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    Vandal
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Vandal" et de son tournage !

    Génèse du projet

    Le metteur en scène Hélier Cisterne explique comment est né le projet : "Je voulais faire le portrait d’un adolescent, et incarner à travers lui l’expérience étrange et insolite de cet âge écartelé entre les univers familiaux, amicaux et amoureux que l’on sait être les espaces de toutes les confrontations. La scolarité aussi, qui est alors tendue par l’angoisse des choix d’orientation et d’avenir. Loin de l’insouciance, cette période est pourtant encore traversée par des fantasmes et des aspirations qui subliment le quotidien. Je tenais à cette dimension romanesque et lyrique propre à l’adolescence que j’avais déjà abordée dans mes courts métrages, déjà produits par Justin Taurand."

    Fenêtre sur courts

    Vandal est le premire long métrage du réalisateur Hélier Cisterne qui s'était déjà exercé sur plusieurs courts métrages dont Les Paradis perdus (2008) pour lequel il avait reçu le Prix Jean Vigo et une nomination au César du meilleur court métrage.

    Ils font le mur

    Pour créer les graffitis du personnage de Vandal, le réalisateur a fait appel à l'un des artistes français les plus reconnus dans le milieu, Lokiss, qui oeuvre en tant que graffeur depuis les années 80. Il a également eu recours à Pisco Logik et Orka, du collectif El Cartel, afin de créer les autres graffitis et de coacher les jeunes comédiens du film jouant les graffeurs.

    Les chevaliers noirs

    Lorsqu'on lui demande pourquoi avoir choisi l'univers des graffeurs pour son premier long métrage, le réalisateur Hélier Cisterne avoue sa fascination et fait un rapprochement avec un autre univers : "Le graffiti témoigne de manière absolument sincère et brute de la jeunesse d’une époque. (...) Assez naturellement, avec Nicolas Journet, l’un des co-scénaristes, nous sommes arrivés à la figure du graffeur qui, comme un super-héros, hante la ville sous un nom d’emprunt et agit souvent masqué pour ne pas être identifié. Ce lien est cultivé par certains graffeurs eux-mêmes, qui cherchent à repousser leurs limites, à affermir leurs pouvoirs en dessinant sur des murs à priori inaccessibles."

    Dans l'ombre...

    Le monde des graffeurs étant essentiellement nocturne, l'équipe a très souvent tourné de nuit : "L’esthétique du graffiti, qui est une pratique très nocturne, a beaucoup nourri le travail sur l’image. Le livre BLACK FLASHES de Ruedione a été un de nos repères sur ce sujet. Avec Hichame Alaouié, le chef opérateur, on a travaillé la matière de la HD en cassant sa capacité à sur-définir et à tout rendre clair, on voulait revenir à quelque chose de plus primitif dans ces espaces", explique Hélier Cisterne.

    Jeunes premiers et anciens rodés

    Le réalisateur Hélier Cisterne a tenu à faire un casting sauvage avec la directrice du casting, Cynthia Arra. Mais uniquement pour les adolescents du film afin de contraster avec les adultes qui sont, quant à eux, des comédiens reconnus, Marina Foïs et Ramzy Bedia en tête. La directrice du casting a également suivi les jeunes premiers tout au long du tournage en tant que coach d'acting.

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