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Hollywood-Biographer
176 abonnés
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2,0
Publiée le 26 mars 2020
Deux ans après le très satisfaisant "10 Cloverfield Lane", la saga revient avec un troisième volet souffrant de nombreuses incohérences et d'une direction d'acteur semblable à celle d'un mauvais téléfilm. L'idée même d'un casting multi-cuturel ne pouvait pas empêcher l'apparition de clichés ayant la peau dure. "The Cloverfield Paradox" ne parvient pas à reproduire aussi efficacement le huis clos anxiogène de son prédécesseur. C'est dommage car l'idée de développer cette nouvelle histoire dans l'espace promettait de belles choses. Malheureusement, la plupart des scènes nuisent grandement à l'intrigue et donnent une sensation de déjà-vu. De trop nombreux dialogues houleux et interminables viennent gâcher le rapport avec les précédents films. Il faut vraiment attendre la scène finale pour comprendre le rapport avec la saga "Cloverfield", ce qui est très frustrant.
A près l'excellent The cloverfield lane, je me suis réjouis du prochain. Naïvement j'ai cru à une suite mais la déception fut lourde. Se servir de ce titre comme une franchise, croyant que les fans du premier tomberaient dans le panneau étaient une grosse erreur! Scénario mauvais voir brouillon, peu d'action mais des torrents de dialogues Des acteurs très moyens et caricaturés, une réalisation qui fait penser à un téléfilm au maigre moyens financiers, ça sent le cheap tout ça, il n'y a qu'à voir les costumes.Quelques bonnes idées en milieu de film pour démontrer ce fameux paradox mais c'est court et ça s'essouffle vite. La fin est de très mauvaise facture, on frôle le nanard, une bien grosse déception à la vue du titre emprunté !!
Sans me rappeler très bien les "vrais" Cloverfield de cinéma, on a un film de bonne facture même si le côté surnaturel ne mène (toujours) nulle part au niveau du scénario
La terre manque d'énergie et la station Cloverfield va tenter une expérience avec un accélérateur à particules pour pouvoir obtenir de l'énergie en grande quantité, cela à condition que tout fonctionne. Seulement l'expérience va faire passer dans un univers parallèle et des phénomènes étranges vont s'y dérouler. Je ne peux pas dire avoir réussi à adhérer à cette histoire parce que je n'ai pas vraiment aimé les personnages. Les effets spéciaux sont toutefois plutôt bons.
Rien de bien époustouflant de la part de cette grosse production Netflix. La suite de la saga Cloverfield ( dont les liens sont anodins et sans véritables intérêt ) s'enlise dans un scénario très vite devinable. Dès que le risque de mondes parallèles peuvent se "mélanger" est cité, le scénario devient prévisible.
Trois scènes se voulant "choc" permettent d'étaler un suspense trop fragile sur la longueur du film. Et la réflexion de l’héroïne envers ses enfants et intéressante mais ne parvient pas a rendre le film si original.
Un scénario qui se devine trop vite, des personnages pas assez développés ( problèmes récurrents ) et pas vraiment de grandes scènes charismatiques pour sauver le tout.
Cloverfield paradox fait triste mine face aux deux films précédents de la saga , originaux et bien plus intense.
The Cloverfield paradox aurait pu être un bon film de Science-fiction, mais l’on a voulu le raccrocher à la saga Cloverfield. Ce film n’apporte rien de nouveau à ce que l’on sait déjà avec les deux précédents films et l’on se retrouve avec un film de science-fiction basique, ultra formaté et qui a du mal à être original.
Après une première suite injustement boudée, la sage revient dans un style radicalement différent. A l'affiche, quelques têtes bien connues, tentant d'emblée de nous rassurer. Les premières images ne sont pas vilaines, bref, le métrage démarre tranquillement et attise la curiosité. Malheureusement, comme dans nombre de projets, la faiblesse indigne du scénario finira par écraser le film de ses défauts. En 2018, on ne devrait plus tolérer les scènes de sacrifice héroïque, de traîtres dans des situations extrêmes, de tentatives par des liens familiaux tirés par les cheveux de créer de l'émotion artificielle, etc... Côté cliché, on a ce qu'il faut, sans oublier la rivalité entre un allemand et un russe, la scène obligatoire en extérieure sans le moindre intérêt, et quelques incohérences terribles qui nous sortent sans cesse de l'univers. L'ennui n'est de plus jamais loin, les scène sur Terre (obligatoire pour rapprocher le film de sa saga) coupent totalement le rythme et n'apportent pas grand chose au contenu, sans parler d'une scène finale, certes spectaculaire, mais qui vous fera hurler de colère, car c'était bien ça que l'on voulait voir dès le début, mais pas le temps d'une demi-seconde. Quel échec critique !
Si le titre et la dernière scène ne nous donnait pas l'info, pas grand monde ne pourrait rattacher ce film au cultissime Cloverfield 1er du nom...De ce que j'ai pu lire sur internet, et de ce que j'en ai compris, JJ ABrams et ses copains avaient un scénario et se sont dit "Qu'est ce qu'on pourrait faire pour le rattacher à la franchise Cloverfield? C'est bien dommage...le film se laisse certes regarder, avec des faux airs de Sunshine et Life...rien de bien nouveau à la franchise, et un film au final plus que passable
Étrange chose qu'est la série Cloverfield. Aucun des films ne se suit vraiment et à part quelques éléments il serait même impossible de déterminé si il s'agit du même univers. Comme a chaque fois le type de film change, puisque après le film de Kaiju en found footage et le film en huit clôt, on passe ici au film spatiale sf. Alors certes il y a un peu de huit clôt également mais très mal exploité. Le film est clairement maladroit et trop sage pour ses ambitions. Il y a de l'idée, notamment dans les thèmes exploités commespoiler: la fin des ressources sur terre mais au final il s'agit d'un petit slasher sans grand intérêt.
Un film continuellement oppressant (c'est ici un compliment), avec une double action, sur terre, et dans le vaisseau censé sauver la terre. C'est dans ce vaisseau qu'il finit par se passer des choses étranges, alors que pendant ce temps sur terre c'est de plus en plus le chaos. Il ne s'agit pas d'une suite à proprement parlé de 10 Cloverfiled Lane, mais il y a une similitude avec ce qui se passe sur terre. Je ne me suis en tout cas pas ennuyé devant ce film d'action galactique.
On est inondé de pub à l'heure actuelle pour ce film, troisième de la saga "Cloverfield", et pour ne pas changer on est toujours aussi paumé. Après un premier film catastrophe en found-footage, suivi d'un thriller en huis-clos, on a cette fois-ci droit à une expédition spatiale "Alien-like" en huis-clos également du coup. On a le sentiment que le budget progresse mais les films s'inscrivent dans des genres tellement différents et semblent tellement indépendants les uns des autres qu'on a du mal à les considérer comme un tout faisant partie d'une même saga. Et si on le juge individuellement, "The Cloverfield Paradox" a une base intéressante, un vaisseau spatial traverse l'espace-temps pour rejoindre une autre dimension où chacun des membres de l'équipage découvrent avoir une existence différente et que ce nouveau monde pourrait être leur eldorado. Mais en traversant le portail, un nouveau membre débarque dans l'équipage et vient semer le doute. On est un peu dans une sous-production d'Alien où on a pas besoin d'extra-terrestres pour créer la tension, mais où la psychologie des personnages est mise en doute, sentiment renforcé par l'enfermement. Pris seul, ce film tient la route sans être une révolution, mais son enjeu, ramené à celui de la saga, est finalement assez faible. Comme pour le second volet, la fin permet de faire le lien avec le premier, mais on a vraiment le sentiment d'avoir à chaque fois des points de vue différents d'un projet global dont on ne verra peut-être jamais le dénouement, ou dieu sait sur quel support.
Un film qui s'inspire de beaucoup d'autres. A voir pour passer le temps. Pas extraordinaire. Plutôt cliché donc. Quelques trouvailles visuelles. C'est tout.
Très, très mauvais. Dès la fin du générique de début on sait qu'il s'agit d'un gros navet. C'est pénible d'aller au bout de cette horreur, mais nous y sommes parvenus rien que pour compter les inepties débitées durant une heure quarante. Une bonne soixantaine de crétineries sorties d'un esprit inculte, voire analphabète, en tout cas qui n'a jamais ouvert un livre de physique. Les mauvais scénaristes ne peuvent s'empêcher d'embaucher des monstres dans leurs délires, mais ici on atteint des sommets. Un conseil, fuyez.
The cloverfield Paradox laisse perplexe. Comment il est possible de rater autant un film avec un sujet aussi riche ? Pendant un long moment, on attend l'action, puis certaines scènes n'ont aucun bon sens ou sont sans aucun intérêt. Les scènes sur terre sont complètement vides. La fin est complètement bancale.
Tu m'étonnes ma poule que la Paramount a préféré refourguer sa daube à Netflix plutôt que la sortir sur grand écran. À coup sûr que les distributeurs avaient senti, en plus du manque d'argent à se faire sur la licence, la qualité déplorable du machin qui n'avait absolument rien à faire au cinéma. Là où les deux premiers Cloverfield, malgré leurs failles, avaient été d'agréables surprises qui se tenaient bien par rapport à leur idée de départ (un found-footage pour l'un, un huis-clos pour l'autre), ce survival dans l'espace n'est qu'un étalage d'absurdités (admirez un équipage si bien préparé que l'un des membres est incapable de prononcer un seul mot anglais après deux ans de cohabitation et que deux d'entre eux sont instables) et de plagiats honteux d'à peu près tout ce qui touche à la S-F (2001, Alien, Interstellar, Prometheus). Immensément stupide et ne servant que du réchauffé, The Cloverfield Paradox ne parvient pas non plus à être consistant dans sa narration, tout le temps entrecoupée de phases sur Terre qui viennent démolir l'intention de désorientation aussi bien spatiale que temporelle, sa réalisation est tricheuse (tous ces gros plans aléatoires sur les visages des personnages pour faire croire qu'ils sont aussi importants l'un que l'autre alors qu'ils restent bouche bée comme des nigauds sur 95% des images), ses visuels moches comme tout (cette lumière...), sa photo trop polie et son propos simplifié au niveau maternelle. Que diable s'est-il passé pour qu'une franchise jusque là intrigante arrive à peine à la cheville d'un DTV?