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    Un été en Louisiane
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    Damien S
    Damien S

    24 abonnés 368 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2023
    Mais que ce film mériterait d'être remis sur un piédestal. Voilà un drame où l'on laisse le temps aux personnages de s'installer, où l'on laisse les visages exprimer les émotions. Mulligan sait filmer et nous le prouve. Les paysages, les différents plans sur chaque personnage sont bien pensés.
    L'histoire par ailleurs est simple mais efficace. Deux soeurs tombent amoureuses du même garçon, un bel été en Louisiane.
    bladgik
    bladgik

    82 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2023
    Ça se regarde mais pour ma part j'ai trouvé l'ensemble un peu fade ... un peu lent dommage, la musique est belle mais c'est un peu pathos parfois ...
    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2022
    Belle histoire bien ficelée et rendue par les acteurs. Très mignon et paradisiaque. Mais le mec n'est que de passage.
    Dourvac'h
    Dourvac'h

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 novembre 2021
    "The Man in the Moon" / "Un été en Louisiane" [1991] est décidément l'un des plus beaux films du new-yorkais Robert MULLIGAN (1925-2008)... et fut malheureusement son dernier. On y retrouvera la patte d'un solide artisan et toute la magie mélancolique déjà présentes, successivement, dans : "To kill a Mockingbird" / "Du Silence et des ombres" [1957] (adapté de "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur", ce beau Classique de Mrs Harper Lee), "The Stalking Moon"/L'Homme sauvage" [1969] (un des meilleurs rôles pour Gregory Peck, à la mesure du précédent), "Summer of 42"/"Un été 42" [1971] (modeste et inoubliable "love story" adolescente, d'après un roman de Hermann Raucher, magnifiée par la partition de Michel Legrand), "The Other"/ "L'Autre" [1972] (chef d'oeuvre gothique situé dans les années 1920, d'après le roman psychologique de Thomas Tryon, Classique moderne lui aussi... ) puis "The Nickel Ride" [1974] (une histoire très nostalgique d'un caïd perdant pied dans son "Milieu" new-yorkais)... Une sorte de quintessence de ces cinq films, au fond ! L'apparition solaire de la jeune Reese Witherspoon en ado râleuse (mâcheuse de chewing-gum, de surcroît) lancera la carrière de la future actrice de "Walk the Line" [2005] de James Mangold et de "Water for Elephants" / "De l'eau pour les éléphants" [2011] de Francis LAWRENCE. Et ce "The Man in the Moon" de conte de fées, au fait ? C'est beau, tendre et inspiré, tragique aussi... La mise-en-scène respire le beau classicisme propre à Mulligan, l'harmonie et les lumières dorées des rives de rivière... Bon, puisque je vois que ces damnés humanoïdes ou autres autres robots-modérateurs de "Allo Ciné" n'arrivent point à valider mes deux critiques "pro-mulliganiennes" précédentes (coincées en leurs Limbes d'éternelle "attente de publication") concernant "The Other" et de "The Nickel Ride" (ces deux autres chefs d'oeuvre de Mulligan), m'en vas immédiatement vous les reproduire ICI-MEME, eh tiens !!! :-) //// [1°] "The Other"/"L'Autre" [1972] de Robert MULLIGAN est assurément un très, très grand film. Disons qu'il est - au moins - l'égal du "Nosferatu" [1922] de Friedrich-Wilhelm MURNAU, de "Cat People"/La Féline" [1942] et de "I walked with a zombie"/"Vaudou" [1943] de Jacques TOURNEUR, de "The Night of the Hunter"/"La Nuit du Chasseur" [1955] de Charles LAUGHTON, de "Psycho"/"Psychose" [1960] d'Alfred HITCHCOCK (en les transcendant presque tous) - et annonce aussi bien le remarquable "Halloween"/"La Nuit des Masques" [1978] de John CARPENTER, le très subtil "A Tale of Two Sisters/"2 soeurs" [2003] de Kim JEE-WOON, le renversant "Get Out" [2007],de Jordan PEELE, le troublant "It Follows" [2014] de David Robert MITCHELL, voire même l'inoubliable "Joker" [2019] de Todd PHILLIPS - à la plasticité d'un classicisme innovateur, tout pareillement inoubliable. Car l'aspect artistique n'est pas pour rien dans la réussite de "The Other" : Mulligan était d'abord un formidable directeur d'acteurs (et on se souvient de son trio de gamins dans son "Du silence et des ombres"), son directeur photographique Robert L. Surtees a livré des images aux tonalités tour-à-tour estivales (bucolique solaire) et "gothique" (on note l'utilisation somptueuse des complémentaires jaune et bleue dans "The Other" en 1972 ; viendra le règne des oranges et des verts dans le "Joker" de 2017), séquences soleil/ténèbres parfaitement articulées et d'un impact redoutable ; le scénario de Thomas TRYON tiré de son propre roman est d'une stupéfiante audace ; ajoutons-y la partition sifflée puis orchestrale de Jimmy Goldsmith qui résonne dans notre souvenir tout comme l'harmonica de la b.o. d'Ennio Morricone pour "Il était une fois dans l'Ouest" de Sergio LEONE. Les jumeaux Chris et Martin Udvarnoky furent des acteurs enfants exceptionnels, Uta Hagen en maîtresse du "Great Game" a une présence exceptionnelle, Diana Muldaur restera à jamais cette mère au regard perdu... "L'Autre" est entièrement baigné d'un clair obscur digne des toiles des frères Le Nain. Mulligan fut un Maître... Un artiste dont la modestie, le savoir-faire et l'éclectisme ont produit une Oeuvre solide par sa forte cohérence thématique (abyssales ambigüités de cette grande énigme qu'est l'être humain) mais aussi très inégale (citons "Inside Daisy Clover" [1965], qui a particulièrement mal vieilli - exemple de partiel ratage sans doute dû au jeu très "daté" de l'actrice Natalie Wood surjouant l'adolescence et visiblement laissée ici en roue libre par son réalisateur... ). On se souviendra d'abord de "To kill a Mockingbird"/"Du silence et des ombres" [1957] : à la fois film majeur et très brillante adaptation du chef d'oeuvre romanesque de Harper LEE... On évoquera aussi "The Stalking Moon" /"L'Homme sauvage" [1968], western profondément original mettant en scène l'affrontement entre l'intériorité de ses quatre principaux personnages. On évoquera encore le très méconnu et si crépusculaire "The Nickel Ride" [1973] qui à lui seul annonce les chefs d'oeuvre de Martin SCORSESE ("Taxi Driver"), Francis Ford COPPOLA ("The Godfather", I et II), Abel FERRARA ("King of New York") et Brian DE PALMA ("Scarface")... Enfin, "The Man in the Moon"/"Un été en Louisiane" [1991] sera un nouveau chant du cygne concluant brillamment la carrière de ce réalisateur curieusement oublié du grand public. //// [2°] "The Nickel Ride" [1974] de Robert MULLIGAN est d'abord un très beau souvenir personnel. Il fit suite, dans la carrière du tranquille Mulligan, au terrifiant et troublant "The Other" [1972]. La très simple et pathétique histoire de "L'homme aux clefs", ce personnage régentant les rapports entre la mafia et la police de son quartier de New York... Signalons que ce film crépusculaire méconnu - au climat très nostalgique - semble le frère jumeau de "The Godfather - Part II" [1974] de Francis Ford COPPOLA...et préfigure à la fois le très stylisé "Taxi Driver" [1976] de Martin SCORSESE, le tonitruant "Scarface" [1983] de Brian DE PALMA et les splendeurs visuelles de "King of New York" d'Abel FERRARA [1990] - autant de trajectoires fulgurantes et de destinées tragiques. Cooper exerce paisiblement ses fonctions de "régulateur" sur le fief de ces quelques ruelles familières - là où il a toujours vécu. Sans doute a-t-il fait son temps ? Il ne le sait pas encore... Prenant peu à peu conscience qu'un voyou ricanant - un nommé Turner - le menace. La lutte semble inégale. Ses affidés - lieutenants qu'il considérait comme des "amis" - peu à peu le trahissent. L'ancien monde se fissure et s'écroule sous la pression irrésistible du "renouveau" (que l'on devine bien pire). La séquence se déroulant entre Cooper et sa petite amie Sarah dans une forêt automnale de Nouvelle-Angleterre, comme une oasis, un répit de bonheur avant le drame... La course du Destin, irrésistible : notre "héros" finira dans une poubelle. Rendons grâce ici au formidable Jason Miller, incarnant l'infortuné Cooper - mais aussi à Linda Haynes (Sarah), Victor French (Paddie), John Hillerman (Carl), Bo Hopkins (Turner), Richard Evans (Bobby), Bart Burns (Elias) et Lou Frizzell (Paulie) - tous remarquablement dirigés par Mulligan. "The Nickel Ride" reste ce film en cinémascope de 1 h 50, d'une grande maîtrise formelle (formidable photographie de Jordan Cronenweth !) et scénaristique (bravo à Eric Roth !) qui mériterait amplement - dûment remastérisé - sa résurrection en Blu-Ray/DVD... Rappelons que Robert MULLIGAN a reçu pour ce film en tant que réalisateur pas moins de 4 nominations au Festival de Cannes, cuvée 1974 : "Grand Prix", "Prix du Jury", "Prix du Jury Oecuménique", "Grand Prix International du Festival"...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2021
    Reese Witherspoon joue le rôle de Dani une jeune fille de la campagne qui tombe follement amoureuse de son nouveau voisin de 17 ans joué par Jason London. Court fait tout son possible pour faire comprendre à Dani que la différence d'âge entre eux rendrait une relation amoureuse improbable. Bientôt le charme de Dani commence à l'emporter sur la volonté de Court. Vient ensuite la rencontre de la grande sœur de Dani et le début d'un problème d'amour et de jalousie de courte durée. La grandeur du film réside dans sa description des moments de la vie à la fois beaux et douloureux. Danni finit par marquer son entrée dans le monde lorsqu'elle constate que le monde est injuste, douloureux et peut-être avec un peu moins plein d'espoir qu'au début de l'histoire. Peu de films peuvent vraiment capturer l'émerveillement de l'enfance et la douleur de l'âge adulte aussi parfaitement. J'aimerais seulement que d'autres films comme celui-ci soient réalisés parce que si c'était le cas ma foi en Hollywood serait bien meilleure...
    Alasky
    Alasky

    282 abonnés 3 075 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 avril 2021
    Le seul intérêt de ce film a été pour moi de voir la toute jeune Reese Witherspoon dans son premier rôle au cinéma. Le style téléfilm est trop linéaire, fade, pas assez cativant, dommage. Pas incontournable.
    Nadia T
    Nadia T

    3 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2021
    J'ai aimé ce film pour sa simplicité et sa beauté... Bravo aux acteurs surtout à la jeune Reese 😊je recommande.. 'beaucoup d'émotions...
    Caine78
    Caine78

    5 991 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2019
    Ah, Robert Mulligan... Qu'il serait dommage de limiter ce réalisateur au seul « Été 42 » tant sa carrière fait preuve d'une constante sensibilité, merveilleusement illustrée par « Un été en Louisiane » (merci le titre français, cherchant manifestement à lorgner sur son classique!). Cela pourrait être d'une banalité totale, c'est constamment lumineux, par la délicatesse de la mise en scène et de la photographie, le soin apporté à une reconstitution sobre et légèrement mélancolique... Le cinéaste n'en fait jamais trop, trouvant toujours le ton juste, aussi bien dans les relations familiales qu'amoureuses, filmées avec douceur, faisant de chaque scène, chaque situation un moment touchant, constamment crédibles par l'écriture du scénario et des dialogues. Surtout, au milieu d'un casting impeccable et pour son tout premier rôle, Reese Witherspoon brille de mille feux, espoirs qu'elle confirmera avec la réussite que l'on connaît... On pourra toujours trouver un ou deux détails, une poignée de personnages peu exploités (celui de la mère, notamment), mais l'essentiel est ailleurs, à l'image de ce dénouement ne semblant jamais finir, mais quand on y pense, celui-ci se justifie pleinement, confirmant à nouveau l'extrême finesse de l'auteur pour prendre le temps, affiner les caractères, les relations humaines jusqu'à ce dernier échange ô combien touchant... Rares sont ceux qui auront su filmer les premiers émois amoureux avec autant de ferveur que Robert Mulligan pour ce qui sera son chant du cygne.
    coperhead
    coperhead

    19 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2018
    Un bon petit film classique dans son scénario avec ces deux sœurs amoureuses du même jeune homme qui aura une fin tragique .Ceux ci jouent juste mais le réalisateur a rajouté quelques moments un peu mièvres à mon gout pour que le film soit considéré comme un véritable chef d’œuvre comme certains le dénomme .
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 895 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2013
    Dernier film du cinéaste Robert Mulligan réalisé en 1991 que j'avais découvert petit sur Canal Plus et que je viens de revoir avec plaisir !! Le metteur en scène avait fait beaucoup de films sur l'adolescence dans sa carrière qui avait marqué les esprits des plus jeunes dans ces périodes là. "Un été en Louisiane" se base sur les années 50, période d'Elvis Presley dont est fan l'héroine. L'histoire se passe dans une jolie prairie en Louisiane et les premiers émois amoureuses d'une adolescente de 14 ans dans une relation avec un fermier du voisinage agé lui de 17 ans. Des scènes de campagnes magnifiquement mis en images, la rivière des passions ou ils se retrouvent mais une love story compliqué sur l'age et une grande soeur qui arrive par là. J'aime ce genre de film trés humaniste qui parlent des premiers baisers, des premiers déchirements de ce que la plupart des gens connaissent. Ce long métrage offre aussi le premier role à Reese Witherspoon talentueuse pour son jeune age et les acteurs qui l'entourent sont excellents aussi. A voir.
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mars 2013
    Dernière oeuvre d'un cinéaste qui a su se distinguer par un style qui s'appuie sur la sérénité (parfois qu'apparente !!!) et qui est hors de toutes les modes ; et première apparition au cinéma de l'actrice très mignonne Reese Witherspoon. Le premier a su s'appuyer sur la deuxième qui porte de manière touchante le film sur ses épaules. Le sujet est ultra-classique : le passage psychologique à l'âge adulte, et le scénario l'est aussi ; mais la finesse de la réalisation et le talent de la jeune actrice principale suffisent largement.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2023
    « Un été en Louisiane » est le dernier film de Robert Mulligan, cinéaste humaniste qui avec ce récit de l’éveil à la sexualité de trois adolescents, clôt sa carrière de la plus belle des manières. C’est un ravissement de découvrir la toute jeune Reese Witherspoon dans son premier rôle où elle campe Dani, fille de cultivateur en Louisiane qui lors de l’été de ses quatorze ans va connaître son premier émoi amoureux. Rares sont les réalisateurs qui comme Mulligan savent aussi bien évoquer le monde de l’enfance ou de l’adolescence. Ce thème qui parcourt toute l’œuvre du cinéaste lui aura inspiré ses plus belles œuvres, de « Du silence et des ombres » à « Un été en Louisiane » en passant par « Un été 42 » ou « L’autre ». Sans pathos et de manière très simple le cinéma de Mulligan restitue parfaitement à travers ses trois personnages principaux les différentes étapes de la découverte de l’attirance sexuelle vécue par les deux sexes. A peine sortie de l’enfance, Dani reconnaît aussitôt le sentiment trouble et irrépressible qui l’attire vers Court le fils de la voisine revenue vivre au pays. Même si le spectateur est plus âgé que les deux héros, il peut grâce à la parfaite alchimie concoctée par Mulligan s’identifier aux deux jouvenceaux heureux de se retrouver tous les jours pour un bain dans l’étang qui jouxte la propriété de Court. Il ne se passe pas grand-chose mais le bonheur de Dani est communicatif et suffit à notre bonheur, nous faisant retrouver un peu de ce territoire magique enfoui au fond de notre âme dont le chanteur Jacques Brel était si nostalgique. La petite Dani a de la chance car ses parents aimants sont compréhensifs et n’ont pas oublié qu’ils sont passés par le même chemin. L’ensemble peut paraître un peu idyllique mais il faut se dire que le cinéma n’est peut-être pas condamné à systématiquement nous renvoyer l’image d’un monde corrompu et cynique. Tout concourt à la réussite de cette œuvre ultime et Mulligan semble en totale maîtrise de tous les paramètres de son film, que ce soient les images sublimes de Freddie Francis, par ailleurs cinéaste attitré de la Hammer, la musique harmonieuse de James Newton Howard, le scénario de Jenny Wingfield qui ménage quelques rebondissements dramatiques, ou encore le jeu des acteurs tous portés par la formidable énergie de la jeune Witherspoon qui crève littéralement l’écran. A noter l’apparition de Bentley Mitchum le petit-fils du grand Robert Mitchum, dans le rôle du petit ami empressé de Maureen la grande sœur de Dani.
    Jeanne-Axelle
    Jeanne-Axelle

    4 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Premier rôle de Reese Witherspoon que j'ai trouvé bluffante et sans doute du fait de l'âge une certaine identification qui fait que ce film à marqué mon adolescence. Romance, humour, drame aussi...tout y est pour une comédie dramatique sur les premiers emois amoureux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 août 2012
    Premier rôle de reese witherspoon qui dévoile son talent de future grande actrice. Sinon il s'agit somme toute d'un film classique dans son genre, un peu plat à mon goût, une histoire peu originale mais qui parvient tout de même à nous tenir en haleine jusqu'au bout. 12/20
    insomnia35
    insomnia35

    12 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mars 2012
    Aucune émotion ne transparait dans ce film d’une platitude hébétante. On cherche à nous tirer les larmes par tous les moyens, sans y parvenir une seule fois. Robert Mulligan ne nous offre qu’un énième film sans intérêt. Mis à part Tess Harper et Gail Strickland, aucun acteur n’est crédible. Le tout sonne atrocement faux, et c’est ces dissonances qui empêche le film d’arriver à ses fins.

    Reese Witherspoon, dont c’était la première apparition au cinéma, confirme ce que je pensais d’elle, elle est excellente en pimbêche dans la saga « La Blonde… » mais c’est là le seul répertoire dans lequel elle peut se targuer d’être l’une des meilleures. En revanche, elle n’est pas crédible un instant en jeune fille amoureuse (quoiqu’elle s’en sorte mieux que sa grande sœur…). Ceci n’est pas exclusivement sa faute, mais elle paraît bien trop jeune pour avoir 14 ans, on lui en donne 10 et encore en visant haut. Idem pour le jeune courtisé, sans charisme. On a du mal à imaginer qu’il puisse attirer autant les deux jeunes filles. Dommage, ça aurait pu être une jolie histoire à l’eau de rose, mais c’est raté.

    On ne peut guère espérer faire un bon film, quand on a une telle succession de couac. Il aurait tout fallu changer, de la partition au chef d’orchestre en passant par les musiciens.
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