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Un visiteur
5,0
Publiée le 31 décembre 2012
Comment ne pas aimer ? Ce film est un petit bijou d'inventivité. L'esthétique visuelle du film est juste magnifique, sachant que l'équipe a elle-même construit sa propre caméra pour tourner le film, l'effet n'en est que plus incroyable. L'histoire est originale, traitée parfaitement. Les acteurs font parfaitement leur job, mention spéciale à Evan Glodell (qui avec sa barbe ressemble beaucoup à Christian Bale), qui pour sa première réalisation est également devant la caméra, ce qui n'est pas chose aisée.
Subjugué par le film. Bellflower est du genre à souvent être sur le fil, un film d'équilibriste. Mais il arrive à toujours taper juste, à maintenir une tension, à changer d'humeur quand il faut. Image magique, musique à couper le souffle - j'ai tout de suite acheté la BOF - acteurs touchants, trip bagnole de dingue même si un peu tardif, le film est À VOIR ABSOLUMENT! Très très rare. On s'en souviendra. Qu'il ait été tourné soit disant pour 17.000 est à la fois anecdotique et fascinant.
Une bonne surprise ! Le concept de bellflower me fait un peu penser à la construction d'une série. La réalisation est plutôt bonne avec un petit bémol cependant pour ce filtre jaunâtre parfois trop accentué et cette volonté de laisser apparaitre des tâches sur l'objectif de la caméra. Ca donne un côté crade et cela dessert un peu le tout et m'a par moment rappelé cette horreur de réalisation grindhouse d'"hobo with a shotgun", peut être est-ce un effet de mode surfant sur cette vague? L'histoire en elle même est universelle, traite des blessures sentimentales et physiques que peu causer l'amour surtout lorsque l'on est marginal... Les deux "badass" sont complètement barrés et ce même si le jeu des acteurs reste assez limité dans leurs expressions. Malgré quelques fausses notes ce film est une très belle vitrine du cinéma indépendant us, original et poignant malgré une réalisation parfois agaçante. Ah oui, et l'OST est également excellente!
Sincèrement, merci à ce genre de films d'exister encore. Ne serait-ce que parce que ya de la production qui essaie de faire des films ridicules et godemichés-jeux-vidéos. Je suis fan des années 80, et j'ai pris mon pied en allant voir celui-ci. Chacun sa place, et merci de ne pas tout mixer, chacun sa place.
Prometheus promet, espérons qu'il en aille de meme pour Mad Max IV
film interessant qui fait preuve de beaucoup de creativité au niveau du scenario beaucoup de bonne chose pour ma part je n'est pas aimer la fin du film je m'attendais a mieux . Malgrer le petit budget c'est reussi apres les acteurs que je ne connaissais ont ete bon
Escroquerie incroyable quand je lis les bons commentaires, "histoire que le film démarre bien". Le réalisateur s'est d'ailleurs donné le 1er rôle. Faux film cool, à part le début qui tient la route, ça part vite en vrille. Plusieurs personnes ont quitté la salle. Je pense que le réalisateur a abusé de l'argent de son papa, et de drogues.
Attention : Gros, gros talent ! Indubitablement, Ewan Glodell est un mec à suivre ! L’histoire a beau avoir l’air d’être écrite par un post-ado pour des post-ados (personnages immatures ou bas du front , englués dans leur trou duc cul du monde, une Amérique sans espoir, mythologie simplissime de la bagnole, des flingues et de la biture… ) on prend à tout ça un plaisir énorme, totalement régressif bien-sûr… On soupçonne un instant l’embrouille, la pose, le calcul d’un auteur plus malin que son sujet, mais non, l’engagement de tous ces acteurs amateurs (le réalisateur lui-même dans le 1er rôle, mais aussi les autres artisans du film : coproducteur, monteur, opérateur, musicien…) leur absolue sincérité, et leur étonnante justesse achèvent de nous convaincre. Une grosse claque !
La fin de Bellflower m'a donné l'impression que le réalisateur n'assumait pas ses choix et a donc préféré nous balader dans un espèce de grand flou artistique. Comme ça, chacun pourra avoir la fin qui lui conviendra et ainsi, personne ne sera mécontent m'voyez ? Le film dans son intégralité n'est pas mauvais puisque les acteurs sont bluffants à l'exception d'Evan Glodell qui est une vraie tête à claque à rire comme un adolescent demeuré toutes les cinq minutes pendant la toute première partie du film. Les filtres jaunâtres, presque crasseux et les "poussières" qui n'en sont pas vraiment à l'écran m'ont agacé tout le long du film car c'est moche et re-moche, c'était comme regarder un film au travers de lunettes de soleil et si certains trouvent que c'est de l'art alors... qu'attendons-nous pour immédiatement donner à mes films de vacances surexposés à la lumière du soleil une palme d'or ? L'OST est par contre SUBLIME, les morceaux sont bien choisis et j'ai même fait quelques découvertes sympathiques. Rien que pour ça, le film monte d'un cran dans mon estime bien qu'en définitive, je ne l'ai pas apprécié plus que ça...
Tous les défauts énervants d'un certain cinéma indépendant : lumières saturées, effets clipés, BO lo-fi... Mais malgré tout un charme certain se dégage de cette intrigue et de ces personnages, somme toute attachants. Une carrière à suivre, à condition de gommer quelques pêchés de jeunesse...
Petit film indépendant qui est un projet très personnel de Evan Glodell qui est ici le réalisateur, mais aussi le personnage principal, le monteur et le producteur. Au niveau des acteurs, on trouve Jessie Wiseman, Tyler Dawson et Rebekah Brandes (qui jouent tous dans leur premier film). Le film s'inspire de la propre histoire de Evan Glodell qui a mis plus de 8ans à écrire le scénario. Le film a un budget ridicule comparé à ceux des grosses productions (17000$) et Evan Glodell a dû demander à ses acteurs de lui prêter de l'argent pour pouvoir finir le film. Ce projet personnel qui n'aurait pu ne pas voir le jour vaut-il le détour ? La suite de ma critique sur mon blog : http://critiquescineentreamis.blogspot.fr/2012/08/critique-bellflower.html
Bof. Un portrait d'une génération vide, sans idée, alcolo et stupide. 2.5 étoiles car c'est un premier film couté 20.000$ qui se fait regarder quand même malgré son scénario creux et ses dialogues surpernazes. Sinon à ne pas le voir on ne rate vraiment rien.