Avis : Le rôle de ma vie - Page 5

la mort, la religion, réaliser son rêve ou plutot son obsession...Le message globale est :"laissez moi poursuivre mon rêve", sans oublier de garder les pieds sur terre.Ce rêve devenu une obsession peut etre à coté de la réalité. Le scenario est trop larmoyant. La mort arrive, ils ont essayé que ca soit touchant.Parcontre, la mise en scene est parsemée de blagounettes inattentues. Genre le vieux rabbin en segway. Coté acteur, que des gens qu on connait mais on ne sait pas qui s est... sauf l apparition de l acteur Malcom. Ce fim m a ennuyé.

Un joli film sur la poursuite des rêves, devenir adulte, faire des choix, changer les choses… Emouvant et offrant de beaux moments de comédie complètement loufoques.

Une chronique existentielle sensible et gentiment fantaisiste, mais assez convenue et sans éclats. 2,25

Zach Braff revient avec son second long métrage près de 10 ans après "Garden State" un film entièrement financé grâce à la plateforme Kickstater ce qui est un peu triste surtout après le succès du premier et quand on voit le financement de certains films mais bon au moins il a pu avoir le contrôle total et le final cut sur son projet. Quand je regarde ce film je me dis encore plus que Zach Braff est une personne qu'on ne voit pas assez souvent que ça soit comme acteur ou réalisateur ce film est de toute beauté il aborde des thèmes larges comme la mort, la vie, la famille ou le passage à l'âge adulte ce qui veut dire que tout le monde pourra se reconnaître dans ce film qui est une oeuvre personnelle, sincère, drôle et très touchante on passe par toutes les émotions en faite on ne reste jamais longtemps sur la même on embarque dans un vrai ascenseur émotionnel avec toujours le bon équilibre c'est ce qui fait la qualité et la réussite de ce film avec aussi des personnages très attachants, l'ensemble du casting est excellent vraiment je ne suis pas déçu j'ai vraiment adoré en même temps c'est à l'image de Zach Braff.

Une comédie dramatique dans les clous qui se regarde sans déplaisir auquel il manque la poésie de "Garden State" sans doute.

Eh bah tout cela ressemble ma foi beaucoup à du Zach Braff ! Il parle beaucoup de lui (un gars qui rêve d'être acteur ; qui est juif ; qui a perdu son père ; qui s'interroge sur son couple et sur ses gosses... Par tous les dieux mais de qui parle-t-il ?). Il se trouve qu'en plus il en parle de manière assez convenues voire presque naïve (parce que franchement, niveau humour c'est "tous publics" et niveau intrigue on n'invente rien du tout). Mais bon, bien que mainstream, je trouve ça quand même assez sincère. Et moi, comme je trouve ça sincère, eh bah du coup je trouve ça aussi touchant. Certes, ce n'est pas le film du siècle, loin de là. Je pourrais même dire qu'en soi, ce film est un sacré stéréotype ambulant. Mais après je trouve que le film affiche vite la couleur et qu'au fond, on n'est pas trompé sur la marchandise. Pour moi donc, "Le rôle de ma vie" est un film certes nian-nian mais qui a l'avantage d'être honnête. C'est déjà pas si mal...

Un acteur raté et père de famille se voit dans l'obligation de se secouer lorsqu'il apprend que son père est mourant, et que l'éducation de ses enfants ne peut plus être payée. Film indépendant sur la famille, "Wish I was here" fait un peu penser à "Little Miss Sunshine", en moins fort. Zach Braff y taquine gentiment la communauté juive, et les adultes qui vivent comme des enfants. Cependant, la mise en scène est très conventionnelle, et l'humour moyennement travaillé (on rit rarement). Reste quelques scènes avec de l'émotion, et de bons acteurs.

Zach Braff, essentiellement connu pour son rôle dans la série "Scrubs, réalise ici son second long métrage après un très bon "Garden State". L'acteur/cinéaste récidive dans le registre de la comédie dramatique et il faut bien admettre qu'il maîtrise très bien ces deux facettes que sont le rire et les larmes. Le début du film est donc drôle mais la tonalité bascule ensuite vers le drame lorsque la mort imminente du père prend de plus en plus de place. Si la réflexion autour de la mort est une source d'émotion, celle-ci est assez simpliste et est constituée de lieux communs. Le scénario est lui-même assez classique avec les rebondissements attendus pour ce genre de film. Il n'empêche que "Le rôle de ma vie" remplit bien sa fonction et Zach Braff est bon derrière la caméra.

Publiée le 27 août 2014 ( par Michel Crotti )
Désolé de nager à contre courant .... ça ne m'a pas accroché !! Pourtant on y était presque. Mais est ce la langue ? Les dialogues tombent à l'eau, le scénario, même si on comprend assez bien où on va rapidement, est bien maigre... En fait pas beaucoup de positif.... Images qui bougent trop, des scènes farfelues, des acteurs qui font ce qu'ils peuvent notamment le 1er puisque réalisateur Zach Braff (Aidan) et la belle Kate Hudson (Sarah)...**

On s'esclaffe souvent à certaines répliques, on est ému parfois, mais on finit quand même par s'énerver un peu face aux facilités du scénario. La chronique familiale douce-amère sur fond d'Hollywood est une veine largement exploitée et il manque ici un peu de tranchant, un poil de méchanceté pour équilibrer le côté gnangnan et trop prévisible de certaines situations. L'humour juif n'atteint pas ici les sommets d'un Woody Allen et la peinture de l'arrière-salle des studios de cinéma est à peine esquissée. Le mélo sentimental, la description de la mort du père sont longuets comme les scènes oniriques et cassent un rythme déjà peu enlevé.

le début du film est prometteur, un brin farfelu, sur des dialogues percutants. il se perd ensuite, se disperse et on a du mal à comprendre la voie qui sera choisie, le message délivré. au final, un drame plein d'espoir proposant de jolis moments, émouvants ou plus légers. Z. Braff offre une belle composition.

J'avais adoré le premier long-métrage de Zack Braff où il traitait déjà des mêmes thèmes : la famille, le deuil, les rêves d'enfance une fois devenu adulte. Il les re-développent ici avec en outre le thème de la parentalité : être père et communiquer avec ces propres parents. Les comédies dramatiques doivent tenir la double promesse de faire rire et d'émouvoir. Hélas la plus parts ne parviennent qu'à moitié à tenir cette promesse, voire pour pas mal aucun de ces deux objectifs ! Ce film arrive sans mal à tenir ces deux engagements et j'ai pour ma part rit et eu les larmes aux yeux. Le réalisateur et scénariste fait encore montre d'un très grand talent pour décrire le tournant dans la vie de cet homme, père un peu à mi-temps et acteurs toujours inconnu et au chômage, qui face à la maladie de son père doit remettre en question son mode de vie de ces 20 dernières années. Personnages touchants, péripéties hilarantes ou touchantes, surgissement du fantastique dans le quotidien de ce père, le long-métrage est un vrai bonheur à regarder qui mérite bien la standing ovation qu'il a eu à sa projection au Festival de Sundance ! Si vous ne l'avez pas encore vu, précipitez-vous sur ce bijoux du cinéma indépendant américain, écrit et mis en scène par un acteur qui s'avère être un réalisateur et scénariste tout aussi talentueux.

Ce film est passé de manière exceptionnelle dans mon cinéma habituel, et en VOST. J'ai donc pris du temps pour aller le voir car j'avais adoré Garden State et la bande-annonce m'avait beaucoup plu.
Tellement de sentiments sont venus à moi tout au long du film que je ne peux que lui mettre un 5/5. Zach Braff a réussi un chef-d'oeuvre comme il en a la recette et je suis bien contente que les fans aient réussi à financer ce film qui est tout simplement génial.

Le résumé du film laisse présager un film douloureux sur un sujet lourd, or il n’en est rien. Avec « Le rôle de ma vie », Zach Braff réussi une tragi-comédie qui fait passer du rire aux larmes à toute allure, une scène triste étant quasi immédiatement désamorcée par une scène légère, où l’humour le dispute à l’absurde. C’est réalisé avec soin, avec même le souci de faire quelques scènes particulièrement belles. Le casting est tout à fait étonnant de justesse car hormis Zach Braff lui-même, tous les rôles qui l’accompagnent sont écrits, touchants, parfaitement incarnés, que ce soit par les adultes (Kate Hudson en tête, magnifique) ou par les enfants. A mon sens, c’est le casting impeccable qui est la première réussite du film et qui fait qu’on rentre dedans dés les toutes premières minutes de la toute première scène. Il n’y a que le rôle du chien paternel qui est sous-exploité alors qu’il y avait surement matière ! Le scénario est touchant et quasi universel, quels que soient les rapports qu’on ait ou qu’on ait eu avec son père, on peut difficilement rester insensible à cet homme qui est propulsé à l’âge adulte sur le tard, à la mort de son père, parce qu’inconsciemment il sait qu’il doit prendre le relais. Le film de Zach Braff manipule des sentiments délicats et complexes qu’il est parfois difficile de montrer au cinéma sans sombrer dans le pathos. Je reconnais que certaines scènes sont peut-être un peu trop longues, voire superflues et qu’il y a un peu de larmoyant vers la fin mais on sent la sincérité de Braff dans chaque scène, dans chaque plan, dans chaque dialogue, et çà gomme tous les petits défauts. Le fait qu’il ait co-écrit le scénario de son deuxième film avec son frère, et qu’il ait eu partiellement recours au crowdfunding pour le financer prouve à mes yeux l’authenticité totale de sa démarche. Il met beaucoup de lui dans « le rôle de ma vie », y compris son humour qu’il a déjà maintes fois eu l’occasion de rôder à la TV. Il n’a pas peur de moquer (avec tendresse, mais de moquer quand même) des juifs orthodoxes avec les scènes à l’école rabbinique et le personnage déconcertant de sa fille. Il le fait sans haine et sans cynisme, avec ironie et second degré. Et puis, il y a des clins d’œil rigolos à la culture TV, des allusions à « Star Treck », à « Games of Thrones » et même quelques scènes loufoques tournées au Comic-con de San Diego. Avec « Le rôle de ma vie », on passe du rire aux larmes pendant plus d’1h45 et le film se termine sur une note délicate et optimiste. Pas de doute Zach Braff a réussi son film, sans Hollywood et son argent, sans ses scénarii formatés pour plaire aux plus grand nombre, sans stars au casting : du vrai cinéma américain (très) indépendant comme on l’aime !

Un film sensible, drôle et émouvant sur les relations familiales et la quête de soi-même.LA SUITE :