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    Un hologramme pour le roi
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    2,8
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    50 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 avril 2020
    Le scénario est certes original mais jusqu'à la fin je n'ai pas compris où le film voulait nous emmener. Le film montre dans sa grande majorité le fossé qu'il y a entre l'occident et ce pays, et j'ai trouvé une sorte de tension, de suspense malsain dans le film. A chaque chose qui lui arrive, à chaque personne qu'il côtoie on a l'impression qu'il va lui arriver quelque chose, que le film va vriller dans quelque chose d'autre, très bizarre.
    Tom Hanks est bon comme souvent, il y a quelques scènes drôle, çà reste plaisant à regarder mais c'est tout.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    154 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2020
    Un très bon film dans la veine de Lost In Translation. Impeccablement servi, bien réalisé, belle photo, on reste captivé par les aventures de Tom Hanks dans ce scénar original
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    594 abonnés 2 777 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2020
    Derrière l’apparent désordre structurel du dernier long métrage de Tom Tykwer, Un Hologramme pour le roi, se cache en réalité une errance intérieure projetée dans la mondialisation, une solitude profonde qui fait d’Alan Clay, de mari divorcé et père absent, un exilé contraint de parcourir des espaces tantôt désertiques tantôt à la pointe de la technologie, sans comprendre ce qu’il s’y passe. Le personnage principal se définit lui-même comme un coupable soucieux de purger sa peine dans ce pénitencier à ciel ouvert et au sable fin, ce sable qu’il faut balayer des routes goudronnées avant la visite officielle du roi ; son périple prend alors l’aspect d’une mise à l’épreuve, le kyste sébacé venu se loger dans le haut de son dos jouant le rôle d’une mortification. Il est un corps souffrant, attestant des pertes d’énergie dommageables et un mal du pays qui se soigne à mesure qu’il quitte sa passivité pour prendre les choses en mains, à mesure qu’il délaisse la virtualité de ses relations pour les concrétiser. Alan Clay vend des hologrammes, des illusions de présence qui semblent définir sa propre existence : le père déverse sa haine du monde par téléphone, l’épouse veut de l’argent, la fille louvoie entre deux figures parentales qui ne savent comment la conseiller, qui ne peuvent donner l’exemple. Alan est perdu, sujet à des crises d’angoisse que le film adopte en dynamique interne, si bien que le rythme s’accélère brutalement – les transitions sont volontairement gommées, renvoyant au spectateur une impression de saccade déroutante – pour se ralentir de la même façon, puis reprendre de plus belle (la fausse crise cardiaque) : il faut attendre le roi qui ne vient pas, franchir le hall d’entrée, aller voir la secrétaire qui ne sait pas, s’excuse, congédie ; on attend, il fait chaud et on a faim ; retirer le kyste est urgent, opération demain. Le rythme en dents de scie figure le potentiel hallucinatoire de la terre arabe pour un esprit occidental. Se dépêcher, toujours courir, faire au plus vite… D’aucune utilité, et les derniers mots de Tom Hanks vont dans ce sens : « il faut avoir le temps ». Son personnage sert au réalisateur de regard extérieur, américain en l’occurrence, porté sur une culture qui fascine autant qu’elle rebute : l’Arabie Saoudite apparaît telle une terre de contrastes, présente un visage bigarré, composé de complexes luxueux et d’abris de fortune dans lesquels survivent les ouvriers qui les conçoivent – au même étage de l’immeuble, le cinquième –, une culture qui sacralise la réputation et les lieux de prière. Campé par un Tom Hanks impérial, Un Hologramme pour le roi est une œuvre riche et intrigante qui poursuit une trajectoire imprévisible faite de mirages – la séquence de chasse aux loups en pleine nuit, l’excursion de tourisme pour aller voir les dromadaires et les photographier – et qui propose un véritable acte de foi en la mondialisation non comme pratiques industrielles et commerciales mais comme vecteur d’une rencontre sinon impossible entre deux cœurs qui battent à l’unisson l’un de l’autre, issus de deux cultures différentes que le film rassemble avec sensibilité et poésie.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    159 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 décembre 2019
    Tom Tykwer ne réalise pas là sa plus belle réussite, en tout cas de ces dernières années et certaines critiques sur la sécurité de l'Arabie Saoudite pourrait paraître rapidement décalées avec le temps, le pays ayant finalement changé relativement vite sur ce point de vue. Reste qu'en regardant celui-ci au cœur même du pays, chose totalement pas prémédité, on rigole beaucoup du décalage entre attente et rapidité d'exécution. Il est vrai qu'on est face à une l'etargie déstabilisante qui prend souvent des tournures inattendues comme semble l'exprimer Tykwer. Une comédie à prendre avec des pincettes.
    ned123
    ned123

    129 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2017
    J'ai vu un film... qui m"a beaucoup séduit. L'histoire est une plongée dans un univers inconnu de la vie sur une autre planète, dans un autre siècle.. Ce film présente des décalages flagrants et étonnants ave le mode de vie occidental... Il serait super intéressant de voir un film qui porte un regard décalé sur notre société. Tom Hank est un super "Monsieur Tout le Monde" qui fait face à des situations "normales" . Il y a de la bienveillance (quand même dans un pays qui coupe des mains et lapide des femmes), de la romance avec des barrières de culture qui sont surprenantes. La réalisation est vraiment subtile et douce. Ce film laisse une impression de "normalité" étonnante.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 décembre 2016
    Sûrement un des meilleurs films de Tom Hanks. Expédié en Arabie Saoudite pour négocier un contrat, il doit faire face aux différences culturelles. Tom Hanks incarne à merveille son rôle de commercial plutôt en fin de carrière harcelé par ses patrons aux USA.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    272 abonnés 2 818 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 novembre 2016
    mais qu'est ce que T. Hanks est allé s'embourber dans ce film insignifiant, sans scénario, décousu?! à 40 min il ne s'est rien passé et l'horizon ne s'éclaircit pas. raté.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 novembre 2016
    Film moyen, acteur toujours au top par contre. Tom Hanks reste un des meilleurs à l'heure actuel!
    Le film est pas super mais ca se laisse regarder sans soucis... je voulais quand même savoir la fin
    Félix F
    Félix F

    210 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2016
    Très très bon, Tom hanks est énorme dans ce film, film qui montre d'ailleurs la réalité sur l'arabie saoudite sans tombé dans la dénonciation et la critiques. Et ça c'est vraiment très bon, d'autant que l'interprétation est vraiment parfaite. Franchement un très bon moment de cinéma.
    nokidoki
    nokidoki

    65 abonnés 549 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    Encore un très bon Tom Hanks.
    Jolie histoire pas compliquée du tout à suivre. De belles images, de beaux dialogues, une belle morale. Bref, tout ce qu'il faut pour un film à voir en famille.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 octobre 2016
    Une pépite, beaucoup de respect, un beau voyage. Enfin un sure qui traite du monde musulman avec beaucoup de respect. A voir.
    Georges P.
    Georges P.

    63 abonnés 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2016
    On hésite entre le drame et la comédie. Tom Hanks joue tout en finesse et en justesse l'homme d'affaire qui est à la charnière de sa vie. Sur fond de difficultés interculturelles avec le monde arabe. Une réussite parce que l'on passe l'air de rien du sourire aux larmes.
    Didier V.
    Didier V.

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2016
    Je me rappelle de mes cours de bota à la fac...

    Le désert. Chaud. Aride. Du sable à perte de vue. La monotonie de l'infinitude de dunes de sable.
    Le temps qui s'écoule lentement. Qui ne s'écoule pas. Était-ce hier ? Est-ce aujourd'hui ?

    Perte de repères !

    Et puis, un jour, après souvent plusieurs mois, parfois plusieurs années, une pluie. Soudaine. Froide, chaude, peu importe.

    Le miracle s'opère. La vie explose. Profusion d'éphémères floraisons multicolores. Magique.
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    56 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2016
    Passé presqu’inaperçu lors de sa sortie ce mois-ci, « A Hologram for the king » met pourtant en scène le talentueux Tom Hanks. On a beau réfléchir pendant quelques minutes, on peine à trouver un film qui ne permet pas au célèbre comédien de proposer le meilleur de lui. Avec « A hologram for the king », le soixantenaire remplit le contrat, sans non plus donner de sa personne et offrir une interprétation mémorable. Retour sur un film étrange sorti sous silence dans nos salles belges…

    Tom Hanks. C’est l’argument de poids qui nous a convaincu de nous lancer dans la vision du dernier film de Tom Twyker (« Le parfum », « L’enquête », « Heaven ») alors que son film n’avait pas fait énormément de vague. En effet, ce comédien populaire a tout pour plaire et nous ne manquons jamais une occasion de le retrouver sur nos grands (et petits) écrans. Bientôt à l’affiche d’ « Inferno » (le 9 novembre prochain), le comédien a déjà su montrer l’étendue de son talent. Pas ici. Tant le film que le jeu de son acteur principal nous laissent une impression de projet non abouti. Tom Hanks fait le job, sans se mouiller, avec classe mais sans investissement réel. Sommes-nous passés à côté du film, de sa prestation ou est-il lui-même passé à côté du rôle ? Difficile à dire. Toujours est-il que l’on a vraiment l’impression que la sauce peine à prendre et que l’intrigue et le jeu de Hanks retombent presque comme un soufflé sorti trop tôt du four… Accompagné dans sa quête par d’autres bons comédiens (la jolie et charismatique Sarita Choudhury ou le sympathique Alexander Black pour ne citer qu’eux) l’acteur passe son chemin dans le désert arabique et disparaît de notre « anthologie » cinématographique tel un mirage.

    Mais parlons du film. Instable, il peine à garder une ligne de conduite et propose plusieurs intrigues en une. spoiler: Celle d’Alan Clay, malade et en quête d’interlocuteurs amis dans un univers qu’il connaît peu ; une autre relatant la difficulté d’être reconnu et accepter dans ces technopôles naissantes ; celle de son amour naissant (lui permettant de tourner la page de son passé chaotique et en passe de se reconstruire une nouvelle vie sur des bases solides) ; une nouvelle contant comment son ami taximan voudrait faire tomber la monarchie en place avec les habitants de son village natal…
    On ne comprend pas bien l’orientation générale du long métrage et on se perd à plusieurs reprises dans ces histoires parallèles venues d’on ne sait où et qui se terminent on ne sait comment… Il en est de même pour le ton. Oscillant entre comédie dramatique, humour douteux, rencontres touchantes, moments tendus… tout nous donne l’impression d’être à bord d’un bateau qui tangue et qui n’arrivera jamais à amarrer dans un genre particulier.

    Il n’en reste pas moins intéressant de montrer combien les Américains sont accueillis dans les pays arabo-musulmans et que leur toute puissante ne rayonne pas jusque là comme ils se l’imaginent sans doute. La démesure US est supplantée par celle des nouveaux princes du pétrole qui créent des villes en plein désert, amenant la mer jusque dans des vallées qui n’étaient que poussière. Vendre une technologie de haut niveau relève presque du défi et Alan Clay en aura plus d’un à relever. Vous « vendre » « A hologram for the king » l’est tout autant car, on aimerait pouvoir vous dire que ce film sorti de nulle part à un intérêt certain mais au final, on constate qu’il n’a que celui de distraire et d’ensuite passer son chemin…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 août 2016
    Film vraiment plaisant. Tom Hank impeccable en VRP sur le retour. Un traitement subtil des différences de culture et des difficultés que cela engendre. Un regard caustique sur la société Saoudienne. Le non sens de certaines situations génère un humour léger.
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