige ?

    148 critiques spectateurs

    5
    5 critiques
    4
    49 critiques
    3
    70 critiques
    2
    20 critiques
    1
    3 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    benoitG80
    benoitG80

    3 314 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2015
    "Le Prodige" est un film fascinant de Edward Zwick, sur un homme fascinant !
    S'attaquer à cette personnalité si unique et intéressante, qu'est Bobby Fisher devenu champion du monde d'échec, est littéralement passionnant de bout en bout pour le spectateur !
    Et ce tour de force repose sans aucun doute sur la prestation époustouflante de Tobey Maguire qui compose son personnage à la perfection, avec cet aspect maladif obsessionnel, et même complètement paranoïaque...
    C'est par là même, que l'on suit l'évolution de cet homme, de son enfance déjà révélatrice d'un profond malaise au stade adulte, complètement coupé des autres, où tout deviendra un enfermement par sa seule raison d'exister : Les Échecs !!!
    Le processus est habilement décrit et nous fait apparaître un être associal dénué de toutes conventions, voire même privé de sentiments et d'émotions envers les autres, que ce soit sa famille ou ses proches.
    Comme si l'affectif ne faisait plus partie de ce personnage, véritable ordinateur pur et dur, dédié aux échecs !
    On est ainsi plus d'une fois sidéré de ce comportement imprévisible, incontrôlable et ingérable que nous renvoie l'acteur avec brio !
    C'est bien le point positif de ce film épatant centré uniquement sur ce champion, bien que son adversaire, le russe Boris Spassky, ait aussi les mêmes symptômes finalement...
    Dans le contexte de la guerre froide, la narration suit un schéma classique mais efficace d'autant plus que les trois périodes ciblées de la vie de Bobby sont toutes servies par des comédiens crédibles et convaincants, autant dans leur ressemblance physique et psychologique.
    On entre dans le mental de cet homme effaré, mais le bilan est assurément riche d'enseignement...
    La passion dévorante a souvent rendu plusieurs hommes célèbres atteints de pathologie mentales, en particulier certains artistes qui ont oublié petit à petit de vivre pour et à travers les autres...
    Un portrait sans nul doute effrayant mais renversant sur le fond...
    Autant garder les pieds sur terre alors !
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2015
    Edward Zwick signe un film qu'on pourrait à la fois biopic et film historique pur puisque si Bobby Fischer est au centre le film se focalise essentiellement sur le "combat du siècle" entre Fischer et Boris Spassky, l'un et l'autre représentants symboliquement les deux blocs de la Guerre Froide. D'ailleurs le match de championnat du monde de 1972 au centre de ce film est qualifié de "Match du siècle", comme le match mythique des boxeurs Joe Frazier VS Mohamed Ali en 1971 !... Le réalisateur signe pourtant un film sur un match et ses coulisses qui en font un thriller psychologique prenant et fascinant.
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2015
    (...)Et la passion de Zwick pour les échecs ne s’arrête pas au simple fait de narrer la vie schizophrène de son personnage. Le réalisateur met habilement dans son film le contexte de l’époque, là où La Guerre Froide s’inscrivait déjà dans ces années les plus marquées, où le conflit devait frapper sur tous les fronts, une conquête des esprits et des espaces (des étoiles au territoires).
    Il évite également de noyer le spectateur dans une mise en scène totalement folle, qui peut parfois être suffocante et dérangeante, et présente habilement les troubles intérieurs d’un Tobey Maguire, génie, fou, emprunt de troubles psychologiques prononcés. Le comédien trouve ici un de ses rôles les plus complexes et sert à merveille une histoire classique, entre drame personnelle, thriller et film sportif. Nul besoin d’apprécier ou de s’y connaître dans ce sport intellectuel pour apprécier la plupart des subtilités du film, surtout dans les phases de jeu.
    Le film répond parfaitement aux schémas d’un biopic classique avec une seconde partie bien plus dynamique mais l’ensemble s’avère tout de même très maitrisé par la mise en scène, habituelle, voire conventionnelle, d’Edward Zwick.
    Finalement sous un aspect peu attractif et vendeur, « Le prodige » finit par séduire le spectateur dans un léger mélange de genres et par l’efficacité d’un metteur en scène à niveau égal avec le travail d’un comédien, qu’on voit peu mais souvent épatant, ici en est la preuve.
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2015
    Un "biopic" très documenté, sur le ton du documentaire (à ce niveau de jeu, la compétition est au centre de l'activité - ce n'est plus du tout un loisir) pour la partie "sportive" (les échecs ont d'ailleurs été admis comme sport par le CIO - mais après la période Spassky/Fischer), mais faisant aussi la part belle aux tourments intimes du "Prodige", en parallèle (affiche éclairante..). Le tout, qui est calé sur le "match du siècle", celui du "Pion empoisonné" - sa (longue) genèse, et ses (tristes) suites - (été 1972, à Reykjavik), est plutôt austère de ton, sans facilités, ni fioritures - et tout à fait passionnant. Tobey Maguire réussit une saisissante composition de cet être génial, insaisissable, obsédé (et par sa tâche - travailler, encore travailler des heures durant, tous les jours - et par ses angoisses paranoïdes) qu'était Fischer, sans jamais charger le trait. Ses partenaires peinent à rivaliser avec lui, ce faisant.. bien qu'excellents eux aussi (Liev Schreiber, Peter Sarsgaard..).
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    298 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2015
    Edward Zwick est un réalisateur que j’apprécie beaucoup car il a un don pour faire de très bon films qui traitent pourtant de sujets totalement différents ("Légendes d’Automne", "A l’Epreuve du Feu", "Blood Diamond", "Love et autres Drogues" ainsi que les formidables "Glory" et "Le Dernier Samouraï"). Alors, lorsqu’il annonce son nouveau métrage basé sur la vie d’un joueur d’échec, je ne suis pas étonné (d’autant plus que Zwick est un fervent accro de ce jeu !). Comme son titre l’indique, "Le Prodige" s’attarde sur l’histoire de Bobby Fisher, un homme qui développa dès son plus jeune âge une affinité presque extraordinaire avec les échecs, ce qui l’amènera à affronter les plus grands champions de la discipline à travers le monde. A la fois biopic intimiste, film historique dépeignant avec précision la lourde période de tension que les USA et l’URSS ont traversé lors de la « Guerre Froide » (où comment un simple jeu peut devenir un conflit d’état uniquement parce qu’un participant est américain et l’autre russe) et véritable drame humain, le nouveau métrage de Zwick est encore une fois une très belle réussite : entre un contexte historico-politique parfaitement traité, des parties d’échec aussi astucieusement filmées et aussi prenantes que les épiques et furieuses batailles de "Glory" et un Tobey Maguire bluffant de vérité dans la peau de ce surdoué à la limite de l’autisme qui est constamment tiraillé entre son désir d’être le meilleur et son délire de persécution paranoïaque grandissant, nous assistons à un magnifique spectacle qui parvient à nous toucher plus intimement qu’on aurait pu le croire. Bravo Edward, j’ai hâte de voir ton prochain film, d’autant plus qu’il s’agit de la suite du bon "John Reacher" avec Tom Cruise !
    romano31
    romano31

    243 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2015
    Film intéressant qu'est Le Prodige. En nous plongeant dans la vie de Bobby Fisher, Edward Zwick ne nous livre pas seulement un film sur le "match du siècle" entre Bobby Fisher et Boris Spassky mais également une biographie sur l'un des meilleurs joueurs d'échec du monde, à la complexité et au caractère légendaires. Tobey Maguire livre une prestation remarquable en Bobby Fisher. Il incarne à merveille les deux facettes de ce personnage, d'un côté les échecs et de l'autre sa paranoïa. Le film est bien réalisé, les matchs d'échecs sont bien mis en scènes et le scénario, subtilement écrit (merci Steven Knight), arrive à nous captiver. Pas la peine d'être un expert en échecs pour apprécier ce film donc, Le Prodige est avant tout un film sur un homme et sur la rivalité entre deux nations (Etats-Unis/URSS).
    Nyns
    Nyns

    188 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 septembre 2015
    Aaaah enfin un film avec Tobey Maguire en rôle principal depuis Spiderman! J'avoue y être allé uniquement pour ça, car les biopics traitant d'un sujet à première vue pas passionnant, ça ne m'a jamais attiré. Et oui j'ai bien dit à première vue! Car Le prodige est assez réussi finalement. Sous fond de guerre froide, Edward Zwick nous sert la paranoïa destructive d'un grand nom du jeu d'échec (j'ai un peu du mal avec la notion sportive du truc, mais on est quand même en plein championnat du monde!). Le gars il a quand même jamais vraiment eu le vie, et son obsession est fascinante à vraie dire. Et bien sûr, comme convenu, Tobey Maguire rempli le contrat avec brio, il joue la psychose de son personnage à la perfection, ça en est même drôle par moment! Une nonchalance flirtant avec l'insolence, j'adore. On attend pas grand chose de ce film et c'est peut-être pour ça que c'est une bonne surprise, c'était quitte ou double. Échec et mat ou match nul? Bref, il y donc d'autres bonnes raisons d'aller voir notre regretté Spiderman endossé le rôle d'un grand taré à la stratégie déconcertante.
    Real C
    Real C

    102 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 septembre 2015
    Quand on me dit Échec, je pense 3 choses : ma rupture de l'année, le jeu qui prend poussière dans ma chambre car je suis trop bête pour anticipé et Gregori Kasparov. Quand on me dit Tobey Maguire , je pense la Trilogie de *Spider Ma*n de Raimi (qui sont les best quoiqu'on fasse), 3 films que je n'ai pas eu le temps de voir (Brothers, Pure Sang et Gatsby le Magnifique) et ... la bande annonce de Tonnerre sur les Tropiques (sans déconné Iron Man & Spider Man en couple ! ) Quand on me dit Liev Schreiber, je pense Dent de Sabre du film X-Men : Origins Wolverine, *les Insurgé*s avec Daniel Craig et la série Ray Donovan. Quand on me dit ce film, je pense nouvelle vision des joueurs d'Echec et du contexte de Guerre Froide.

    Ce film est plutôt prenant émotionnellement et sombre, même si bien malgré lui possède des relents à la fois comiques et tragiques. Comiques, par ce que, la paranoïa des personnages (je dis bien "des") est visuellement assez drôles et ridicules... selon nous. Dans le contexte c'est compréhensible. La musique est superbement bien choisie et la caméra donne des aspects sombres digne d'un thriller. Cela dit dans une moindre mesure, il y a des plans assez claires comme il faut. Le réalisateur (qui est le même que cet allégorie scientologue qu'est le Dernier sSamouraï et le plutôt bon film Blood Diamond) utilise habillement les images d'archives et les plans réelles en donnant des aspects qui rappellent un peu Forest Gump. Il utilise aussi au débuts des gros plans. Beaucoup trop de gros plans. Cela est bien pour donner une certaine forme de tension et permet de mieux souligner l'angoisse de Bobby Fisher, notre héro, mais le réalisateur en abuse beaucoup trop au début du film; du coup, son style paraît bien trop superflu à un moment. Et c'est dommage parce qu'il avait bien poser l'ambiance et que c'est cette idée sans doute bonne sur le papier qui ruine un peu la réalisation du premier acte. Quant au personnage, là aussi il y a des soucis. Mais cela ne vient pas vraiment des principaux.

    Tout d'abord on a Bobby Fisher (joué par Tobey Maguire, le célèbre Spiderman). Il joue plutôt bien le rôle du champion d'échec paranoïaque et névrosé qui devient suffisant et condescendant. Cela dit, sa paranoïa et son désordre mental en même s'explique de part ces origines juives et russes. Il est un personnage auquel on éprouve à la fois de l'empathie pour son coté paranoïaque et du dégoût à cause aussi de son coté paranoïaque. C'est aussi une personne qui rejette quasiment tout : sa famille, une vie sociale équilibrée et plus ou moins sa sœur. Bref, pas un modèle de stabilité.

    Face à lui on a Boris Spassky (joué par Leiv Schreiber). Je trouve le personnage assez sous-employé. Ce qui est normal car théoriquement, l'histoire ne se concentre que sur Bobby Fisher. Seulement voilà; plus il gagne en importance et en apparition, plus on le voit souvent et il partage certaines similitudes avec Bobby. J'ignore si on peut qualifier cet état de fait de qualité ou de défaut mais le fait de le voir plus exploiter à la fin du film sans qu'on ne le connaisse pas vraiment est assez troublant. D'autant plus qu'on le voit partager d'étranges tics en même temps et qu'on le présente un peu trop comme étant le "méchant" du film et non le "rival".

    Les personnages du prêtre Bill Lombardy (Peter Sarsgaard) et de l'avocat Paul Marshall (Michael Stuhlbarg )sont a peu de chose près le soutient morale et politique. Morale par rapport au prêtre qui est témoin de son évolution et de sa désintégration psychologique et politique pour l'avocat qui voit en lui un moyen pour lesquels les Etats-Unis pourront dominer un jeu dans laquelle ils n'ont visiblement jamais excellé au contraire à l'inverse des russes. Ils devront gérer ses caprices qui se feront de plus en plus extravagants (à croire qu'il est une star du cinéma). J'aime bien le personnage du prêtre dans la mesure où c'est le seul à voir le chaos de son esprit dans le duo, même si l'avocat finira à moins voir l'intérêt politique et plus l'intérêt humain.

    Sinon, les autres personnages sont assez anecdotiques. Il y a bien Joan (Lily Rabe) sa sœur qui est la sporadiquement dans tous le film et Dona (Evelyne Brochu) qui ...ne sert pas à grand chose non plus. La famille n’apparaît que très peu mais cela montre vraiment le détachement qu'il éprouve envers ses proches.

    L'histoire en elle-même est un biopic tout ce qu'il y a de plus classique et qui a la même construction qu'Imitation Game que the Theory of Everything.. Bref, il est raconté à la manière d'un flash-back (cela devient de plus en plus fréquents dans les films !). L'histoire se concentre sur les jeunes années de Bobby Fisher, son ascension et ses rencontres avec les joueurs d'échec et notamment Boris Spassky. A l'inverse des biopics pré-cité, le film ne se concentre que sur Bobby Fischer faisant fi du reste... jusqu'au dernier acte où ils donnent plus d'importance à son rival. Cela fait un peu étrange mais bon ce n'est pas gênant. Le plus gênant est que le film ignore la didactique du jeu d'Echec et fait comme si on le connaissait. Ce n'est pas trop dérangeant, mais quand on voit qu'au début Bobby Fischer enfant s'y connaît beaucoup, on aurait aimé plus d'explication.

    spoiler: Surtout quand, dans le film on nous parle de défense sicilienne ou partie de Karpov

    Il n'y a pas d'aspect pédagogique et le réalisateur prend le jeu d'échec comme maîtrisé pour le public. Cela va si on rush les parties d'échecs, mais quand on décrypte les plus précisément les parties, on veut bien comprendre pourquoi les alliés s'étonnent du changement de stratégie de Bobby Fisher

    spoiler: Comme quand il commence en utilisant un cavalier plutôt qu'un pion

    Oui c'est ce que j'ai trouvé encore plus gênant que la caricature des adversaires russes. Autre chose qui aurait pu donner des explications, l'affiliation de Bobby Fischer à l'Eglise Universelle de Dieu. LE faite que l'histoire se concentre sur lui et passe sous silence ce point est assez surprenant.

    spoiler: On nous le montre écoutant la doctrine de cette secte presque du jour au lendemain

    Mais bon, le film nous laisse quand même deviner les origines de sa paranoïa de manière très subtile mais bien maîtrisée. Donc au niveau de l'histoire, c'est un peu inégale mais pas déplaisant

    Le film est très intéressant et maîtrisé. Ce n'est pas le meilleur biopic que j'ai vu cette année (le meilleur étant Imitation Game). Mais il n'est pas dénué d'intérêt. Malgré quelques imperfections, il se rattrape par une réalisation correcte, quelques scènes humoristiques suivant un autre œil et donne une vision des joueurs d'échec durant la guerre froide assez inédit. Bon ben il est temps que je m'entraîne au Caro-Kahn ! Et comme le dit Bobby :

    Les gens pensent qu'il y a une infinité de coups. Mais il n'y en a qu'un seul car à la fin, il n'y a nulle par où aller.
    Eponaa
    Eponaa

    178 abonnés 1 088 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2015
    Très bien joué par un acteur que j'aime énormément mais malgré cela j'avoue m'être quelque peu ennuyée durant la projection: peut être le sujet ou le rythme du film. Quoi qu'il en soit c'est un personnage vraiment à part que ce Robert Fischer...
    tupper
    tupper

    116 abonnés 1 304 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2015
    Le film joue sur plusieurs terrains. Le jeu d'échecs, la politique et la psychologie au travers du destin d'un personnage aussi exceptionnel que méconnu. On découvre la guerre froide sur un terrain ou l'on ne l'attend pas. On constate encore une fois que génie et folie vont souvent de paire. Le film est assez austère dans sa forme mais mérite qu'on s'accroche.
    Quentin V.
    Quentin V.

    57 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2015
    Un film savamment construit, telle une partie d'échecs justement :) L'expression de la paranoïa maladive de Bobby Fischer est bien présente et monte crescendo au point de devenir risible par moment. Tobey Maguire est vraiment très très bon, cet acteur n'a plus à prouver sa valeur à mes yeux. Tous les autres acteurs sont justes dans leur jeu.
    Le film peut paraître lent par instant mais c'est pour mieux asseoir toute la complexité de cet esprit torturé, incapable de sentiments et convaincu d'être une cible à abattre.
    Au final, un film prenant, tout simplement ;)
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    36 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2015
    Un biopic magistralement interprète et qui retrace avec justesse le dur équilibre qu'à du trouver boby fisher entre folie et génie avant de sombrer totalement après son match historique.
    Christophe R
    Christophe R

    24 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2015
    "Le Prodige" est un bon film, bien joué, a priori bien documenté. N'étant pas joueur d'échecs, forcément cela m'impressionne beaucoup de voir ce type d'intelligence là. Le début du film est bien meilleur, selon moi, que la fin presque bâclée : ce choix de narration nuit vraiment au film, en le rendant juste intéressant, là où il aurait du être passionnant (la période aidant). Bien donc mais dommage aussi.
    Jean Marc Dinaut
    Jean Marc Dinaut

    20 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2015
    Ce biopic classique de Bobby Fischer nous entraîne dans la folie de ce joueur d'échecs mégalomane, surdoué, sociopathe et complètement paranoïaque. Enseveli totalement dans son délire de vaincre et d 'inventer des coups originaux pour battre ses adversaires ( son adversaire russe Boris Spassky) il sombre en atteignant la perfection de jeu, en devenant champion du monde d'échecs en 1972. Avec ce film pour partons avec lui dans la fascination, l'intelligence, la stratégie, la folie que représente ce jeu d'échecs. Dans des expressions, des attitudes bouleversantes, Tobey Maguire incarne ce joueur avec force et puissance.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 septembre 2015
    J'ai trouvé ce film assez mal réalisé et qui traînait en longueur pendant une grande partie.
    Beaucoup de scènes auraient pu être coupées et un court-métrage aurait suffit en étant beaucoup plus efficace !
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top