Avis : Diana - Page 2

C’est en cherchant à comprendre pourquoi le public britannique a reçu Diana de la même façon que le fit le public chrétien de La dernière tentation du Christ que l’on put cerner les points positifs et négatifs de la démarche de cette reconstitution des dernières années de l’ancienne princesse de Galles. Revenir ainsi sur les déboires amoureux d’un personnage qui, comme l’est encore Diana Spencer, représente pour les anglais un être intouchable symbole de pureté ne pouvait qu’être interprété que comme une attaque indirecte à son image. Un réalisateur anglais n’aurait en effet fait d’un film sur elle qu’une héliographie pompeuse et démagogique au possible, mais justement Oliver Hirschbiegel s’évertue à en faire un être psychologiquement fragile dont le comportement ne peut être qualifié d’irréprochable puisqu’on découvre dans le dernier quart d’heure de son long-métrage que sa relation avec Dodi Al-Fayed n’est qu’une coucherie destinée à rendre jaloux son ex. L’une des thématiques du réalisateur de La chute est le rapport de cette femme par rapport à sa situation, puisque la façon dont il présente Lady Di comme un être épuisé par le battage médiatique qui rend impossible sa vie privée est finalement l’élément le plus dramatique du film, mais celui-ci est justement sous-exploité à profit de cette petite bluette cousue de fils blancs digne du plus mièvre des romans de gare. Les rapports de l’héroïne avec la famille royale et ses enfants ne sont aussi que brievement abordés alors qu’ils auraient faits des sujets de films bien plus justifiés. Hormis Naomi Watts qui effectue un remarquable travail de mimétisme et Naveen Andrews qui trouve enfin un rôle après la fin de Lost, aucun personnage secondaire n’est doté de la moindre profondeur, tout comme le scénario qui aurait dû attendre quelques années pour être écrit s’il avait voulu se prétendre une quelconque pertinence tant historique qu’humaine.

Vu en avant-première, je peux dire que Naomie a du regarder beaucoup de documentaire sur Diana pour avoir les memes mimic et donc etre crédible. Par contre Diana etait une belle femme et Naomie en Diana ne l'est pas, ce qui gache un peu. L'histoire d'amour de Diana avec Hasnat est émouvante mais en dehors de cette histoire on n'a l'impression de voir du déja vu sans doute parce que l on connait sa vie, dommage.
Mais pour les fans ainsi que pour les gens qui ne la connaissait pas allez y.

un film autobiographique, qui revient sur l'histoire d'amour de DIANA avec le chirurgien pakistanais.
on nous montre une femme, qui a voulu être simplement heureuse et vivre comme tout le monde son histoire d'amour.Malheureusement la notoriété l'en a empêché .
La ressemblance de l'actrice est frappante , très bon casting.
Un film de romance basé sur les dernières années de la vie de la princesse

A part quelques bribes de sa vie et de sa mort, je ne connais pas grand chose de la Princesse Diana. Parait-il assez fraichement accueilli en Grande-Bretagne, ce film est cependant une belle histoire, intelligemment construite, bien racontée avec lucidité et sensibilité et superbement jouée, en particulier par les deux principaux acteurs, la toujours splendide (dans tous les sens du terme) Naomi Watts et Naveen Andrews (un inconnu pour moi). C'est donc l'histoire de Diana, un peu après qu'elle se soit séparée de Charles, qui rencontre Hasnat Khan, un chirurgien pakistanais et a une liaison (apparemment d'amour) avec lui. Rendue compliquée par l'impossibilité pour Diana de vivre une vie "normale" et également par un net ostracisme culturel et religieux de la part de la famille d'Hasnat, cette relation ne durera pas. Elle aura ensuite une liaison avec Dodi Al-Fayed, dont on connait la fin tragique. Parallèlement à cela, le film nous raconte succinctement les engagements humanitaires de Diana, sans qu'on arrive à distinguer nettement sa sincérité de son opportunisme médiatique. On ne sait pas trop la part de vérité dans tout cela, mais le film donne de Diana l'image d'une femme tourmentée, qui a dû souffrir d'une vie qu'elle n'avait pas imaginée "être comme ça". Avec, quand même, le bémol que, matériellement parlant, elle n'a guère souffert de privations. Les deux ou trois scènes finales sont très bien faites, d'une grande simplicité et assez émouvantes sans qu'on donne dans la sensiblerie. Un très beau film, à aller voir ne serait-ce que pour se faire une idée.

Catastrophe ! Diana est le navet de l’année. Assassiné par les critiques, Diana est bel et bien le biopic poubelle dont la presse parle tant. La mise en scène digne d’un feuilleton M6 : saccadé, baclée avec ses mouvements de caméra incessant sur les pieds de Naomi Watts (Diana). Ajouté à cela, des scènes musicales mélodramatique qui sont vraiment mal gérés ! Les dialogues sont quiches dans le meilleur des cas, et tellement mauvais qu’ils en frisent le ridicule. Vulguaire soap opera, Diana esquive les aspects intéressant de l’histoire mais à esquiver les questions qui fâchent c’est tout le personnage qu’il manque ! En résumé sans la ressemblance physique de Naomi Watts,on jugerait avoir vu le film 100 fois, un désastre pour ce biopic qui aurait du être unique. Le scénario est tangent et fait apparaître Diana pour une simple ménagère vulgaire, égoiste et manulatrice (les scènes au lit avec Naveen Andrews occupe largement une part du film). Verité ou pas , le film n’en reste pas moins ennuyeux et mauvais. Diana relève plus du téléfilm qu’autre chose.

J'ai pu voir "Diana" lors d'une séance du "Label des spectateurs UGC" (donc je ne savais pas que ça allait être ce film...) il y a quelques jours. Ce film me fait penser à "J. Edgar"... C'est plutôt long, une grande majorité du film étant consacrée à sa relation avec ce chirurgien pakistanais, et le peu qu'il reste montrant l'engagement qu'elle a pu avoir contre les mines antipersonnelles, ou pour aider les enfants défavorisés, etc. Bref, c'est pas ma tasse de thé... Néanmoins, c'est assez bien réalisé et Naomi Watts est plutôt convaincante en Diana (d'où mes 2 étoiles), même si j'avais 5 ans quand elle est décédée et que pour moi elle est quasiment inconnue. Si vous voulez voir une histoire d'amour compliquée, avec des tensions blablabla allez le voir, sinon, faite un tour sur , vous économiserez 2h, une place de ciné, et en apprendrez sûrement plus sur Diana qu'en allant voir ce film.

La mode du film de princesses commence. Avant le Grace de Monaco avec Nicole Kidman, c'est au tour de Naomi Watts (bien trop jolie pour ce rôle) d'incarner Lady Diana, pour un faux biopic, se concentrant sur une romance et sur la période 1992-1997, après la séparation de Diana et Charles.
En transformant Diana en une femme pleine d'amour et de douceur, pauvre victime de l'amour et des hommes, on s'éloigne du réalisme et Naomi Watts fait ce qu'elle peut avec un personnage mièvre et peu crédible.
Le film se regarde tout de même, mais n'est clairement pas bon. Ce n'est pour autant pas non plus l'horreur décriée depuis plusieurs semaines...

L'amour vrai entre Diana et un chirurgien. Pas essentiel comme film, la 2eme partie étant plus réussie. 2 étoiles et demie.

Belle interprétation de Noami Watt. Pour l'histoire que l'on nous raconte pourquoi pas.
Même si Diana était une princesse, elle était une femme en quête d'amour...
A nous de prendre cette fiction pour ce qu'elle est.

Meryl Streep a interprété Margaret Thatcher, c'est au tour de Naomi Watts d'incarner la princesse Lady Diana. Biopic mis en scène par Oliver Hirschbiegel, Diana n'a pas vocation à raconter la vie entière de "la femme la plus connue du monde", mais uniquement à retracer les événements survenus entre 1995 et 1997, allant de son divorce avec le Prince Charles à son décès à Paris, le 31 août 1997. Ainsi, c'est sa relation avec le chirurgien pakistanais Hasnat Khan qui reste au cœur du métrage et qui lui donne du coup toute sa simplicité. Ainsi, bien que fortement médiatisé, le but ici n'est pas d'aborder le quotidien royal de Diana, mais plutôt de s'intéresser à sa vie personnelle : engagement humanitaire, intérêt pour la musique, attitude au quotidien. Et, sous les traits de la ravissante Naomi Watts, la princesse revit. Bel hommage.

Après avoir lu une critique dans sa majorité négative, on va toujours voir ce genre de film avec un à-priori. Eh bien, je ne regrette pas d'y être allée finalement. Ne serait-ce que pour quelques moments d'émotion. Par exemple, lorsque l'on entend le "Ne me quitte pas" de Jacques Brel. Un film, c'est souvent une foule de détails...

Rotten Tomatoes a attribué une côte de 8%. Foutai*s.

Après avoir vu le film, je ne peux pas imaginer, que, parfois, le système de notation de RT est de la merde.

J'ai désespérément cherché une raison juste une raison pour justifier leur côte, mais je n'ai pas trouvé. Objectivement.

Un film aigre douce qui est bien filmé, musicalement bien, et totalement sans prétentions.

J'ai été surpris par la performance excellente de Naomi. Elle est totalement convaincante. Une épine dans le film est le jeu de Naveen qui est insipide.

Voir le film, vous ne seriez pas déçu. Rappelez-vous que, ce film est juste une épisode de la vie de Diana et pas un biopic.

Cinq étoiles pour être en contradiction avec les experts (sic) de films.

Un film avant tout servi par la prestation de Naomi Watts . Au delà de la thèse défendue , une réalité beaucoup plus dure sur la pression insoutenable des médias envers les icônes qu'elles contribuent à créer .

Un grand film d émotion. Naomi Watts offre une prestation magnifique. On apprend beaucoup sur La princesse Diana

Très belle performance et interprétation de N. Watts.
Oui ce film est très mélodramatique, sucré, sirupeux mais c'est voulu et c'est ce qui fait tout son charme.
On voit ses deux dernières années quand elle a aimé un homme.