Derniers Avis : Captain America, le soldat de l'hiver - Page 20

Voici la deuxième aventure cinématographique du célèbre justicier patriote. Après un premier volet remarquable impressionnant, les frères Russo signe une suite très explosive et sombre. Plus qu'un film d'action , la suite des aventures de Steve Rogers et un thriller politique musclé, à un rythme effréné, dans lequel il affronte un redoutable adversaire, Le Soldat de L'Hiver. Les scènes d'actions et les scènes de destructions coupe le souffle et le scènario à gagné en légèreté. Captain América pensait avoir vaincu la terrible organisation Hydra , est il n'est pas au bout de ses surprises. Des rebondissements et des révélations sont au cœur de cette suite trépidante et efficace. Un divertissement à l'état pure.

encore un film de super héros supernul, la prestation de Redford est risible, une intrigue convenue ( pour ne pas dire des grossièretés).
Au moins les "Ironman" étaient sauvés par le comique et un bon acteur principal, celui ci repose uniquement sur les effets numériques, c'est très insuffisant, et çà s'annonce pire pour le prochain épisode....

Avant "X men days of future past" le dernier bon film de super héros marvel était le premier "Captain America"sorti en 2011 et de la bousasse cosmique a suivi par la suite et ce n'est pas prêt de s'arrêter. Pourtant sans être le pire film Marvel, le soldat de l'hiver tente, je dis bien tente de se démarquer un petit peu. L'humour est un peu moins présent mais surtout il n'est pas désacralisateur d'enjeux. Et il est à la fois plus crédible en tant que film faisant partie d'un tout, en l'occurrence "Avengers" et suite de Captain America". On reconnait la suite de "Avengers" par la présence de Scarlett Johannson et Samuel L. Jackson et l'Hydra premier ennemi du Captain fait son retour et confronter ce symbole à l'ennemi intime post 11 septembre est une excellente idée. Seulement voilà, quand on place deux incompétent pour le cas présent derrière la caméra et un scénario niveau maternelle faut pas s'attendre à grand chose. L'enjeu principal du Captain à savoir s'intégrer dans cette nouvelle époque qu'il ne comprend pas n'est absolument pas du tout traité et semble même très à l'aise. Le film tente vainement de se la jouer thriller politique mais absolument TOUT est prévisible, déjà vu, basique, simplifié à l'extrême. Le faucon, nouveau personnage introduit n'a aucune utilité dans l'histoire ci ce n'est d'être le pote du Captain. En fait pour une Scarlett Johannson incarne un vrai personnage et pas juste une bonnasse avec un flingue comme dans "Avengers" ou "Iron man 2". Le fameux soldat de l'hiver qui porte le sous titre du film n'est au final qu'un simple second rôle sans importance, un comble quand même. Comme dans tous blockbuster moderne on a droit à une esthétique high tech pauvre et tout le film est monochrome, gris, sans vie, sans feu, sans folie. Tout le contraire d'un comics en somme. Les frères Russo aux commande de cette suite offre une mise en scène caméra à l'épaule dégueulasse à la "Jason Bourne" qui a quand même 10 ans maintenant. Peu de choses à sauver si ce n'est les quelques bonnes idées de départ, d'intentions.

Très bon scénario pour un film Marvel, qui reste assez simpliste cependant, et une bonne dose d'action qui promet pour les prochains film de la franchise "Avengers"

Ce deuxième volet des aventures solo de Captain America est pour moi le meilleur film Marvel pour un superhéros seul. En effet, plus qu'un simple film de superhéros, c'est un thriller d'espionnage doublé d'effets spéciaux spectaculaires.
La vraie force du film réside dans le personnage de Captain America, alors que c'était plutôt la faiblesse de ses premières aventures. En s'affirmant comme le plus humain des Avengers, il se révèle plus proche du S.H.I.E.L.D. et noue donc des liens plus forts avec Fury et Black Widow ou encore l'Agent Hill. Résultat, une équipe interne aux Avengers naît dans ce film et cela s'inscrit parfaitement dans la cohérence de l'univers Marvel. Autre point fort, les références assumées aux autres films et personnages des Avengers : les sérums de Bruce Banner, les évènements de New York, l'aide de Tony Stark... Alors qu'Iron Man 3 semblait mettre tout cela sous le tapis, ici, et c'est plus logique, on a vraiment le sentiment que Captain America évolue dans un monde de superhéros. De fait, on rentre totalement dans cette aventure.
Si l'intrigue en elle-même est de facture assez classique, elle tient la route et a le mérite d'introduire Hydra ainsi qu'un nouveau vilain qui pour une fois ne semble pas voué aux oubliettes. L'humour est également bien présent notamment dans la relation entre le Captain et Black Widow, ce qui allège la tension permanente de l'intrigue.
Les acteurs sont très bons, on les sent de plus en plus à l'aise dans leurs rôles respectifs, ce qui promet pour les prochains films de la franchise. La réalisation est dynamique et il ne fait aucun doute que l'on reverra les frères Russo chez Marvel.

L'ensemble tient très bien la route. Un vrai scénario, des personnages intéressants, une bonne interprétation et réalisation, on passe un très bon moment. Le premier volet m'avait déjà surpris par sa qualité. Ce second opus est encore plus abouti.

Un bon blockbuster évidemment, autant attendu que les autres Marvel, celui-ci est tout de même meilleur que le premier opus, qui n'était qu'une mise en place du personnage de Captain America, et même si ce film ne surprend pas des masses, et est assez conventionnel dans le fond, la réalisation et les images sont tellement belles que cela fonctionne tout de même. Les acteurs sont tous crédibles, les scènes d'action et de combat sont toutes rythmées et bien faites, sans trop être chorégraphiées, et Captain America revient dans la lignée des autres Avengers avec cet opus, le premier étant bien en deçà des Iron Man et autres Thor.

Chronologiquement sis entre deux volumes des Avengers de Joss Whedon, Captain America, deuxième volet, le soldat de l’hiver, est l’un des plus gros films de la phase deux des productions Marvel-Disney. Pour ne pas refaire l’historique de la franchise des super-héros de l’écurie, disons simplement qu’à l’image de Thor, le capitaine n’avait pas connu de départ fulgurant et avait été ensuite remis en selle par le film à succès de Whedon. Meilleur qu’un premier opus sirupeux et guimauve à souhait, cette deuxième apparition, en solo, du super soldat, se démarque comme une exemplaire démonstration d’action sans réelle discontinuité. Plus de ci, plus de ça, avouons tout de même que le spectacle orchestré par les frères Russo, sous l’égide du toujours omniprésent Kevin Feige, vaut son pesant de cacahuètes. Le tandem de cinéastes à la barre, certainement pour une expérience unique, démontre un savoir-faire indéniable en matière de mise en scène de l’action. A défaut d’être captivant, dans sa narration, le film est spectaculaire à bien des égards. Cela est-il suffisant pour faire du Soldat de l’hiver un hit dans la veine des Avengers? Certainement pas. Pour autant, celui-ci peut se targuer d’être l’un des gros spectacles de l’année en cours, un objectif certain pour Marvel qui semble toujours d’avantage à vouloir. Pour en revenir au scénario, disons simplement qui si l’idée générale est indéniablement en totale cohésion avec la trame généralisée des vengeurs, l'évolution du récit est laborieuse. En effet, tout n’est ici prétexte qu’à la l’action, à la démolition et aux spectaculaire effets visuels. Dès lors, peu importe qui fait quoi, qui défend quoi ou qui, du moment que le capitaine et sa belle compagne rousse soient forcés de tout casser sur leurs passages respectifs. Le succès des films de l’alliance Marvel et Disney étant indéniable, les erreurs narratives sont permises du moment que le film en jette, aussi bien visuellement qu’en terme d’humour. Ce second volet du Captain America en est le parfait exemple. Au final, tout le monde y gagne. Les réalisateurs mettent une bonne claque à leurs palmarès, Chris Evans continue de monter dans le star système, Scarlett Johansson perpétue une fois de plus son statut de Sex-Symbol absolu, quelques seconds rôles viennent redorer leurs blasons (Frank Grillo, entre autres), et la production s’en met plein des fouilles.Oui, tout le monde y gagne et tout le monde semble s’en contenter. Le film assure son cahier des charges mais démontre au passage une faille dans l’entreprise cinématographique Marvel. En effet, la liaison entre les différents personnages, différents univers ne semble fonctionner que lorsque Whedon est aux commandes. Il paraît en effet étonnant, d’un strict point de vue logique, que seul le capitaine doit sauver le monde ici, alors qu’il est en tout état de cause seconder par toute une équipe de super-héros. Mais peu importe, l’on s’en moque, ce film là, on l’a vu et on ne le reverra pas, c’est du moins mon option en attendant de voir si le prochain film du la firme sera mieux ou plus spectaculaire encore. 11/20

Le début est un peu compliqué à comprendre (même en ayant vu le premier volet). J'ai bien aimé les décors futuristes avec les inventions high-tech imaginées dans ce film.

Scenario capilotracté et personnage grottesque, captain nanar, la production aurait pu être Asylum au moin on aurait pas prit le film au sérieux. Le vilain petit canard des Marvel, espérons qu'il n'y est pas un troisiéme volet pour le bien de tous.

C'est un oiseau, c'est un avion - oh, attendez, c'est Captain America.Le costume est différent, bien sûr, mais il est peut être difficile de garder la trace de tous ces hommes et la lutte contre le vol dans l'univers cinématographique des super-héros. Ensuite, il ya encore un autre film Spider-Man, puis viennent les X-Men, et alors les Gardiens de la Galaxie, puis (encore une fois) les Vengeurs et dans le nombre inclure Captain America. Ainsi, il sera de retour "Captain America: Le Soldat d'hiver», qui, comme beaucoup d'autres de son genre, prend un départ cinétique et ne s'essouffle avant de tout détruire.Étant donné le peu de marge de manœuvre créative, il etait sur que les Russo n' imprimeraient aucune personnalité sur le film, qui est moins un travail autonome qu'une partie d' entreprise multimédia en pleine expansion. Les administrateurs font sentir leur présence en grande partie dans la première moitié quand ils sont en insistant sur l'humanité de Steve, qu'il soit en costume ou non. C'est en partie le point de sa course d'introduction autour de la piscine qui le reflète: Il court comme le vent, mais il fait aussi rire. Cet accent mis sur l'humain touche également d'une certaine excitation, intelligemment mise en scène et les séquences d'action de tir, y compris les combats chorégraphiés dans lequel le corps entier des interprètes restent visibles dans le cadre et ne sont pas disséqués par la caméra et le montage."Le soldat de l'hiver» devient de moins en moins agréable une fois que le mystère s'épaissit et une menace se profile, comme Fury se déplace , Captain America ne bouge pas beaucoup, au-delà des voitures et des débris. Cependant attrayant, M. Evans reste une présence à l'écran récessive et si elle peut être un soulagement que Captain America n'est pas angoissé, il estetrangement bien ajusté pour un gars qui, dans son dernier film, sorti de plusieurs décennies de congelation. les Comic-book réalisateurs doivent vendre des produits préemballés en essayant de capturer - et peut-être redéfinir, comme Christopher Nolan a fait avec Batman - l'essence d'un super-héros. Et ils doivent le faire sans ennuyer tous ceux qui s'en foutent pourquoi un croisé est devenu noir comme la nuit ou qu'il est mort pour renaître. Mais que faire si il est un peu terne?Malgré les declarations M. Evans le manque de passion pour la lecture de super-caractères comme celui-ci et malgré l'épuisement rampant du genre, Captain America semble susceptible de continuer à courir et sauter. Il semble y avoir aucune fin en vue quand il s'agit de super-héros des films. En d'autres mots, les histoires de super-héros sont devenues, ou du moins le prétendent certains, l'équivalent Hollywoodien, disons, de Shakespeare: la nôtre un bien qu'ils reviennent encore et encore pour redémarrer, remake, refonte et de revendre jusqu'à la mort nous sépare.

Autant le 1er volet m'avait enchanté par sa reconstitution des années 40, son respect du personnage, son méchant réussi... autant j'ai trouvé le 2 inintéressant, surfait et peu original. En clair, une déception égale à Iron Man 2... Espérons qu'Avengers 2 redressera le niveau.

Toujours aussi peu charismatique, Captain America a la bonne idée de peu causer et de partager la vedette avec Scarlett Johansson et Samuel L. Jackson. Du coup tout le film fait très Avengers. La menace n'est pas la même mais le déroulement du film est identique, de l'alliance de super héros jusqu'au final apocalyptique et épuisant.
Toute cette surenchère est donc sans surprise mais contient tout de même deux morceaux de bravoure titanesques. Et paradoxalement ce sont deux scènes d'action à échelle humaine, l'attentat sur Fury et la baston sur le pont.
Au final, Captain America 2 fait le job. Mais ces histoires d'Avengers commencent un peu à tourner en rond. L'indigestion guette.

Il est Samedi soir, je ne suis pas sorti, je n'ai pas vu d'amis, je n'ai pas fait d'excès. Et pourtant je titube. Et pourtant ma tête vrille, je sens mon monde tanguer, mes sens répondent à peine. Car j'ai fait pire qu'une nuit de débauche ; j'ai vu Captain America, le soldat de l'hiver, machine abrutissante bien plus forte que le bras bionique de son simulacre de bad guy. Le pauvre Captain n'est pourtant pas vraiment responsable de la tuile. Je crois plutôt que mes nausées viennent d'une overdose devant cette surenchère des studios Marvel, déjà rendus à leur treizième film autour des Avengers en comptant les deux Hulk de Bana et Norton mais sans compter Guardians of the galaxy. Et pour l'instant, même si First Avenger possédait son look rétro-kitsch original, que les Thor nouent des intrigues tragiques qui sont au moins l'esquisse de quelque chose, seul Avengers sort vraiment du lot par sa puissance collective et son habileté à faire passer les clichés efficacement. Pour le reste, c'est du pareil au même, dans le fond. Des super-pseudo twists, des super-incohérences, des super-deus ex machina, des super-gimmicks vus et revus. Je n'y crois plus une seconde, ou plutôt mon adhésion ne tient pas la distance. Le départ du Soldat de l'hiver semble le prouver, m'ayant plutôt attiré par l'évolution qu'il montrait d'un héros dont il se fout en réalité éperdument puisqu'il passe plus de temps à préparer Avengers 2 qu'à développer ses thématiques. Mais par la suite, tout se gâte. On a encore droit à des virages narratifs incessants. Le problème, c'est que ceux-ci sont si nombreux et si divers qu'on n'y croit plus d'une part, et que de l'autre leur nombre et leur variété semble sous-entendre que tout et n'importe quoi peut arriver. Certainement pas de quoi relancer un suspense qui n'a jamais existé (rien ne peut arriver à des héros si rentables) mais plutôt entretenir un farouche scepticisme en mode "que vont-ils bien pouvoir inventer la prochaine fois pour me rouler dans la farine ?". D'un autre côté, au bout de la vingt-huitième côte cassée ou du cinquantième gnon dans la tronche, j'ai aussi eu du mal à me retenir de crier quelque chose du genre : "Mais c'est bon, on a compris que c'était pas facile d'être un héros et que Chris Evans est un dur qui sait encaisser, pas besoin d'en rajouter ! Si tu veux vraiment le tester, rend-le un peu moins lisse, et demande lui de jouer quelque chose. Ça ce serait un défi !". En plus, le Captain a la malchance de tenter d'explorer un genre qui ne me parle pas des masses, le thriller politique - quoi qu'en fait tout ça ne soit qu'un prétexte pour donner l'impression de quelque chose de plus creusé et faire cachetonner Redford. Et puis certaines CGI sont juste hideuses, autant criantes d'esbroufe et de fausseté que le scénario (quelle mise en abyme !). Le plus triste dans tout ça, c'est que je crois que tel un cleptomane, on me reprendra la main dans le sac avec Avengers 2, y cherchant les plaisirs adolescents perdus depuis quelques années. Dans le feu de l'action, impossible d'être réellement sûr si Captain America : le soldat de l'hiver condamne pour moi toute la série Marvel et ses vices souvent impardonnables, ou s'il est en fait un vrai cancre qui pousserait les défauts de ses camarades un peu trop loin pour que je le supporte. En tout cas, bonnet d’âne pour ce cinéma pop corn qui tourne inlassablement en rond, pas crédible même pour le genre, formaté pour le spectateur tel l'échantillon d'anti-art qu'il est. Éreintant, complètement éreintant. Sur ce, je vais re-goûter au plaisir de la trilogie Dark Knight, cette oeuvre en trois temps devant laquelle, au moins, je n'ai pas le sentiment d'être considéré comme un abruti.

que dire de ce genre de film ? il y a les très méchants et les gentils, le super héros taillé dans le roc, les poursuites spectaculaires, les effets pyrotechniques, une bonne dose d'effets spéciaux qui atteste du budget et le savoir hollywoodien. Tout cela au service de Marvel. une petite demi-heure de moins n'aurait pas nui au film, mais les amateurs dont je ne suis pas vraiment en redemandent toujours plus. Alors quand on a le budget....