Mon compte
    Anna Karenine
    Note moyenne
    3,2
    2802 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Anna Karenine ?

    350 critiques spectateurs

    5
    35 critiques
    4
    72 critiques
    3
    106 critiques
    2
    77 critiques
    1
    35 critiques
    0
    25 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    traversay1
    traversay1

    3 099 abonnés 4 626 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 décembre 2012
    Thérèse Desqueyroux, Les Hauts de Hurlevent, Anna Karénine, ... : le cinéma se repait des classiques et en livre des adaptations plus ou moins fidèles. Pour sa version du roman de Tolstoï, Joe Wright choisit de nous faire assister/participer à une représentation théâtrale. Le rideau s'ouvre, les personnages sont dans la salle ou dans les cintres, le carton-pâte s'impose. Pari osé, bien tenté, mais que le réalisateur ne peut respecter à la lettre. Non, il veut aussi des paysages somptueux, des costumes rutilants, des décors sublimes. De fait, la magnificence des artifices et les effets virtuoses de la mise en scène étouffent l'intrigue, avec un aspect pompier qui ne s'estompe que dans les scènes intimistes où le réalisateur semble soudain bien gauche. Qui plus est, l'histoire d'Anna, traitée de façon elliptique -d'accord, tout le monde connait la trame-, est phagocytée par un autre récit, celui des amours contrariées d'un pauvre fermier. Tiens, nous voici soudain dans un avatar du Bonheur est dans le pré. C'est vrai que le film est très beau et virevoltant dans plusieurs scènes marquantes (le bal, les courses, le labyrinthe). Mais il semble comme un jouet entre les mains d'un metteur en scène qui confond grandiose et grandiloquent. Tolstoï est russe ou Tolstoy r us ? Ce qui sauve en partie le film, outre le jeu sobre de Jude Law qui contraste avec le côté falot du comédien qui interprète Vronski (oublions son nom), c'est avant tout l'abattage de Keira Knightley, convaincante de bout en bout. On n'en a vraiment pas marre de cette Anna là !
    ferdinand75
    ferdinand75

    453 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2013
    Des acteurs vraiment excellents sur un scénario bien construit. Mais la mise scène quoique très brillante est aussi déconcertante , ces alternances de scène théatralisées, alternant avec des scénes d'extérieurs ont du mal à passer. On se rapproche du théatre pour revenir ensuite à du Terence Mallick" . Tout cela est confus , et la poèsie recherchée tombe un peu à plat.
    romano31
    romano31

    244 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2012
    Après Orgueil et préjugés et Reviens-moi, Joe Wright retrouve pour la troisième fois Keira Knightley pour l'adaptation d'un roman de Tolstoï, Anna Karenine. Ne connaissant que très vaguement l'histoire, je ne savais pas trop à quoi m'attendre en allant voir ce film. Et bien, j'ai été agréablement surpris. D'abord, la réalisation de Joe Wright est excellente. On a l'impression d'assister à une piéce de théatre car la mise en scène est faite de telle sorte que tous les tableaux de l'histoire s'enchainent de façon très théatrale. Ensuite, le trio d'acteur que forme Keira Knightley, Jude Law et Aaron Johnson est génial. Ils nous livrent tous les 3 de belles prestations. Enfin, les décors et les costumes sont superbes tout comme la bande originale signée par Dario Marianelli. Bref, Anna Karenine est un film très réussi qui nous offre un voyage dans la Russie des années 1870 entre amour, mensonges et trahisons.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    233 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2014
    Le film d'époque par excellence, avec une histoire d'amour impossible, de grands et magnifiques costumes, et des personnages aux caractères hauts en couleur. "Anna Karénine" est un film assez passionnant sur les mœurs, us et coutumes, et la façon de penser des aristocrates gravitant autour de la cour de Russie au XIXème siècle. Les acteurs forment une galerie de personnages plus ou moins attachants, incarnant divers courants au sein de cette cour royale. Le récit se suit avec plaisir, bien que le film m'ait paru un peu long sur la fin, comme tous les films du genre. L'adaptation est globalement réussie en tout cas.
    Sebmagic
    Sebmagic

    156 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2012
    Troisième collaboration entre joe Wright et keira Knightley, et troisième réussite pour le réalisateur qui ne cesse de me surprendre. Au vu de ses précédents films avec l'actrice, et notamment Orgueil et Préjugés, il y avait de quoi s'attendre à un film très très classique sur Anna Karenine. On pouvait effectivement penser que ce film proposerait un banal récit du personnage de Tolstoï (dont je n'ai pas lu le roman), mais il n'en est rien : la mise en scène inattendue et surprenante montre que Joe Wright n'a pas fait "que" raconter cette histoire ; il nous présente une tragédie très poétique, à l'ambiance unique et d'une grande originalité visuelle. La mise en scène du film est au début déstabilisante, mais le choix de placer l'histoire dans des décors de théâtre est fabuleux et malin. Les problèmes spatio-temporels (les ellipses, les voyages, etc.) sont balayés d'une main grâce à cette idée ingénieuse ; les personnages passent d'une pièce à l'autre - et même parfois d'une ville à l'autre - tout en restant sur la même scène. Parfois, ce ne sont pas les personnages qui changent de pièce mais la pièce elle-même qui change de décor, ce qui donne une impression de fluidité impressionnante et très moderne. Les personnages passent d'une grande et vaste salle lumineuse à une étendue neigeuse simplement en empruntant une porte, et le rendu est magnifique. Je ne vais pas m'étendre sur cette superbe mise en images, car Anna Karénine est (comme Stay, par exemple) un film qui se regarde et se savoure, et non un film qui se décrit. La réalisation de Joe Wright est également somptueuse, il est clair que le film est d'un esthétisme onirique très puissant. Alors qu'on aurait pu s'attendre à un film ultra-classique (comme Orgueil et Préjugés, par exemple), on a affaire à une réalisation qui dépasse les attentes. La caméra se promène avec virtuosité entre les personnages, l'une des plus belles scènes du film étant celle du bal. Les personnages sont tour à tour figés et mobiles, apparaissant ou disparaissant selon l'angle de la caméra, mettant brillamment en valeur le couple dansant. Plusieurs effets de zoom alliés aux poétiques mouvements de caméra renforcent l'intensité dramatique du film, également soutenue par la photographie sublime. Les couleurs, le travail sur les ombres et les lumières, les décors chatoyants et pétillants, les costumes majestueux forment un film à la fois magique et tragique en soulignant les sentiments des personnages. Chaque scène est finement travaillée, brillante dans sa réalisation, savoureuse à contempler. La distribution est également de haute volée, même si j'emets une réserve sur Aaron Taylor-Johnson que j'ai trouvé franchement fade comparé aux autres éléments du casting. J'ai eu du mal à croire en sa relation avec Anna Karénine. En fait, je l'aurais bien vu échanger son rôle avec Jude Law, mais ça aurait sûrement été trop cliché, pour le coup. D'autant que Jude Law (méconnaissable) est très juste dans le rôle de Karénine, un mari loin de tous les clichés propres à ce genre cinématographique. Matthew MacFadyen, quant à lui, apporte l'humour du film avec un personnage très sympathique et assez attachant. Chaque apparition du personnage m'a déclenché un sourire, et ça joue énormément dans un film de ce style. D'autant que le film souffre de quelques longueurs par-ci par-là. Elles ne sont pas regrettables mais j'ai trouvé dommage que le rythme du film décolle aussi peu, le film étant toujours un peu basé sur le même ton. C'est le seul petit défaut que j'attribuerais au film qui n'en demeure pas moins original et intéressant dans sa sublime construction. Le film ne serait d'ailleurs peut-être pas aussi beau sans la présence de Keira Knightley, élément de casting indispensable qui rend le personnage principal attachant et très classe. L'actrice correspond à merveille au rôle, absolument étincelante au coeur des décors éclatants. L'histoire d'Anna Karénine est passionnante, même si elle est scénaristiquement très classique (une femme éprise d'un autre homme, mais contrainte de rester avec son mari pour ne pas dépérir socialement). La montée dramatique du personnage est superbe, jusqu'au dénouement déchirant à l'esthétisme remarquable. Bref, Anna Karénine est un fabuleux film qui m'a pris à contre-pied en proposant un traitement de l'histoire très surprenant et original, visuellement parfait et au casting (presque) irréprochable. Je le conseille vivement en cette fin d'année.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    138 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2015
    Une très bonne adaptation du célèbre roman russe de Léon Tolstoï . Keira Knightley joue la princesse. Aaron Taylor-Johnson ( Kick-Ass, Pietro Maximoff/Vif-Argent dans Avengers 2 ) joue son amant , un comte très riche. Un très beau film sur l'empire russe avant la révolte provoquée par Lénine.
    tifdel13
    tifdel13

    77 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2024
    Paru en 1877, le roman de Léon Tolstoï dresse le portrait de la classe bourgeoise russe du XIXème siècle en contant les chassés-croisés amoureux de plusieurs couples au destin plus ou moins funeste. Huitième adaptation pour le cinéma d’Anna Karenine, la version de Joe Wright (Orgueil et préjugés, Reviens-moi…) est avant tout une merveille visuel. Des décors aux costumes en passant par le choix audacieux de filmer dans un théâtre, Anna Karenine est un véritable défilé aux allures de ballet. Un bal qui s’il marque la rencontre entre Elizabeth Bennet et M. Darcy dans Orgueil et préjugés, sonne le début de la fin pour Anna.
    Marié au puissant et très respecté ministre Alexis Karenine, Anna tombe amoureuse du comte Vronski. Les deux jeunes gens finissent par vivre leur amour au grand jour mais pendant que Karenine a toute la bonne société de son côté, Anna devient une paria détestée de tous. Elle n’a pas violé la loi mais elle a violé les règles. Pendant ce temps Vronski, toujours amoureux mais lucide s’éloigne.
    Pour son troisième film sous la direction de Joe Wright, Keira Knightley est tout à fait à l’aise en épouse adultère, tiraillée entre sa famille, la bien-pensance et l’amour. Aaron Johnson (Kick Ass, Savages) assure quant à lui dans la peau du beau et jeune Vronski mais on préfère le jeu tout en retenue de Jude Law, parfait en époux trompé et humilié. Parallèlement à la passion adultère d’Anna, Joe Wright (comme Tolstoï) suit la relation entretenue entre ...

    Venez lire la suite de ma critique en avant-première sur mon blog CHRONIQUES D'UNE CINEPHILE : http://chroniquescinephile.blogspot.fr/2012/12/la-critique-danna-karenine-en-avant.html
    Robin M
    Robin M

    62 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 décembre 2012
    Blog de Critiques Cinématographique:
    http://lecinemaduspectateur.wordpress.com/2012/12/07/anna-karenine/ |

    Joe Wright a compris rapidement que le roman « Anne Karenine » repose sur sa trame romanesque et sur son effervescence d’actions et de personnages. L’œuvre de Tolstoï fonde sa narration sur l’ébullition de la noblesse russe du XIXe. Il met en avant le paradoxe d’une classe dominante qui prône une sacrosainteté d’apparat pour finalement assouvir ses immoralités et s’associer aux mœurs du peuple. De la volonté d’une vie sainte, les Grands de l’Empire trouvent leurs jouissances humaines au contact du peuple qui partage ses divertissements et qui lui ressemble plus qu’ils ne veulent l’accepter. Pour transposer cette émulation à l’écran, Joe Wright transforme le roman en pièce de théâtre. Le réalisateur déstructure l’espace pour donner une fluidité déconcertante à son ensemble. Certes, cela peut surprendre au début, mais la maestria avec laquelle il utilise l’espace donne un tournis vivifiant et fait des étincelles. Dans un décor totalement créé pour le film, il utilise toutes les ressources du théâtre pour magnifier une mise en scène virtuose. Il dénature la réalité, mais la magnifie en supprimant toutes distances entre les lieux créant ainsi un jeu de portes qui s’ouvrent et se ferment en écho des peines de cœurs d’une noblesse contrariée. Il ne faut pas prendre au premier degré la surenchère visuelle ou encore les interprétations théâtrales. Le spectateur sera pleinement ravi que s’il accepte un contrat tacite avec Joe Wright qui dirait que « Anna Karenine » est une œuvre visuelle et travaillée et donc qu’une recherche de réalisme et de simplicité serait vaine. Il joue avec la théâtralité du cinéma mais en dépassant les limites même de ce dernier. Wright supprime le 4ème mur et donne une force d’ouverture à un espace normalement clos. Il utilise la scène comme une fenêtre ouverte sur le monde, les murs se séparant pour laisser place tantôt à des champs de fleurs tantôt à la plaine polaire russe. La capacité imaginative des décors de théâtre est poussée à l’extrême. De plus Wright utilise tout l’ensemble théâtral : la scène aussi bien les coulisses qui deviennent des couloirs de gare par exemple. « Anne Karenine » est le reflet du fantasme du metteur en scène qui rêverait de pouvoir utiliser tous les moyens mis dans les mains de Wright. La scène est plus que jamais le lieu de l’action avec une dimension de démesure : au cinéma tout est possible et donc imaginable. La scène est alors ce que Wright veut qu’elle soit, que ce soit une gare, un hippodrome ou une salle de balle. Joe Wright ironise en montrant les acteurs invisibles du théâtre : les installateurs des décors, et surtout un balayeur donnant l’impression au spectateur d’assister à une répétition. Il faut du génie dans la décoration artistique pour réussir sans aucune faille à mettre en place un tel film. Grâce à cette mise en scène, « Anne Karenine » devient en lui-même une valse russe où la caméra tournoie et devient la véritable reine de l’œuvre. C’est donc grâce à sa forme que le film rend compte de la critique d’un monde superficiel voulu par Tolstoï : un monde dans lequel l’objectif est de montrer une irréprochable moralité de façade. Dans son livre Tolstoï dit « Toutes les familles heureuses se ressemblent ; les familles malheureuses le sont chacune à leur façon ». Le but de l’aristocratie est alors de participer à ce moule de la famille pieuse parfaite, et ainsi de ne penser qu’au profit du nom de la famille.

    Cependant, « Anna Karenine » se désagrège justement dans ce choix de mise à l’écran qui centralise l’histoire, comme Tolstoï l’a aussi fait, sur l’histoire d’Anna en oubliant l’autre intrigue de Lévine et Kitty (mise en avant dans le récit premier de Tolstoï). Ce choix radicalisé par Joe Wright donne l’impression de voir et revoir la filmographie du réalisateur qui ne fait que des variations de la même histoire et surtout avec la même figure féminine : Keira Knightley. L’actrice est devenue la figure d’un cinéma en costume où vit une romance puissante et tragique. Même si le film n’est pas de Wright, « Anne Karenine » ressemble à un « The Duchess » folklorisé par la culture russe impériale.
    Noémie Laurent
    Noémie Laurent

    42 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2015
    Un film esthétique au rendu à la fois historique et moderne. Un décor chargé, coloré qui colle parfaitement aux sentiments de Anna Karenine. La mise en scène comme un théâtre est surprenante mais tellement convaincante : un très beau travail. Keira Knightley s'affirme en tant qu'actrice dans un rôle complexe.
    JeffPage
    JeffPage

    34 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 décembre 2012
    Le réalisateur du très moyen "orgueil et préjuges" récidive avec un nouveau film d'amour au pitch tout aussi banal. Et après 2 très longues heures passé devant ce film, il faut bien reconnaître que le résultat n'est pas très bon... Le scénario est fade, les acteurs en font des tonnes et ce qui aurait pût être une bonne idée de mise en scène (le théâtre) est utiliser pendant 20mn puis passe a la trappe pour n'intervenir que lors de scène pseudo profonde. Au final, on s'ennuie, et les 2h du film semble durer une éternité. Un mauvais film a éviter absolument !
    Thomas P
    Thomas P

    25 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 décembre 2012
    Une mise en scène insolente de créativité sauve le film d’un ennui menaçant.
    Pascal C.
    Pascal C.

    24 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2012
    Ah! voilà un film difficile à noter. Pour les premières minutes déconcertantes et théâtrales à souhait cela peut se défendre, pour le reste je reste sceptique tant vis à vis du contenu que de l'histoire en elle même. Les acteurs s'en sortent plutôt bien notamment Juth Law remarquable. Mais qu'en reste il au final? Un film trop nerveux qui cache un vide distant et esthetisant. Du fric au service de la vanité du metteur en scène? Déçu au final.
    schemaman
    schemaman

    15 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 décembre 2012
    Mise en scène, réalisation, montage, décors, costumes et photo : tout mérite 5 étoiles.
    Un pur moment de bonheur, particulièrement au niveau de la mise en scène.
    Pour le scénario, pas besoin de féliciter Tolstoï. Il paraît selon certain que l'oeuvre originale n'aurait pas été respectée. En quoi eut-il été intéressant de "plaquer" le plaisir d'une lecture étalée sur plusieurs jours ("laisser du temps au temps") dans un condensé cinématographique de deux heures qui, de par son format même, exagère la moindre émotion : c'est impossible. Il faut donc admettre et apprécier les changements de point de vue, les interprétations consubstantielles au média utilisé.
    Chapek
    Chapek

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 décembre 2012
    suis partie au milieu , terrrriblement ennuyeux, mal joué, fade,
    islander29
    islander29

    762 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 décembre 2012
    en dépit de l'avis de quelques critiques spécialisés, j'espère qu'on verra que ce film comparé à Royal Affair est dans un maniérisme criard.....Disons que même si le cadrage, la photographie et les costumes sont très beaux, ils sont justement trop beaux ce qui me fait les qualifier de "POMPIER".....Voila pour la comparaison....
    Maintenant le film a une qualité indéniable c'est son scénario et l'on doit dire merci à Monsieur Tolstoi (ah il est mort ?)....La passion romanesque est omniprésente dans les personnages et les dialogues, et les réflexions philosophiques sur l'amour sont pléthorre, voire instructives pour des coeurs fragiles comme le mien....
    Et puis la distribution est brillante : Jude Law méconnaisssable avec un bouc de petit noble peu esthétique, je ne l'ai reconu qu'au bout d'une heure de film.....Keira knightley elle est immensément belle
    et si quelqu'un a son portable alors pourquoi pas ....
    En définive un film pour romantiques, ou pour amoureux de littérature à laquelle ce film tend son miroir plutot brillant.....J'ai aimé., même si j'ai envie de dire : trop d'esthétisme tue l'esthétisme (n'est ce pas monieur Baz luhrmann, un collègue surement).
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top