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    Les rencontres d'après minuit
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    Truman.
    Truman.

    207 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mars 2014
    Les rencontres d'après-minuit est ce que je qualifierai de film style art contemporain, vous savez de nos jours les jeunes bobos sans talent qui n'ont pas de créativité et qui décident de faire du soit disant art en se foutant des pinceaux dans le cul et en peignant sur une toile assis au dessus d'une toile le pinceau dans le fion ?
    Ou encore une femme qui va gerber sur une toile et peindre avec son vomi, oui oui c'est bon considéré comme de l'art .
    Le rapport avec ce film ? C'est plus ou moins la même chose . On a du vomi visuel et beaucoup crieront à l'art, au génie ou autre adjectif qui risque surtout de lui donner une fausse image de ce qu'est réellement ce "truc" .

    Au début j'ai bien rigolé je dois l'admettre, mais j'ai compris que ce n'était pas une comédie et ce fut la grosse douche froide .
    Voir Eric Cantona dire "Je l'aime bien ma grosse queue, je la regarde, je la malaxe" puis continuer a parler ainsi de son organe virile pendant 10 minutes puis finir par nous le montrer ça laisse sans voix, ensuite un gars le prend dans sa main et ... Non mais OH JE REGARDE QUOI LA ????

    Sérieusement c'est quoi ce truc ? On voit des gens qui se regroupe pour faire une orgie, ils parleront de cul, se toucheront et partiront dans des délires sans nom .... Non vraiment je trouve pas de mot pour décrire ce truc !
    Il n'y a pas de scénario ! Les décors sont hideux, terne gris vide, les acteurs plats et insupportables (la grande folle sérieusement ...), les dialogues sur-écrits, immondes, vomitif et prétentieux .

    J'y ai vu un gros dégueuli sectaire semi pornographique faisant les éloges a toute dérives sexuel, c'est tourné façon théâtral, il y a une ambiance glauque et oppressante, on se sent mal a l'aise et ça n'a aucun but .

    J'ai eu la nausée avec ce truc, vraiment ...
    tixou0
    tixou0

    638 abonnés 1 972 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2014
    Après 7 "courts", Yann Gonzalez s'est senti mûr pour un "long". Il tente avec "Les Rencontres d'après Minuit" une sorte d'"Hexameron" (à l'imitation des "Décameron" de Boccace, ou "Heptameron" de Marguerite de Navarre, la soeur de François 1er). Ils sont en effet six, un couple (Mathias et Ali), "la Chienne" (nymphomane et "femme-fontaine"), "l'Etalon" (au nom explicite - c'est Cantona qui s'y colle, avec prothèse..), "l'Ado" (AF Delon - un vague ersatz de sa splendeur de père au même âge) et "la Star" (qui a peur de la lumière). Et chacun de ces partenaires d'une partouze annoncée, tendance co(s)mique, d'y aller de son récit (voire de ses récits), comme chez leurs illustres devanciers. Le 7e personnage est un travelo-soubrette, guérisseur aux étranges méthodes, après avoir été thaumaturge, sur fond d'ambiance, entre orphisme (inversé) et gothique - qui n'a pas de récit propre.
    C'est ambitieux, genre "auteuriste", mais sans les moyens nécessaires, ni littéraires, ni cinématographiques. Au résultat, c'est creux, ridicule en permanence, pauvrement clinquant... Ratage à tous les étages. Les amateurs de porno, même "soft", en seront aussi pour leurs frais, appâtés par les promesses du tout début (voire réveillés par 30 secondes, vers la fin, genre "coït pour tous") ! Le "sexe", au mieux, on en parle (avec emphase - y compris tendances SM et inceste "chic", façon "Peau d'Âne recyclé et inversé) - on en voit très peu (sauf quelques anatomies masculines). Comme les fans de fantastique - en dépit de la pitoyable tonalité "nos chers revenants". Ineptie au zénith en "conclusion".
    En bref, un film inutile, et pour personne.
    Sebastien M
    Sebastien M

    6 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 novembre 2013
    sans intérêt, me suis endormi, le film en pleine caricature. Malgré quelques moment de poésie, on tourne vite en rond;
    Sébastien D
    Sébastien D

    94 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 novembre 2013
    Ce film est une immense catastrophe. Un synopsis qui donne envie mais qui ne tient aucune promesse. Déjà, c'est pas une partouze qui est organisée, c'est une réunion grotesque et inutile pour bobos qui s'inventent des problèmes en parlant comme des philosophes pour se croire intelligents et supérieurs. Le scénario est, et le mot est faible, horrible. Ca se veut faussement chic, un peu trash et intelligent à la fois, mais ca ne fonctionne pas du tout. Il est juste d'un ennui mortel ou rien n'est intéressant ni percutant. Les images dans l'appartement sont belles, mais dans les "flash-backs", c'est à vomir. C'est très kitch, ringard, on y croit pas une seule seconde. La scène spoiler: dans le cimetière avec le couple et le gouvernent travesti
    est sans aucun doute la scène la plus NULLE et la plus pathétique que j'ai pu voir au cinéma de toute ma vie. Les acteurs sont très mauvais, on dirait des robots sans aucune expression, aucun sentiment et qui répètent un texte après par coeur, sans plaisir ni compréhension. C'est limite si ils sont pas en train de le lire avec un couteau sous la gorge. La fin est moisie, les musiques sont insupportables, et en plus il ne se passe absolument rien dans le film, on s'ennuie constamment. Je me demandais même "mais si on organise une partouze, c'est pas pour se raconter nos vies. Alors c'est quoi l'intérêt du film ?" Et je cherche encore. Bref, c'est l'un des plus MAUVAIS film que j'ai vu de toute ma vie, et je pèse mes mots.
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    19 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 novembre 2013
    A vouloir faire un film théâtral à la Cocteau, à huis clos, Gonzalez a fait un film prétentieux et pauvre à la fois....chiant quoi. Si vous voulez voir un bon film du genre, allez plutôt voir La Venus à la fourrure, de Polanski. Là, au moins, il y a de la qualité d'acteurs. Moi, je me suis sauvé avant la fin, tant ça devenait insupportable....
    Flore A.
    Flore A.

    33 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 novembre 2013
    De jolis moments poétiques, une belle scène d'ouverture mais le jeu des acteurs ne m'a pas toujours convaincue et l'ensemble à force de se vouloir erotico-intello confine au grotesque et ennuie : une déception pour moi.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 830 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Oui oui la musique est belle, oui oui c'est très bien photographié, oui oui les décors sont sublimes, oui oui c'est chiant comme la pluie qui tombe, oui oui c'est très mal joué, oui oui c'est un film très vide, vain et con qui tente de bien faire avec ses quelques bonnes idées mais qui n'a absolument aucune idée de ce qu'il raconte.

    Ce qui m'a attiré dans ce film c'était avant tout les images, c'était réellement sublime, et puis le thème, le titre, ça pouvait laisser présager une sorte de film érotique plutôt plaisant, super bien fait. En réalité non, c'est une parodie de film d'auteur.

    Je comprends ce que le film veut faire passer et je trouve toutes ses intentions louables, sauf que ça ne peut pas marcher, c'est pas possible. Lorsque tu as ces personnages qui parlent au ralenti comme s'ils étaient sous valium en disant des dialogues, qui parfois sont beaux, c'est juste chiant.

    Alors le film tente des choses, certaines fonctionnent plus ou moins, notamment avec la musique qui se met selon les émotions des personnages, ça donne lieu à belles scènes, mais c'est tellement déconnecté du tout que c'est aussi chiant que le reste.

    C'est désincarné, les personnages sont tous faux, le réalisateur ne doit pas avoir la moindre idée de ce qu'est une partouse, de ce qui s'y dit, de ce qu'il s'y passe. C'est irréel, mais il n'y a rien à quoi s'accrocher, c'est juste vain. Cela sert à quoi de parler de ces personnages qui n'existent pas ? On s'en fout !

    Ce film ferait une bonne bande annonce (ou court métrage) en sortant les quelques scènes qui sont pas mal et en les reliant ensemble de façon plus sobre, histoire qu'on ne se fasse pas chier.

    Et je hais par-dessus tout cette sorte de spleen, les gens qui se complaise dans leur petit malheur de bourgeois, dans leurs tentations perchées au possible.

    Et ça joue mal, le travesti, mais c'est pas possible, tout est artificiel, fade, froid. Et pourtant si on prend à part certains trucs ça fonctionne, genre le zoom sur le visage du rouquin qui raconte son enfer avec les enfants au pouvoir, mais c'est la musique qui fait tout.

    C'est vraiment un film décoratif, tout ce que je hais dans le cinéma.
    fasskinder
    fasskinder

    25 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 novembre 2013
    Vu en festival... malgré une bande annonce alléchante et un casting-marketing paillettes, le film déçoit dès les premières minutes et devient très vite insupportable... autant faire du théâtre ou écrire un roman, pourquoi vouloir réaliser un "film" comme ça ? bref, à fuir !
    kibruk
    kibruk

    114 abonnés 2 402 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 avril 2014
    Film pseudo intello-surréaliste confinant à l'absolu néant chiant. "Les rencontres d'après minuit" est un exercice prétentieux et lénifiant. Grotesque et tout simplement insupportable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 août 2014
    C'est difficile d'écrire la critique de son film préféré, très difficile, plus encore lorsqu'il m'a arraché encore hier soir des larmes qui ne s'arrêtaient plus de couler, de tristesse et de joie mêlée. Et, à vrai dire, les sensations qu'il peut procurer sont si intimes que si l'on a aimé, on ne veut pas en parler, et je ne l'aurais pas fait si je n'avais pas vu une telle dureté sur ce site de la part des spectateurs qui sont venus s'exprimer.Je ne sais pas si ce film est plein de références ou non, à vrai dire, je ne les connaissais pas. Tout ce que j'ai pu voir, c'est qu'il est le manifeste d'un nouveau romantisme. Les sentiments humains y sont exacerbés comme jamais, le ressenti est toujours au centre de chaque plan : la danse tremblante de la Chienne, le passage entre les bras et les bouches de la Star dans le noir (ou plutôt le bleu), la promesse de l'amour éternel pris dans un tableau magique et lumineux... On reproche à ce film d'être du théâtre et non pas du cinéma. C'est à peu près le même argument qu'on utilise quand on veut dire à quelqu'un qu'il est un homme alors qu'il a changé de sexe pour être une femme ou lorsqu'on dit à un bisexuel qu'il a forcément une préférence. Je ne comprends quel sens cela a. Ce film, c'est à la fois du théâtre et du cinéma, d'ailleurs, la distribution mélange acteurs de théâtre (Kate Moran et Niels Schneider) et acteurs de cinéma en leur donnant d'ailleurs des rôles tout à fait différents. Donc, oui, avec Rencontres d'après minuit, on a le droit d'aimer les deux.Les couleurs, le choix des lumières, ne sert que le propos, rien que le propos. Le sens se dégage de chaque intervention, de chaque parcours, de chaque sensibilité exprimée par les différents personnages : Nous sommes seuls dans une jouissance enfermée en nous-mêmes (la Chienne), Nous avons l'impression d'être étrangers à nous-mêmes, de sentir que notre corps ne nous appartient pas (L'étalon), Nous voulons être aimés pour toujours, au delà des temps et au delà de la mort (Matthias), Nous voulons créer une famille, une famille qui ne se sépare pas, où l'amour nous lie, qu'on soit deux ou qu'on soit trois (Ali), Nous voulons éprouver des sensations jusqu'au bout, qu'on ne nous enterre pas vivants (la Star), Nous voulons apprendre, ressentir, ne pas savoir où l'on va se retrouver (l'adolescent) et enfin, nous voulons pouvoir être nous-mêmes, prendre un rôle, l'abandonner, changer et rester toujours le même (la bonne).S'il doit se dégager un sens général, si je parviens à le résumer, car je crois que le mental est impuissant face à ce film : Nous sommes d'abord seuls, mais nous pouvons recevoir dans notre solitude d'autres coeurs, et leurs battements communs forment la musique d'un être plus puissant, plus grand, plus beau. Rappelez-vous Alfred de Musset, cette si célèbre tirade de Perdican : "Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière ; et on se dit : " J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui."Ces quelques mots, résumé si dense et intense de ce qu'est le romantisme est réinvesti par Yann Gonzalez avec une autre idée, nouvelle cette fois : c'est que dans notre époque, l'idéal ne peut plus être cette simple union de deux êtres. Que cette union a été altérée, gâchée par trop de mensonges, d'intérêts, de normes et de narcissisme excluant. Et si elle a précipité notre perte, cette union, c'est simplement parce qu'elle excluait tous les autres, qu'elle se réfugiait sur une île où il faut sans cesse faire la guerre contre le monde. Le romantisme n'est pas l'affaire de deux personnes : c'est une chorale perpétuelle entre des êtres qui s'aiment et se comprennent, qui se touchent ou ne se touchent pas, mais qui demeurent ensemble dans leurs coeurs. La solitude est une belle chose quand elle comporte sept corps qui vibrent avec la même intensité, au coeur même de la beauté.Non, il n'est pas question de partouze. C'est un mot révoltant, atroce, insultant - comme "tantouze" -, à la sonorité abjecte qui comporte un crachat intégré. De sexe, oui ; d'attente ; d'espoir, de sensation. Les Rencontres d'Après minuit, c'est la promesse de chair et la découverte de spirituel. Car l'esprit est dans le corps et non hors du corps, ils battent tout deux d'une même vie. Ce film le montre avec sensibilité et patience, et sans doute il est difficile de le voir malgré tous les efforts faits pour choisir des images qui parlent, une musique qui invite à cette écoute de l'âme. Mais on ne veut pas toujours plonger sous les eaux, et parfois on préfère rester à la surface, comme le disait Oscar Wilde, le public est merveilleusement tolérant, il pardonne tout, sauf le génie.Et finalement, tant mieux. Tant mieux, car on se sent privilégié, au fond, privilégié de pouvoir ressentir autant et aussi fort : voici ce que ces personnages se disent, surtout. Merci à vous tous d'être là ce soir, ensemble, et de pouvoir ressentir aussi fort. Ils se sont réunis pour du sexe, mais ce n'était pas cela qu'ils cherchaient au fond. Et peut-être, cette chose qu'ils cherchaient, cette chose que le réalisateur a tenté de nous montrer, on pourrait la rebaptiser l'amour.Mais tout ceci, tout ce que j'ai écrit, n'est jamais que la pointe de l'iceberg. Les sensations les plus profondes sont celles qui ne se disent pas ; car elles hurleraient mille choses et en chuchoteraient mille autres en même temps, et notre oreille ne peut les entendre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 novembre 2013
    C'est un peu hallucinant de voir tant de bonnes critiques de presse sur ce film. Sans vouloir croire au copinage et échange d'ascensseur, on va dire que ce film est plutôt une démonstration de style qui prend place dans le débat entre cinéastes français mais qui ne dira rien au public. La démarche est ici de contester le naturalisme omniprésent dans les films français et de renouer avec l'onirique. On filme donc une pièce de théâtre, un huis clos intello subversif. Bref, si vous vous attendez à avoir une belle histoire avec des plans magnifiques, un scénario bien ficelé qui vous fera versé une larme, partager une émotion, réfléchir sur le monde, passez votre chemin. Peut être un beau mot sur le décor ou une bande son qui tient un peu la route.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 novembre 2013
    Prétentieux, faussement intello, une véritable caricature.
    Dès les premières minutes j'ai su que ça allait être pénible, mais je suis restée jusqu'à la fin, ce qui n'a pas été le cas de tous les spectateurs.
    Certes, il y a quelques jolis moments poétiques, mais sinon, quel ennui! Je n'avais jamais autant baillé et observé la salle bien que presque vide que pendant ce film.
    Où est passé le contenu? Qu'est-il arrivé au scénario? Les acteurs sont mauvais, comme dans une mauvaise pièce de théâtre.
    L'abstrait c'est bien, mais là c'est trop. J'ai vu des huis clos plus intéressants que celui-là, et le dernier avait lieu dans mon salon avec mon chat.
    Ah si sinon j'oublais, la bande son de M83 est à quant à elle très bien. La prochaine fois je resterais plutôt chez moi à écouter un disque.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 novembre 2013
    Je n'étais manifestement pas la cible visée par ce film. Dès la première scène je me suis dit c'est quoi cette merde ? Je suis quand même resté mais hélas, au bout de 10 minutes, j'ai pris mes affaires et je suis parti sans demander mon reste. Mise en scène apparemment trop sophistiquée pour moi, dialogues vides, acteurs sans conviction. Bref, tout pour me faire fuir à toutes jambes !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 novembre 2013
    Je ne comprend pas l'engoument pour ce film. Il aurait mieux fait d'être une pièce de théâtre, puis l'histoires pseudo intellect du mouvement suréaliste... NON! excès des comédiens, excès du décors, excès de l'histoire.. Une réelle déception car il avait l'air tellement appétissant!! Pour finir, décéption de !Niels Schneider qui est bien mieux avec Xavier Dolan!
    alexdelaforest
    alexdelaforest

    36 abonnés 205 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2014
    Plus nul tu meurs. parfaite illustration de cette époque qui promet du cul et ne nous offre que de la parlote. Et en plus particulièrement niaise.
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