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    Un beau dimanche
    Note moyenne
    2,7
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    169 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 février 2014
    Et un ratage de plus au compteur ! Le gros problème de Mme Garcia, c'est qu'elle fait des films comme d'autres vont tous les matins au bureau....sans aucune conviction....parce qu'il faut bien bouillir la marmite.
    Ce film n'échappe pas à la règle. Toujours des histoires de famille brouillonnes où on ne voit pas trop où elle veut en venir... Comme les précédents, c'est inconsistant, bricolé...et par conséquent voué inévitablement à l'oubli.
    Faites de test autour de vous: demandez à vos amis de vous citer un seul film de Nicole Garcia. Tout le monde vous répondra qu'elle était actrice dans les années 80 et que depuis, on n'est sans nouvelle. Il ne suffit pas de prendre des acteurs de renom et de les balancer sur un écran dans un scénario approximatif que bien souvent eux-mêmes ne comprennent pas. Et ne parlons pas de la prétendue direction d'acteurs ... Sourire.
    Allez Nicole comme l'inspecteur Gadget, remets ton imper avec la ceinture bouclée et revient à ta place devant la caméra et laisse la place aux pros.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 février 2014
    Mouais... ça se laisse regarder. Ca n'est pas transcendant non plus mais c'est pas mal. Le fils Rochefort joue plutôt bien. C'est bien filmé, il y a une belle image. Allez, une petite moyenne : 3 étoiles sur 5.
    laurence l
    laurence l

    119 abonnés 1 095 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 février 2014
    Dommage je pensais qu'un secret plus fort serait expliqué et rien.... on reste sur sa faim, les personnages sont bien joués mais cela n'est pas suffisant. On effleure le sujet sans aboutir a quelque chose d'attachant dommage
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 février 2014
    Quand un précaire rencontre une autre précaire est-ce que ça peut produire de l’amour durable ? Le film de Nicole Garcia ne le dit pas, mais il montre comme une évidence que deux cœurs tendres sont faits pour s’entendre quand le hasard s’en mêle. Baptiste, instit intérimaire dans le sud-ouest se retrouve à garder un de ses élèves délaissés par son père. Et le jeune Mathias le conduit direct à sa mère, barmaid dans un restau de plage…
    Première partie : Baptiste le mélancolique découvre l’itinéraire chaotique de l’insouciante Sandra. Elle vit au jour le jour et rêve d’exil lointain. En attendant, son projet de reconversion a foiré et elle a une grosse dette… Deuxième partie : Baptiste a son plan pour l’argent. Sandra le regarde faire son retour dans la grande propriété familiale. Les souvenirs remontent : les brillantes études laissaient présager une belle carrière, avant le « burn out », l’internement, la fuite, la rue…
    En additionnant un et deux, Baptiste et Sandra se sont découverts, charmés, aimés. Ils repartiront ensemble en espérant que ça dure. Une belle histoire simple, traitée d’une manière également simple. Mais ça marche, car si la crédibilité de certaines scènes est douteuse, les personnages sont touchants de sincérité. Pierre Rochefort, le fils de Nicole Garcia, en beau ténébreux et l’originale Louise Bourgoin, moins barrée qu’il y paraît.
    Pathé t'es pas fan.
    Pathé t'es pas fan.

    19 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 février 2014
    À l'heure de la crise française, d'une ambiance mélancolique comment France télévision peut sponsoriser un scénario où un riche vit une vie de marginale au lieu d'un château à dix chambres...
    benoitG80
    benoitG80

    3 326 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 février 2014
    "Un beau dimanche" de Nicole Garcia est sans nul doute possible synonyme d'une mauvaise, très mauvaise soirée ! On reste sidéré devant un scénario aussi abracadabrant, où tout est invraisemblable à un point rarement atteint, où on se doute des lieues à l'avance que le héros, Baptiste, instituteur remplaçant, est forcément issu d'une famille bourgeoise très riche, qu'il cache un secret bien enfoui, etc, etc,...
    Alors quand la mère d'un de ses élèves, une complète inconnue qui se trouve plongée dans une sombre histoire de mafieux auxquels elle doit 50000 euros, rencontre notre héros un peu ailleurs, un peu perdu qui sera son sauveur, tout va s'arranger pour elle en seulement 24 heures...
    Tant mieux pour elle ! J'attends toujours une pareille aubaine !
    Et que dire de toutes ces incohérences, comme par exemple, ce directeur d'école qui crée lui même ses ouvertures de classes et recrute seul ses enseignants, comme cet instit qui raccompagne sans casque en scooter un de ses élèves, ce qui est absolument impensable,... !!! Et j'en passe !
    Et que penser de ce père d'élève qui part vendre une Ferrari à Monaco comme si on allait vendre une malheureuse poussette sur une brocante !
    Quel fourre-tout stupide ! Du grand n'importe quoi dans tous les cas !
    Nicole Garcia s'enfonce complètement avec ce film qu'elle a (très mal) fait, uniquement pour offrir un premier rôle à son fils qui joue de manière très quelconque et presque absente, un jeune-homme taiseux mal dans sa peau alors qu'il est accompagné de Louise Bourgoin plutôt potiche et vraiment peu inspirée !
    Les seconds rôles ne valent rien de plus et évoquent le mauvais téléfilm où chacun débite son texte par cœur et surtout trop vite..
    Et justement que penser de ces dialogues creux et insipides ? Comme: "On a refait la piscine, car j'avais besoin de nager !" Et moi alors ? Dire que ma piscine se fait attendre...
    Franchement une honte d'oser proposer un film aussi mauvais, aussi brouillon, qui se voudrait une étude de caractères, de milieu social, ou que sais-je encore ?
    Finalement, c'est un énorme sentiment de colère qui émerge avec l'impression de s'être fait avoir complètement sans qu'aucune petite qualité ou un moindre intérêt n'aient retenu notre attention !
    Tout simplement scandaleux quand on songe en plus à toutes ces critiques plus complaisantes les unes que les autres !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 février 2014
    Ce drame se transforme peu à peu, en étant bien meilleur dans la seconde partie qua dans la première. Mais ça reste tout de même assez moyen, notamment du fait d’un scénario qui manque de finesse et de l’interprétation un peu fade de Pierre Rochefort. Par contre, Dominique Sanda est immense dans ce rôle de matriarche.
    Christoblog
    Christoblog

    749 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2014
    Bien que desservi par une bande-annonce tristounette, qui semble révéler (à tort !) tout le contenu du film, Un beau dimanche vaut vraiment le coup d'être vu.

    Nicole Garcia s'y révèle une.... la suite ici :
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 février 2014
    A voir pour les acteurs Louise Bourgoin et Pierre Rochefort. Sinon, à mon avis, ne présente pas d'intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 février 2014
    Film à part, mêlant sentiments confus. Un homme, instituteur vagabond et cachant visiblement une faille, prend sous son aile une jeune serveuse de plage à problèmes et son enfant (un de ses élèves qui plus est), pour finalement l'emmener dans sa famille de châtelains avec qui il a coupé les ponts. L'idée est intéressante mais la mise en place du scénario déroutante, quelques longueurs sont à noter et les dialogues sont insuffisants à mon goût. Le secret dévoilé de l'acteur m'a laissée quelque peu de marbre sur le moment, même si la confrontation de deux mondes est toujours idée attrayante. La famille du personnage principal, bien que délicieusement caricaturée, m'a aussi laissée perplexe. J'ai eu du mal à m'imaginer comment une telle coupure a pu s'imposer autour d'un choix de vie, la mère est plus qu'étrange et glace le sang... Ce qui est à retenir et justifiant la note du film, c'est l'histoire, encline à réflexion, de cet instituteur ; sa volonté de fuir un monde auquel il ne se sent plus appartenir malgré ses racines, apparaissant alors comme marginal aux yeux de proches ancrés dans les idéaux de leur rang, et de donner sa propre définition du bonheur, loin des pré-requis de son milieu - spoiler: sa différence justifiant alors de façon déplacée et étonnante l'enfermement et l'étiquette abusive de malade psychiatrique.
    C'est aussi la prestation singulière et hypnotisante de Pierre Rochefort, acteur mystérieux au regard envoûtant voir inquiétant (un rôle de sociopathe pourrait tout aussi bien lui coller à la peau sans rien lui ôter de son attrait), à suivre avec intérêt dans le futur afin d'en contempler davantage le jeu. Louise Bourgoin est charmante comme à son habitude, même si peu maquillée et apprêtée, bien qu'à mon avis plus convaincante dans d'autres rôles. Bref, un film construit autour d'une idée sympathique et à l'interprétation délicate, mais qui laissera probablement le spectateur partagé entre réjouissement et déconcertement.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 février 2014
    Clichés sur clichés, on s'ennuie profondément. Des acteurs sans aucun charisme, un scénario faible et invraisemblable, des dialogues inutiles et superficiels.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 février 2014
    Le sujet d'Un beau dimanche, si l'on s'en tient à sa conclusion, serait la rencontre de deux personnages qui, le temps un week-end, quittent le poste ou la fonction qu'ils occupent pour vivre un peu. Mais au lieu de donner à voir cette rencontre, d'en faire l'événement du film, Nicole Garcia et Jacques Fieschi, son coscénariste, ont d'abord créé des types sociaux, visiblement dessinés après relecture de l'intégrale de Pierre Bourdieu. D'où l'impression d'un film très scolaire, où se lit constamment la volonté de montrer ce qui distingue les personnages, qu'il s'agisse de tatouages, de Porsche ou de polos Lacoste. Comme dans "La Vie d'Adèle", "Un beau dimanche" n'existe que par ce qui oppose ses chapitres, très nettement visibles: d'un côté la rencontre entre la serveuse (Louise Bourgoin) et l'instit (Pierre Rochefort), de l'autre les retrouvailles avec la famille bourgeoise de l'instit, qui disqualifient tout ce que le film a construit précédemment. Exclue du cercle bourgeois, où l'on parle d'écoles préparatoires, d'aviron et de questions d'héritage, Sandra la serveuse, va dans la cuisine, où elle replie des nappes. Chacun doit être à sa place.
    Une tel mode de représentation ne serait pas écoeurant si la réalisatrice assumait son point de vue bourgeois mais le film adopte plutôt la "stratégie d'humilité" décrite par Emmanuel Carrère dans "D'autres vies que la mienne", laquelle consiste, comme l'écrit Carrère, à "favoriser le petit" pour flatter sa vanité d'auteur, jouer à être celui qui pose un regard juste sur les gens modestes. Croyant être juste, Nicole Garcia filme donc une nuit d'amour dans un Formule 1, demande à son actrice principale de porter des vêtements immondes et de les salir ensuite en mangeant des écrevisses : on a vu à peu près la même chose dans "La Vie d'Adèle", mais le film de Kechiche arrivait tout de même à organiser la rencontre d'Adèle et d'Emma, tandis qu'à la fin de ce "beau dimanche", on peut se demander ce qui a été partagé par les personnages et le spectateur. Entre une soirée bowling aux alentours de Palavas (où tout dégénère à cause d'un mauvais mélange d'alcool et de médicaments) et un repas plombant chez les bourgeois (conçu évidemment comme un moment de catharsis), ce dimanche était bel et bien pourri.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 février 2014
    au début on s ennuis un peu le temps de rentrer dans l histoire qui arrive et qui finalement se déroule bien . un bon mélo drame très bien joue par ce duo
    norman06
    norman06

    306 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2014
    L'une des plus grandes réussites de Nicole Garcia. Sobre, subtil, sans psychologie plombante, le film est dans la lignée de "Un week-end sur deux" (1990), sur un thème assez proche. Dominique Sanda y fait un come-back remarqué.
    labellejardinière
    labellejardinière

    72 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2014
    "L'argent ne fait pas le bonheur". Mais il peut y contribuer !
    Nicole Garcia se propose avec "Un beau dimanche" (de Pentecôte, dans le Sud de la France) d'illustrer de façon originale l'adage.
    L'affaire est en 2 temps : "l'Instit chez les pauvres", puis "l'Instit chez les riches". "L'Instit", c'est Baptiste Cambrier, un rejeton de la grande bourgeoisie, ancien élève brillant (astrophysicien), rattrapé par une hérédité fantasque (transmise par sa mère Liliane - Dominique Sanda, choix très judicieux) et ayant choisi d'être un citoyen lambda, enseignant en primaire, et en perpétuelle errance, car remplaçant. Ce "profil" complet ne se découvre que peu à peu, quand le jeune homme décide d'une ultime incursion dans son monde d'avant. Au bénéfice de Sandra (Louise Bourgoin), la mère divorcée de Mathias, un de ses élèves. La 2ème partie du film montrera en quoi, et comment l'ensemble du récit est finalement subtil.
    Pierre Rochefort (Baptiste) est excellent devant la caméra délicate de sa mère - à suivre !
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