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    Les Rayures du zèbre
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    147 critiques spectateurs

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    SFerrante
    SFerrante

    24 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Très touché par ce film qui l traite d'un sujet grave : L'europe ou le supposé "eldorado" pour le peuple africain.
    Poelvoorde extra, on le sent touché et investi dans ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 juin 2014
    Plutôt fin et bien mené, ce film offre un regard sans concession ni condescendance sur deux univers très différents et sur les coulisses du sport. Les comédiens sont particulièrement bons.
    FaRem
    FaRem

    7 511 abonnés 8 874 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Un film sur l'univers du foot et plus particulièrement sur les recruteurs qui voyagent dans le monde entier à la recherche de la future grande star et plus particulièrement ici en Cote d'Ivoire. Je n'ai pas vu le film "Le crocodile du Botswanga" mais le thème est un peu le même sauf qu'ici on est pas dans une comédie mais dans un drame. C'est un bon petit film mais qui a tendance à se perdre à multiplier les histoires surtout qu'il ne dure que 1h15, la relation qui s'installe entre le recruteur et son poulain est intéressante mais comme toute le reste pas assez exploitée. La partie faite à Abidjan aurait aussi méritée un traitement plus profond pour voir comment le recrutement est fait et quel point c'est une question de survie pour les jeunes et leurs familles. Benoit Poelvoorde est vraiment très bon, joue très juste et n'en fait pas des caisses comme souvent.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 juin 2014
    Un scénario qui s'inscrit dans l'actualité, en cette période de coupe du monde 2014. Le scénario suit donc l'histoire de ce découvreur de talent qui a trouvé sa perle et va l’emmener avec lui jusqu'en Europe pour le faire intégrer les plus grands clubs. L'histoire nous dévoile l'envers du décor du monde footballistique avec le chemin emprunté par ces grandes stars africaines. Nous avons un aperçu de la vie de ces jeunes garçons qui grandissent dans un environnement de pauvreté, d'insalubrité et de prostitution. Puis s'en suit le parachutage de ces derniers dans le monde des paillettes et de l'argent facile, mais toujours chaperonné par le blanc bienfaiteur. Chose étonnante, malgré que le film soit court, du moins le temps passe vite, on s'ennuie beaucoup, probablement du au rythme très lent. Cependant c'est rattrapé par un sujet intéressant et une envie du spectateur de voir la fin. Benoît Poelvoorde ne dénote pas mais ne transporte pas non plus le film, il apporte cette petite touche humoristique à la fois dérangeante mais légère.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 juin 2014
    Pas un chef d'oeuvre c'est sur, mais un bon film qui se regarde avec plaisir. Et ouf ! Cela devient si rare.
    B. Poelvoorde est excellent dans son personnage "brut de fonderie" et l'ambiance Africaine semble juste.
    Ciné2909
    Ciné2909

    65 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mai 2014
    Qu’on se rassure tout de suite, pas besoin d’être un grand passionné du ballon rond pour apprécier Les rayures du zèbre. Ici on s’intéresse surtout aux coulisses et notamment au rôle prépondérant du recruteur incarné par Benoit Poelvoorde ayant son terrain de chasse en Afrique connu pour être un vivier de jeunes footballeurs talentueux. C’est l’occasion de découvrir un monde cruel où les joueurs sont surtout considérés comme de vulgaires marchandises avec tout de même quelques notes d’humour. Pas grand-chose à retenir de ce film ; un portrait acerbe mais quand même pas appuyé suffisamment pour marquer l’esprit des spectateurs si bien qu’on finira par l’oublier assez vite.
    Franck R.
    Franck R.

    33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2014
    L'Europe du foot et du fricl... l'Afrique et ses contradictions... A voir c,est excellent !
    Yves G.
    Yves G.

    1 305 abonnés 3 308 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mars 2014
    A deux semaines d'intervalle sont sortis deux films aux sujets très proches.
    "Le crocodile du Botswanga" - dont j'ai déjà parlé ici - se moquait des turpitudes d'une dictature africaine post-coloniale. "Les rayures du zèbre" évoque celles du foot business.
    Le premier est une farce, efficace mais parfois un peu grasse. Le second une comédie moins drôle mais plus subtile.
    Benoît Poelvoorde y joue le rôle de José, un entraîneur en fin de carrière recyclé dans le recrutement de jeunes talents africains.
    Il passe une semaine par mois en Côte d'Ivoire à la rechercher de la perle rare.
    Sitôt atterri à Abidjan, il adopte les travers des petits blancs, queutard et raciste. Il repère Yaya, un génie du ballon rond.

    Le rôle est taillé sur mesure pour Poelvoorde qui s'y glisse avec délectation. Il n'est jamais aussi bon que dans la beauferie et la provocation : son explication des motifs de l'insuccès du Sénégal à la Coupe du monde de 2002 est hilarante.
    Pour le meilleur et pour le pire, la comédie de Benoît Mariage bifurque ensuite vers le réalisme social en suivant Yaya en Wallonie. Sous la neige, le jeune Ivoirien se frotte aux footballeurs belges. C'était le sujet d'un film français passé inaperçu : "Comme un lion" de Samuel Colardey. On sent que ses espoirs seront déçus, que la fin sera tragique. Le drame survient au moment où on l'attend le moins. Le rire se fige.

    Loin de bégayer, "Le crocodile du Botswanga" et "Les rayures du zèbre" méritent d'être vus tous les deux. Car l'un et l'autre portent un regard très juste sur la relation compliquée qu'entretiennent l'Europe et ses anciennes colonies.
    Olivier Barlet
    Olivier Barlet

    267 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2014
    malgré le drame qui va se jouer, le film ne joue pas la corde de la dénonciation mais se rattache plutôt à la comédie à l'italienne qu'affectionne le réalisateur : il ne pousse pas la satire au-delà de l'indulgence. C'est là que le film trouve sa justesse et que sa description fait mouche, ouvrant à l'émotion sur la fin.
    Torrance1980
    Torrance1980

    15 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mars 2014
    "les Rayures du zèbre" a été pour moi une déception. Le film est totalement vide d'un point de vue aussi bien scénaristique, que dans la touche d'humour noir qu'il tente de transmettre par le biais d'un accent bruxellois plus que barbant. Poelvoorde est totalement inégale à ce qu'il nous avait habitué dans son registre comique d'auparavant. L'acteur s'engage dans un rôle totalement saugrenu et surjoue en atteignant à certains moments la caricature la plus grossière; est-ce réellement voulu? L'humour est quant à lui, exagéré et tellement mal dosé qu'il en arrive même après seulement 20 minutes, à lasser et paraître même fort grossier. La profondeur du scénario, ainsi que son développement paraissent aussi pâle qu'un cachet d'aspirine et le manque d'inspiration se fait cruellement ressentir par le traitement assez maladroit des personnages secondaires. La durée assez courte du film ne fait qu'augmenter le sentiment d'oeuvre inachevée et creuse, qui méritait un meilleur sort. Le sujet fort intéressant, et le cynisme du personnage principale aurait tellement pu apporter en épaisseur scénaristique, et pimenter une pincée d'humour "grinçant-dent" politico-incorrecte et un brin socialiste, il n'en est rien. Malgré ces défauts, le métrage n'est pas dépourvu de qualité, tant dans dans sa forme, que dans son contenu. Même si c'est assez pauvre, et assez vide, le paroxysme socio-politique émincé dans le film de Mariage est un bon point. Il est traité de façon réaliste, et somme toute honnête,sans tomber dans une débâcle mélo-dramatique, favorisant le cinéma du réel plutôt que la recette purement émotionnelle. L'univers, le monde de football apparaissent comme étant un "marché humain", grossièrement parlant évidemment. Mais cela pose les bases d'une face qui était, pour certains peut-être, encore mal éclaircie, et qui demandait des explications claires et précises. La deuxième partie du long métrage revend exactement les défauts et les qualités de la première. Arborant toujours d'une manière assez ponctuelle le côté démonstratif du business footbalistique, certains types de scènes qui n'étaient pas présent lors du premier acte viennent chambouler le côté un peu trop froid, un peu trop carré du film, pour apporter une pointe d'humour (bien plus inspirée et recherchée) et d'émotions qui n'avaient pas encore montré le bout de leur nez. Se concentrant sur le côté formelle de l'intrigue, Mariage intéresse et intrigue grâce à sa documentation plus que complète du sujet ( cela est dû très certainement à sa formation de documentariste) et rend le tout finalement assez plaisant. Pour terminer, le côté expéditif du film n'empêche pas de compromettre le développement relationnel des personnages entre eux, cela permettant de mieux cerner cette relation si particulière qu'ont ces agents et recruteurs européens dépourvus sur le plan émotionnel et humain, complètement ravagés par l'envie de dénicher la perle rare et ces africains rêveurs et naïfs dont la gentillesse et l'hospitalité ne sont plus à prouver. "les Rayures du zèbres" s'annonçait comme étant une comédie noir politiquement incorrecte, finalement on n'en ressort avec une comédie raté, mais qui a le mérite d'être intéressante pour ce qu'elle raconte, et pour les différents messages que son auteur souhaite transmettre. Dommage, cela pouvait aboutir sur mieux.
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2014
    Benoît Poelvoorde est un homme paradoxal, et c'est peut-être pour cela qu'il est le meilleur de tous. Cet acteur déteste le sport et pourtant, il a arpenté les montagnes dans Les Randonneurs, fait des longueurs dans Rire et Châtiment, et monté en selle pour Le Vélo. Aujourd'hui, il regarde les jeunes africains taper dans un ballon pour dénicher la perle rare et la ramener en Europe. Bref, c'est un chasseur de têtes.

    Comment pourrait-on vraiment définir Les Rayures du Zèbre ? Est-ce un film sur le football ? Légèrement, car le film dénonce l'affreuse concurrence qu'il peut y avoir entre de jeunes joueurs et où les désillusions sont nombreuses. Benoît Mariage ne rend cependant pas du tout hommage au sport, en filmant de manière brouillonne et peu appliquée (mouvements brutaux de caméra, tâche sur le cadre), de sorte que le spectateur ne comprend pas tout ce qui se passe sur le terrain.

    Est-ce une comédie ? Un peu plus et notamment dans la première partie du film. Poelvoorde y est comme à son habitude quand il s'inscrit dans un genre comique : beauf, grande gueule, attachant, bref en grande forme. Mais cela ne prend qu'un temps et les blagues se font plus rares, les situations plus lourdes, jusqu'à ce que l'ennui s'empare de nous.

    Est-ce alors un film politique ? C'est finalement ce qui s'en rapproche le plus, avec une critique sur l'esclavagisme moderne, où les européens se servent de la misère africaine pour faire leur richesse. Si cela peut sembler caricatural, cette réflexion marche plutôt bien dans le récit grâce à certaines lignes de dialogues bien écrites et un Poelvoorde convainquant. Dommage d'ailleurs que le réalisateur perde de vue cet objectif pour s'égarer dans des pistes scénaristiques secondaires inutiles, ne menant nulle part.

    Cette analyse ne va pas donc pas plus en profondeur et est vite remplacée par une fin totalement hors-sujet et incompréhensible. Mélanger les genres au cinéma est une excellente idée, mais encore faut-il aller jusqu'au bout de sa démarche artistique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 février 2014
    Film original qui fait réfléchir, c'est drôle, c'est triste, les acteurs sont parfait, ça manque peut-être un peu de profondeur pour qu'on s'attache complètement mais bon film social.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 février 2014
    Ce n'est pas qu'une comédie ! Les personnages ne sont pas forcément sympathiques : une bande de losers qui jouent les fortiches, un milieu footballistique terrifiant, une Afrique désespérante et désespérée ; la description de tout ça n'est pas réjouissante. J'aime bien la fin un peu plus optimiste que le début. Malgré l'absurdité de ce monde de fous, le recruteur joué par Benoît Poelvoorde devient plus humain et semble choisir de rester en Afrique et d'accepter de fonder une famille. Cela m'a bien plu. Le film a sans doute du mal à trouver son public.
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    22 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2014
    Comédie grinçante qui sait rester juste dans la critique, pas facile, de ces rapports de dépendance sportive entre le Nord et le Sud, entre néo-colonialisme économique et tiers-mondisme idéaliste. Beaucoup d'humanité toutefois dans le propos, qui donne une touche très émotive sur la fin. Une réalisation exempte de tout reproche et qui a su faire donner le meilleur des acteurs. B. POELVOORDE confirme tout son talent en dehors du comique, en se montrant juste et sensible. Et puis, on rit beaucoup tant le cocasse des scènes le dispute à l'absurde des situations ! A voir sans retenue.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 février 2014
    Si par sa qualité de jeu Benoît Poelvoorde arrive une nouvelle fois à rendre attachant et drôle un personnage de prime abord peu fréquentable, le réalisateur semble s'être trop reposé sur le talent de son camarade : certaines thématiques du sujet comme le déracinement ou la dépendance vis à vis de la famille restée en Afrique sont survolés plus que traités (contrairement au film "comme un lion" par exemple) et son virage de la comédie au drame est mal négocié à travers une sortie de route plus ridicule qu'émouvante mais heureusement désamorcée à la toute fin, permettant de sortir de la salle sur une plutôt bonne impression.
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