Avis : Indiana Jones et le Cadran de la Destinée - Page 8

il était super il a Vai fait des scènes quand il était plus jeune et saver qu'il avait une finale qu'il avait prévu et qu'il est super bien fait dommage qu'il soit âgée

Le Indiana Jones de trop. J'aurai préféré resté sur le indiana heureux, marié et papa que cette version spoiler: sombre et pessimiste, décalé par rapport à son époque
du personnage vu dès le début. Après le theme ET, on aborde le theme spoiler: du voyage dans le temps.
Quelques bonnes idées ici et là, la bande son excellente mais pas originale. Le film trop orienté action (courses poursuites moto, voiture, train, avion, ...) et le coté aventure est négligé . Mads fait un méchant nazi caricaturé sans profondeur. L'agent de la CIA n'apporte rien. Le jeune alcolyte fait un demi lune raté. Et la filleul d'Indy manque de charisme et aussi de profondeur. Reste le plaisir de revoir une dernière fois Indiana

Je suis née avec Harrison Ford et je mourrais avec lui. Fidèle à son personnage de cascadeur, Indiana nous fait trembler dans cette nouvelle aventure. Un film rempli de belle surprise, un beau casting , des émotions fortes...
Bravo et merci pour ce numéro 5 ♥️

Quel plaisir de se replonger dans un nouveau film avec tout les ingrédients qui ont fait le succès d'Indiana Jones.
C'est incroyable ce qu'on peut faire avec les effets spéciaux aujourd'hui pour rajeunir un acteur...
Le 4 était raté mais celui là est digne de la trilogie. Si vous êtes fan, allez y les yeux fermés

https://leschroniquesdecliffhanger.com/2023/05/19/indiana-jones-et-le-cadran-de-la-destinee-critique/

Si la franchise est particulièrement lucrative, le pari artistique d’Indiana Jones et le cadran de la destinée est très certainement de retrouver l’énergie follement créative de la saga qui a démarré en 1981 avec Les aventuriers de l’arche perdue et qui aura tant nourri les rêves de générations entières, avec un cinéma populaire mais jamais avare de fulgurances. Notamment dans une inventivité qui permet de se forger des cultures communes, des rituels rassurants et qui contribue à la grande histoire du cinéma en général et de tant de fans de cinéma en particulier, dans un éclectisme fédérateur qui fait du bien, qui réconcilie.

Sans spoiler, mais pour le dire d’emblée, ce cinquième épisode s’il n’est pas une réussite magistrale, retrouve indubitablement le souffle romanesque, l’énergie du goût de l’aventure, qui ont forgé le succès planétaire que l’on sait de l’archéologue au fouet qui claque sur nos utopies cinéphiles.

Clairement, le début est totalement flamboyant et on se prend à rêver de notre propre rajeunissement tant la technologie numérique qui situe l’action en 1944 donne à Harrison Ford des traits de petit minet, avec une course poursuite digne des plus belles de toute la franchise dans et sur ce train comme terrain de jeu, et le cadran comme déjà objet fou de désir. Rien de mieux pour contextualiser l’action de départ de l’épisode 5, cette fois-ci située en 1969. Et jeu de contraste savamment entretenu, c’est cette fois-ci l’émotion qui prédomine. L’émotion car Indy est vieilli, fripé, flasque… Les plans insistent (un peu lourdement) sur le corps du héros vieillissant. On se croirait presque chez Haneke avec Amour et face à ces images presque déstabilisantes, c’est nous tous qui plongeons dans l’abime d’un temps définitivement assassin. L’émotion est palpable dans la salle. Un vrai beau moment de cinéma. Le geste de Mangold est explicitement délibéré et ça opère.

Notre héros va être sorti du formol par sa filleule, la pétillante Héléna Shaw, pour précisément retrouver la moitié du fameux cadran d’Archimède, qui une fois réuni, permet la création de failles spatio-temporelles, et comme tout le monde n’est pas aussi bien intentionné que Marty McFly ou Godefroy Le Hardi, c’est à nos héros de choper le demi cadran en premier.

C’est ensuite un déroulement de scènes d’actions spectaculaires mais très classiques qui ne tiennent pas la promesse de l’introduction si foisonnante. La mise en scène nous en met plein la tronche, presque trop, mais c’est le jeu du genre. Avec pour autant de jolies surprises et de multiples clins d’œil qui raviront les fans de la première heure. La fin que jamais au grand jamais nous ne déflorerons, est en revanche totalement stratosphérique, surprenante et somme toute assez prodigieuse. Elle vient nourrir les rêves de toujours d’Indy, et c’est même assez bouleversant. Rien que pour cette incroyable séquence, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée tire son épingle du jeu.

Indiana Jones et le Cadran de la Destinée a le grand mérite de ne pas être un ratage, ce qui au regard des attentes et de la difficulté à faire perdurer un tel mythe 42 ans après est en soi déjà une belle performance. Les fans seront de toute façon pleinement rassasiés, mais les plus sceptiques pourraient ne pas être trop aigris devant ce qui demeure de toute façon un assez incroyable spectacle de cinéma.

J'y suis allé car j'aime bien les Indiana Jones et pas déçu du tout bien au contraire
Les acteurs jouent bien
Le scénario est correct
Les cascades et l'humour sont là
La fin est réaliste sans spoiler
Franchement on passe un bon moment
Et voilà c'est fini pour Indy

Scénario indigent, pas une seule idee neuve, sauf l'intrusion dans l'antiquité gréco-romaine avec le siège de Syracuse. Et malheureusement cette idée n'est quasiment pas exploitée. Aucune émotion, aucun suspens.. 2h30 d'ennui. C'est nul !

J'adore les Indiana Jones ! Et encore une fois, ce film est génial, avec de l'action, de l'humour et un scénario super ! La fin est juste un peu exagérée....

Complètement, dans l'esprit, des premiers de la saga ! Je m'attendais à être plutôt déçu, au vu du dernier (le crâne de cristal), ça a été une excellente surprise, de l'humour, de l'action et de l'aventure…

Un pur moment de bonheur , avec un Harrison Ford émouvant. Des retrouvailles avec Indi entre émotion et nostalgie…. Merci ! Merci ! Merci !

Le Professeur Jones avait pourtant prévenu : « Ne confondez pas archéologie et pillage ». Sans surprise, Disney pille, de nouveau, une prestigieuse saga culte du cinéma pour la réduire à néant en livrant une suite honteuse à tous les niveaux. Il n’y a rien à sauver dans ce « Cadran de la destinée » qui s’étire inutilement en longueur pour raconter une histoire qui tient sur un post-it meublée par une succession ininterrompue de courses-poursuites abrutissantes et mal cadrées. Et ce ne sont pas les personnages qui vont aider à créer un semblant d’intérêt. Ils sont tous, au mieux insipides, comme le Demi-Lune version Wish qui accompagne Indy ou le méchant (qui devrait être mort depuis le prologue vu ce qui lui arrive) qui se contente d’apparaître à chaque fois de nulle part pour dire « Coucou, je suis le méchant, je veux le cadran, vous vous souvenez ? ». Au pire, ils sont insupportables, comme Héléna, interprétée par Phoebe Waller-Bridge dont le CV comporte l’émasculation de James Bond dans Mourir peut attendre et l’incarnation du pire droïde de l’univers Star Wars dans Solo, qui mérite juste autant de baffes que le nombre de minutes où elle est à l’écran.

Pilier historique de la saga avec Harrison Ford, John Williams aurait pu être l’ultime lueur d’espoir de cette entreprise lamentable, il n’en est rien. La légende de la musique de film achève sa carrière sur sa bande originale la plus médiocre, partagée entre de rares nouveaux thèmes à peine audibles et (surtout) des reprises de morceaux issus des précédents films mais aussi d’autres compositions de Williams hors Indiana Jones comme La guerre des mondes ou Tintin tant la panne d’inspiration est totale.

Ces 2h30 de souffrance et le flop qui a suivi auprès du public constituent ainsi l’enterrement en troisième classe d’une saga de première classe, comme Star Wars, James Bond et d’autres grands titres qui seront prochainement broyés sous les rouages des temps modernes vides de sens et d’ambition dont l’unique objectif est de faire du pognon en surfant sur les tendances sociétales minoritaires à la mode. Tout comme ces produits sans âme vomis par Disney à la face des spectateurs depuis des années, la place de ce Cadran de la destinée n’est pas dans un musée, mais à la poubelle.

non, je n adhère plus du tout ce genre de divertissement...une succession de courses poursuites...faible ressort dramatique...soit je suis devenu trop vieux pour ces histoires soit le charme des premiers n'est plus trop reconductible...

Une aventure épique, qui signe le retour et la fin de notre cher Docteur Jones.
Des courses poursuites, des décors dignes des débuts, un scénario travaillé et sans chichi.
Vraiment un coup de coeur et un retour en enfance avec un travail nostalgique raffiné et non exagéré.
Merci pour cet au revoir à la hauteur d'Indiana.

Après une trilogie très solide et un 4ème opus qui a déçu beaucoup de monde, le célèbre archéologue est de retour pour une dernière virée, cette fois ci à la recherche du cadran de la destinée. Globalement, j'ai trouvé le film sympathique, l'histoire est pas mal, il y a de l'aventure, du suspense et toujours des n*zis comme antagonistes. Les scènes d'action sont bien faites... oui mais pour moi cela s'arrête là. Il n'y a pas ce petit plus qui fait la magie des 3 premiers. James Mangold délivre une mise en scène efficace mais sans plus. J'ai trouvé que c'était un produit extrêmement calibré. Pas mauvais... mais pas excellent non plus. J'ai également trouvé la fin un petit peu expéditive et décevante. Enfin, la musique de John Williams, bien que pas mémorable selon moi, reste de très bonne facture.

Réaliser un cinquième opus était risqué, même très risqué, mais pour pourtant le pari est réussi.
L'introduction et d'un épisme et d'un dynamisme incroyable. On en prend plein les yeux et plein les oreilles. Le rajeunissement de Harrison Ford est réussi même si on voit l'effet numérique sur quelques plans. S'en suit un film maîtrisé (malgré un petit manque de rythme à certains moments), plutôt bien écrit où on prend plaisir à voyager avec Indy est ses compagnons. L'ensemble fonctionne, même la fin complètement audacieuse donne le change.
James Mangold arrive à préserver l'ADN de la saga tout en apportant son propre style et ça donne un cinquième épisode dans la continuité de la franchise tout en ayant quelque chose de différent. C'est intéressant et agréable. En ressort des scènes vraiment plaisante come spoiler: l'attaque des murènes et les retrouvailles entre Indy et Marion. D'ailleurs ce fait plaisir de retrouver cette dernière, que j'avais trouvé décevant dans le Royaume du crâne de cristal mais qui est ici géniale.
Harrison Ford assume son âge et de ce fait on beaucoup plus emphatique que si on avais voulu nous faire qu'il était encore un jeune homme. Les reste du casting est vraiment très bon, même si Mads Mikkelsen est un peu en retrait dans son rôle d'antagoniste.
John Williams réalise une bonne partition, en accord avec le film.
Bref, pas grand chose à redire sur cette dernière aventure d'Indiana Jones. Mangold prouve qu'il est un grand réalisateur et sur ce coup il a rien à envier à Spielberg.
Le cadran de la destinée est un film épique, drôle et émouvant. Merci de nous avoir offert un tel adieu pour un des personnages les plus emblématiques de l'histoire du cinéma.