Derniers Avis sur The Violent Kind

Un groupe de bikers dans ferme isolée dans les bois sont la pour célébrer un anniversaire et sont menacés par des démons rockabilly. Ce qui a commencé comme un Evil Dead à petit budget s'est rapidement transformé en quelque chose d'autre qui n'était pas attrayant. Le jeu des acteurs n'était pas bon pour le réussir et je me suis vite ennuyé avec ce film. J'aime un bon film B d'horreur mais pas celui-ci. Car ce film était un peu en désordre et plein de clichés. Il a choisi d'adopter une attitude où les cinéastes vous jettent des trucs dans le vain espoir que quelque chose colle. Mais hélas rien ne colle avec The Violent Kind...

Hormis le fait qu'on ne comprenne rien et que ce ne soit inintéressant au possible, on m'expliquera ce qui peut pousser à mettre une bonne note.
On peut néanmoins préciser de bons aspects techniques. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 2/5

Un bien étrange film qui commence comme un film d'horreur pour basculer vers la science fiction.
J'ai aimé le film bien qu'il y ai des défauts.
Le jeu d'acteurs est inégale, les quelques effets numériques pas très bons et l'histoire part un peu dans le n'importe quoi.
Malgré tout j'ai trouvé le film assez originale dans son déroulement et la bande de "méchants" complètement barré.
Le film nous révèle pas grand chose sur le dénouement ce qui renforce le côté mystique du film, malgré tout j'ai passé un très agréable moment devant ce film.
Un genre de film qui ne plaira pas à tout le monde mais qui a le mérite de ne ressembler à aucun autre.

Une série B fauchée aux idées intéressantes mais à la réalisation pataude. Difficile d'adhérer à ce récit chaotique, pas toujours très clair et qui pioche de ci de là dans plusieurs sous genres d'horreur. Ce qui en ressort le plus finalement est l'aspect gore alors que c'est plutôt la thématique de base qui devrait rester en mémoire mais la mise en scène manque de souffle et les réalisateurs à trop vouloir se donner un style décalé et barré se perdent en route en prenant soin d'emmener leurs acteurs dans leur sillons. C'est dommage mais il ne reste pas grand chose à retenir de cet essai avorté et plutôt déplaisant visuellement.

Casting classique et gnangnan a part un ou deux acteurs. Une façon de filmer horrible qui tend à endormir avant l'arrivé des méchants. La violence est la base de l’œuvre mais les morts paraissent du coup sans intérêt et sans gravité.
Le dénouement final ne veux rien dire, les personnages sont amenés comme des fleurs, au départ soirée dédié à un personnage qu'on voit presque pas, bonne introduction par contre. Ce film c'est un triste n'importe quoi : spoiler: une personnage possédé sans raison par le ciel et des personnes qui veulent prendre on sais pas quoi dans le corps de la personne possède. Et à la fin des gens meurt bizarrement sans raison, et d'autre non. Et d'autre regarde les personnages principale.

Étant défenseur du film indépendant, violent et stylisé, je ne conseil malgré tout pas ce film ! Aux adeptes, regardez ce film mais soyez honnête avec vous même après avoir regardé ce film, car non ce n'est pas un chef d’œuvre du tout.

Vraiment surprenant, on change de genre en plein milieu mais ça passe. Les Butchers Brothers, depuis "The Hamiltons" sont des cinéastes à suivre en termes de cinéma de genre avec des idées nouvelles et ça c'est bien !

Un conseil, fuyez cette daube!!!

Ce film, c'est un peu comme si le réalisateur avait eu peur de ne faire qu'un seul long métrage dans sa carrière et avait décidé de mettre tout ce qu'il avait envie dedans, genre gloubiboulga mais qu'avec des produits bien lourdingues...
Ça commence avec une histoire de possession, puis ça tourne au film de torture avant de se finir avec une bande d'extraterrestres rockabilly psychotique.....le scenario est inqualifiable, les dialogues aussi réussis que si le dialoguiste d'Hélène et les garçons s'était mis au film d'horreur pour se payer ses voyages en Thaïlande, la réalisation est fauchée, les effets spéciaux digne d'un clip de dance années 80 et les acteurs aussi crédibles et effrayants qu'un autonomiste alsacien un jour de fête de la bière.....bref, la seule qualité de ce film c'est son homogénéité dans la nullité.....
Si Charles Manson avait eu son BAFA et avait du faire un film avec le caméscope de mon oncle pour les blousons noirs de la MJC de Sarcelles dans les années 80 ça aurait donné la même chose...

Bizarroïde ce film,je m'attendais à un film de baston pure,et ce fût tout le contraire. Les acteurs sont biens,plus particulièrement la folle bande,très charismatique. L'histoire n'a ni queue,ni tête. Et le gros point négatif c'est:QUELLE EST LE BUT ? Qui sont ces dégénérés ? Quelles sont leur motivations ? Et la fin...je n'en dirais rien,sans commentaires.

Grand adepte de film d 'horreur/gores. Ce film n'as rien de tous cela, C'est brouillons , mal filmé , scénario pourris, acteurs en cartons. Eviter le. Faut n'aurais aucun regret ! 1/5

Des « Bikers » contre des « Teddy Boys » (qui mettent tout de même environ 1h à débarquer), dans un film d'horreur/SF possédant une jacket sympa et intrigante ainsi qu'un synopsis qui avait l'air de faire sortir un peu le film du lot. Ca avait l'air cool quoi... Et bien non... c'est franchement pas cool... Même s' ils peuvent paraître légèrement tirés par les cheveux et complètements perchés, ce ne sont pas l'histoire et le concept qui sont à blâmer. Après tout on a déjà vu plus idiot et formaté, le film faisant preuve d'une certaine originalité sur le fond, du moins sur l'idée originale. Non, c'est la forme qui est pitoyable. « The violent kind » a véritablement été réalisé avec les pieds. Et qu'on ne dise pas que c'est une question de budget car des éléments comme l'intensité angoissante des scènes, la direction des acteurs, l'esquive astucieuse des clichés et l'écriture de bons dialogues ne nécessitent tout de même pas la fortune à Rothschild. Ne pas bâcler la conclusion de son œuvre non plus d'ailleurs... la fin est copieusement ratée et à défaut de laisser notre imaginaire méditer sur 1 ou 2 éléments de SF, ufologie, ésotérisme ou on ne sait trop quoi d'ailleurs (c'est aussi un beau fourre-tout), on en revient à s'interroger fondamentalement sur l'intérêt du film tout entier. A oublier, ce qui dans ce cas ne devrait pas être trop difficile.

Le cinéma de Mitchell Altieri et Phil Flores, dits The Butcher Brothers, me laisse toujours un peu dubitatif tant il plein de défauts tout en étant suffisamment différent des productions hollywoodiennes habituelles pour en être de ce fait intéressant. En fait leur cinéma se plaît à ne pas rentrer dans la case du genre dans lequel ils le placent : ils font du cinéma d’horreur qui ressemble plus à un thiller dans lequel l’élément horrifique n’est qu’un prétexte à amener dans le film un peu de folie. « The violent kind » avec au début un faux air de « Sons of anarchy » dérive très vite dans le slasher perdu dans la forêt pour se terminer dans une sorte de science-fiction horrifique un peu étrange. Cette macédoine de genres fait à la fois l’originalité du film et son principal défaut, à savoir une faiblesse de l’ensemble qui rend le scénario pas mal bancal avec également une fin qui sacrifie au désormais incontournable stéréotype des slashers qui veut que personne ne s’en sorte. C’est au final un peu le mariage de la carpe et du lapin avec en sus une explication des évènements qui tient de la métaphysique de bazar pondue vite fait sur un coin de table. De plus si vous êtes allergique à la violence et à l’hémoglobine passez votre chemin c’est un peu la marque de fabrique du duo que cette mise en scène décomplexée et jubilatoire du sanguinolent. Quand aux acteurs, tous inconnus au bataillon (si on excepte Taylor Cole habituée des séries dans des seconds rôles), ils font le boulot avec un talent plus ou moins évident. Un film pas inintéressant, mais qui n’est pas indispensable d’avoir vu loin de là… P.S. : ne lisez pas le synopsis il est vraiment si loin du film que je me suis presque demandé en le lisant si celui ou celle qui l’avait écrit avait vraiment vu le même film que moi !

Et bien voilà un film dont il est difficile de parler tant il est unique : un OFNI comme on en voit pas souvent dans le paysage cinématographique d’aujourd’hui. "The Violent Kind" a été réalisé par des types qui en connaissent un rayon en matière de films de genre, et il est évident que leur bébé s’adresse avant tout à des cinéphiles avertis ayant eux aussi carburé pendant des années à toute une catégorie de péloches. Autrement dit, si vous avez moins de 25 ans, que vous avez l’habitude du cinéma moderne (c’est-à-dire celui qui explique tout à l’écran sans laisser de doutes) et si vos références cinématographiques sont plutôt du genre "Paranormal Activity", "Le Cercle", "Destination Finale", "Détour Mortel" et toute la floppée de remakes de grand classiques qu’on a pu voir ces 2-3 dernières années ("Texas Chainsaw 3D, "Fright Night", "The Crazies", "Prom Night", "Terreur sur la Ligne", "Meurtres à la St-Valentin 3D" , "Pulse"…), passez votre chemin car vous ne rentrerez jamais dans les subtilités de "The Violent Kind".
Le film nous présente une bande de potes motards faisant la bringue dans un grand chalet à l’écart de la civilisation. Malheureusement la soirée va tourner court lorsque l’une d’entre eux va revenir au chalet en sang et choquée, puis par l’intrusion de jeunes excentriques…"The Violent Kind" est donc une expérience bizarre car il mélange plusieurs types de genre. A partir de là je vais rentrer dans les détails, donc pour ceux qui n’ont pas vu le film, passer votre chemin. spoiler: Le film se décompose donc en trois parties distinctes : tout d’abord nous avons la traditionnelle phase de présentation des personnages où l’on découvre une bande de bikers un poil bastonneurs tout droit sortis de "Sons of Anarchy" et qui vont s’éclater dans une fête à la façon "American" Pie. La deuxième partie survient lorsque le personnage de Shade, qui s’était éclipsée de la fête avec son mec en bagnole pour « s’éclater », revient au chalet recouverte de sang, choquée et commence à attaquer ses compagnons sans raisons. Dans cette partie assez spéciale vis-à-vis de la suivante, on bascule dans une ambiance horrifique où Shade apparaît comme un vilain slasher dont l’attitude fait grandement penser à un possédé. Puis vient la dernière partie où arrive une bande de joyeux loufoques sortis tout droit des années 50 commandée par un certain Vernon : avec au départ un home invasion classique, le tout bascule carrément dans le fantastique le plus pur lorsque les loufoques en question dévoileront être des entités non terrestres. Et je ne vous parle même pas de la séquence finale totalement folle rendant ainsi exacte la prédiction lancée peu de temps avant par Vernon !
Même si ce mélange de genres peut paraître fouillis, voire indigeste ; force est de constater que la réalisation est bien maîtrisée : la photographie est assez léchée et le travail sur la luminosité, notamment sur le contraste, parvient à créer une ambiance si particulière et qui correspond parfaitement à cet aspect irréel que le métrage possède du début à la fin. Les scènes « d’action » sont plutôt dynamiques et on a droit à quelques images gores du plus bel effet.
Véritable OFNI créé par des amoureux de genres pour des amoureux de genres, sorte de rencontre improbable entre un film d’exploitation Grindhouse et un film de David Lynch (le style de film où soit on accroche et on veut voir la fin, soit on décroche direct et on s’emmerde) ; "The Violent Kind" est une expérience à vivre pour tout cinéphile en quête de nouveauté.

Film d'horreur réalisés par deux cinéastes Américains indépendants et mordus du genre, d'où les références. Complètement déjanté, ce film pré-apocalyptique est joué par une équipe d'acteurs qui se donne à fond pour un scénario bien rock'n'roll... Ce film ne laisse pas indifférent, qu'on aime ou pas. Pour ma part, c'est à revoir !

Film ultra déjanté dans un univers un peu violent. Quelques bonnes idées mais le déroulement du film est bizard. Les acteurs sont correctes. A voir une fois, c'est un film d'horreur original.

Contrairement à ce que j'ai lu ici et là, il est totalement injustifié de considérer ce film comme nul. Certes, si vous êtes formatés aux blockbusters d'horreur américano-débilos avec plein d'ados de 15 ans (qui sont en fait des acteurs de 25) qui se font trucider à la politiquement-correct (entendez par là que oui, il faut des scènes flippantes et un peu gores mais pas trop non plus pour que la ménagère de 50 ans ne s'enfuit pas en courant de la salle), ce film vous déroutera car il n'est pas dans les clous. C'est un film indépendant, qui ose des scènes et des dialogues salaces par exemple, contrairement aux films à la "Scream" ou "Destination Finale" où vous ne verrez pas un bout de sein mais qui pour donner le change montreront quelques zigouilleries bien huilées histoire de rentabiliser leur franchise "horreur" et permettront aux producteurs qui ont misé un max de pognon dans les scènes sanglantes de faire un retour sur investissement immédiat.
Ne cherchez pas non plus une réponse à vos questions (là on est dans le vrai fantastique), prenez le film comme il est c'est-à-dire le délire loufoque de deux potes qui ont réalisé un truc qui leur tenait à coeur.
Alors certes, la scène finale est plutôt inattendue, mais l'ensemble du film est cohérent surtout si l'on tient compte du manque flagrant de moyens.
On ressent les références des réalisateurs (une maison isolée à la "Evil Dead", un soupçon de "L'Exorciste" par là, un scénario à la "Undead", pour ce qui est de Tarantino contrairement à d'autres critiques je n'ai pas trouvé mais bon...) et sans être un chef d'oeuvre, ce long-métrage fera passer le temps.
Voilà !