Avis : Des gens qui s'embrassent - Page 6

Grosse déception et grosses ficelles. Des personnages pas vraiment travaillés, une histoire pas vraiment intéressante et des situations pas spécialement exploitées (le décalage mariage/enterrement aurait pu être le cœur du film) et peu d'humour (ce qui dérange toujours un peu pour une comédie). Bref on est loin du film choral rythmé et plein de sentiments, et en plus on se tape une image esthétiquement pas très travaillée. A oublier.

Unfilm divertissant, bien que le scénario soit un peu bizarre. Kad Merad et Ivry Gitlis sont très drôles, par contre le double rôle de Valérie Bonneton est ridicule, et Monica Bellucci est à coté de la plaque, le reste étant juste correct. Le film part plutôt bien, mais s’essouffle dans sa 2ème moitié.

La bonne comédie française bien lourde dans toute sa splendeur.... une multitude de personnage complètement différent ou l humour interagit face à leur différences... un grand Classic mais malgré leur efforts et les clichés gros comme des camions les acteurs ne réussissent pas à nous seduire le film est peu marrant et le scénario est vraiment difficile à gober..... une comédie qui essaie d être honnête mais qui s oubliera très vite.

Je ne comprends pas les critiques si mauvaises de la part de la presse et des spectateurs, ce n'est certes pas un chef d’œuvre du grand art mais c'est un très bon film que je recommande si vous voulez passez un bon moment sans vous prendre la tête.
Des gens qui s'embrassent est un film léger et agréable. Le scénario sympathique avec une histoire d'amour impossible très intrigante et qui tiens en haleine et des personnages qui jouent bien leurs rôles.
Si je suis allé voir le film car je suis un grand fan de Monica Belluci elle n'as en fait qu'un role de second plan et je suis devenu fan de Lou de Laâge qui est resplendissante dans ce film et espère la voir plus souvent à l'écran. L'humour décapant de Ivry Gitlis avec son Alzheimer m'a fait bien rire.

Danièle Thompson est la reine du film choral à l’intrigue solide et aux dialogues bien sentis. Las pour sa dernière œuvre il semble qu’elle ait eu un gros passage à vide ! Cette comédie familiale mêlant drame et humour ne parvenant jamais à ce subtile équilibre que requiert ce genre : le côté dramatique est insipide et vain et l’humour jamais vraiment drôle. L’intrigue même manque singulièrement de force et rabâche des thèmes milles fois traités au cinéma sans rien y apporter de nouveau ni de génial. Les effets scénaristiques tombent à plat avec notamment ce quiproquo éventé dès son initiation et ce double rôle pour Valérie Bonneton qui sombre tout simplement dans le grotesque. L’interprétation elle aussi est à la ramasse, certains plus que d’autres cela dit : Max Boubli et Monica Bellucci étant singulièrement mauvais ici. On s’ennuie ferme devant les risibles péripéties de cette famille dont les personnages n’arrivent jamais à nous apparaître un tant soit peu crédibles. Un ratage assez flagrant d’une réalisatrice et scénariste qui nous avait habitué à beaucoup, beaucoup mieux. Franchement sans intérêt et à éviter pour s’épargner 1h40 d’ennui.

Des gens qui s’embrassent est une histoire de familles. Il y a de nombreuses références à la religion juive qui peuvent faire rater quelques allusions et blagues autour du sujet (à part celles avec le cochon…). Les histoires, les familles sont caricaturales. Les personnages sont bourrés de clichés. Tous les personnages sont sympathiques même si ils sont caricaturaux et sans profondeur. (Mais Des gens qui s’embrassent n’est pas un drame psychologique… Il s’agit d’une comédie). L’humour du film est en partie de l’autodérision. Et puis il y a quelques blagues simples mais très efficaces. La relation entre les deux frères est un des centres d’intéret du film. L’exubérance de l’un en opposition avec la simplicité de l’autre est détonnante. La réalisatrice, présente à l’avant première, a expliqué que deux ou trois anectodes du film étaient inspirés de son vécu.

Rien à dire sur le casting, Danielle Thompson sait choisir ses acteurs. La famille est composée du père Aron, qui perd la tête. Aron est joué par le merveilleux Ivry Giltis. Les deux frères sont joués par Kad Merad, exubérant et qui a besoin d’être aimé et Eric Elmosnino, sobre. Leurs femmes respectives sont Monica Bellucci complètement décalée et hors réalité et Valérie Bonneton que l’on voit en tout début de film. Leurs filles sont jouées par Clara Ponsot et la très jolie Lou De Laage.

Des gens qui s’embrassent est une histoire de familles. Il est sûr que tous les clichés et les caricatures du film vont déplaire à certains mais il suffit de se laisser emmener par l’ambiance sympathique du long métrage. Loin d’être la comédie de l’année, le film n’en reste pas moins un bon divertissement.

Un film bien joué, amusant, avec de bons acteurs et deux jolies filles.
L'histoire est classique et le triangle amoureux n'est pas non plus une trouvaille.
L'histoire est simple mais le message humain est bon et surtout, le papy joue bien son rôle.
Bref, on l'apprécie parce qu'il est d'abord bien joué.

C'est un des moins bons films de Danièle Thomson mais ça reste agréable a regarder. C'est pour cela que je ne comprends pas les critiques négatives de certains spectateurs qui feraient mieux d'aller faire du sport plutot que d'aller au cinéma. Cependant c'est un peu du déja vu.

Difficile de retenir quelque chose, positif ou négatif, de ce film. Pas mauvais, juste quelconque.

Une belle brochette de comédiens mais ca ne marche pas. Ca sonne faux et donc cela devient ennuyeux. Dommage car quelques repliques sont pas mal et seul Monica Belluchi sent sort par mal.

Des gens qui s’embrassent est un brouillon dont le réalisateur devrait porter une honte d’avoir montrer son film tel quel. Les acteurs pourtant très reconnus ne croient pas en leur rôle et par conséquent jouent mal. Le scénario est bancal et rend la mise en scène lassante. Bref cette comédie romantique, ne fait pas rire et n’émeut pas. Seule Valérie Bonneton dégage un charisme trop rare dans ce film raté de Danièle Thompson.
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Une gentille petite comédie romantique à la française, avec une bonne dose d'humour grâce au personnage de Kad Merad, hilarant surtout dans ses moments d'imitation de Franck Sinatra. La galerie de personnages est suffisamment attachante pour susciter la sympathie et l'intérêt. L'opposition entre les deux frères donne lieu à de nombreuses situations cocasses et sincèrement drôles. Dommage que cette histoire d'amour impossible soit gâchée par une fin absolument peu crédible et improbable.

Chronique familiale autour de 2 frères complètement opposés dans leurs modes de vie et qui se retrouvent avec le reste de la famille lors d'un double événement dans un même lieu à un jour d'intervalle, l'enterrement de l'épouse de l'un, très pratiquant dans la religion juive, et l'autre qui marie sa fille, une référence de la vente de bijoux et diamants à la vie très bling bling. Au delà des 2 frères, le film s'attardera aussi sur les amours de leurs 2 filles. .. Un film de joies, de peines, de différences mais qui tourne un peu en rond n'évitant pas la caricature notamment par le côté judaïque très appuyé de l'un des frères qui du coup n'amène pas de façon subtile le thème de la tolérance. De bons acteurs, Kad Merad en tête et Monica Bellucci son épouse un peu naïve et légère, couple qui heureusement apporte de la légèreté à l'ensemble. Hélas les autres parcours dans le temps et l'espace sont assez ennuyeux et finalement attendus et l'ennui s'installe vite pour un film qui oscille entre comédie romantique et passages plus intimistes et dramatiques mais sans jamais déstabiliser le spectateur et le passionner pour cette mini saga familiale.

Une histoire (une de plus) sur une famille juive que tout oppose chez les deux frères, avec des amours contrariés, ruptures et réconciliations. Bref, si l'aventure au scénario mollasson ne présente guère d'intérêt ni de suspense, et finalement n'inspire pas grand chose, elle se laisse néanmoins suivre avec plaisir grâce à certains de ses acteurs, mais sans passion. Kad Merad est sans surprise excellent, tout comme Eric Elmosmino et Sophie Bonneton qui joue deux rôles ! Danièle Thompson nous avait habitués à mieux par le passé ! Un bide commercial si on songe que pour un budget supérieur à 14 millions d'euros, ce film n'a suscité que 140 000 déplacements de spectateurs en salles !
willycopresto

Au fil des ans, Danièle Thompson, célèbre scénariste de quelques-uns des plus grands succès du cinéma français, souvent réalisés par son père, feu Gérard Oury (« La Grande Vadrouille », « La Folie des grandeurs », « Les Aventures de Rabbi Jacob », « L'As des as »), mais aussi de « La Boum » ou « La Reine Margot », a transformé le film choral en véritable terrain de prédilection. Son leitmotiv. Son terrain de jeu. Son savoir-faire.

Danièle Thompson y dépose, en effet, assez régulièrement son thème phare : la famille et ses turpitudes. Sa filmographie en qualité de réalisatrice en témoigne : « La Bûche » tout d'abord en 1999, puis « Décalage horaire » trois ans plus tard, « Fauteuils d'orchestre » en 2006, « Le Code A Changé » à nouveau trois ans plus tard, et enfin aujourd'hui le kaléidoscopique « Des gens qui s'embrassent ».

Avec « Des gens qui s'embrassent », Danièle Thompson poursuit, sans dépoussiérer le genre, ses engagements avec le sujet chéri de la famille et ses travers. Une famille lambda. Comme celle de tout le monde, y compris la sienne, puisqu'on retrouve ici Christopher Thompson, son propre fils, à la plume du scénario.

Il y a d'abord Roni, interprété par Kad Merad, l'acteur aux deux mimiques, ici indécrottable fêtard au QI zéro. Puis son frère, Zef, incarné avec un peu plus de brio par Eric Elmosnino, austère dans ses convictions religieuses et ses tabous. Tous deux sont juifs, l'un est artiste, l'autre commerçant. Leur père est gâteux et embarrassant. Son interprète, Ivry Gitlis, cabotine à mort. Les épouses, utilitaires et cruches, prennent les visages respectifs de la jolie italienne Monica Bellucci et de la moins belle Valérie Bonneton. Des interactions en dents de scie. Entre le couple bling-bling agaçant formé par Kad Merad & Monica Bellucci et l'horripilant ménage Eric Elmosnino / Valérie Bonneton, cruelles déceptions !

Des situations convenues. Des gags attendus. Une mise en scène très (trop!) théâtrale, marquée péjorativement par une image médiocre avec des séquences qui ne décollent pas. Aucune originalité, aucune envolée. Rien de bien transcendant jusque-là.

C'est plutôt du côté des enfants qu'il faut se tourner pour trouver satisfaction. En priorité vers Lou de Laâge, grand espoir du cinéma français, qui, après avoir donné avec fraîcheur la réplique à Guillaume Canet dans « Jappeloup », tire ici son épingle du jeu, en interprétant avec naïveté et énergie Noga, la fille d'Eric Elmosnino. Autre surprise : le chanteur – humoriste Max Boublil, dont la présence sur grand écran est fort sympathique. Le compositeur à l'origine du tube décalé « Ce soir tu vas prendre » incarne avec panache l'amoureux transi des deux jolies trentenaires du film.

Bilan : Et dire que « Des gens qui s'embrassent », comédie romantico-chorale, a coûté la somme colossale de 14,5 millions d'Euros. De l'argent foutu en l'air. De péripéties cocasses sur le papier (1 mariage et 1 enterrement – après tout, les Anglais l'avaient déjà fait), Danièle Thompson tire un film ennuyeux, creux et à l'humour déficient. Saluons seulement les révélations Lou de Laâge & Max Boublil, qui ne devraient pas tarder à faire reparler d'eux dans les prochains mois.