Avis : Trance - Page 8

Mais pourquoi Vincent Cassel est-il allé se perdre dans un si mauvais film? Sans queue ni tête avec des pirouettes totalement non crédibles voulant faire du cinéma " genre" je fais un truc compliquè pour faire comme si .... Perte de temps absolu,argent dépensé pour rien. À éviter absolument même un dimanche après-midi pluvieux, Drucker vous fera perdre moins de temps!

Nous avons là un bon thriller, fabriqué à la Inception et avec une touche d'Effets Secondaires. Ca nous change de slumdog millionnaire ! L'intrigue est bien ficelée, attention à ne pas se perdre dans les rêves, ça peut vous être fatal ! En fait, tout est expliqué à la fin, pas de panique.
L'image est très spéciale, de belles couleurs et des plans recherchés c'est très plaisant à voir. Les 3 acteurs de l'affiche se partagent équitablement le premier rôle et aiment passer de la victime au bourreau. Tous les acteurs sont convaincants, pas de soucis de ce côté là.
Je reproche l'approche superficielle de l'hypnose, et la facilité qu'elle apporte au scénario. En effet, on peut facilement tromper le spectateur avec des illusions, puis nous révéler la vérité à la fin. Le film aurait plus d'impact si l'hypnose avait été utilisée de façon plus intelligente. C'est à cause de ça que le film reste dans la masse des bons thrillers et n'arrive pas à émerger.

Ce film est un véritable navet!!! Il n'a aucun fil conducteur! On passe du present au passé ainsi que dans les delires du personnage principal.C est du grand n'importe quoi
A cela il faut ajouter des scenes gores et de cul...bref les leviers faciles quand on a aucun talent!!!
En conclusion, j ai perdu deux heures de ma vie!!! quel daube!!!!

bon film, tres original un peu confus mais on comprend quand meme avec la touche de danny boyle et de bons acteurs mc avoy et rosario c est excelllent.

Très bon thriller, avec une histoire géniale : Simon, un jeune commissaire priseur vole un tableau, mais après un coup sur la tête il oublie où il à caché le tableau, son associé décide alors de faire un appel a une spécialiste de l’hypnose pour aider Simon a se remémorer l'emplacement du tableau. Mais ce scénario qui, au départ, était pourtant simple s'intensifiera tout le long du film.
Le scénario compte aussi de nombreux rebondissements et il est aussi prenant qu'imprévisible, le spectateur ne pourra pas savoir comment une scène pourrait se terminer et encore moins prévoir la fin ! En ce qui concerne la bande son est juste superbe et les acteurs sont géniaux.

Le film commence très bien, ambiance rythmée, sujet classique mais efficace. Puis vient le thème du film: l'hpnose, et tout va tourner autour de cette thérapie qui n'est pas une seule seconde crédible à mes yeux et donc m'a vraiment ennuyé, même si quelques rebondissements viennet donner un regain d'attention aux scènes classiques d'action. Déçu !

Danny Boyle semble s'être affranchi de la mise en scène clipesque de son inutile 127 heures et gagne en classe avec son dernier film. Pas avare pour le moins du monde de points de vue divers, il est conseillé de mater le film concentré à bloc, voire avec un casque parce que non de dieu que c'est compliqué! En plus des changements de points de vue évoqués, les scénaristes s'en sont donné à cœur joie en amenant un rebondissement par seconde. C''est aussi la limite majeure du film. T'as compris : c'est cool, t'as pas compris : t'es perdu comme moi pendant une heure et demi. Du coup je me suis rabattu sur la forme plus que le fond, et force est de constater que ça a de la gueule. Autant pour le choix des acteurs que la mise en scène ou la lumière, l'esthétique est totalement cohérente avec l'univers du film et constitue clairement son intérêt pour moi! À voir si vous aimez les scénarios retords.

Foutraque et assez ubuesque dans son scénario , Trance frôle le ridicule mais ce n'es pas n'importe qui derrière la caméra. Même si c'est assez flamboyant dans la mise en scène. L'hypnose est pour moi trop utilisé , il est utilisé trop facilement pour des facilités scénaristiques. Et puis les innombrables rebondissements du film finissent par lassé.

Après les succès "Slumdog Millionnaire" (2008) et "127 heures" (2010) voici le 10ème long métrage du réalisateur de "Trainspotting" avec un thriller psychologique qui tourne essentiellement autour de trois personnages. Ces derniers interprétés par le trio James McAvoy-Rosario Dawson-Vincent Cassel sont tous mis à la même ensiegne. C'est un bon point car les trois sont mis au même niveau, pas une star devant l'autre, pas un personnage plus important que l'autre. Le suspense repose sur cet équilibre maintenu jusqu'au bout. Pour ce film labyrinthique Danny Boyle retrouve son scénariste des débuts, John Hodge ("Trainspotting" et "Petits meurtres entre amis"), il fallait bien ça pour mettre en ordre les méandres psychologiques de ce thriller... Cependant à force de vouloir perdre le spectateur il prend le risque de réellement le perdre, car en effet il faut être sacrément concentré pour ne pas perdre le fil du récit. Pas spécialement de twits à tout va comme on le lire parfois, mais des rebondissements logiques (voir attendus) puisqu'il est question d'hypnose et donc de révélations. De twist réel il n'y en a qu'un... Par contre il est évident que si cela avait été parfois un poil plus clair ça n'aurait pas été un mal (en usant d'un filtre par exemple ?!). Néanmoins ça reste un film terriblement prenant, ça commence comme un braquage classique avant de virer vers un jeu du chat et de la souris passionnant. Toujours en faisant attention de ne pas placer un des personnages comme le héros du film on suit le récit semés de mensonges et d'illusions. Tourné dans des décors inédits de Londres Danny Boyle penche du côté de Lynch comme en témoigne en plus l'appartement de l'hypnothérapeute (couleur jaune, sobriété des murs...). Pas de gentils ni de méchants ici, quasimment tous se font avoir à un moment ou à un autre. Le seul défaut est donc parfois cette sensation de brouillon, cette perte de repaire qui est poussé sans doute un peu trop loin. Il n'en demeure pas moins que ça reste bien interprété et assez fascinant.

Après les déceptions Slumdog Millionaire et 127 heures, je persiste et suis tout de même allé voir le nouveau film de Danny Boyle. Il est revenu au pays pour le tourner après son escapade hollywoodienne et le casting était alléchant, j'avais donc un mince espoir. Contre toute attente, cet espoir s'est transformé en une belle surprise. J'ai vraiment beaucoup aimé et suis quasi entré en « Trance » en étant scotché dès le départ...

Danny Boyle est, à mon sens, l’un des réalisateurs les plus talentueux et les plus constants de ces dernières années (avec Christopher Nolan et David Fincher). Chacun de ses films présente un intérêt incontestable et propose un spectacle innovant sur un sujet souvent risqué (l’évocation de L’Inde dans "Slumdog Millionaire", le randonneur au bras coincé sous un rocher dans "127 heures" ou encore le Soleil qui s’éteint dans son chef d’œuvre "Sunshine"). Il récidive, une nouvelle fois, avec de "Trance" qui, sans être une réussite totale, porte bien la marque de son créateur. Tout démarre avec un braquage d’apparence classique, mais filmé avec une maestria des plus enthousiasmante, Boyle parvenant même à transcender l’utilisation de la voix-off, si souvent lourdingue dans les autres productions. Pourtant, "Trance" ne va pas tant s’aventurer sur le terrain ultra-balisé des voleurs de tableaux que dans l’univers, bien plus original, de l’esprit humain et de ses mystères. En effet, suite au choc subi par le héros, l’intrigue devient terriblement alambiquée, avec une succession de faux-semblants et un onirisme visuellement très intéressant. Boyle veut perdre le spectateur et c’est ce qui fait tout le sel de son film. Car, s’il est une chose à retenir de ce "Trance", c’est qu’il ne faut se fier à personne et que les repères habituels du public sont mis à rude épreuve. Les personnages sont, ainsi, formidables de densité et d’ambiguïté, du gentil commissaire-priseur qui va révéler une facette bien sombre (fantastique James McAvoy, une fois de plus) à l’hypno-thérapeute bombesque pas si désintéressée que ça (Rosario Dawson filmée comme un fantasme ambulant avec un plan en full frontal d’anthologie) en passant par le voyou en chef bien moins maître de la situation qu’il n’y parait (Vincent Cassel toujours aussi classe dans les productions étrangères). Ces personnages sont magnifiés par la mise en scène élégante de Danny Boyle, qui travaille toujours autant sa photo et sa BO… même si le rythme, laisse, parfois à désirer. En effet, "Trance" se perd, parfois, dans une intrigue un peu gnan-gnan avec un sérieux coup de mou à mesure que l’hypno-thérapeute prend de l’importance. Pour autant, il faut admettre que cette évolution à l’eau de rose est indispensable pour renforcer le choc de la révélation finale. L’intrigue souffre, également, de la nature intrasèque de son sujet puisque, même s’il est intéressant de se balader dans le subconscient du héros, ce voyage n’en reste pas moins limité et donne parfois l’impression d’un peu tourner en rond. Pour autant, et comme toujours, chez Danny Boyle, le réalisateur est parvenu à tirer le maximum de son sujet et nous rend son film franchement original et, surtout, surprenant dans ses révélations. "Trance" ne restera, certes, pas comme l’un des meilleurs films de son metteur en scène mais prouve, s’il en était encore besoin, qu’il est l’un des rares à encore oser s’aventurer sur des terrains aussi glissants et à parvenir à en tirer un tel spectacle.

Danny Boyle est un habitué des critiques : soit ses films plaisent ou déplaisent, mais ce qui est sur c'est qu'ils marquent.
Comment un simple agent de sécurité devient la marionnette d'un dangereux complot et d'un voleur d'oeuvre d'arts.

On adore être malmené par les le réalisateur britannique. Une mention spécial à l'actrice Rosario Dawson qui campe une hypnotiseuse; l'un de ses meilleurs rôles.

Ce qui manque au film, c'est son accessibilité au grand public comme Slumdog Millionaire.
Attention film coup de poing

Une histoire à tiroirs où on se perd un peu dans les faux rebondissements tellement artificiels et surexploités que le film en devient presque ennuyeux. On se croirait plus dans un mauvais film de Guy Ritchie tant on tombe dans la caricature du genre. Les acteurs ne peuvent rien face à cette histoire lourdingue de manipulation hypnotique tirée par les cheveux et au postulat de départ ridicule. Grosse déception. A éviter.

Danny Boyle aime varier son cinéma. Avec Trance, il nous plonge dans un thriller psychologique intense où la réalité et l'imaginaire s'entrecroise tout au long du film. Difficile alors de discerner le vrai du faux mais c'est tout l'intérêt du film et Boyle s'en amuse à cœur joie. Côté acteurs, James McAvoy, Vincent Cassel et Rosario Dawson livrent des interprétations plus que correctes et la réalisation de Boyle est plus que soignée comme toujours. Trance est donc un très bon thriller, qui pourrait en dérouter plus d'un, mais qui n'en reste pas moins intriguant, surprenant et brillant.

Danny Boyle est un créateur, un de c'est rare réalisateur qui se donne encore la peine d'innover et de réaliser des film prenant, avec une réel intrigue et un suspens. Ce film à tout du chef d'oeuvre, les acteurs sont excellent surtout James Mcavoy et le côté psychologique de ce film en fait une petite bombe.