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    Following, le suiveur
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    3,8
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    175 critiques spectateurs

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    oneosh89000
    oneosh89000

    29 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2011
    Les débuts de Christopher Nolan a la caméra. Avant de réaliser des blockbusters intelligents modernes , Nolan tourne en Angleterre pour nous emmener ,au plus profond du personnage, dans l'univers d'un jeune écrivain déchu en manque d'inspiration qui suit des gens au hasard dans la rue pour s'inspirer de leur vie. Et c'est là qu'il rencontre Cobb , un jeune cambrioleur qui va l'emmener dans ses combines . Et le scenario ne manque pas de rebondissements dont 2 coups sur coups. La preformance des deux acteurs principaux est géniale en plus de ça. Un premier long métrage court (1H07) fascinant qui va en dire long sur la créativité de Nolan. Un vrai petit régal.
    TheDarkKnight74
    TheDarkKnight74

    19 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2013
    Le tout premier long métrage de Christopher Nolan est une étape qui se présente comme tout à fait logique dans sa carrière. Après s'être fait remarqué pour quelques courts métrages intéressants, il a l'occasion de tourner Following, et pour s'ouvrir un avenir avec cet essai numéro 1 décisif, il fallait se faire remarquer avec les moyens du bord. Le budget est bien entendu ridicule, le film en noir et blanc...bref au lieu de s'employer à mettre en scène une série B farouche d'efficacité et révolutionnaire (excusez du peu mais ce fut grâce à ce genre de films que se sont hissés bon nombre de cinéastes importants), il mise tout sur le scénario, qui ne coûte rien si ce n'est des neurones. Un scénario peut plaire plus ou moins au niveau subjectif, mais soit il est bon dans son ensemble, soit il est mauvais. Cela écarte d'ores et déjà la prise de risque trop conséquente. Le choix des acteurs se révèle fructueux puisqu'ils assurent bien leur rôle, et le noir et blanc était forcé mais cela renforce l'aspect « thriller ». La musique rare mais vibrante, creuse, décharnée, au rythme endiablée, à l'image de celle d'un très lointain The Dark Knight Rises, participe elle aussi à accentuer le côté sombre du film. Délaissant la narration linéaire pour livrer un film en forme de puzzle assez jouissif à rassembler lorsqu'on se prend au jeu, Nolan complexifie peu à peu son film au fur et à mesure que l'on progresse dans l'histoire, augmentant les écarts temporels entre les scènes. Globalement, Following suit trois grandes lignes : le présent, où Bill parle à un policier ; la première partie du passé de Bill où ce dernier ne s'est pas encore coupé les cheveux ; la seconde partie où les machinations qui l'entourent prennent une ampleur considérable. Si contrairement au récent Inception qui reste son chef d’œuvre, Nolan ne laisse ici aucune portes ouvertes concernant l'interprétation de son film et boucle son script de façon définitive, l'approche de la conclusion se montre très excitante intellectuellement parlant, et cette dernière laisse tout sourire devant tant d'ingéniosité. Le scénario est le héros de Following, son protagoniste Bill n'étant qu'un idiot et Cobe un méchant au final très classe. On se plaît à relever une foultitude de détails dans les décors, à chercher tout les indices qui passent à notre portée : Following est filmée de manière à ce que l'on puisse identifier et saisir chaque situation en un clin d’œil (une scène qui s'ouvre sur le plan d'une porte vitrée déjà aperçue auparavant...). C'est cette richesse, cette faculté de tout prévoir pour le spectateur, qui donne une épaisseur supplémentaire à Following et achève d'en faire un véritable tour de force dans la carrière d'un des réalisateur actuel les plus prometteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 août 2009
    Christopher Nolan est décidément un super réalisateur! Ok, le film ne dure qu'1 heure, il est en noir et blanc, les acteurs sont quasi-inconnu. Mais franchement tout est parfait dans ce film, le scénario, la mise en scène, et les acteurs. Ce film captive du début à la fin, alors ceux qui se disent fan de Batman version Nolan, vous feriez bien de regarder son premier film.
    P.  de Melun
    P. de Melun

    36 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2017
    Dès son 1er long-métrage, le réalisateur anglais Christopher Nolan a démontré un savoir-faire impressionnant et imposer un style qui s’affinera au fil du temps sans jamais se renier. Dans les petites 70 minutes que durent ce « Following », on retrouve la plupart des recettes utilisées par Nolan parmi lesquelles une chronologie déstructurée, une place prépondérante pour la musique, un goût certain pour les héros border line, une intrigue riche en rebondissements et faux-semblants et un twist final qui donne au film une tout autre dimension. On retrouve également une ambiance qui rappelle aussi bien Alfred Hitchcock que David Lynch (ambiance dont était déjà imprégné son court-métrage « Doodlebug ») avec un visuel noir et blanc conférant au film une ambiance glaciale et des plans qui s’allongent (parfois inutilement). C’est sans doute la seule faiblesse de « Following », défaut dont Nolan a visiblement parfaitement eu conscience puisqu’il a abandonné ce rythme trop lancinant dès "Memento" et gagne en efficacité à chaque film. Plus surprenant, le casting composé pourtant d’illustres inconnus réussit à marquer les esprits avec Jeremy Theobald (acteur fétiche des débuts du réalisateur) en écrivain voyeuriste et pigeon de l’affaire, l’insaisissable Alex Haw en classieux voleur (on ne peut que regretter que l’acteur se soit limité à ce seul et unique rôle) et Lucy Russell en héroïne blonde typiquement hitchcockienne. Enfin, Christopher Nolan parvenait déjà à passionner le spectateur avec un pitch pourtant pas forcément excitant mais qu’il a su porter à son paroxysme (comme pour l’amnésique de "Memento", le flic insomniaque de « Insomnia » ou encore l’affrontement entre magiciens du "Prestige"). Bref, malgré son budget cheap et ses quelques imperfections, « Following » est un film captivant et plein de promesse sur le talent d’un réalisateur qui, de "Memento" au récent « Inception » en passant par les derniers « Batman » (le logo sur la porte du héros est d'ailleurs un signe du destin), n’a eu de cesse de confirmer son génie.
    (Critique reprise et partagée)
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 mai 2012
    Formidable, ce premier long-métrage de Nolan est excellent. Fascinant de bout en bout, le film est construit comme un puzzle, dont les morceaux se recollent petit à petit pour former une histoire passionnante jusqu'à une scène finale en forme de révélation. Il est également amusant de voir les clins d'œil fait aux futurs films de Nolan avec le symbole de Batman et le nom de Cobb.
    Benjamin Le Coniat
    Benjamin Le Coniat

    12 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2014
    Premier film de Nolan, le montage annonce le génial Mémento. Un premier coup d'essai intéressant à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 novembre 2012
    Bon premier film de Christopher Nolan (The Dark Knight, Inception). L'idée est pas mal du tout, les acteurs sont bons. Dommage cependant que ça soit un peu mou parfois et que la fin ne soit pas facile à comprendre. Le noir et blanc donne un genre mais pique un peu les yeux au début (en même temps avec 6 000 $ pour faire un film...). Le reste est appréciable. Marrant le logo Batman sur la porte de l'appart', signe prémonitoire ?! ^^
    jfby
    jfby

    12 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2012
    Un film qui démontre plus les qualités scénaristiques que de réalisation de Nolan.Le choix du noir et blanc est intéressant, les acteurs (hormiks la blonde) sont plutôt bons. Un bon premier film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 mars 2013
    Un très bon coup d'essai du cinéaste en vogue actuel, qui pose les bases d'une filmographie en béton, entre film noir, thriller envoûtant et twists inattendus: j'ai nommé Christopher Nolan! Le scénario met du temps à se mettre en place, qui est peut-être une des principales scories du film, ce qui peut paraître un peu rébarbatif voire même ennuyeux. Cependant, le montage est très astucieux, et n'est pas sans rappeler Mémento, avec beaucoup de recoupements, de flash backs et flash forwards, développant avec intérêt et ingéniosité les méandres d'une écriture subtile! Les 15 dernières minutes sont totalement fascinantes en crescendo et déroulent totalement la ficelle de l'intrigue, pour arriver à un dénouement incroyable, qui est forcément le gros point fort du film!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 octobre 2013
    Following est un film du désormais très connu Christopher Nolan tournée avec seulement 6000 Dollars et des acteurs amateur Nolan réussit quand même un véritable coup de maitre avec ce long métrage
    le scénario est simple mais efficace pareille pour la mise en scène c'est simple mais c'est super efficaces Nolan prouve avec ce film qu'il était déjà un grand cinéaste a voir et a revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juillet 2011
    Dans ce premier long-métrage de C. Nolan, on reconnaîtra très vite son style : faire un montage astucieusement "désordonné" afin de donner comme un twist qui, à chaque chapitre, nous donnera envie d'en savoir un peu plus. L'idée est assez bonne, quelqu'un qui poursuit dans la rue une personne au hasard : je dis OUI ! On retrouve dans ce film des éléments de ses prochains films : Un voleur, nommé Cobb, comme le personnage interprété par Leonardo DiCaprio pour"Inception", vêtu de la même façon : smoking, costard, qui est très gentleman et qui résonne très intelligemment : en résumé, on a le même Cobb dans "Following" et "Inception", les mêmes raisonnements, les deux sont plus ou moins voleurs, et s'habillent de la même façon. On retrouve également un logo de Batman, et qui un jour aurait pu croire qu'il allait réaliser une nouvelle trilogie ? Passons, ce ne sont que des petits détails, revenons-en au film : l'histoire est assez bonne donc, le style du montage de Nolan est directement mis en place, donc en somme un très bon divertissement. On regrette quand même quelques longueurs, mais je conseille vivement ce thriller !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 novembre 2015
    Premier long-métrage pour le réalisateur Christopher Nolan qui, malgré qu’il soit méconnu du grand public, beaucoup de spectateurs considérant encore Memento comme le premier film du Britannique, a su se faire connaître via divers festivals indépendants durant lesquels il a raflé quelques récompenses et des critiques élogieuses. Un succès certes discret aux yeux du monde entier mais qui sera pourtant les prémices d’une carrière internationale et reconnue. À l’occasion de cette rétrospective sur le papa d’Inception et d’Interstellar, voici la critique de Following, le suiveur, un film qui mérite d’être vu au moins une fois dans sa vie, ne serait-ce que pour les aficionados acharnés du réalisateur.

    Faire un premier long-métrage qui puisse être repéré par des producteurs beaucoup plus influents qu’à ses débuts est le but primordial d’un cinéaste. La plupart du temps, pour réussir, il faut se plier aux règles des producteurs en question pour que ceux-ci acceptent de financer le film, le réalisateur n’ayant alors pas encore assez de pouvoir pour imposer son style ou ses ambitions, tout en se pliant aux codes du genre auquel il s’attaque (thriller, comédie, horreur…). Bien que cette remarque s’applique principalement au monde hollywoodien, elle s’adresse pourtant à chaque réalisateur en herbe qui ne cherche qu’à montrer son talent, son savoir-faire. Bien avant de connaître la notoriété grâce à la trilogie de The Dark Knight et ses premières œuvres américaines, Christopher Nolan faisait parti de ces cinéastes et pourtant, en livrant Following, le Britannique a su se démarquer très vite grâce notamment à une technique scénaristique qu’il affectionne tout particulièrement et qu’il réutilisera dans d’autres films (principalement Memento, la première partie de Batman Begins et Le Prestige) : la narration non-chronologique.

    Le but est simple : le scénario et donc le film racontent une histoire qui ne suit nullement l’ordre établi par le temps. Ainsi, vous vous retrouverez avec une séquence qui se passe avant celle qui la précède dans le montage. Un procédé assez tortueux et risqué auquel le spectateur n’est pas spécialement habitué, pouvant lui faire peur et se désintéresser du long-métrage. Un danger que courait principalement Following, surtout avec une histoire aussi peu accrocheuse (un écrivain paumé qui s’amuse à suivre des inconnus dans la rue et qui devient cambrioleur malgré lui) et des personnages mis de côté au profit de l’histoire elle-même (juste un seul d’entre eux possède un nom). Au début du film, le résultat donné n’en est que plus frustrant : un enchaînement de scénettes à première vue sans aucun lien qui se terminent brutalement par un fondu en noir. Mais le fait d’utiliser une telle narration va permettre à Christopher Nolan de complexifier une histoire pourtant simple sur le papier, de se jouer aussi bien de son personnage principal que du spectateur, comme il l’avait fait pour son court-métrage Doodlebug.

    Following se présente donc comme un thriller à la trame labyrinthique qui pousse le spectateur à rassembler les morceaux d’un même puzzle pour lui permettre de reconstituer l’histoire dans sa tête, jusqu’au moindre détail, et d’être impressionné par une révélation finale, un twist qu’il n’aura pas su voir venir malgré un synopsis basique. Ce film en quelque sorte interactif, Nolan le raconte certes à sa manière, mais ne laisse jamais le spectateur sur le banc de touche en lui fournissant des plans d’insert, des images subliminales qui permettent d’indiquer l’importance de celle-ci à l’histoire (gros plans sur un objet, séquence qui s’attarde sur le regard d’un personnage…). Un effet de mise en scène classique qui permet néanmoins de titiller la curiosité du spectateur vis-à-vis de l’histoire et d’essayer de la construire lui-même avant que celle-ci ne lui soit révélée. Et comme vous vous laisserez emporter par la trame et les indices disséminés par Nolan, vous vous ferez prendre au jeu comme le personnage principal.

    Et le format en noir et blanc dans tout cela ? Est-ce par manque de moyen (le budget du film s’élève à 6 000 dollars) ou par caprice de Nolan qui utilise ce dernier depuis ses courts-métrages (Doodlebug en tout cas) ? Si Christopher Nolan est souvent considéré comme un excellent conteur d’histoires (ce film et son montage en sont la preuve) et non un metteur en scène exceptionnel qui use d’effets mémorables, Following saura convaincre les plus réticents à son cinéma. S’il est vrai qu’ici, le réalisateur ne fait que filmer et suivre ses comédiens (très bons, soit dit en passant), le fait d’avoir choisi le noir et blanc participe également à se jouer du spectateur. Cela donne une certaine classe à l’image, certes, mais ce format donne un côté 50’s à l’histoire, si bien que le spectateur peut se retrouver perdu en ce qui concerne l’époque à laquelle se déroule le film. Bien que celui-ci semble se passer dans le présent (suffit de voir les vêtements et les décors), le noir et blanc donne pourtant l’impression que Following embarque le spectateur dans l’époque de la Prohibition en faisant dériver son histoire dans une ambiance plutôt mafieuse où défilent décors luxueux et rétros (un club, un appartement chic), objets anciens (une machine à écrire) et une blonde hitchcockienne (coiffure et apparence vestimentaire d’époque) au service d’une histoire de gangster. Une simple apparence filmique dans laquelle le spectateur va pourtant se laisser plonger sans se rendre compte qu’il a affaire à une illusion, se retrouvant ainsi aussi naïf et impuissant que ne le sera le héros au cours de l’histoire.

    Bien que Following préfère s’attarder sur son enquête et non sur l’histoire des personnages qui ne servent de pions qu’au déroulement du script, Christopher Nolan livre une première œuvre tout simplement bluffante de maîtrise tout en imposant son style scénaristique. Un coup d’essai réussi pour celui qui deviendra le réalisateur hollywoodien le plus acclamé du XXIe siècle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 avril 2011
    Véritable jeu de piste, ce premier Christopher Nolan est une petite merveille.
    Sans grand budget, le film est doté d'une trame principale en béton comme seul Nolan sait le faire.
    Le duo d'acteurs est vraiment bon dans ce polar noir et blanc.
    Nolan réussi là LE film qui lui permet de connaitre par la suite une consécration sans équivoque dans un style propre à lui.
    La bande son colle parfaitement à l'intrigue.
    De nombreuses allusions et références dont Nolan réalisera par la suite...
    Ce film est un bijou ; trouvé dans une boite...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    Fan de Christopher Nolan , je partait deja enchantée à l'idée de découvrir son premier film. Et quel film! On y retrouve (Déjà!) tous ce qui faire la patte de l'auteur : Un twists final troublant, un montage sans logique temporel, et des héros toujours intenses.
    Ce film a petit budget, seulement 6000$, prouve bien que seul le talent et l'imagination suffise à créer un petit chef d'oeuvre. Ajoutez à cela un jeu d'acteurs remarquable, une ambiance Black&white allié à une musique saisissante, et vous voila submergé dans l'ambiance Nolan.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 juillet 2013
    Un premier film assez réussie où le réalisateur nous montre déjà son goût pour les films non-linéaire (façon puzzle) et nous offre un scénario bien ficelé qui nous réserve quelques surprises. Pour le casting : les acteurs sont inconnues et s'avèrent être très convaincant. Dans son ensemble, le film est assez intéressant et plutôt original mais il ne captive pas tout le temps, et pour cela, c'est très bien qu'il ne dure que 70 minutes.
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