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    Stories We Tell
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    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mars 2013
    Stories we tell est une œuvre hybride et, par conséquent, déconcertante qui, du fait même de l’intimité qu’elle met en exergue, tient le spectateur à distance. D’autant plus que tout ici est fabriqué, des archives reconstituées en super 8 du recours à des comédiens pour les rôles principaux. Cela sème le trouble chez le spectateur qui se sent floué et en porte-à-faux. Comme dans la plupart des familles, un secret est enfoui, qui concerne plus particulièrement la réalisatrice. Sa mère, décédée d’un cancer, est le pivot et le fantôme du film. Femme énergique, à la bonne humeur constante, elle connait cependant un destin tragique auquel sa fille ne parvient pas réellement à nous intéresser. Voir Diane Polley faire l’idiote dans les images d’archives et également corroborer dans ses faits et gestes tout ce dont ses proches témoignent s’essouffle très vite. Le dispositif de l’ensemble est tellement artificiel et obscur qu’il passe pratiquement à côté de son sujet, incapable de nous toucher. Le spectateur se sent pris en otage d’une émotion trop fabriquée (la scène de la succession des visages marqués par le chagrin et la douleur de la mémoire est proprement abjecte). En 2003, la réalisatrice bretonne Mariana Otero avait réalisé Histoire d’un secret, œuvre autrement plus intimiste et authentique que l’avalanche des interrogations quelque peu oiseuses et à l’universalité suspecte de Sarah Polley.
    lucilla-
    lucilla-

    58 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2013
    Documentaire-fiction autobiographique, c'est une comédie familiale pleine de vie , de secrets et d'émotions, qui touche en plein coeur.
    Sarah Polley revient sur son histoire personnelle, patiente archéologue de l'histoire familiale, croisant les voix discordantes des membres de sa famille, de proches. Raconter "toute" l'histoire sans privilégier une parole plutôt qu'une autre sans s'égarer ni perdre le fil, tel est la un fil ténu, entre sourires et larmes,on assiste émerveillée à la reconstruction d'une histoire intime qui atteint à l'ible de discerner l'archive véritable, le film familial, de la reconstitition cinématographique, on est emporté dans un récit familier et tendre,très émouvant. Sarah Polley nous invite à écrire notre propre histoire, à en voir sa richesse et son poids d'amour...the secret life of words, en quelque sorte. Magnifique!
    Piwi47
    Piwi47

    29 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2013
    Sarah Polley, l'actrice de « Go », « L'Armée des morts », « Mr. Nobody » et du drame « Ma vie sans moi », est aussi réalisatrice, le saviez-vous ? Après avoir affolé la critique avec le désarmant « Loin d'elle » autour du sujet difficile de la maladie d'Alzheimer, elle récidive en 2011 avec le désopilant « Take This Waltz », hélas jamais parvenu jusqu'à l'hexagone, la faute à l'embouteillage des nombreuses sorties ciné chaque semaine. Thierry Chèze de Studio Ciné Live déclare s'agissant du film : « Sarah Polley sait filmer, comme peu, le trouble des visages, l'embarras des corps, les fous rires et les larmes ».  Aujourd'hui, l'actrice – réalisatrice présente sa nouvelle prouesse, le docu-fiction « Stories we tell », sacré meilleur documentaire au Festival de Toronto.

    Avec « Stories we tell », Sarah Polley la cinéaste se met à nu et déverse, de manière bouleversante et sincère, l'histoire rocambolesque de sa propre famille, notamment de sa mère, décédée avant même de la connaître.

    Début tonitruant sur fond sonore pop « Skinny Love » by Bon Iver, le reste de l'aventure ne faiblira jamais, au rythme de quête de vérité de la jeune Polley.

    Sarah Polley réalise une œuvre intimiste, mais extravertie, au carrefour de plusieurs genres, recoupant des interviews de comédiens incarnant les membres de sa famille, des (fausses) images Super 8 en forme de souvenirs et des moments purement fictionnels.

    Bonne idée également que cette mise en abîme, avec la perspective de rendre l'affaire « publique ».

    Lorsqu'elle finit son docu-ficion avec une pointe d'ironie – un homme interrogé face caméra confesse avoir lui aussi couché avec la mère de Polley – Sarah Polley marque ainsi au fer rouge une industrie en proie aux secrets et aux mensonges.

    Bilan : « Stories we tell » est le « pamphlet vérité » d'une réalisatrice iconique. Sincère et charnelle, Sarah Polley dresse un portrait tumultueux de sa famille, en forme de confession cinématographique. Réalisé avec habileté et humour, son documentaire est à la fois dramatiquement authentique et jubilatoire dans sa construction narrative.
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 mars 2013
    ouh la la !!! c'est la cata. nous étions 10 à quitter la salle. en bref j'ai plus compté les personnes (j'étais la 10eme) qui partaient que continué à regarder ce super bon navet.
    ffred
    ffred

    1 498 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2013
    Et si le meilleur film de l'année était un documentaire ? Il est vrai que j'en vois peu. Mais à chaque fois j'en sors enchanté (L'enfer d'Henri-Georges Clouzot, Les Invisibles...). En voyant l'affiche de Stories we tell on ne se doute pas qu'il s'agit d'un film documentaire. D'ailleurs Sarah Polley, la réalisatrice (Loin d'elle, magnifique), triche un peu en nous (manipulant ?) bluffant bien...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 avril 2013
    Au cinéma on raconte des histoires. Parfois on les pioches dans la vie, parce que la Vie fourmille d'histoire. Pour son premier documentaire, Sarah Polley (actrice vu dans "Ma vie vie sans moi" ou encore "L'armée des morts") lève le voile d'un secret qui a bouleversé son existence et celle de ses proches. Loin du nombrilisme et des témoignages tape-à-l'oeil, Sarah Polley apporte à sa galerie de portrait un vrai regard de cinéaste où l'émotion n'est jamais fabriquée ni mise à l'écart. Bien au contraire, c'est la captation de cette énergie, la force de cette émotion qui émane des "histoires" que les "protagonistes" se racontent à propos de ce mystère, que Sarah Polley entretient tout au long de son film. Et au delà du simple devoir de mémoire, et du fait de bêtement consigner ce que l'on sait avant de le ranger dans un coin, il y a cet art naissant, cette explosion artistique qui émerge de la réalité et des interactions au sein de cette famille semblable à toutes les autres et à aucune autre. À travers le film, et sans jugement, Sarah Polley se redéfinit elle-même et offre une belle illustration au lien indéfectible qui relie l'art à la vie. Et c'est entre le rires et les larmes, et avec la plus grande justesse que le film emmène le spectateur. Un voyage simple et pas simpliste, bourré de talent et de travail, qui conjugue d'une très agréable le métissage entre la vie et l'art. Une vraie déclaration d'amour au cinéma, à la vie, aux histoires, et pour Sarah Polley, à sa famille.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mai 2013
    Sarah Polley a fait un travail formidable, c'est un puzzle passionnant, on se croirait parfois dans un film de David Lynch : dans la façon qu'elle a de nous perdre, entre vérités et mensonges. Qu'est ce qui est vrai ? Qu'est ce qui est faux ? Elle mène tout le monde en bateau, elle tourne ce qu'elle veut : c'est impressionnant, incroyablement intelligent, sensible, drôle et très émouvant (j'ai pleuré à un moment et je me suis fortement retenu à plusieurs reprises). Mes moments préférés : le début avec la chanson "Skinny Love" (la version de "Bon Iver") ; Sarah pendant l'enregistrement de la voix de son père (elle est d'une beauté extraordinaire durant ses séquences) : quand on pense qu'elle a fini de répondre à une question mais qu'elle repose la même question puis en pose une autre ; vers la fin : spoiler: les plans sur les témoins où ils sont à deux doigts de pleurer (même une se met à pleurer), les scènes de making-of et que Michael Polley et un de frères de Sarah lui dit : "j'ai bien joué là ?"...
    C'est un film qui pose des questions sur notre propre famille, sur le cinéma, une réflexion sur le mensonge et la vérité, sur le film en lui même. Un film admiratif, très personnel et personnellement, avec pleins de questions en suspens à la fin et c'est cela qui est extraordinaire : résoudre sans rien résoudre. Sarah Polley a touché son but avec moi : m'émouvoir, me faire poser des questions sur ma propre famille. Un film qui m'a personnellement, grandit et bluffé.

    J'ai été le voir à deux reprises et je suis impatient de le revoir, car à chaque nouvelle vision, on prend parti pour un nouveau point de vue et on comprends de nouvelles choses. Une oeuvre extrêmement riche, inlassable et, je confirme, universelle.
    Flore A.
    Flore A.

    33 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2013
    Un film-documentaire qui m'a particulièrement touchée ... Une histoire de famille complexe, pleine de jolis bonheurs et de grandes souffrances, prétexte à une réflexion sur l'image que l'on renvoie aux autres et que les autres nous renvoie ... sur la "vérité" des histoires familiales que l'on approche sans jamais l'atteindre. C'est aussi un bel hommage que rend Sarah Polley à sa famille et à ses 2 pères, au travers de ces témoignages tout en délicatesse ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 avril 2013
    En trompant le spectateur dans une docufiction subtile, Sarah Polley démontre qu’une histoire vraie racontée est d’abord une histoire réinventée, recréée de toute pièce. Voulant saisir la Vérité qui semble toujours s’échapper, la réalisatrice découvre un obstacle de taille : le mensonge de sa mère. On regrette beaucoup de ne sentir face à ça ni révolte, ni indignation.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2022
    Troisième long-mètrage de Sarah Polley et troisième rèussite de la cinèaste, particulièrement robuste en terme de continuitè, faisant appel aux souvenirs et aux secrets sans s'èparpiller sur plusieurs idèes de projets, enchaînant les coups de thèâtre auxquels on ne s'attend pas vraiment! La rèalitè est forcèment moins simple dans cette histoire intime et triste qui traite des divergences au sein d'un même rècit! Les protagonistes des films de Polley ont presque toujours cette espèce de blessure intèrieure, ce regard vers ailleurs, vers l'autrement. "Stories We Tell" (2012), c'est ni plus ni moins le plus bel hommage qu'on puisse rendre à une maman! Une histoire forte et propice à diverses approches! La structure de l'oeuvre est captivante à suivre en faisant un bond de trois dècennies et en sautant une gènèration! Si une histoire doit être racontèe, c'est bien celle-ci! C'est à la fois brillant et très èmouvant...
    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2013
    Dans la catégorie des cinéastes qui font un film en forme de documentaire sur leur propre famille je connaissais le génial Jonathan Caouette (Tarnation, Walk away Renée), l'impayable Maïwenn qui a glissé nombre d'éléments autobiographiques dans Pardonnez-moi, et l'incroyable inconnu Jan Raiber (Tous mes pères). Il faudra désormais ajouter à cette liste la jeune canadienne Sarah Polley.

    Dans Stories we tell, elle part à la recherche de ses origines : son père (introverti), sa mère (force de la nature), ses frères et soeurs.

    Rapidement un mystère sur l'identité exacte de... la suite ici :
    Parkko
    Parkko

    134 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2013
    Sarah Polley est vraiment une cinéaste qui m'intrigue. C'est le troisième film que je vois d'elle et je pense qu'elle va nous faire un excellent film d'ici quelques temps si elle continue comme ça, car ses trois films sont tous intéressants d'une certaine façon. Take this waltz est moyennement réussi mais les intentions sont tellement intéressantes que bon ; et puis Loin d'elle est très bien et Stories we tell est vraiment intéressant également.
    Avec Stories we tell, Sarah Polley s'essaie donc au documentaire. C'est intéressant car à première vue c'est un film sur sa famille, alors qu'en fait c'est un film sur le cinéma plutôt, ou plus généralement je dirais que c'est un film sur les histoires que l'on raconte, comme l'explique le titre en fait qui donne la "solution" dès le début sur le vrai sujet de Sarah Polley. Elle aurait pu aller plus loin avec Stories we tell et se montre parfois un peu trop sage, mais pour une jeune cinéaste, Stories we tell témoigne quand même d'une certaine envergure cinématographique et surtout d'un réel soucis de proposer quelque chose. A suivre.
    Cluny
    Cluny

    65 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2013
    Alors qu'il s'installe dans le studio où sa fille lui a demandé de venir pour enregistrer le texte qu'il a écrit, le père de Sarah Polley lui dit : "Tu m'expliqueras ce que tu es en train de faire, les deux caméras...", ce à quoi elle lui répond : "C'est un processus interrogatif.", ce qui n'empêche pas son père de se questionner : "Mais qui ça intéresse ?". Deux questions pertinentes, en effet. A priori, qui peut bien être intéressé par l'histoire de la famille Polley, qui à première vue se résume au drame d'une mère emportée très tôt par le cancer ? Et à quoi sert tout ce dispositif, l'interview de tous les membres de la famille, avec un montage parallèle et chronologique qui fait qu'un frère semble terminer la phrase de sa sœur, le texte très écrit lu par le père, et les images Super-8 qui semblent illustrer trop parfaitement les propos de chacun jusqu'à ce qu'on comprenne qu'il s'agit d'acteurs qui jouent un passé recomposé ?

    Déjà, l'évocation de la mère intrigue, d'abord avec des descriptions unanimement positives, sur son énergie, sa vitalité, sa bonne humeur, et qui lentement glissent sur un autre portrait, celui d'une femme insatisfaite, peu sûre d'elle-même, un papillon attiré par la lumière qui m'a évoqué par moment la mère de Delphine De Vigan dans "Rien ne s'oppose à la nuit". Et puis vient la narration de cet épisode où Diane est partie à Montréal jouer une pièce, quelques mois avant la naissance de Sarah, ce doute d'un seul coup sur la paternité qui se traduit après la mort de Diane par ces plaisanteries sur la différences de traits entre elle et son père, jusqu'à ce que la rumeur ancienne se transforme en révélation, mais pas forcément celle à laquelle tout le monde pensait. L'appareillage monté par Sarah Polley fonctionne, l'émotion est au rendez-vous quand une sœur évoque la relation du père éperdu de chagrin avec sa petite dernière après la disparition de sa femme, en remarquant "Il semblait te reprocher de ne pas t'occuper du chien, alors que tu étais une enfant dont personne ne s'occupait", ou que le père biologique réponde face à la caméra, "oui, c'était avec moi".

    La suite sur Les Critiques Clunysiennes
    Outburst
    Outburst

    111 abonnés 517 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2013
    3ème réalisation, et premier documentaire de la part de l’actrice/réalisatrice Sarah Polley, Stories We Tell est ce qu’on appelle un film inclassable. Un docu-fiction touchant, très personnel et d’une efficacité remarquable. Il est tout d’abord assez difficile de rentrer dans le vif du sujet et d’y accrocher, la présentation des personnes participants au projet étant un peu trop rapide. Cependant, une fois qu’on se laisse doucement prendre par le rythme du film, c’est un véritable bonheur qui nous est offert. La réalisatrice se met complètement à nue, ainsi que toute sa famille, mais tout en restant dans son rôle de réalisatrice, et c’est ce qui fait la force émotionnelle indéniable de ce documentaire. Entre témoignages poignants, et reconstitutions filmées avec une caméra Super 8, tout est fait pour rendre l’histoire racontée authentique. Et ce qui rend cette histoire si passionnante, si sincère, et si touchante, c’est son universalité. Non seulement on se retrouve plongés au coeur d’une histoire familiale personnelle, mais jamais une seule seconde on se sent mal à l’aise face à cette idée, au contraire elle est racontée de façon à ce qu’elle puisse toucher n’importe quelle personne qui se retrouve à la regarder. C’est donc un gros coup que frappe Sarah Polley avec ce documentaire, qui est sans doutes l’un des films les plus touchants du moment.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2013
    Sarah Polley est un génie.
    Cette jeune canadienne est une enfant de la balle qui tourne depuis plus de vingt ans : « ExistenZ » de Cronenberg, « Ma vie sans moi » ou « The secret life of words » d'Isabel Coixet, « L'armée des morts » de Jack Snyder.
    Elle est passée derrière la caméra pour adapter un roman déchirant d'Alice Munro : "Loin d'elle".
    C'est elle qui réalise "Stories we tell" un étonnant documentaire auto-biographique.
    A partir des images Super-8 retrouvées dans son grenier et des témoignages de ses proches, elle part à la rencontre de sa mère trop tôt décédée. Mais son film bifurque vite : l'hommage de la mère se transforme en quête du père.
    Car "Stories we tell" est bâti autour d'un étonnant suspens : qui est mon père questionne la réalisatrice ? l'homme qui m'a élevé ? ou l'homme avec lequel ma mère a couché lors d'une saison théâtrale à Montréal ?
    Ainsi posée la question du film laisse augurer une morale tristement prévisible : les liens du sang importent moins que les liens de la vie.
    Mais avec une impudeur folle et un sacré culot, Sarah Polley évite ces ponts-aux-ânes.
    Et sa recherche bifurque à nouveau pour se conclure par une interrogation diablement intelligente sur la frontière entre le documentaire et la fiction, les vérités déformées de l'image et de la mémoire et, tout compte fait, toutes ces histoires qu'on raconte et qu'on se raconte sur sa propre vie.
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