Avis : Sea, No Sex and Sun - Page 3

"Sea, no sex and sun" (2012) la une (RTBF) le 01.05.2017

Déjà le titre n'a rien d'innovant ni de révolutionnaire, mais le reste est d'une platitude incroyable. Tout est mauvais et inintéressant dans ce navet ! Un scénario qui donne l'impression de déjà vu : le thème n'était pas mauvais mais il est très mal traité. Pour son premier film comme réalisateur, c'est raté, Christophe Turpin n'arrive même pas à nous intéresser, et encore moins nous faire rire. C'est creux ! On le dit scénariste, c'est tout aussi creux : il est urgent d'envisager unbe reconversion ou une formation ! Le casting n'est guère mieux : Testot joue faux et seul Duléry et Ferrier font un effort mais ne peuvent faire de miracle. Enfin, question musique,même le choix de "Wouldn't Be Nice" des Beach Boys n'est pas le meilleur : le groupe a fait bien mieux. On se consolera en constatant que les vacanciers le chantent tout ce qu'il y a de plus faux !. Heureusement, il reste Carnac Plage et ses gendarmes et peut-être ses radars automobiles, ses places de stationnement payant ? Très pénible à voir, même avec des lunettes de soleil : mortelles vacances ; épargnez votre crème solaire. Seulement 68 000 entrées en salles et une contre-pub pour le tourisme breton ! On se demande pour qui ce machin a été tourné !
willycopresto

Interprétation pauvre, scénario inexistant, scènes creuses, à la fin du générique on se demande encore ce qu'apporte ce film si ce n'est occuper le temps. Note clémente.

Petite comédie aigre-douce, sur fond de vacances d'été à Carnac en Bretagne, qui nous raconte les aventures et le mal-être d'Alex (20 ans, stagiaire célibataire dans un club de tennis), Guillaume (35 ans, marié, un enfant) et Pierre (50 ans, divorcé, deux ados), tous trois insatisfaits de leur vie et en quête d'un "mieux" qu'ils espèrent trouver auprès de femmes ou de filles qui croisent leur chemin. C'est assez bien fait et bien joué. On aborde les thèmes classiques de l'éternel désir masculin, de l'usure du mariage, le l'infidélité, du mensonge ou encore du démon de midi. Mais après quelques péripéties, tout finira par s'arranger : Alex trouvera l'âme soeur (mais pas celle qu'il espérait), Guillaume se rapprochera de son épouse Justine et Pierre renouera le lien avec ses enfants. Ce n'est pas un grand film, mais ça se regarde avec plaisir.

le film est rempli de longueur des le début. fred testot reste inexpressif ( comme dans tous ses roles ) et joue comme une endive. pour moi c'est le pire acteur français "banquable".
le scénario est sans intrigue ni subtilité, on ne sait pas ou veut nous emmener le realisateur. je suis arrivé péniblement a la fin tant le film est lourd et sans finesse.

Le scénario est gentillet, le côté ambiance estivale est plutôt sympa mais les acteurs sont moyens et le scénario prévisible. Il y a de jolis paysages de Bretagne. A voir en famille pour se détendre.

Précocement passionné par le cinéma, surtout fantastique et d’horreur, Christophe Turpin fait ses premières armes de « réalisateur » dès l’âge de 12 ans, en Super 8 ou vidéo. Après une formation dans une école de cinéma privée à Paris, il collabore à une revue spécialisée, est un temps rédacteur de pub et écrit plusieurs courts métrages mis en scène par d’autres. En 1998, il réalise un premier « court », avec Barbara Schulz, « Enchanté Baby Jane », puis, cet essai non transformé, galère à nouveau quelques années, jusqu’au joli succès de «Jean-Philippe » en 2006, (près de 1.300.000 entrées/France) de Laurent Tuel, dont il a coécrit l’histoire plaisamment « uchronique » (premier en date « Prix Jacques Prévert du Scénario original » décerné par ses pairs de l’Union Guilde des Scénaristes). Il commence alors à se faire un nom comme scénariste : suivent l’épatant « JCVD » de Mabrouk el-Mechri sorti en 2008 et « L’Amour dure trois ans » de Frédéric Beigbeder en 2011, mais toujours en collaboration. Il signe enfin seul l’histoire de son premier « long » : « Sea, No Sex and Sun », une comédie « estivale » et en partie autobiographique, tournée selon ses vœux en CinemaScope, dans la Bretagne de son enfance (double nostalgie), et qu’il a même « storyboardée » en personne dans une proportion significative ! Belle implication pour le jeune quadragénaire, qui, fort de sa relative notoriété rappelée ci-dessus, bénéficie d’une sortie honorable (181 salles hexagonales). Mais, précédé d’une bande-annonce peu enthousiasmante et d’une affiche médiocre, que vaut ce film ? Il n’est plus question de jouer sur la notion d’univers parallèle, sur l’histoire « alternative » comme dans « Jean-Philippe », mais le temps est encore source d’inspiration pour Christophe Turpin avec cette nouvelle histoire. Au lieu de retracer trois étapes importantes de la vie de son héros, de manière classiquement chronologique, il a eu la belle idée de les juxtaposer, en un lieu unique (Carnac, endroit récurrent de villégiature), et à un instant T (juillet 2011) – ce faisant, le héros « au présent » est « Guillaume », qui, à 35 ans, s’est installé, encore modestement, dans la vie, après avoir renoncé à certaines ambitions et aspirations de jeunesse (comme ses envies de dessiner des BD : il se contente maintenant de parcourir celles des autres), tout en cédant souvent à la tentation de tromper sa femme (avec laquelle il a déjà une petite fille), quand le héros « au passé » est « Alex », le garçon de 20 ans, à l’âge de toutes les expériences et de tous les possibles, plein de rêves et maladroit avec les filles, et celui « au futur » est « Pierre », qui, un enfant de plus et trop de tromperies à son passif, a divorcé, ayant cependant au moins réussi matériellement. Les personnages ont des silhouettes, des caractères, parfaitement « raccord » (le triple héros, comme ses partenaires) et les anecdotes s’enchaînent logiquement, mais Turpin le scénariste ne sait pas exploiter cet habile procédé narratif, pas plus que ne sait le mettre en valeur Turpin le metteur en scène : au résultat, une simple succession de saynètes vaudevillesques, le tout n’étant pas davantage sauvé par une bonne direction d’acteurs (Duléry & Co restent dans un navrant « plan-plan »). Hélas, comment gâcher un procédé original, et qui reste au stade des promesses : tout ça, pour ça !... Une chronique « balnéaire » sur la frustration (fond de l’histoire), qui laisse le spectateur dans une situation voisine : Christophe Turpin rate son entrée en réalisation, en ayant une idée prometteuse, tout en s’abandonnant à la paresse de n’en pas tirer avantage.

Sea no Sex and sun est un film de “vacances”, style “hôtel de la plage”… Bon enfant, un peu de tendresse, un peu de tristesse, des histoires d’amour, des situations embarrassantes, des couples, des tromperies…. un scénario creux, un manque de rythme et une impression de fouillis… qui empêche tout amusement ou plaisir.

Les personnages manquent d’épaisseur, certains comportements sont incompréhensibles. Les acteurs, même si ils sont sympathiques, n’ont pas l’air à l’aise dans leur rôle : Fred testod par exemple.. difficile à comprendre son jeu. Il est, par contre, très agréable de retrouver Patrick Bouchitey.

Pour le reste, si vous connaissez Carnac (en juillet), difficile d’être crédible à la vue de ces plages et rues désertes. Quant à La BO, le tube “Wouldn’t It Be Nice” des Beach Boys, annonce une légèreté qui n’apparait pas dans le film.

Une petite comédie dispensable

http://framboisemood.wordpress.com/2012/05/10/cinema-sea-no-sex-and-sun/

Très peu de scènes comiques,mais on se laisse comme même prendre dans l'histoire.

Le scenario est moyen , les acteurs sont moyen , le sujet a deja etait traite plusieurs fois en mieux.Pas vraiment d'interet donc.

Malgré un rythme atone et molasson, ces vacances en Bretagne pour 3 générations d'hommes représentatifs de leur age et de leurs condition s'avèrent plaisantes grace à un scénario finement écrit pour montrer que chacun a été ou pourra être l'autre. Chaque personnage s'affaire avec la gent féminine avec un savant dosage de maladresse, d'incohérence, de ruse et de bonne volonté. Les personnages sont bien troussés notamment la partie jeunesse. Un sujet indémodable pour un ton à la fois tendre et moqueur. Pas mal malgré un final consensuel

Meme pour un amoureux de la Bretagne ce film est nul , prodigieusement incohérent et montrant tous les hommes perdus et incompétents. Passez votre chemin.

Curieux film qui rappelle un peu les films de vacances dans les années 70 (pascal thomas ou autre).....Le cadre magnifique de la bretagne ensoleillée apporte une touche de douceur et de repos...Car et c'est une des vertus du film, il est doux et reposant.....Il tourne autour des sentiments pour deux hommes et un adolescent qui vont essayer pendant ces vacances à Carnac de raviver leur amours...Le film de façon presqu'amusante mélange les époques, 80, 90, 2000 où le quinquagénaire essaie d'imposer ses gouts musicaux à sa fille adolescente, mais aussi n'hésite pas à draguer des adolescentes....Il y a aussi un trentenaire de retour au pays (fred testot) qui a envie de compter fleurette à droite et à gauche....Un adolescent amoureux d'une copine de lycée à Paris.... Quêtes d'identité, démons de midi, flirts, l'ambiance bretonne des boites et des bars, mais aussi des plages, des huiles solaires apporte quelque chose de chaleureux à ce film, quelque chose de délicat et sans aucun jugement ostentatoire, quelque chose où tout le monde apporte sa pierre à l'édifice (pas de parisianisme, ni de régionalisme)...Sympa.....

Plus une tranche de vie qu'une réelle comédie, ce film met en scène avec tendresse les questions de 3 hommes de générations différentes sur leur vie, leurs amours, etc...
On n'y rit pas aux éclats, c'est un film d'ambiance. Ceux qui accrochent vont s'y régaler d'autant plus que l'interprétation est de qualité.

pas folichon comme film.
C'est classé en comédie mais j'ai pas trouvé ça drôle mais long. histoile banale.

"Comédie" ??? Et bien je n'ai pas perdu mon temps, j'ai rigolé au moins....une fois (c'était juste un sourire). "Sea, no sex and sun" est le genre de scénario typique à la façon "Camping paradis" de Laurent Ournac, on s'ennuie d'une puissance dans ce style vu et revu 50 000 fois. Les histoires sentimentales de trois mecs aux profils bien distincts, le jeune célibataire, le trentenaire marié et le quinquagénaire divorcé, pendant leurs vacances d'été. La mer est là (vite fait), le soleil aussi (vite fait) et le sexe est absent. Des hommes qui testent leur capital séduction, qui trompent, qui espèrent etc... Ils ne se connaissent pas, mais leurs histoires vont se croiser. L'impression de voir un téléfilm avec des scènes inutiles à la pelle sans le moindre suspens. Ce film est un somnifère.