Avis : Intersections - Page 3

Il vous suffit de lire le pitch, pour comprendre que l'on ne sera pas devant un chef d'oeuvre. LE scénario qui sur quelques plans s'avèrent improbable (ou alors c'est que certaines personnes ont un problème (cf =) la lune de miel^^)). Pour le reste, on ressent ; un petit air ; deja vu. Un groupe de personnes n'ayant aucun lien, qui par un lien de cause à effet ; vont se retrouver à être ensemble et faire un bout de chemin ensemble. Sans parler de leur rencontre plein milieu du désert.... (faut le faire quand même^^). On a deja, plus ou moins vu cela. Pour le reste. LA mise ne scène, la réalisation, le jeu des acteurs ; se montrent correct. Roshchdy Z ne surjoue par exemple, comme j'ai pu le voir parfois. La BA, nous montre (passé la 1ère partie de la BA plus "zen"... Cela en sera d'ailleurs pareil pour le film^^), une deuxième partie ou l'action, le suspens... sera présent à tout va. MAis, là encore ; on est un peu dans le mensonge. Oui, sa déménage un peu. Mais le coté de la BA, ou il nous rajoute des phrases type "SAW" (par là, j'entend ; "vont devoir s'unir pour survivre... et j'en passe). Donc oui, le dernier quart d'heure réhausse un peu la chose, mais n'a absolument rien de révolutionnel. Même si quelques séquences arrivent à se démarquer et cela fait plutôt plaisir. Bref, sa se laisse regarder ; si le genre vous interesse (des décors par l'occasion somptueux). Mais au vue de ce que la bande annonce nous montre, on attend un peu plus. Apres, on est pas dans le navet. Mais surement pas dans le chef d'oeuvre de l'année. Du divertissement regardable, mais qui ne restera pas gravé.

Hahahahahahaha ! Énorme ! Incroyable de voir que le cinéma Francais peut encore nous surprendre et proposer des films aussi ridicules et mauvais avec des ficelles scénaristiques aussi grosses et éculées. Des le point de départ ca sent le ratage : un accident en plein désert. Oui. Vous voyez a peu prêt à quoi ca ressemble un désert ? On se dit qu'on peut rouler tranquille, et ben non, y'a toujours un mini van arrêté derrière une dune avec un pneu crevé, et une voiture garée à coté pour l'aider. Alors quand deux abrutis font la course au milieu de nulle part (a noter un très drôle "mais ralentis et laisse le passer"... heu, c'est le désert, y'a juste 500 km de chaque coté de la voiture pour passer les gars), forcément, ils atterrissent sur les deux seules voitures à 100 km à la ronde, et c'est la cata. Et comme le scénario ne paraissait déjà pas assez ridicule, le scénariste à eu la bonne idée de rajouter un millionaire de la finance en fuite, sa femme, l'amant de sa femme ( spoiler: qui doit tuer le mari sauf qu'en fait le mari est au courant
), un trafiquant de diamants, une voleuse de bébé (!) et un type qui passait là par hasard. Bien sur pour aller avec le fond il faut y mettre la forme, alors vous ajouterez des petits effets de montages pitoyables façon série américaine pour faire plus vrai, et une musique omniprésente. Et histoire de pousser le ridicule jusqu'au bout, des dialogues en anglais, même quand les deux protagonistes sont français (enfin, un marocain francophone et une française). Et je vous passe les rebondissements aussi palpitants et surprenant qu'un sandwich jambon beurre. Bref, du grand n'importe quoi, et du vrai grand mauvais cinéma indigeste. Nul.

excellent thriller franco marocco américain. Casting excellent . Les décors désertiques sont excellent. Pas de temps mort. Chacun joue sa peau. Les critiques sont décevantes car ce film est très bon . Je me suis pas ennuyé une minute .

Ce thriller partait pourtant bien. Dans des décors désertiques somptueux, sur ce paradis sableux isolé de tout, la rencontre entre différents protagonistes au passé obscur et aux ambitions divergentes se retrouvent pris au piège, obligés de coopérer pour le meilleur et pour le pire. Ainsi la première partie du long métrage devient un huit clos relativement passionnant. Mais une fois ce lieu quitté, le long métrage enchaîne une cavalcade de rebondissements plus ou mois crédibles, balancés dans n'importe quel ordre, sans réelle conviction, pour conclure un film rapidement, en tentant d'impressionner le spectateur.

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Intersections débute sur une scène d’action, un accident spectaculaire en plein milieu du désert. Pour « l’apprécier », Il faut passer outre le fait de penser que ce genre d’accident peut arriver en plein désert. Quoiqu’il en soit, c’est tout ce qu’il y a d’intéressant dans ce film, cette scène et les superbes paysages marocains.

Le scénario ne raconte rien et les situations sont abracadabrantes. Les personnages ne sont pas exploités, tout est superficiel et bien souvent caricaturé. Les personnages ont des dialogues à ras des Pâquerettes, enfin à ras du sable … On sent que l’on va découvrir des trucs mais à la fin Ras ou alors j’ai raté quelque chose. Enfin, tout Cà n’aboutit pas à grand chose. Dès que l’on quitte la salle, on oublie le film ou en tous cas on est bien déçu.

Dommage car Roschdy Zem et Marie-Josée Croze annoncés au générique, c’était plutôt sympa.

Intersections déçoit, un rythme inégal, un scénario bancal
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Un scénario aux abonnés absents, avec des dialogues qui frôlent plus d'une fois le ridicule. Que sont allés faire d'excellents acteurs dans cette galère ? Plus on avance dans l'histoire, plus ça fait rire !!! Les pseudos révélations entrecroisées finales sont invraisemblables, même complètement ineptes...

Malgré un scénario un peu chaloupé (réactions étranges de certains personnages), j'ai passé un bon moment, avec un suspense plutôt bien entretenu. Reste un épilogue quelque peu bâclé... Bref, j'ai vu bien pire !

Le Maroc est toujours un aussi beau pays nous sommes d'accord , pour le reste pourquoi ce film qu'essaye t'on de nous dire ou nous faire comprendre grosse grosse déception , pas de metteur en scène pas d'acteurs ni de scénario et encore moins d'histoire , que de la violence gratuite ,aucune émotion ne se dégage des acteurs qui on plutôt l'air de s'ennuyer qu'autre chose alors que tant de films ne trouvent pas de distributeurs ou ne peuvent tout simplement pas se faire pourquoi tant de gachis je suis dans l'incompréhention la plus totale

Nullissime... incompréhensible avec autant d'invraisemblances. On se demande comment Roschdy Zem et Marie-Josée Croze (généralement habiles dans leurs choix) ont pu se retrouver dans ce navet... aux deux titres: "Collision" ou "Intersections"?

Quelques décors sympas mais c'est la seule qualité de ce film, le scénario complètement abracadabrantesque, les dialogues fades et les musiques quelconques ruinent le tout. Roschdy Zem joue assez juste, c'est bien le seul tant le reste du casting manque de talent, mais cela ne parvient pas à sauver le film.

Les trois premiers quarts du film sont vraiment bons, avec un scénario atypique et assez crédible : un accident en plein désert suite à une course improvisée, et puis ça part complètement en vrille dans un dernier quart du film, gâchant tout ce qu'on avait pu voir auparavant, avec un sentiment d'un grand n'importe quoi à la place d'un dénouement bien ficelé. A vouloir trop en faire, on perd en crédibilité. Déjà un accident dans le désert, faut l'accepter, ensuite un meurtrier recherché par un Interpol sur ce lieu, ça commence à faire beaucoup, mais encore ensuite une fin rocambolesque spoiler: avec un meurtre à la clé en pleine ville... là ça ne passe plus
. On se rend compte alors qu'aucun des personnages n'est "banal" avec une vie "banale". Il aurait fallu sans doute supprimer l'histoire de la femme avec le bébé, insérer des gens normaux, et apporter une fin bien plus cohérente entre le millionnaire et sa femme vénale. En l'occurrence, ce couple dans le style "je t'aime moi non plus" interroge sur la santé mentale de la femme autant que de son mari, ou sur la logique du scénariste. Dommage car tout partait bien : le rythme, les dialogues, le splendide décor désertique, et puis rien ne tint ses promesses... cafouillage final trahissant un film sans assises solides.

Roschdy Zem toujours égal à lui-même entraîne ses collègues acteurs qui se distinguent aussi dans un scénario qui se tient globalement mais qui présente cependant quelques failles. Rien qui mérite un blâme car cette histoire dans le désert marocain est relativement dépaysante et nous change des sempiternels quartiers à voyous. Mais comme il s'agit d'une aventure et non point d'un policier, ceci expliquera cela. Certes au milieu de la séance on a l'impression qu'on va s'enliser. Mais ce n'est qu'une mauvaise passe. Finalement un résultat cinématographique correct qui ne laissera pas le spectateur indifférent.

Trop de rebondissements tue le rebondissement. C'est ce qu'on peut se dire après le visionnage de ce film, au scénario tiré par les cheveux et assez invraisemblable. Néanmoins on peut reconnaître un vrai sens du suspense au réalisateur, qui a su mettre une bonne dose de tension à son histoire dont l'issue reste incertaine jusqu'au bout. Les acteurs sont plus ou moins convaincants, dans ce huis clos saharesque, qui se veut hitchcockien mais qui échoue là où le grand maître parvenait à nous emporter.

Un film moyen. Le réalisateur essaie de juxtaposer plusieurs histoires de personnages qui s'entremêlent mais ce n'est pas convaincant et au final même a la filon se dit tout ça pour ça. Une déception.

Le ton n'est pas immédiatement donné, mais après une introduction un peu pénible autour de ce voyage de noces de deux tourtereaux qui ne peuvent manifestement pas se voir, le naturel revient au galop dans le coeur du Sahara. Nous sommes bien en présence d'une production Europacorp typique : des flingues, d'horribles méchants étrangers, des garces, du pognon et des beaux gosses flambeurs. Une énième série B produite par la maison Besson, qui ne fera pas un gros score au box-office mais qui se recyclera avantageusement sur la TNT les soirs d'hiver.

Après un accident (la seule partie bien filmée de la chose), nous sommes donc perdus au milieu du désert avec six personnages, un blessé, et quelques morts. Alors que la rencontre paraitrait fortuite, ils ont tous des choses mystérieuses à cacher, que l'on nous révèle au fur et à mesure. Procédé efficace (en autres, Lost en avait usé avec brio), mais qui repose en grande partie sur l'ambivalence ou la nuance qu'y apportent leurs interprètes. Et à ce petit jeu là, Intersections s'avère beaucoup trop premier degré pour pouvoir prétendre surprendre ou mener avec habileté un petit film policier au tiroir au milieu des dunes.

Résultat : tant que l'on reste dans le désert, cela se maintient gentiment dans le domaine du téléfilm facile et pas très fin, mais pas trop ennuyeux, rythmé par quelques montées d'adrénaline toutes les dix minutes. Mais dès que la petite troupe (ou ce qu'il en reste) s'extrait se son isolement, les coups de théâtre se remettre à pleuvoir de manière totalement artificielle, comme si le scénariste voulait à tout prix nous prouver qu'il a été plus malin que nous en assemblant les pièces du puzzle. Peine perdue, l'ensemble étant totalement invraisemblable, et dénué de talent à tous les étages, sauf peut-être Roschdy Zem qui surnage grâce à son habituelle charisme.

Seule satisfaction, ce petit truc reste légèrement au dessus de la moyenne de la maison, qui distribue des bouses au kilomètres comme on produirait de la saucisse un jour de foire. Et ceci malgré une dernière boucle scénaristique assez dégueulasse (autre tradition maison), qui nous laisse en plan avec une fin ridicule en plus d'être indigeste.
Finalement, c'est Jean Patrick Capdevielle qui avait raison. Quand t'es dans le désert, depuis trop longtemps,Tu t'demandes à qui ça sert.
Sur le coup, la question mérite d'être posée.

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