Avis sur Indiana Jones et le Cadran de la Destinée

Allez voir ce film, faites-vous une opinion par vous-même. Ne vous laissez pas influencer par tout le bashing négatif qu'on trouve sur les réseaux sociaux. Chacun a le droit d'aimer ou de ne pas aimer, mais là je trouve que ça tourne à une exécution et une hystérie non méritée.

Je viens d'aller le voir et j'y allait, j'avoue, avec une certaine appréhension, compte tenu de certaines pré-critiques négatives.
Et bien, j'ai bien fait d'aller le voir. J'ai retrouvé l'indiana Jones que j'aime et j'ai vraiment passé un très bon moment. Le scénario joue de façon juste avec l'âge de H. Ford, sans jamais tomber dans le potache. Sinon, ça aurait été ridicule. L'histoire, l'action et les décors, tout est là. L'humour est présent au même niveau que les trois premiers opus, sans plus. Les moments de rajeunissement d'Indiana Jones sont justifiés en raison de l'histoire et passent très bien. J'ai trouvé la fin cohérente (je ne ferai pas de spoiler).
Vraiment, allez le voir et faites-vous une opinion par vous-même et non pas via ce qu'on a pu lire.
J'avais peur d'être personnellement déçu comme pour les trois sequels de SW, mais pas du tout.
Je me suis fait plaisir et j'irai le revoir en famille.
Merci pour ce dernier opus risqué, mais à mon goût, réussi.

Un chapeau, un fouet, une veste en cuir, les premières notes du thème mythique de John Williams... et bim, ce sont tous les souvenirs d'une trilogie culte, vue et revue durant des années (de jeunesse ou non), qui déferlent à l'esprit en nous collant ce toujours même sourire indélébile à l'évocation du plus célèbre aventurier de l'Histoire du cinéma. On parle bien de "trilogie" car, comme beaucoup, le quatrième volet sorti en 2008, finalement avant-gardiste de la vague récente des suites tardives de franchises célèbres, ne nous était pas apparu comme un épilogue à la hauteur de ses modèles, ni même nécessaire ou pertinent par certains de ses choix nous ayant laissé sur une note de déception.
C'est donc avec appréhension que l'on guettait ce nouveau retour inattendu d'Indiana Jones, toujours avec son Harrison Ford d'interprète à 80 ans (!) mais, cette fois, sans Steven Spielberg aux commandes, remplacé par James Mangold, avec le vague espoir qu'il reproduise son superbe traitement de héros vieillissant pour "Logan" sur notre ami archéologue... Mais, à l'heure des longs-métrages en forme de "requels" carburant à la nostalgie la plus éhontée, le bonheur de réentendre claquer le fouet d'Indiana Jones se disputait à la très forte crainte de l'aventure de trop.

Ne tournons pas autour du Cadran de la Destinée, James Mangold s'en est plutôt bien sorti. De quoi égaler l'aura éternelle des films de la trilogie dans l'imaginaire collectif ? Non, loin s'en faut. Mais de quoi offrir une meilleure porte de sortie à Indy que le précédent long-métrage ? Oui, avec un vrai sens du divertissement bien plus emballant que son prédécesseur conçu pourtant sous égide "spielberg-ienne".

D'abord, il y a bien évidemment cette première partie située dans les années 40 qui pouvait justement laisser penser au pire question nostalgie facile, avec un Harrison Ford rajeuni numériquement et en train de virevolter comme à la grande époque contre des nazis. Cependant, si les plans sur le jeune Indy montrent toujours une inconsistance en termes d'effets réussis (un plan où l'on est sidéré laisse inévitablement place à un autre beaucoup plus gênant), cette introduction a le mérite de jouer avec tous les ingrédients les plus connus et aimés des films d'Indiana Jones lors d'une chasse ferroviaire à l'artefact qui montre clairement l'amour et le respect de Mangold pour ce qui est devenu l'essence d'un film d'aventure signé Spielberg dans l'esprit de tous.
Mieux, cette première partie au regard tourné vers le passé n'est pas juste là pour frotter le fan dans le sens du poil (bon, un petit peu quand même), elle s'impose comme le reliquat d'une époque révolue, manichéenne et porteuse d'espoirs encore naïfs qui va venir se fracasser à la réalité du quotidien d'un professeur Jones désormais très marqué par le poids des années et ressassant seul ses drames récents à l'aube des 70's. Le temps a passé et le temps va non seulement être au coeur de la quête à venir mais il va être aussi celui qui n'a pas épargné notre Indy, l'entraînant dans une époque où il tient un rôle presque obsolète, où plus rien n'est aussi lisible et évident qu'auparavant, que ce soit en termes de frontières entre le bien et le mal ou de motivations d'individus qui font rimer la soif d'aventure aux velléités matérialistes les plus discutables... À commencer par sa filleule Helena (Phoebe "Fleabag" Waller-Bridge) qui va justement remettre Indy sur la route d'un ex-ennemi nazi (Mads Mikkelsen) devenu un savant protégé par les autorités américaines pour leurs recherches spatiales.

Comme on pouvait s'en douter, le comportement arriviste de cette filleule et les objectifs tordus de cet Allemand autour d'un mystérieux cadran fabriqué par Archimède vont réveiller la fougue impétueuse de l'archéologue pour une dernière aventure qui va bien sûr multiplier les péripéties aux quatre coins du globe.
Peut-être un peu trop d'ailleurs car, en voulant à tout prix enchaîner les morceaux de bravoure (en rappel d'illustres autres pour certains), "Indiana Jones et le Cadran de la Destinée" va en parallèle nourrir sa principale faiblesse: sa trop longue durée. En se focalisant sur le prétexte d'une quête aux MacGuffins pour en trouver d'autres plus importants, l'empilement de phases d'explorations ou de confrontations au camp opposé va vite s'apparenter à une sorte de buffet bien trop garni qui s'acharne à vouloir rassasier des ventres déjà repus. Certes, on a vu pire comme défaut, d'autant que cela permet de varier les décors et de développer les interactions entre les protagonistes, mais, si le divertissement est généreux, son agitation perpétuel autour de trop nombreuses missions annexes dans l'attente de la résolution de la principale encourt le risque d'engendrer parfois une certaine lassitude sur sa durée pharaonique de 2h34.

Heureusement, "Indiana Jones et le Cadran de la Destinée" fait complètement oublier ce sentiment avec la réussite de sa dernière partie.
Attendu mais tout de même osé par son jusqu'au-boutisme, le basculement habituel de l'aventure vers une dimension plus fantastique/SF remet les pendules à l'heure (enfin, pas littéralement pour le coup) sur le discours autour du temps qui passe du long-métrage en permettant à son archéologue de vivre éveillé son rêve ultime, ce qu'il a toujours effleuré au cours de son existence sans jamais penser pouvoir l'atteindre, comme une sorte d'apogée à son accomplissement personnel où, en compagnie d'un James Mangold manifestement tout heureux de mettre en scène l'improbable avec brio, Indy semble être arrivé au bout du chemin de sa propre destinée. Et, tout en s'amusant à nous faire douter du sort du personnage, une vraie émotion s'emparera des derniers instants du film, débordant sans mal sur un spectateur conscient que, quoiqu'il advienne de la franchise, lui aussi est en train de faire ses adieux à son aventurier préféré.

L'impression de retour manqué laissée par "Le Royaume du Crâne de Cristal" est donc définitivement gommée par ce "Cadran de la Destinée" où il aura fallu paradoxalement un autre que Steven Spielberg pour délivrer un épilogue à la hauteur de ce héros incontournable du cinéma.
Si la magie des films originels n'y est pas totalement pour emmener ce nouvel opus vers leur firmament, "Le Cadran de la Destinée" en aura au moins tutoyé l'âme pour permettre à Indiana Jones de partir avec les honneurs, trouvant en la thématique du temps une très bonne clé de voûte à un hommage et peut-être point final contemporain à la destinée de cet aventurier tant aimé, aux traits à jamais confondus avec celui de son acteur Harrison Ford.
Que ce soit au milieu d'un champ de bataille ou entre les murs d'un petit appartement, cet au revoir à Indy nous laisse sur de belles notes d'émotion et le sentiment du devoir accompli pour un film d'aventure se plaçant en plus nettement au-dessus de ses jeunes concurrents directs de ces dernières années. Ce bon vieil Indiana Jones n'avait décidément pas encore dit son dernier mot, James Mangold lui a permis de le faire avec la manière.

Et voilà ! C'est finit ! Le dernier Indy est sorti et ce n'est pas sans nostalgie et pincement au coeur que je m'y suis rendu. Quel bonheur de retrouver tout cet univers et le charisme sans faille d'Harrison Ford. Les critiques négatives me font sourires, elles oublient une chose : certaines sagas ne nécessitent pas forcément le besoin d'être sur analysée. Surtout quand il s'agit du dernier volet. Pour ma part retrouver les codes, la musique, le petit avion qui se déplace sur la map, le voyage et les mystères me suffisent à me donner le sourire et déjà sentir la larme à l'oeil car cette émotion je ne la vivrais plus au cinéma. Bye bye Indy et MERCI POUR TOUT !!

Ce dernier opus de la saga de Indiana Jones est une réussite sur tout les plans, je ne me suis pas ennuyée une seconde, l’histoire est très bien construite et on retrouve ll’essence du premier Indiana Jones. Bravo et chapeau monsieur Ford!

Indiana Jones et le cadran de la destinée, est le film le moins divertissant et le plus ennuyeux de la saga Indiana Jones qu'il m'a été donnée de voir. L'idée d'un Cadran est tellement mal exploité et peu compréhensible, qu'il faudra attendra le deuxième tiers, pour comprendre son fonctionnement. Cela est du à la volonté du film de se centrer sur un indiana jones qui n'a plus l'air d’être dans le coup, et d'un autre personnage féminin, qui n'a que peu d’intérêt à nos yeux, tant elle parait, peu sympathique, mais surtout fade. Le seul personnage qui a un minimum d’intérêt c'est le personnage de Mads Mikelsen, mais étant sous exploité, et servant de motivation au deux autres personnages, ces scènes sont courtes, là ou on aurait aimé le voir le plus souvent. Le pompon du personnage du plus insupportable après le personnage féminin qui accompagne indy, est la copie insupportable de Demi Lune, un garçon pénible qu'on aimerai bien voir disparaitre comme il est apparut. Quant au scènes d'action, elle manque d’intérêt, jamais on ne sent Indiana Jones en danger, et surtout elle sent énormément le fond vert, pour un budget de 300 millions c'est a se demander ou est passé l'argent. La seule chose qui vaille la peine d’être regardé c'est la scéne d'ouverture dans le passé, malgré un harisson ford mal rajeuni, tant on sent le coté artificiel des effets spéciaux, il s'agit de la meilleur scéne d'action du film et jamais par la suite, le film ne retrouvera jamais le rythme trépidant et c'est bien dommage, par la suite le film se désagrégera dans une histoire de moins en moins intéressante.

Du très grand spectacle !
Ce cinquième -et dernier- volet des aventures du grand Indy reprend tous les ingrédients des épisodes précédents : cascades ébouriffantes, énigmes archéologiques, combat contre des méchants très méchants, humour et fantaisie, valeurs et grand coeur... L'avancée en âge d'Harrison Ford é été parfaitement intégrée dans le scénario (son rajeunissement numérique dans la première demi-heure du film est spectaculaire) et l'improbable rencontre de la dernière partie est tout simplement magnifique. Tous les rôles, premiers et seconds, sont superbement interprétés, avec une mention spéciale pour Phoebe Waller-Bridge dans le rôle de la filleule d'Indiana Jones.
Juste une réserve liée aux 2h34 du film : on finit par être saturé·e d'actions et de rebondissements. La rançon de la gloire sans doute...

J'en sors tout juste et j'avoue que je n'y suis pas allé à reculons et j'ai VRAIMENT bien aimé ce dernier épisode d' Indiana Jones, même s'il n'est pas exempt de défauts
L'ouverture du dit film est comme les précédents, la photographie, la lumiere, l'ambiance générale et la musique, oui, on est bien dans la dernière aventure du héros, tous les symboles y sont, de la typologie d'écriture au déplacement/voyage sur une carte, tout y est, même d'anciens personnages, avec les clins doeils aux précédents opus, et des nouveaux où, malheureusement l'un d'eux , très jeune, n'arrive pas du tout à égaler la présence et l'importance de Demi-lune (même si c'est un Orléannais ^^)
Dans le même ordre, de déception, certains effets spéciaux vont de excellents, bluffants , à très très médiocre (course pousuite sur un train qu'un jeu vidéo d'il y'a 10 ans déjà faisait mieux, course pousuite en mode accélérée et ils ont omis d'effacer la présence d'un chat qui se retrouve en mode The Flash, trop drôle), et je pointerai surtout l'effet de rajeunissement de certains personnages notamment parce que certaines scènes sont ahurissantes de réalisme, on retrouve le personnage qu'on a connu il y'a 40 ans , et, 30 s après un regard sans âme et ou la supercherie ne passe pas, dommage
Cependant il n'est pas nécessaire d'avoir vu les 4 premiers , les néophytes et trop jeunes n'auront cependant pas la nostalgie que notre génération ressentira à coup sûr parce que oui, que nous reste-t-il comme référence d'aventure ?
Pas grand chose à dire vrai.
Uncharted ? Tomb Raider?
De très bons jeux vidéos certes mais pas du niveau d'écriture scénaristique que notre héros vieillissant...
Parce que oui, depuis quelque temps, à part les suites et reboot, on surf sur la nostalgie de notre époque et on idolâtre nos héros d'antan, a les faire vivre à travers des aventures qu'aucun réalisateur n'a réussi à remplacer, et ce, jusqu'à des âges avancés
Alors Papy Jones? On raccroche le chapeau & le fouet ?
À suivre...
En tout cas, James Mangold à réussi pour moi le pari

Ce 5eme episode contient de bonnes choses. En premier lieu, un scénario abouti qui jongle entre, l'action, les références de la saga et la notion du temps, élément important la aussi de la saga, qui avec astuce, proposait une histoire autour des vestiges du passé. Le regret et la vieillesse sont sûrement les thèmes majeur de cet opus. Il faut aussi souligner la réussite des nouveaux personnages, Phoebe Waller Bridge pétillante, belle, en jeune femme commerçante et arriviste, et Mads Mikkelsen apporte charisme a son rôle. Le bémol viendrait plutôt du côté de la photographie jaunâtre délavée, et beaucoup de scènes d'action ont perdu la magie que pouvait leur apporter Steven Spielberg, à l'exception du prologue et de la Poursuite à Tanger sans doute. Globalement, une réussite, Mangold a su créer un épisode à la fois proche et different des 4 premiers, moins virtuose, plus émouvant. Et il a offert une vrai proposition de cinéma, la ou on voit surtout arriver des remakes cachés, comme Stars wars 7 par exemple. Action, dépaysement, humour et émotion, chapeau Indy

En voyant Harrison Ford devenir si émotif à la fin du film alors qu'il recevait une ovation, j'ai réalisé quelque chose d'important. Peu importe que cela me plaise ou non, ou que cela plaise ou non à quelqu'un d'autres, Indiana Jones est un rôle incroyablement spécial que Ford aime vraiment jouer, et il est compréhensible que le dernier film de cette série puisse rendre la star si émue.

Le Cadran de la Destinée est un film fantastiquement cathartique qui enthousiasmera et divertira tous les fans. Pour les autres, il s'agira certainement d'une expérience visuelle très agréable.

Le film est bien rythmé avec un premier acte captivant, John Williams rend chaque scène grandiose et hautement émotionnelle. Le nouvel entourage d'Indy fonctionne bien, même si je pense que Short Round sera toujours le meilleur. La nouvelle protégée jouée par Phoebe Waller-Bridge réussit à être très bien caractérisée tout en donnant un bon équilibre entre sa force indépendante et le fait qu'elle ne diminue jamais Indy en tant que personnage. En parlant du héros titulaire, Ford est vraiment génial ici et donne une performance incroyablement mémorable dans un film centré sur l'action et l'émotion. Il met vraiment tout en œuvre pour cette dernière performance, l'un de ses rôles préférés, et cela se voit. Mads est un excellent antagoniste, et même si j'aurais aimé qu'il juxtapose un peu plus les idéaux d'Indy, je pense qu'il fait un excellent travail pour un personnage plutôt solide.

La première heure est probablement l'une des meilleures actions d'Indy et le meilleur travail sur les personnages que nous ayons eu depuis le 3ème film, et alors que j'ai trouvé la vente aux enchères au Maroc extrêmement divertissante, la poursuite en trolley à vélo semble durer un peu trop longtemps sous un écran vert très visible. Le troisième acte, avec son style classique de pillage de tombes, était tellement iconique, même si la fin (que je ne spoilerai pas) était un peu " wackle doodle doo ". Mais bon, c'est ça Indiana Jones. Si un méchant n'arrache pas le cœur des gens ou si des objets magiques ne font pas des choses inexplicables, est-ce vraiment la bonne vieille aventure dont on se souvient ?

Indy "de-aged" est très bien fait 85% du temps, et les 15% restants ont des effets visuels douteux, mais ils ne sont jamais trop gênants.

Dans l'ensemble, le Cadran de la Destinée n'est pas un film parfait, MAIS c'est une grande aventure Indiana Jones ! Tant d'éléments de ce qui fait l'importance du personnage et de son histoire sont présents ici, et c'est ce qui rend le film si agréable.

J'ai pris un plaisir énorme avec cet indiana Jones 5. En plus de cocher toutes les cases des classiques, l'intrigue et le climax nous emmène dans une aventure incroyable. Certes quelques scènes de courses poursuites sont un peu longues, et le film en lui-même sure un peu trop longtemps. Les effets spéciaux de de-aging sont impressionnants avec un Harrison Ford jeune bien éclairé et terriblement réaliste. Le choix d'avoir axé l'histoire autour de cette mystérieuse machine d'Anticythère qui reste une énigme archéologique était super bien vu. Bref, on prend du plaisir à retrouver notre héros préféré et il achève cette quincalogie avec grand bonheur. Indi n'est pas mort, loin de là !

Rien à redire, ce 5 ème volet constitue une excellente suite. Harrison FORD n'a rien perdu de son charisme. Des scènes d'action efficaces et un final réussi. Top !

C'est la fin de l'histoire, Harrisson Ford nous gâte une dernière fois dans ce dernier opus cinématographiquement très réussit. Les ESN sont magnifiques surtout dans la première partie jeunesse du héro et plus nostalgique dans la partie année 70's. Difficile d'avoir l'effet de surprise des débuts mais malgré cela le spectacle reste grand public, exotique et dépaysant. Je tire avec le fouet mon chapeau d'Indiana Johns pour la grande force de ce personnage culte et lui souhaite une belle retraite.

1981 sortie en salles du 1er INDIANA JONES j’avais 11ans donc pour ce 5éme film que je viens d’aller voir c’est toute une vie qui est passée…
Collectionneur archiviste sur Harrison Ford j’enregistre tous ses passages TV sur VHS puis DVD depuis 1998, je collectionne sa filmo en DVD et tout ce qui le concerne… Je viens d’enregistrer sur DVD la saison 1 de ses 2 nouvelles séries.
J’ai enregistré sur DVD toute la promo à Cannes de ce 5éme film dont la montée des marches entière, film qui a été adoré par Cannes !
Aussi je suis lassé de voir les critiques déçues de quelques contacts Facebook qui recommencent le même cinéma qu’en 2008 pour le 4éme film car ce n’est pas ce qu’ils attendaient…. Cette fois c’est l’argument que « Lucasfilm a été racheté par Disney et c’est donc comme la nouvelle trilogie STAR WARS obligatoirement dénaturé et nul » !!!

Je n’ai rien de négatif à dire sur ce 5éme film si ce n’est la durée excessive de 2h35 qui fait vraiment long bloqué dans une salle! Même si tout est intéressant, filmé avec panache, ingéniosité avec des effets spéciaux incroyable… Car la plupart des scènes d’action grandiose sont totalement invraisemblables dans la réalité… On se doute bien que quand Ford 80ans conduit comme un fou son petit véhicule dans les petites rues de Tanger qu’il est en fait devant un fond vert mais c’est très bien rendu et convainquant ce qui justifie les 300 millions de dollars de budget...

Comme on le sait Marion est absente spoiler: ils sont en procédure de divorce depuis la mort de leur fils !
mais à ce sujet il y a une surprise énorme à la fin du film qui a été bien cachée par les médias qui disaient le contraire et ont même donné des fausses infos sur le sujet ! Je suis resté jusqu’à la fin du générique mais non pas de scène en plus !

Allez il y a 10min de sympa quand ils font enfin une découverte archéologique, au bout d'une grosse heure d'ennui indifférent et d'effets spéciaux déstabilisants et moches. Sinon ça bavarde, ça "actionne" vu et revu sur le train et dans les rues à tuk tuk, sauf que papy n'a plus le charme ni la fougue et qu'aucun personnage agréable ne vient l'épauler, sa "filleule" étant autant tête à claque qu'immorale et pas attachante du tout. L'incohérence de départ qui voit relégué au rang de minable petit prof de fac locale le grand professeur Jones, tombé dans un alcoolisme Bruce Willis-ien, et qui reçoit un pauvre petit cadeau pour son départ en retraite, (je rappelle au sénariste qu'il a découvert l'arche d'alliance et le graal....) m'a sortie du film immédiatement. Un navet sans exotisme, mais avec des nazis. Une cata.

Très bon film! Docteur Jones est toujours dans le coup. Bien meilleur que l'opus précédent; un rythme effrénée et une quête alléchante