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    Gare du Nord
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    86 critiques spectateurs

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    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2013
    Au départ, une idée plutôt bonne: un film choral dont le héros principal serait la Gare du Nord....

    Je ne connais pas cette gare. Sans doute l'ais je fréquentée, quelque jour, pour aller à Bruges ou Amsterdam? (Oui, j'aime bien le train). Ca a l'air chaud. Evidemment, c'est pas la brave St Lazare, qui dessert des stations aussi ridicules que Pont Cardinet, La Garenne ou Bécon les Bruyères (où sont les lapins?), des destinations aussi exotiques que Trouville ou Grand Quevilly. Le Nord, pouah! Vive la gare de Lyon qui nous mène tout droit dans les montagnes ou à Aix en Provence...

    Après ces digressions ferroviaires, revenons à nos moutons. Oui, l'idée était plutôt bonne; le résultat est plutôt bof. Je crois n'avoir jamais rien vu de Claire Simon. Je ne pense pas la suivre dans le futur.... Elle invente un personnage d'étudiant en sociologie, dont le sujet de thèse est justement..... la Gare du Nord, qui passe donc ses journées à y trainer ses basques pour interroger ceux qui y travaillent ou y zonent. C'est Ismaël, Reda Kateb, qui (même si on lui a collé des petites lunettes rectangulaires d'intello) a beaucoup de mal à faire oublier le voyou maghrébin qu'on lui a fait jouer dans moultes films. Le pauvre! Il n'est pas responsable de sa tête! Enfin, vu la platitude de ses enquêtes, on donne pas cher de l'avenir de sa thèse. Tous les lieux communs se donnent rendez vous. Les zonards black et machistes, la petite vendeuse terrorisée à l'idée de perdre sa place, la dame-pipi qu'on traire comme un chien.... Violence ordinaire, cinglés plus ou moins dangereux, légendes urbaines (et même un fantôme pour introduire un peu de fantastique dans cet univers lugubre et un chien perdu et affectueux), manifs sur les voies qui bloquent tout le trafic, tout cela est assez bien vu -mais ne nous apprend rien.

    Parmi les personnages qui se croisent dans cette gare, il y a Joan (Monia Chokri), agent immobilier qui vit à Lille, va souvent à Londres (?), transporte de l'argent et dont les clients (douteux), apparemment, ne viennent jamais au rendez vous, Joan qui a de gros problèmes matrimoniaux. Il y a Sacha (François Damiens), rigolo de profession (il réalise des caméras cachées) mais là plus rigolo du tout parce qu'il recherche sa fille encore mineure qui a fugué (pourquoi la cherche t-il précisément dans cette gare?). Tout cela bien trop vague pour nous retenir. Et il y a -hélas! Mathilde. Mathilde (Nicole Garcia), prof de fac en arrêt de travail et qui va à Paris pour sa chimio (en général, les profs de fac cancéreux ne s'arrêtent jamais tant qu'ils tiennent sur leurs guibolles, parce que c'est cela qui les fait survivre... et en général, après une chimio, on est incapable de déambuler dans des galeries commerciales sur des hauts talons. Mathilde est improbable....). Elle rencontre Ismaël qui fait aussi, pour se financer, des mini-enquêtes pour le compte de la SNCF. Et se met en tête de l'aider pour ses recherches. Pourquoi Ismaël draguerait il une femme qui a l'âge de sa grand mère au point de l'emmener baiser dans un coin sombre (mais accessible aux caméras de surveillance....) du RER E, pourquoi cette femme dont la vie est en train de basculer tomberait elle follement amoureuse de ce grand dadais, au point de passer ses journées à le rechercher, le traquer dans tous les étages de cet énorme édifice... Comme cougar du Nord, on peut pas faire mieux! C'est d'un cucul....

    Mettez le sujet -des personnages avec leurs problèmes qui s'entrecroisent dans une gare- dans les mains d'un Robert Altman ou d'un Paul Thomas Anderson, vous aurez peut être quelque chose de grandiose. Avec Claire Simon, on en restera au: pas mal..... Elle n'a pas les épaules.
    annereporter94
    annereporter94

    47 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 janvier 2014
    Film étrange, film étonnant, film angoissant par moments... Difficile à classern parfois même à comprendre. La réalisatrice ne manque pas de talent, la spectatrice peut-être un peu (sourires)...
    amour13
    amour13

    26 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 septembre 2013
    Je donne la moyenne 2,5 pour le talent des acteurs mais le gros bémol c'est d'appeler ça un film alors que c'est un documentaire et en plus ennuyeux et trop long. dommage pour nous les spectateurs et pour les comédiens qui méritaient mieux.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    214 abonnés 2 847 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 janvier 2019
    Sans intérêt ! Un ramassis de scènes futiles truffées de dialogues creux et pénibles ! C'est long, c'est lourd, la réalisation est molle et même les acteurs ne sont pas à leur avantage. Un vrai moment de solitude !
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    118 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2013
    Ce film est l'aboutissement d'une démarche ethnographique de la part de Claire Simon : 5 ans à observer la Gare du nord, ses codes, ses habitants, leur manière de s'approprier ou de traverser l'espace...
    Et pour moi la sauce n'a pas pris. Elle a voulu, en parallèle à cette restitution de la Gare, lieu temporaire où les gens ne voient des autres que ce que ce hall leur permet d'apercevoir, nous faire suivre des bribes de vie de 4 personnages. Et c'est là où je trouve que son film perd toute sa profondeur : les liens entre les personnages sont trop artificiels, leurs rencontres manquent de crédibilité, il n'y a pas d'âme (si ce n'est celles qui se promènent dans la gare et troublent les passants fervents de spiritualité). On ne s'y attache pas. Le seul personnage qui, pour moi, sort du lot, c'est celui d'Ismael, le thésard en sociologie. Et justement, il me semble qu'Ismael est comme une sorte de mise en abyme de la démarche de la réalisatrice. La manière dont lui regarde la gare, c'est un peu la manière dont Claire Simon l'a regardée pendant 5 ans. Et je trouve qu'elle aurait dû s'en tenir à ça, essayer de creuser cet aspect, et en faire une ligne directrice, au lieu de s'éparpiller avec 4 personnages qui manquent de consistance. Elle dit qu'elle accorde de l'importance à chacun des rôles, à chaque petit commerçant de la Gare du Nord dans ce film. Je vois l'idée, j'apprécie cette idée d'ailleurs, mais je trouve que sur le rendu final ça ne ressort pas du tout comme ça. Bien sûr sa caméra est mobile, bien sûr il y a beaucoup d'entrevues entre les 4 personnages et les gens qui peuplent la gare, bien sûr on les entend parler, ces "petites têtes" qui grouillent partout. Mais l'importance qu'elle leur accorde me semble feinte, on les découvre souvent via les ballades de Nicole Garcia, qui, avec son grand sourire muet, m'a plus donné l'impression d'être une bourgeoise en visite de la jungle qu'une femme réellement curieuse de l'autre.
    Voilà, j'appréciais beaucoup le projet de Nicole Garcia, mais je trouve qu'elle n'a pas su aller jusqu'au bout. Que ce soit l'aspect ethnographique comme l'aspect purement fictif (avec les 4 histoires des personnages), rien ne m'a vraiment convaincue ou touchée.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 163 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2015
    Il est vraiment dommage que l’ensemble des personnages secondaires et figurants jouent avec une incrédibilité et une caricature forcée. Nicole Garcia se faufile dans la gare en guest star à cause de cette différence de jeu. Pour la première fois, dans un long-métrage français, Monia Chokri séduit mais sa performance est également gâchée par les autres. Gare du Nord est un principe original et attirant. L’idée de filmer ces gens qui traversent la gare chaque jour et qui finalement y passent un bout de leur vie. Dans une gare on croise tous les genres. Gare du Nord est un pêle-mêle de toutes ces différences. Malheureusement le projet n’est pas abouti à cause d’une mise en scène trop froide et de jeux bien trop affligeants.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Patricemarie
    Patricemarie

    40 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2014
    Une romance de gare pas très crédible où Reda Kateb est réellement impressionné par Nicole Garcia.
    Yves G.
    Yves G.

    1 273 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2013
    Quand j'étais au collège à Toulon j'avais une camarade qui s'appelait Claire Simon. Elle a épousé un polytechnicien et on se revoit de temps en temps.
    La réalisatrice Claire Simon a elle aussi grandi dans le Var. Mais elle n'a pas épousé de polytechnicien et je ne l'ai jamais rencontrée.
    En 1996 elle avait réalisé un documentaire qui avait retenu mon attention : "Recréations" se déroulait dans une cour de maternelle et y décrivait un univers impitoyable.
    Puis elle est passée à la fiction : "Ca brule" racontait les émois de la sortie de l'adolescence.
    Avec "Gare du Nord" elle continue à entrelacer le documentaire et la fiction. Claire Simon a planté sa caméra dans un non-lieu fascinant : la Gare du Nord où personne ne vit mais où tout le monde passe. Nous la connaissons tous pour y être passés un jour ou l'autre, en partance pour Lille, Bruxelles ou Londres, ou pour y accueillir un(e) ami(e) ...
    L'inimitable Reda Kateb y campe un étudiant en sociologie, Nicole Garcia une prof d'histoire dévastée par un cancer, François Damiens un père à la recherche de sa fille .... Ces personnages de fiction croisent des personnages bien réels : le Népalais qui tient le magasin de confiserie, la Dame pipi, l'agent de sécurité ...
    Le problème du film de Claire Simon est qu'il ne réussit pas à arrêter son parti. Entre fiction (trop fade) et documentaire (pas assez travaillé) il reste au milieu du gué.
    Et il réduit la gare à un microcosme, à un village certes mondial mais clos sur lui-même, un "repaire plus qu'un repère" comme l'écrit joliment Télérama. Il néglige une dimension essentielle de la gare : c'est un lieu dont on vient mais aussi d'où l'on part. C'est un lieu où l'on pose ses valises mais aussi à partir duquel on entreprend des voyages, on forge des projets, on nourrit des espérances.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 septembre 2013
    Le nouveau Claire Simon est intense mais très long pour un film sur une gare. Grâce aux passants et acteurs, je découvre le véritable tableau de la France d’aujourd’hui et voit les blessures de notre société. Mais ce projet ambitieux nous embarque, fascine et interroge sur notre vie en communauté. La suite sur ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 septembre 2013
    Les gares sont des lieux magiques pour une caméra et un micro. Qu’ils se croisent à l’heure ou pas, se remplissent ou se vident à grande vitesse, les trains fascinent toujours… Petits métiers et trafics multiples ; agents Sncf ou de sécurité ; clandés et clodos, dragueurs et femmes légères, voyageurs ou non... sont source d’observations sans fin. La gare du Nord est un carrefour du monde…

    Ou le « village global », dont Ismaël, étudiant un brin attardé, a fait le sujet de sa thèse. En arpentant les galeries, il rencontre Mathilde, une prof de fac qui rôde dans la gare comme la maladie rôde en elle. Improbable coup de foudre entre ces deux solitaires en attente d’amour. La quête de Sacha qui cherche sa fille fugueuse dans cette fourmilière ; ou la situation de Joan, Bac + 8 et contrainte d’abandonner sa famille pour un pauvre job, sont tout aussi aléatoires.

    D’un côté, une pâte très riche pour un documentaire. De l’autre, quatre personnages de fiction qui n’ont que leur solitude à offrir en partage. Docu-fiction : deux genres que le film ne parvient pas à faire cohabiter. En sacrifiant trop à un folklore attendu dans le premier cas ; et en ne situant pas clairement son registre fictionnel, à l’image du rôle de François Damiens. Comme Nicole Garcia et Reda Kateb peinent aussi à se sortir de leur propre ambiguïté, on a du mal à monter dans le train de Claire Denis. Malgré la photo et les acteurs. Parfois on reste à quai en gare du Nord.
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    La vie est faite de différents chemins qu'il faut savoir choisir. Certains auront plus de chances que d'autres dans leurs décisions mais qu'une chose importe : avancer. Quoi de mieux que la gare pour symboliser ces dilemmes ? Quoi de mieux que ces trains pour représenter ces destinées ? Claire Simon a choisi la gare du Nord pour installer ses intrigues. Celle d'une femme souffrante, d'un étudiant curieux, ou d'un père perdu.

    Gare du Nord est inégal et c'est bien dommage car il détient pourtant une bonne idée originale. La forme de cette œuvre est intéressante car elle mélange par essence la réalité et la fiction. Au premier plan, nous observons des acteurs qui interprètent leur rôle, chacun avec conviction. Et au second plan, des individus ne jouant pas dans le film servent de figurants malgré eux. Ils participent à son réalisme et à la dynamique que la réalisatrice a voulu donner à sa création. Elle utilise par ailleurs souvent la longue focale pour n'obtenir en arrière plan que des masses floues et être au plus près de personnages souvent fragiles. Malgré la qualité du jeu de Nicole Garcia et son lien vis à vis de tous les personnages de la gare, il aurait été préférable de faire un vrai scénario chorale où personne ne prendrait plus d'importance. Damiens est également très bon et prouve qu'il n'est pas réduit à faire des caméras cachés.

    La réalisatrice a fait un vrai travail d'enquêtrice en interrogeant de nombreuses personnes pour recueillir le plus de témoignages possibles. On sent malheureusement trop ces derniers derrière des dialogues parfois récités. Le point faible de Gare du Nord vient de son scénario partant dans tous les sens sans approfondir certains points primordiaux (relation entre Ismaël et Mathilde). La narration n'est tout simplement pas adaptée à ce format. Comme le récit le montre avec l'un de ses personnages centraux, ceci est plus un travail de sociologie qu'autre chose, et ne convient donc pas à une romance comme la cinéaste a voulu créer. Pour tout dire, un documentaire aurait surement mieux convenu à ses attentes.

    Accompagnée d'une bonne musique, la caméra capte des scènes que l'on n'a pas l'habitude de voir au quotidien car nous ne faisons plus attention, comme des ruptures ou des couples séparés se passant leur enfant. On peut parfois croiser des gens par hasard, sans le vouloir. Ou au contraire, essayer de les trouver sans y parvenir. Voilà ce que pourrait représenter la destinée, et qui fait souvent toute la force des films chorales. Il est regrettable que Simon ne soit pas allé dans ce sens là.
    Rascalrifin
    Rascalrifin

    3 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2023
    J'avoue ne pas comprendre les notes spectateurs. Peut-être n'aurions nous pas vu le même film.
    Gare du nord est un véritable chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 mai 2014
    Si je suis allé voir ce film, c'est parce qu'il se déroulait à la Gare du Nord, la gare que je fréquente presque tous les jours en venant de la banlieue. Même si la gare est montrée dans tous ses détails, du couloir souterrain à la salle des pas perdus en passant par le parvis, les quais, les bars et la gare routière, c'est pas pour autant que ce film est génial. Tourner un film dans la gare parisienne la plus fréquentée, c'était pas mal tenté, mais il aurait fallu créer une histoire, et là, je dirais qu'il n'y en a aucune. On traîne autour de quatre personnages qui errent dans cette gare, et qui se croisent de temps à autre. Un film très ennuyeux, avec seulement deux séquences d'action : un balèze qui saccage une boutique de soutiens-gorges, et la vendeuse ainsi que Nicole Garcia qui passait dans le coin ont du mal à gérer le balèze, mais finalement, la police arrive et emmène l'individu au poste. Ensuite, des infirmiers de l'Hôpital Lariboisière manifestent sur les voies, ce qui interrompt le trafic et sème la pagaille totale dans le hall de la gare. Et après, les CRS chargent les manifestants, donc quelques séquences d'action, mais pas assez pour sauver le film. En bref, ce film est une véritable déception, à oublier vite fait. Dommage, car on aurait pu inventer une histoire.
    Loïck G.
    Loïck G.

    281 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    Prétexte à un coup d’œil sur le monde, la gare du Nord prête son décor à tous ces gens qui y déambulent, et s’attardent. A l’image de ce film un brin trop long, mais si vrai dans le rapport qu’il établit entre les êtres, au hasard d’une rencontre ou de la fugue d’une gamine. Claire Simon, qui vient du documentaire, nous le rappelle au travers de quelques portraits de commerçants du lieu. La fiction la rattrape et donne à son film une puissance et une émotion, très particulières. Tous les comédiens, de Nicole Garcia à François Damiens sont excellents…
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    nathaliewell
    nathaliewell

    19 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 septembre 2013
    Heureusement qu’il y a la présence et le charisme de Nicole Garcia ainsi que le très bon jeu de cet acteur Rada Kateb, cantonné jusqu’ici aux seconds rôles, qui nous prouve la qu’il est un excellent acteur, car sans eux, je ne serai pas resté jusqu’à la fin tant le film est mauvais. Un sujet de sociologie, qui, s’il avait été bien mis en scène, aurait pu être un film vraiment intéressant, mais la lourdeur des dialogues est insupportable. Je comprends les personnes qui ont quitté la salle avant la fin. La réalisatrice part dans toutes les directions avec des sujets complètement différentiels sans qu’un seul ne soit véritablement traité. J’ai rarement vu un film aussi mauvais.
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