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    Vivre pour Survivre
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    17 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 juin 2013
    Pourquoi la moyenne pour White Fire ? Tout simplement parce que les 30 premières minutes était très bien, tout se passait pour le mieux jusqu'à ce que Fred Wiliamson fasse son apparition INUTILE et prenne place devant la caméra pour le reste du film. Je ne critique pas l'acteur qui est au contraire un grand acteur, mais son rôle dans le film est de trop !
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    666 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Réalisé au milieu des années 1980 par Jean-Marie Pallardy, un spécialiste des films X et érotiques, ce film d'action s'avère malheureusement bien mal filmé et possède en plus une interprétation assez calamiteuse de son casting, où l'on retrouve notamment un certain Kevin Williamson. Reste la présence d'une histoire pas déplaisante à suivre mais cela reste clairement insuffisant concernant ce long-métrage qui est de mauvaise qualité.
    florentbalme
    florentbalme

    48 abonnés 516 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2011
    Comment ça, aucune critique pour Vivre pour Survivre, dit White Fire, dit Le Diamant ?! Un film aussi culte ! Aussi magique ! A croire que les bijoux du septième art n'intéressent plus personne !
    Frédéric L
    Frédéric L

    16 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mai 2014
    Je lui décerne la Palme d'Or du Nanar ! Car tout est dans tout et tout est dans ce film : c'est à la fois un film d'auteur, un film d'action, d'aventure, d'horreur, un film de moustaches, un film de "Star Wars", un film de diamant radio-actif, un film érotique sur l'inceste (avec la réplique cultissime "Dommage que tu sois ma sœur"), un dépliant touristique sur la belle ville d'"Istanbul". Spéciales dédicaces à Jon Lord (pour la chanson "white fire", trop bien), Robert Ginty et Fred Williamson qui ont vraiment LA grande classe internationale.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 807 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mars 2011
    C'est con comme la Lune, mais il y a une super musique Whiiiiteee Firrree, c'est un nanar de compète internationale avec des beaux plans nichons… Que demande le peuple ?
    "C'est le White Fire" !
    Redzing
    Redzing

    921 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 décembre 2017
    "White Fire" est un film franco-turco-britannique bien connu des nanarophiles, et ce n'est pas sans raison. C'est bien simple, l’œuvre respire la médiocrité sympathique à tous les étages. En premier lieu, le scénario tournant autour d'un trafic de diamants et d'un frère amoureux de sa sœur est sans queue ni tête : rebondissements aberrants, personnages débarquant comme un cheveu sur la soupe, sous-intrigues inexpliquées, dialogues foireux, et on en passe. Tout ceci n'est pas aidé par un montage hasardeux, bourré de faux raccords, une mise en scène des plus plates, une qualité d'image absolument immonde, et une BO répétitive à souhaits. Sans compter les acteurs drôlissimes, avec surtout Robert Ginty et son brushing improbable en aventurier du dimanche incestueux, une pétaure de sbires moustachus comme on n'en fait plus, ou des passants amusés qui regardent la caméra... On note également que "White Fire" se prend complètement au sérieux, s'appuyant sur de l'érotisme moite et de la violence grotesque pour se donner de l'impact. On est donc bien en présence d'un juteux nanar, à déguster en VF si possible, la traduction en rajoutant une bonne couche !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 178 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2011
    Vivre pour Survivre (1984) aussi connu sous les titres "White Fire" & "Le Diamant" est un nanar cultissime pour tout amateur de navets qui se respecte. Réalisé par Jean-Marie Pallardy, un réalisateur français méconnu du grand public mais prolifique cinématographiquement parlant (Règlement de femme à OQ corral, L’Amour chez les poids lourds, L'Arrière-train sifflera trois fois, Le Ricain, etc). Il gagne réellement ses lettres de noblesse (auprès des cinéphiles aguerris), grâce à ce film, une coproduction Franco/Anglo/Turque où pour l'occasion, il s'anglicise et devient John-Mary Pallardy. Au final, le film est devenu au fil des années un nanar de référence dans le cinéma (de genre) français, rarement on aura eu la chance d'avoir autant de défauts (aussi flagrant) dans un seul et même film, à commencer par les acteurs où leur seul présence face caméra déclenche des fous rires, entre ceux qui ne savent pas jouer et les innombrables figurants turcs moustachus, sans oublier le plus important : la dégaine de Robert Ginty, sa moustache, ses tenues vestimentaires et sa coupe de cheveux. Mais ce n'est pas tout, à cela s'ajoute les cascades ratées, les dialogues improbables ("dommage que tu sois ma soeur" dit le héros à la femme dont il est tombé amoureux), les incohérences de certaines scènes, le montage tout bonnement apocalyptique avec ses innombrables faux raccords, des décors futuristes en carton (que viennent-ils faire la ???), des déguisements rouge flashy tout droit sorti de la série télévisée "V : Les Visiteurs", sans parler des hideux casques à la Dark Vador. A noter tout de même une distribution des plus surprenante et réussie, avec dans les principaux rôles aux côtés de Robert Ginty : Gordon Mitchell, l'hilarant Jess Hahn et la séduisante (!) Belinda Mayne.
    Vous l'aurez donc compris, ce film n'est pas devenu culte pour rien, ses nombreuses incohérences nécessite de voir le film plus d'une fois, car certaines subtilités peuvent nous avoir échappé, à voir entre amis, vous ne serez pas déçu (à condition d'aimer ce genre de film).
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2018
    Considéré comme un des mètres étalons du Nanard par les spécialistes de Nanarland White Fire où Vivre pour survivre est en effet un film qu’il faut voir pour croire qu’il a vraiment été réalisé. Déjà il ne faut pas se tromper, on est face à un film d’auteur car dès le générique Jean Marie Pallardy signe son film avec panache et accompagné d’un bande son forte de deux thèmes et seulement deux thèmes. La sobriété est au service du sujet qui semble tenir à cœur de l’artiste à savoir l’inceste entre frères et sœur (oui oui et très premier degrés en plus). Faisant fis des biens pensants, l’auteur va à travers la bouche de son acteur principal lâcher rapidement un « ha si t’étais pas ma sœur » montrant bien que la morale répressive empêche de se développer l’amour, le vrai. Son acteur parlons en, Robert Ginty est le grand intérêt de ce film, mis à part le fait qu’il semble se chercher capilairement parlant changeant de coupe de cheveux parfois dans la même scène, cet artiste joue avec conviction et sait parfaitement manier les mimiques de plusieurs sentiments à savoir: le doute, la colère, l’incrédulité, la joie et même l’état d’ébriété et encore j’en passe tellement la palette est large. Vous l’aurez compris c’est absolument n’importe quoi du début à la fin, des faux raccords tellement énormes que je les ai vu, une des plus grosses collections d’hommes de main à moustache qui m’a été donné de voir, un non sens filmique avec en plus un cœur d’histoire qui fait se poser des questions sur l’état mental de son auteur. Personnellement ce n’est pas le Nanard qui m’a le plus amusé mais si vous voulez voir un véritable ovni qui s’écrase c’est le film parfait.
    Philippe G.
    Philippe G.

    113 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 août 2022
    Au 25 ème degré on tient là un chef-d'œuvre. Hélas, au premier, c'est si consternant qu'aller au bout relève des jeux olympiques.
    Un concentré de tomates à lui seul, ce film !
    Jahro
    Jahro

    43 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 juin 2012
    Un nanar historique puisqu'il est à l'origine du site nanarland, de l'aveu même de ses auteurs. Jean-Marie Pallardy, John M. Pallardy au générique, semble avoir écrit l'histoire au fur et à mesure, abandonnant une trame SF probablement trop coûteuse en cours de route (en témoignent les décors et costumes archi cheapos du premier quart d'heure). S'en suit une macédoine de faux raccords et d'incohérences scénaristiques, qui raviront les initiés, moins peut-être les novices. C'est que White fire, c'est avant tout un plaisir de spécialistes. Certes, il y a les acteurs, une meute de moustachus en roue libre tous plus tartes les uns que les autres. Certes, il y a ces scènes de culs merveilleusement inutiles - réminiscence des porno soft que tournait JMP dans les 60's. Certes, il y a cette histoire abracadabrante d'une femme partie se refaire le visage pour ressembler à la sœur de celui qu'elle aime (un moustachu en roue libre, comme vous l'imaginez). Certes encore, il y a ce flic qui apparait comme une fleur, en plein milieu du film, pour asséner cette phrase mythique : "Ma patience a des limites, mais faut pas exagérer". Mais derrière tout ce fatras d'amateurisme fauché et d'incompétence assumée, comment ne pas être sensible au ton éminemment sympathique, au style totalement unique de l'ensemble ? A ce stade, je ne peux plus mettre une bulle. Ni 5 en notation inversée. White fire n'aura que 4/5. Et Blood freak peut encore voir venir.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    231 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 avril 2012
    La crème de la crème en matière de nanar. Un petit bijou qui mériterait 5/5 en inversant les échelles de valeur. Malheureusement je suis sur Allociné et je veux être honnête en matière de notation. C'est donc avec une certaine tristesse que je dois insister sur le degré zéro du scénario, de l'interprétation et de la réalisation, ainsi que sur l'accumulation de scènes nanardes. Mais pour tout amateur du genre c'est un film à voir absolument.
    jamesluctor
    jamesluctor

    113 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2010
    Malgré de trop fréquentes longueurs dans des tunnels de dialogues peu amusants, Vivre pour survivre nous offre quand même quelques moments de pure nanardise : combats désordonnés, bruitages musclés, montage à la machette, répliques ringardes, plans nichons (et même plus...). Un film généreux donc, qui se doit d'être vu par les fans de raretés décérébrées.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mai 2021
    Il y a beaucoup de meurtres sanglants et désordonnés accompagnés de nudité féminine intégrale dans un film qui n'est rien d'autre qu'un très mauvais film d'action mettant en scène un diamant blanc radioactif. Un film comme celui-ci ne se présente qu'une fois par décennie à moins que l'on ne parle des années 70 et 80. Robert Ginty vient nous montrer qu'il n'est pas un si bon acteur que ça après tout. Des images d'ouvriers miniers sont diffusées sur un écran de sécurité et semblent provenir d'une caméra invisible actionnée par un caméraman invisible. J'entends par là que les images de la prétendue caméra de surveillance sont filmées sous des angles impossibles. C'est l'un des films d'action les plus absurdes que j'ai vus de ma vie...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mai 2011
    Tout simplement un chef d'oeuvre: "ma patience a des limites mais il ne faut pas exagérer". Culte!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 janvier 2013
    J'ai décroché un poil avant la fin du film , mais qu'est-ce que j'ai ri !
    C'est sale ! Saaaaale !
    Le doublage français est formidable . Les acteurs sont en grande forme et nous livrent toute l'intensité de leurs jeux . C'est joyeux , c'est printanier , il y a la tentation de promiscuité sexuelle gaiement malsaine du frère pour sa sœur ( laquelle meurt poinçonnée au front dans la fraîcheur de la nuit , tuée par un nerveux de la sarbacane ) . La musique est une réussite ...
    ô enchantement !
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